01-08-2020, 11:39 AM
J’étais descendu du bus et je revenais vers la maison. En chemin, je m’étais dit, Phil arrête de gamberger, ce soir tu seras chez Julien et tu verras bien comment les choses se passent.
Une fois à la maison j’avais fait un petit sac avec quelques affaires de rechange pour le week-end. J’avais aussi pris un paquet de capotes, on ne sait jamais.
Maman était rentrée. Elle était montée dans ma chambre pour voir si j’étais prêt. Elle avait frappé à la porte et elle était entrée. J’avais juste eu le temps de planquer les capotes et le tube de lubrifiant. Ouf. J’avais dit à maman :
Moi : « Enfin maman, tu aurais pu attendre que je te dise d’entrer. Tu sais bien que c’est mon domaine. »
Maman : Oui Phil, je sais, je te demande de m’excuser.
Moi : Oui, maman, merci. Mais la prochaine fois attend un peu, tu t’imagines si tu m’avais trouvé occupé de me branler !
Maman : Oui, c’est vrai tu as raison et de plus c’est bien de ton âge mon ado adoré !
Moi : Oui maman, je sais, mais c’est dans la nature des choses et puis c’est mon jardin secret !
Maman : Très bien Phil, d’ailleurs je le conçois très bien, tu dois avoir des moment d’intimité et c’est logique !
Moi : Merci maman, tu sais je t’aime.
Maman : Moi aussi mon grand bêta !
Nous nous étions étreints. J’aimais encore, à mon âge, de faire des câlins à ma maman chérie !
Mes affaires étant prête dans le sac de sport, j’étais descendu et j’avais rejoint maman. C’était elle qui devait me conduire chez Julien.
Nous avions attendu encore quelques minutes avant de partir. Et puis j’appréhendais le moment où j’allais retrouver Julien. Avait-il encore des sentiments pour moi, malgré ce qu’il me disait au téléphone l’autre soir, ou était-ce seulement pour le sexe, sans plus, qu’il souhaitait me revoir.
Nous arrivions un peu avant 19h00 chez Julien. J’avais été déposé sur le trottoir juste devant la maison par maman qui était repartie aussi vite. Elle savait que je n’aimais pas les effusions devant mes copains et mes copines.
Me voilà devant la porte d’entrée, j’avais à peine mis le doigt sur le bouton de la sonnette que la porte s’ouvrait. C’était Julien qui avait ouvert. Il affichait un large sourire auquel j’avais répondu en lui souriant. Julien me dit alors :
Jul : Salut Phil, je suis content de te revoir, allez entre !
Moi : Salut Julien, moi aussi je suis heureux d’avoir été invité et de te retrouver.
Je m’étais approché de Julien pour lui donner au baiser, mais je m’étais ravisé en voyant son regard changer. Je lui avais alors seulement fait la bise. Je m’étais alors rendu compte que les parents de Julien étaient présents.
Le papa de Julien était assis dans le salon et la maman devait être dans la cuisine. Je m’étais approché du papa et je l’avais salué :
Moi : Bonsoir monsieur.
Pierre : Bonsoir Philippe, tu peux m’appeler par mon prénom, moi c’est Pierre.
Moi : Oui, merci monsieur, oh, je voulais dire Pierre !
Pierre : Sois le bienvenu chez nous. Je sais que ma fille Stéphanie est très amie avec ta sœur Delphine, je suis heureux de te connaître aussi.
Moi : Merci Pierre, de même pour moi.
Jul : Viens Phil, on va saluer maman, elle est à la cuisine, elle prépare le dîner.
Une fois à la cuisine la maman de Julien se retourna vers nous. Elle me dit alors :
Béa : Bonsoir Philippe, moi c’est Béatrice et tu peux m’appeler par mon prénom.
Moi : Bonsoir Béatrice.
Je m’étais avancé et j’avais fait la bise à la maman de Julien, Béatrice. C’était une femme qui approchait de la cinquantaine mais qui avait encore un physique très agréable. Elle avait les cheveux blonds et longs. On voyait qu’elle aimait être à son avantage.
Pierre lui aussi était un homme qui avait la bonne cinquantaine, cheveux grisonnants, une fine barbe foncée sous forme de collier, ce qui lui allait très bien. Il avait un allure de sportif bien dans son corps et dans sa tête comme on dit !
Une fois les présentations terminées, Julien m’a proposé de voir sa chambre. Nous étions donc montés à l’étage. Il ouvrit une porte et de suite j’avais vu une chambre d’ado avec des posters aux murs, beaucoup de couleurs, une installation hifi pour écouter de la musique, bref tout ce que j’aimais.
Une fois la porte fermée, Julien s’est approché de moi. Il avait posé ses lèvres sur les miennes et nous nous étions embrassés fougueusement, nos langues s’étaient trouvées, elles s’étaient retrouvées et elles allaient dans nos bouches en se mêlant.
Nous avions les yeux fermés et nos corps étaient sensibles à nos caresses, nous nous retrouvions. Nos retrouvailles avaient duré un bon quart d’heure. J’étais enfin en partie rassuré, Julien était encore amoureux de moi. Nous nous étions ensuite couchés sur son lit. Nous nous étions regardés, les yeux dans les yeux sans parler. Nos mains étaient collées l’une à l’autre. J’avais alors ouvert la bouche en disant à Julien :
Moi : Tu ne peux t’imaginer combien tu m’as manqué !
Jul : Toi aussi Phil, tu m’as manqué !
Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos bouches étaient constamment l’une sur l’autre, nos langues se titillaient l’une l’autre, nous étions juste bien, le moment présent était très plaisant.
Nous nous étions rajustés pour descendre et ainsi rejoindre la famille de Julien pour le dîner.
Nous avions rejoints dans le salon Béatrice et Pierre, les parents de Julien ainsi que sa sœur Stéphanie. J’avais fait la bise à Stéphanie, qui venait de rentrer. Nous nous étions installés dans les fauteuils pour prendre l’apéro. Pierre me demandait ce que je voulais boire, je lui avais répondu qu’un soft c’était très bien. Pierre m’avait dit : si tu veux tu peux avoir autre chose, mais ce n’est pas moi qui te forcerait à boire. J’avais alors opté pour un pastis. Julien avait lui aussi demandé la même chose, de même que sa sœur. Les jeunes étaient unanimes concernant les boissons. Nous avions discuté de tout et de rien.
Après cet apéro, nous étions passés à table. Béatrice avait préparé du melon accompagné de jambon italien et ensuite nous avions pu déguster des côtes d’agneaux avec haricots princesses et pommes de terre en chemises. C’était délicieux. A l’issue du repas, Pierre, le papa de Julien, avait servi une mousse au chocolat surmontée d’un peu de crème fraîche.
Julien et moi nous avions ensuite donné un coup de main à Béatrice pour débarrasser la table et l’aider à faire la vaisselle.
La soirée s’était déroulée assez calmement, devant la télévision. Nous avions regardé une émission de variétés.
Vers 23 heures, nous nous étions regardés Julien et moi et nous nous étions compris, nous nous étions levés en même temps et nous avions salués la famille. Nous étions remontés dans la chambre de Julien pour aller dormir.
Une nouvelle fois la porte de la chambre fermée, Julien m’avait embrassé. Nos bouches s’ouvraient pour laisser nos langues s’enlacer.
Nous nous étions déshabillés, et nus, nous nous étions couchés sur le lit de Julien. Nous nous étions caressés, nous étions embrassés, nous nous cajolions. Nos anatomies s’étaient réveillées, nos sexes étaient bandés, nous avions tous nos sens en éveil. C’est moi qui avais commencé par poser ma main sur les attributs de Julien. Je m’étais mis à flatter ses bourses et son sexe bandé. Julien de son côté fit de même, sa main s’était aventurée sur mon sexe dressé. Nous nous masturbions doucement, profitant du moment présent, savourant d’être à nouveau réunis. Nous nous étions donnés du plaisir durant une bonne demi-heure avant d’accélérer les choses, nous nous étions placés tête bêche et nous avions commencé à nous sucer mutuellement avec délectation. Nous savourions le pénis de l’autre avec envie. Nous nous étions cambrés presque en même temps, nous savions que nous allions arriver à un point de non-retour, puis dans un râle commun, nous avions laissé s’échapper notre semence dans la bouche de notre partenaire. Nous nous étions relevés et nous avions échangé un baiser en mélangeant nos semences.
Moi : Merci Julien, j’ai adoré !
Jul : Moi aussi, j’ai bien aimé ; merci !
Nous nous étions endormis, dans les bras l’un de l’autre, fourbus !
Le jour était levé, le soleil brillait déjà et ses rayons éclairaient la chambre en passant au travers de l’espace laissé entre les tentures. Julien et moi étions encore dans les bras de l’autre. Nous avions donc passé la nuit unis, dans les bras de l’être aimé.
Ayant entendu du bruit, je m’étais un peu reculé et j’avais relevé la couette sur nos deux corps nus. Julien dormait toujours. Je m’étais mis dans une position me permettant de voir s’il y avait du mouvement à l’entrée de la chambre. J’avais vu la porte s’ouvrir lentement. J’avais vu passer la tête de Béatrice, elle regardait en direction du lit et elle voyait que nous étions encore endormis. J’avais évidement fait semblent de dormir.
Heureusement que je m’étais rendu compte que quelqu’un était déjà réveillé pour remonter la couette sur nous, je n’osais imaginer être surpris à poil dans les bras de Julien au petit matin ! Quelle honte cela aurait été pour nous deux.
Béatrice avait alors murmuré :
Béa : Il est temps les garçons, il faut se lever !
Moi : Ah, oui. Bonjour Béatrice. Je vais réveiller Julien, je crois qu’il dort encore. Nous allons descendre dans cinq minutes le temps de nous rafraîchir.
Béa : Oui, ça va, mais ne trainez pas trop.
Moi : Pas de problème.
J’avais alors réveillé Julien. Je lui avais expliqué la venue de sa maman et ma réaction avant qu’elle n’ouvre la porte de la chambre.
Moi : Julien, je ne veux rien dire, mais je suppose que tes parents ne sont pas au courant au sujet de notre relation.
Jul : Non Phil, ils ne sont au courant de rien. Si mon père apprend ça je ne sais pas ce qu’il peut faire, j’ai peur de sa réaction.
Moi : On l’a échappé belle, je te signale que mes parents ne sont également pas au courant pour nous !
Jul : Il faut qu’on fasse gaffe !
Moi : Je ne te le fais pas dire !
Nous nous étions levés. Nous avions été prendre une douche, ensemble dans la salle de bain. Nous nous étions habillés pour descendre prendre le petit déjeuner.
Béatrice et Pierre étaient déjà attablés, Stéphanie n’était pas encore descendue. Nous avons fait la bise à Béatrice et Pierre puis nous nous étions donc installés, pour partager ce repas avec la famille de Julien.
Stéphanie était alors arrivée, elle avait salué ses parents et nous avait fait la bise, avant de s’asseoir avec nous.
Béatrice nous a demandé si nous avions bien dormi. Nous lui avions répondu que oui, que la nuit avait été bonne.
J’avais remarqué que Stéphanie affichait un petit sourire à ses lèvres. Elle savait, à son regard, que nous avions passé une excellente nuit, entre garçons qui s’aiment. Je supposais que les parents de Julien n’étaient pas au courant de sa relation avec ma sœur Delphine.
Voilà justement Pierre qui me demande comment va Delphine. Je lui avais répondu qu’elle allait bien et qu’elle préparait la rentrée universitaire. Bref rien de particulier. Puis il me demanda comment j’allais, ce que je faisais comme étude, en quelle année j’étais, etc. C’était un véritable interrogatoire. J’avais compris ce que Julien m’avait dit concernant son père et du fait qu’il avait peur de sa réaction.
Béatrice était un peu en retrait, elle ne parlait pas beaucoup. Selon moi elle était soumise à son mari et n’avait pas voix chapitre ! Je me demandais pour quelle raison elle avait été voir ce qui se passait sans la chambre de Julien au réveil. Avait-elle des doutes, ou alors avait-elle quelque chose à dire et qu’elle n’osait pas. J’allais devoir poser la question à Julien quand nous serions seuls.
Une fois à la maison j’avais fait un petit sac avec quelques affaires de rechange pour le week-end. J’avais aussi pris un paquet de capotes, on ne sait jamais.
Maman était rentrée. Elle était montée dans ma chambre pour voir si j’étais prêt. Elle avait frappé à la porte et elle était entrée. J’avais juste eu le temps de planquer les capotes et le tube de lubrifiant. Ouf. J’avais dit à maman :
Moi : « Enfin maman, tu aurais pu attendre que je te dise d’entrer. Tu sais bien que c’est mon domaine. »
Maman : Oui Phil, je sais, je te demande de m’excuser.
Moi : Oui, maman, merci. Mais la prochaine fois attend un peu, tu t’imagines si tu m’avais trouvé occupé de me branler !
Maman : Oui, c’est vrai tu as raison et de plus c’est bien de ton âge mon ado adoré !
Moi : Oui maman, je sais, mais c’est dans la nature des choses et puis c’est mon jardin secret !
Maman : Très bien Phil, d’ailleurs je le conçois très bien, tu dois avoir des moment d’intimité et c’est logique !
Moi : Merci maman, tu sais je t’aime.
Maman : Moi aussi mon grand bêta !
Nous nous étions étreints. J’aimais encore, à mon âge, de faire des câlins à ma maman chérie !
Mes affaires étant prête dans le sac de sport, j’étais descendu et j’avais rejoint maman. C’était elle qui devait me conduire chez Julien.
Nous avions attendu encore quelques minutes avant de partir. Et puis j’appréhendais le moment où j’allais retrouver Julien. Avait-il encore des sentiments pour moi, malgré ce qu’il me disait au téléphone l’autre soir, ou était-ce seulement pour le sexe, sans plus, qu’il souhaitait me revoir.
Nous arrivions un peu avant 19h00 chez Julien. J’avais été déposé sur le trottoir juste devant la maison par maman qui était repartie aussi vite. Elle savait que je n’aimais pas les effusions devant mes copains et mes copines.
Me voilà devant la porte d’entrée, j’avais à peine mis le doigt sur le bouton de la sonnette que la porte s’ouvrait. C’était Julien qui avait ouvert. Il affichait un large sourire auquel j’avais répondu en lui souriant. Julien me dit alors :
Jul : Salut Phil, je suis content de te revoir, allez entre !
Moi : Salut Julien, moi aussi je suis heureux d’avoir été invité et de te retrouver.
Je m’étais approché de Julien pour lui donner au baiser, mais je m’étais ravisé en voyant son regard changer. Je lui avais alors seulement fait la bise. Je m’étais alors rendu compte que les parents de Julien étaient présents.
Le papa de Julien était assis dans le salon et la maman devait être dans la cuisine. Je m’étais approché du papa et je l’avais salué :
Moi : Bonsoir monsieur.
Pierre : Bonsoir Philippe, tu peux m’appeler par mon prénom, moi c’est Pierre.
Moi : Oui, merci monsieur, oh, je voulais dire Pierre !
Pierre : Sois le bienvenu chez nous. Je sais que ma fille Stéphanie est très amie avec ta sœur Delphine, je suis heureux de te connaître aussi.
Moi : Merci Pierre, de même pour moi.
Jul : Viens Phil, on va saluer maman, elle est à la cuisine, elle prépare le dîner.
Une fois à la cuisine la maman de Julien se retourna vers nous. Elle me dit alors :
Béa : Bonsoir Philippe, moi c’est Béatrice et tu peux m’appeler par mon prénom.
Moi : Bonsoir Béatrice.
Je m’étais avancé et j’avais fait la bise à la maman de Julien, Béatrice. C’était une femme qui approchait de la cinquantaine mais qui avait encore un physique très agréable. Elle avait les cheveux blonds et longs. On voyait qu’elle aimait être à son avantage.
Pierre lui aussi était un homme qui avait la bonne cinquantaine, cheveux grisonnants, une fine barbe foncée sous forme de collier, ce qui lui allait très bien. Il avait un allure de sportif bien dans son corps et dans sa tête comme on dit !
Une fois les présentations terminées, Julien m’a proposé de voir sa chambre. Nous étions donc montés à l’étage. Il ouvrit une porte et de suite j’avais vu une chambre d’ado avec des posters aux murs, beaucoup de couleurs, une installation hifi pour écouter de la musique, bref tout ce que j’aimais.
Une fois la porte fermée, Julien s’est approché de moi. Il avait posé ses lèvres sur les miennes et nous nous étions embrassés fougueusement, nos langues s’étaient trouvées, elles s’étaient retrouvées et elles allaient dans nos bouches en se mêlant.
Nous avions les yeux fermés et nos corps étaient sensibles à nos caresses, nous nous retrouvions. Nos retrouvailles avaient duré un bon quart d’heure. J’étais enfin en partie rassuré, Julien était encore amoureux de moi. Nous nous étions ensuite couchés sur son lit. Nous nous étions regardés, les yeux dans les yeux sans parler. Nos mains étaient collées l’une à l’autre. J’avais alors ouvert la bouche en disant à Julien :
Moi : Tu ne peux t’imaginer combien tu m’as manqué !
Jul : Toi aussi Phil, tu m’as manqué !
Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos bouches étaient constamment l’une sur l’autre, nos langues se titillaient l’une l’autre, nous étions juste bien, le moment présent était très plaisant.
Nous nous étions rajustés pour descendre et ainsi rejoindre la famille de Julien pour le dîner.
Nous avions rejoints dans le salon Béatrice et Pierre, les parents de Julien ainsi que sa sœur Stéphanie. J’avais fait la bise à Stéphanie, qui venait de rentrer. Nous nous étions installés dans les fauteuils pour prendre l’apéro. Pierre me demandait ce que je voulais boire, je lui avais répondu qu’un soft c’était très bien. Pierre m’avait dit : si tu veux tu peux avoir autre chose, mais ce n’est pas moi qui te forcerait à boire. J’avais alors opté pour un pastis. Julien avait lui aussi demandé la même chose, de même que sa sœur. Les jeunes étaient unanimes concernant les boissons. Nous avions discuté de tout et de rien.
Après cet apéro, nous étions passés à table. Béatrice avait préparé du melon accompagné de jambon italien et ensuite nous avions pu déguster des côtes d’agneaux avec haricots princesses et pommes de terre en chemises. C’était délicieux. A l’issue du repas, Pierre, le papa de Julien, avait servi une mousse au chocolat surmontée d’un peu de crème fraîche.
Julien et moi nous avions ensuite donné un coup de main à Béatrice pour débarrasser la table et l’aider à faire la vaisselle.
La soirée s’était déroulée assez calmement, devant la télévision. Nous avions regardé une émission de variétés.
Vers 23 heures, nous nous étions regardés Julien et moi et nous nous étions compris, nous nous étions levés en même temps et nous avions salués la famille. Nous étions remontés dans la chambre de Julien pour aller dormir.
Une nouvelle fois la porte de la chambre fermée, Julien m’avait embrassé. Nos bouches s’ouvraient pour laisser nos langues s’enlacer.
Nous nous étions déshabillés, et nus, nous nous étions couchés sur le lit de Julien. Nous nous étions caressés, nous étions embrassés, nous nous cajolions. Nos anatomies s’étaient réveillées, nos sexes étaient bandés, nous avions tous nos sens en éveil. C’est moi qui avais commencé par poser ma main sur les attributs de Julien. Je m’étais mis à flatter ses bourses et son sexe bandé. Julien de son côté fit de même, sa main s’était aventurée sur mon sexe dressé. Nous nous masturbions doucement, profitant du moment présent, savourant d’être à nouveau réunis. Nous nous étions donnés du plaisir durant une bonne demi-heure avant d’accélérer les choses, nous nous étions placés tête bêche et nous avions commencé à nous sucer mutuellement avec délectation. Nous savourions le pénis de l’autre avec envie. Nous nous étions cambrés presque en même temps, nous savions que nous allions arriver à un point de non-retour, puis dans un râle commun, nous avions laissé s’échapper notre semence dans la bouche de notre partenaire. Nous nous étions relevés et nous avions échangé un baiser en mélangeant nos semences.
Moi : Merci Julien, j’ai adoré !
Jul : Moi aussi, j’ai bien aimé ; merci !
Nous nous étions endormis, dans les bras l’un de l’autre, fourbus !
Le jour était levé, le soleil brillait déjà et ses rayons éclairaient la chambre en passant au travers de l’espace laissé entre les tentures. Julien et moi étions encore dans les bras de l’autre. Nous avions donc passé la nuit unis, dans les bras de l’être aimé.
Ayant entendu du bruit, je m’étais un peu reculé et j’avais relevé la couette sur nos deux corps nus. Julien dormait toujours. Je m’étais mis dans une position me permettant de voir s’il y avait du mouvement à l’entrée de la chambre. J’avais vu la porte s’ouvrir lentement. J’avais vu passer la tête de Béatrice, elle regardait en direction du lit et elle voyait que nous étions encore endormis. J’avais évidement fait semblent de dormir.
Heureusement que je m’étais rendu compte que quelqu’un était déjà réveillé pour remonter la couette sur nous, je n’osais imaginer être surpris à poil dans les bras de Julien au petit matin ! Quelle honte cela aurait été pour nous deux.
Béatrice avait alors murmuré :
Béa : Il est temps les garçons, il faut se lever !
Moi : Ah, oui. Bonjour Béatrice. Je vais réveiller Julien, je crois qu’il dort encore. Nous allons descendre dans cinq minutes le temps de nous rafraîchir.
Béa : Oui, ça va, mais ne trainez pas trop.
Moi : Pas de problème.
J’avais alors réveillé Julien. Je lui avais expliqué la venue de sa maman et ma réaction avant qu’elle n’ouvre la porte de la chambre.
Moi : Julien, je ne veux rien dire, mais je suppose que tes parents ne sont pas au courant au sujet de notre relation.
Jul : Non Phil, ils ne sont au courant de rien. Si mon père apprend ça je ne sais pas ce qu’il peut faire, j’ai peur de sa réaction.
Moi : On l’a échappé belle, je te signale que mes parents ne sont également pas au courant pour nous !
Jul : Il faut qu’on fasse gaffe !
Moi : Je ne te le fais pas dire !
Nous nous étions levés. Nous avions été prendre une douche, ensemble dans la salle de bain. Nous nous étions habillés pour descendre prendre le petit déjeuner.
Béatrice et Pierre étaient déjà attablés, Stéphanie n’était pas encore descendue. Nous avons fait la bise à Béatrice et Pierre puis nous nous étions donc installés, pour partager ce repas avec la famille de Julien.
Stéphanie était alors arrivée, elle avait salué ses parents et nous avait fait la bise, avant de s’asseoir avec nous.
Béatrice nous a demandé si nous avions bien dormi. Nous lui avions répondu que oui, que la nuit avait été bonne.
J’avais remarqué que Stéphanie affichait un petit sourire à ses lèvres. Elle savait, à son regard, que nous avions passé une excellente nuit, entre garçons qui s’aiment. Je supposais que les parents de Julien n’étaient pas au courant de sa relation avec ma sœur Delphine.
Voilà justement Pierre qui me demande comment va Delphine. Je lui avais répondu qu’elle allait bien et qu’elle préparait la rentrée universitaire. Bref rien de particulier. Puis il me demanda comment j’allais, ce que je faisais comme étude, en quelle année j’étais, etc. C’était un véritable interrogatoire. J’avais compris ce que Julien m’avait dit concernant son père et du fait qu’il avait peur de sa réaction.
Béatrice était un peu en retrait, elle ne parlait pas beaucoup. Selon moi elle était soumise à son mari et n’avait pas voix chapitre ! Je me demandais pour quelle raison elle avait été voir ce qui se passait sans la chambre de Julien au réveil. Avait-elle des doutes, ou alors avait-elle quelque chose à dire et qu’elle n’osait pas. J’allais devoir poser la question à Julien quand nous serions seuls.