13-02-2021, 11:55 AM
Je quittai ma chambre pour aller le retrouver. Quand il me vit son sourire illumina aussitôt son visage. Il me pris dans ses bras comme lorsque j’étais arrivée, m’embrasse à nouveau, et ses mains vinrent saisir mes fesses en passant sous la jupe. Je les aimais ses mains : elles étaient larges, puissantes, un peu rugueuses mais très douces dans leurs mouvements. Il y avait toujours cette force qui ne cherche pas à s’étaler.
- Tu n’as rien du tout là-dessous.
- Ce n’était pas ce que tu voulais ?
- Si, et j’en suis ravi.
Il m’embrassa à nouveau avant que je puisse répondre et sa main glissa entre mes cuisses pour effleurer mon sillon. La réaction fut immédiate : c’était l’aqua alta ! Je suis de ces femmes dont le désir suit plus ou moins le cycle mensuel et là… l’envie était à fleur de peau.
- Tu me sembles bien prête, dis-moi.
Je rougis de gêne et plongeai le visage contre son torse. C’était indéniable mais le dire aussi crûment avait quelque chose de légèrement humiliant, comme si j’étais juste un objet entre ses mains. Pourtant cette seule idée accentuait d’autant plus mon désir.
Sans que je ne puisse réagir, il me souleva soudain, m’assit sur le bord de la grande table de la salle à manger, et défit d’un geste rapide la ceinture de son pantalon. C’était une grande et lourde table de chêne cerclée de métal, le genre qui ne bougerait qu’avec une équipe de déménageurs bien costauds. Je fus surprise en sentant le froid du bois verni sous mes fesses nues. La position était sans équivoque : assise sur le bord de la table, les cuisses grandes ouvertes, et entre elles Damien qui faisait maintenant descendre au sol son boxer.
Mon regard s’arrêta sur son membre viril. Ça, pour être viril il n’y avait pas tromperie sur la marchandise. Je n’aurais pu donner de chiffre, n’étant pas de celles qui ont besoin de tout mesurer, mais il y avait de quoi satisfaire une femme. Le sexe était long, légèrement courbé sur sa gauche (je me rappelle m’être longtemps demandé si c’était comme ça pour tous les hommes) et d’une belle épaisseur. Cela n’avait rien des horreurs surdimensionnées qu’on trouve parfois sur internet, mais disons que Damien était plutôt dans la moyenne supérieure. Je fis plus attention encore à cette lourde paire de testicules qui pendaient et me fascinaient. J’ai trouvé trouvé cela plus excitant que le sexe lui-même, ne me demandez par pourquoi.
Sans plus de parole, prenant son sexe d’une main et écartant mes lèvres de l’autre, il avança le bassin pour faire glisser en moi un gland rougeâtre et de belles dimensions. Cette sensation était vraiment divine. Je me souviens encore de ce membre qui glisse en moi. Il ne fit qu’une très légère pause avant de déchirer mon hymen. Je poussai un petit cri de douleur qui le fit s’arrêter, le temps que cela se dissipe. L’excitation aidant, il n’eût pas à attendre longtemps. Il me saisit alors les hanches et vint sans précipitation glisser tout entier en moi. Je gardai les yeux sur ce sexe qui disparaissait entre mes lèvres, ébahie de le voir ainsi disparaître tout entier. Le plaisir était incroyable, tellement meilleur que mes plaisirs solitaires. Jamais je n’aurais imaginé que cela pu être aussi bon. Il finit sa course en pressant avec insistance mais toujours sans trop de force son gland contre mon col, l’ultime seuil de mon intimité.
Commença alors un long et lent mouvement de vas et vient. Son sexe, par sa taille, frottait sur mon clitoris tout au long de son trajet et s’il n’avait pas maintenu mes hanches, je me serais pas mal baladée sur la table. Je gémis sans retenu et jouis rapidement, sans que cela ne semble le ralentir ou modifier sa course. Lui-même ne dura pas longtemps, seulement quelques minutes. Après des mois d’abstinence, son endurance avait été fortement réduite. Il gémit au moment de jouir, pressant avec force son gland contre mon col et m’arrachant un nouvel orgasme. Je sentis alors son sexe tressauter en moi alors qu’il projetait avec un grognement animal de longs et puissants jets d’une semence épaisse.
Nous restâmes un peu dans cette position. A moitié allongée en arrière, appuyée sur les coudes, j’étais haletante. Lui désenflait sans se presser et reprenait son souffle. Il n’avait pas été très sportif, mais il semblait devoir quand même récupérer. Je fus celle qui finit par briser le silence :
- Ce sera comme ça à chaque fois que je ne porterai pas de sous-vêtement ?
- C’est une possibilité.
- Je pense que je vais réduire ma garde-robe alors !
Après une pause nous éclatâmes tous les deux de rire. CHAPITRE 7: De découverte en découverte
Première découverte découverte des détails techniques du sexe auxquels on ne pense pas du tout dans ses fantasmes d’adolescente :
- mais… ça sort ?!
- bien sûr. Où voulais-tu donc que ça aille ?
- bah… au fond, non ?
Il éclata de rire, un rire joyeux, léger, un qui ne me fit pas me sentir bête comme il aurait pu le faire.
- une toute petite partie oui, mais là il y en a trop. Et si j’étais toi j’irais me nettoyer.
La sensation était vraiment bizarre. Je ne dirais pas désagréable, juste bizarre. Je n’avais aucune envie de tacher la table alors je m’enfuis, la main sur le sexe, en direction des toilettes. Ce fut après le tour de la salle de bain. Je revins vers lui un peu plus fraîche. Le fier membre était désormais plu réduit, et pendait sagement. Damien avait pris le temps de le nettoyer et de l’essuyer. J’arrivai au moment où il remontait son pantalon.
- il y en avait beaucoup ! Il y en a toujours autant ?
- ça dépend des situations, ça dépend des hommes.
Le ton était badin. Il pris le temps de m’expliquer certaines choses qui me manquaient. Sa voix douce et grave était comme un cocon qui m’entourait et me réconfortait. Il m’embrasse à nouveau et laissa sa main caresser mes fesses avec désinvolture. J’avais à peine découvert le sexe, et j’adorais.
Le week-end fut plus calme : il avait accumulé beaucoup de stress mental et physique au cours de la semaine, et moi j’avais déjà du travail. Nous mangeâmes ensemble, prirent le temps de discuter un peu, mais il n’y eut pas plus d’action. Je pris très vite l’habitude de rester sans sous-vêtement. C’était plutôt agréable une fois la première étape passée. J’avais juste un peu mal aux seins. Je me demandais si cela avait à voir avec le sexe, mais je ne voyais vraiment pas pourquoi. Les cours ne reprenaient que mardi. C’est à ce moment là que je pris à nouveau un soutif. Soyons sincères : se balader sans c’est agréable, mais ne pas en avoir dans la rue, surtout quand elle n’est pas vraiment petite, c’est une très bonne façon de se faire harceler par tous les gros lourds. Ce fut alors ma surprise : il me paraissait un peu petit. Je du changer d’accroche pour l’agrafe, ce que je n’avais jamais fait. Mes pensées au cours de la journée me dirigèrent vers la bonne réponse : ma pilule commençait déjà à faire effet.
Cette idée me travailla pas mal tout au long de la journée et, une fois rentrée, ce fut avec plaisir que j’abandonnai soutif et culotte. Je choisis même un débardeur plutôt moulant, d’autant plus maintenant que j’avais pris un peu de poitrine, qui me mettait plutôt en valeur. Pour le bas une jupe ample et mi-longue, m’arrivant juste au-dessus du genou, ferait parfaitement l’affaire. En étudiante studieuse et sérieuse, je me mis sagement au travail dès mon changement effectué. Je n’avais jamais vraiment été une élève modèle, mais là je sentais très clairement la différence de difficulté avec le lycée, et si je ne m’accrochais pas tout de suite, l’année allait sérieusement être compromise. Je ne me voyais pas rentrer à la maison en disant à mes parents que j’avais échoué par fainéantise.
Pour moi qui n’y étais pas encore habituée, le mouvement du débardeur contre ma poitrine avait tendance à garder mes tétons bien dressés et mon envie présente. C’est donc avec beaucoup de plaisir que j’entendis la clef tourner dans la serrure de la porte d’entrée. Le temps avait passé, il était presque 20h, pas loin de l’heure de dîner. J’allais sans doute m’y essayer cette fois-ci. Les plats cuisinés de Damien étaient bon, aucun doute, mais un peu de produits frais ne me feraient pas de mal, sinon j’allais prendre du poids comme lui.
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- Tu n’as rien du tout là-dessous.
- Ce n’était pas ce que tu voulais ?
- Si, et j’en suis ravi.
Il m’embrassa à nouveau avant que je puisse répondre et sa main glissa entre mes cuisses pour effleurer mon sillon. La réaction fut immédiate : c’était l’aqua alta ! Je suis de ces femmes dont le désir suit plus ou moins le cycle mensuel et là… l’envie était à fleur de peau.
- Tu me sembles bien prête, dis-moi.
Je rougis de gêne et plongeai le visage contre son torse. C’était indéniable mais le dire aussi crûment avait quelque chose de légèrement humiliant, comme si j’étais juste un objet entre ses mains. Pourtant cette seule idée accentuait d’autant plus mon désir.
Sans que je ne puisse réagir, il me souleva soudain, m’assit sur le bord de la grande table de la salle à manger, et défit d’un geste rapide la ceinture de son pantalon. C’était une grande et lourde table de chêne cerclée de métal, le genre qui ne bougerait qu’avec une équipe de déménageurs bien costauds. Je fus surprise en sentant le froid du bois verni sous mes fesses nues. La position était sans équivoque : assise sur le bord de la table, les cuisses grandes ouvertes, et entre elles Damien qui faisait maintenant descendre au sol son boxer.
Mon regard s’arrêta sur son membre viril. Ça, pour être viril il n’y avait pas tromperie sur la marchandise. Je n’aurais pu donner de chiffre, n’étant pas de celles qui ont besoin de tout mesurer, mais il y avait de quoi satisfaire une femme. Le sexe était long, légèrement courbé sur sa gauche (je me rappelle m’être longtemps demandé si c’était comme ça pour tous les hommes) et d’une belle épaisseur. Cela n’avait rien des horreurs surdimensionnées qu’on trouve parfois sur internet, mais disons que Damien était plutôt dans la moyenne supérieure. Je fis plus attention encore à cette lourde paire de testicules qui pendaient et me fascinaient. J’ai trouvé trouvé cela plus excitant que le sexe lui-même, ne me demandez par pourquoi.
Sans plus de parole, prenant son sexe d’une main et écartant mes lèvres de l’autre, il avança le bassin pour faire glisser en moi un gland rougeâtre et de belles dimensions. Cette sensation était vraiment divine. Je me souviens encore de ce membre qui glisse en moi. Il ne fit qu’une très légère pause avant de déchirer mon hymen. Je poussai un petit cri de douleur qui le fit s’arrêter, le temps que cela se dissipe. L’excitation aidant, il n’eût pas à attendre longtemps. Il me saisit alors les hanches et vint sans précipitation glisser tout entier en moi. Je gardai les yeux sur ce sexe qui disparaissait entre mes lèvres, ébahie de le voir ainsi disparaître tout entier. Le plaisir était incroyable, tellement meilleur que mes plaisirs solitaires. Jamais je n’aurais imaginé que cela pu être aussi bon. Il finit sa course en pressant avec insistance mais toujours sans trop de force son gland contre mon col, l’ultime seuil de mon intimité.
Commença alors un long et lent mouvement de vas et vient. Son sexe, par sa taille, frottait sur mon clitoris tout au long de son trajet et s’il n’avait pas maintenu mes hanches, je me serais pas mal baladée sur la table. Je gémis sans retenu et jouis rapidement, sans que cela ne semble le ralentir ou modifier sa course. Lui-même ne dura pas longtemps, seulement quelques minutes. Après des mois d’abstinence, son endurance avait été fortement réduite. Il gémit au moment de jouir, pressant avec force son gland contre mon col et m’arrachant un nouvel orgasme. Je sentis alors son sexe tressauter en moi alors qu’il projetait avec un grognement animal de longs et puissants jets d’une semence épaisse.
Nous restâmes un peu dans cette position. A moitié allongée en arrière, appuyée sur les coudes, j’étais haletante. Lui désenflait sans se presser et reprenait son souffle. Il n’avait pas été très sportif, mais il semblait devoir quand même récupérer. Je fus celle qui finit par briser le silence :
- Ce sera comme ça à chaque fois que je ne porterai pas de sous-vêtement ?
- C’est une possibilité.
- Je pense que je vais réduire ma garde-robe alors !
Après une pause nous éclatâmes tous les deux de rire. CHAPITRE 7: De découverte en découverte
Première découverte découverte des détails techniques du sexe auxquels on ne pense pas du tout dans ses fantasmes d’adolescente :
- mais… ça sort ?!
- bien sûr. Où voulais-tu donc que ça aille ?
- bah… au fond, non ?
Il éclata de rire, un rire joyeux, léger, un qui ne me fit pas me sentir bête comme il aurait pu le faire.
- une toute petite partie oui, mais là il y en a trop. Et si j’étais toi j’irais me nettoyer.
La sensation était vraiment bizarre. Je ne dirais pas désagréable, juste bizarre. Je n’avais aucune envie de tacher la table alors je m’enfuis, la main sur le sexe, en direction des toilettes. Ce fut après le tour de la salle de bain. Je revins vers lui un peu plus fraîche. Le fier membre était désormais plu réduit, et pendait sagement. Damien avait pris le temps de le nettoyer et de l’essuyer. J’arrivai au moment où il remontait son pantalon.
- il y en avait beaucoup ! Il y en a toujours autant ?
- ça dépend des situations, ça dépend des hommes.
Le ton était badin. Il pris le temps de m’expliquer certaines choses qui me manquaient. Sa voix douce et grave était comme un cocon qui m’entourait et me réconfortait. Il m’embrasse à nouveau et laissa sa main caresser mes fesses avec désinvolture. J’avais à peine découvert le sexe, et j’adorais.
Le week-end fut plus calme : il avait accumulé beaucoup de stress mental et physique au cours de la semaine, et moi j’avais déjà du travail. Nous mangeâmes ensemble, prirent le temps de discuter un peu, mais il n’y eut pas plus d’action. Je pris très vite l’habitude de rester sans sous-vêtement. C’était plutôt agréable une fois la première étape passée. J’avais juste un peu mal aux seins. Je me demandais si cela avait à voir avec le sexe, mais je ne voyais vraiment pas pourquoi. Les cours ne reprenaient que mardi. C’est à ce moment là que je pris à nouveau un soutif. Soyons sincères : se balader sans c’est agréable, mais ne pas en avoir dans la rue, surtout quand elle n’est pas vraiment petite, c’est une très bonne façon de se faire harceler par tous les gros lourds. Ce fut alors ma surprise : il me paraissait un peu petit. Je du changer d’accroche pour l’agrafe, ce que je n’avais jamais fait. Mes pensées au cours de la journée me dirigèrent vers la bonne réponse : ma pilule commençait déjà à faire effet.
Cette idée me travailla pas mal tout au long de la journée et, une fois rentrée, ce fut avec plaisir que j’abandonnai soutif et culotte. Je choisis même un débardeur plutôt moulant, d’autant plus maintenant que j’avais pris un peu de poitrine, qui me mettait plutôt en valeur. Pour le bas une jupe ample et mi-longue, m’arrivant juste au-dessus du genou, ferait parfaitement l’affaire. En étudiante studieuse et sérieuse, je me mis sagement au travail dès mon changement effectué. Je n’avais jamais vraiment été une élève modèle, mais là je sentais très clairement la différence de difficulté avec le lycée, et si je ne m’accrochais pas tout de suite, l’année allait sérieusement être compromise. Je ne me voyais pas rentrer à la maison en disant à mes parents que j’avais échoué par fainéantise.
Pour moi qui n’y étais pas encore habituée, le mouvement du débardeur contre ma poitrine avait tendance à garder mes tétons bien dressés et mon envie présente. C’est donc avec beaucoup de plaisir que j’entendis la clef tourner dans la serrure de la porte d’entrée. Le temps avait passé, il était presque 20h, pas loin de l’heure de dîner. J’allais sans doute m’y essayer cette fois-ci. Les plats cuisinés de Damien étaient bon, aucun doute, mais un peu de produits frais ne me feraient pas de mal, sinon j’allais prendre du poids comme lui.
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