13-02-2021, 11:54 AM
Je le sentis venir se coller contre moi, ses hanches contre les miennes. J’étais plus que prête, tout à lui quand il le voudrait. C’est là que j’entendis son téléphone sonner. Il l’avait oublié dans sa poche. Il grogne d’énervement et de frustration, visiblement en colère d’avoir été interrompu. Je vis dans la lumière de l’écran de son portable son visage se décomposer.
- Merde merde merde merde merde !
Sans dire un mot il s’enfuit de l’appartement, me laissant seule, nue, et terriblement frustrée. CHAPITRE 6: L'heure de passer à table
L’idée me vint bien de me faire plaisir toute seule vu que Damien ne semblait pas devoir revenir rapidement, mais c’eût été un peu comme se faire un macdo par dépit après l’annulation par texto d’un repas de Saint Valentin dans un resto romantique : oui on mange, mais c’est sans plaisir, sans désir, et ça vous reste sur l’estomac. Ce fut donc très déçue que j’allai me coucher. Vous allez me trouver d’une honnêteté sans faille, et je devrai en convenir, mais moi qui avait caressé l’espoir d’esquiver ce passage obligé, j’étais fermement décidée maintenant à payer ma part de loyer.
Je ne revis pas Damien pendant plusieurs jours. Je devais apprendre plusieurs années plus tard qu’une bêtise humaine à l’autre bout du globe allait mettre très sérieusement en danger la santé de son entreprise et qu’il lui avait fallu réagir dans l’instant. Et vous savez quoi ? Ce furent presque une semaine qui passa bien mieux qu’on aurait pu le croire. Une fois le moment de tension et de désir passé, et une bonne nuit de sommeil aidant, la reprise des cours m’occupa l’esprit. Je travaillais tranquillement, étais à l’aise matériellement, dans l’ensemble la vie était belle. La seule chose qui me rappelait ma situation était la sonnerie de mon téléphone, réglé à 21h, pour me rappeler la nouvelle habitude que je devais prendre. Heureusement que j’avais réglé ce réveil, sinon jamais je n’y aurais songé !
Ce fut vendredi après-midi, à mon retour de la fac, que je retrouvai Damien. Il était installé dans un fauteuil du salon en train de lire le journal. L’image tenait presque du cliché : il ne manquait plus que la pipe et le chien dormant à ses pieds. Il leva les yeux, me sourit, posa son journal et vint m’embrasser. Je lui tendis les lèvres sans faire de manière. Je fus cependant surprise de sentir ses mains venir saisir mon arrière train, sans manières lui non plus. Je n’avais jamais eu de copain, et ce genre de familiarité était nouveau pour moi, mais j’allais vite y prendre goût.
- Je crois que je te préférerais sans ce jean.
- Est-ce que je dois aller me changer ?
- Je pense que je vais pérenniser la règle : jupe et pas de sous-vêtements à la maison.
J’aurais pu rétorquer. Ce n’était pas sur notre contrat. Cela ne me vint pas à l’esprit. J’étais heureuse de sentir ses mains à nouveau et j’avais envie de les sentir plus encore, donc cela m’allait très bien.
- Est-ce que je dois aller me changer ?
- Ce serait bien si tu le faisais tout de suite.
Avec un sourire je quittai ses bras pour rejoindre ma chambre. Il eut la délicatesse de ne pas m’y suivre. Le jean vola vers la chaise à vêtements (vous savez, celle sur laquelle va retomber tout ce qui est mis mais ne vas pas tout de suite au sale) et ma culotte alla traîner au pied de mon lit. Ma chemise échoua sur la même chaise et mon soutif… devinez où ! Je repris la jupe plissée qui avait avant à peine servi, l’ajustai, et allai chercher un haut ad-hoc. Je ressenti à nouveau au contact de la jupe sur mon cul nu cette étrange sensation de nudité, plus forte encore que quand je ne portais pas de jupe. Un simple tee-shirt ample et gris fit l’affaire pour le haut. J’avais plus sexy, mais il était bien confortable.
- Merde merde merde merde merde !
Sans dire un mot il s’enfuit de l’appartement, me laissant seule, nue, et terriblement frustrée. CHAPITRE 6: L'heure de passer à table
L’idée me vint bien de me faire plaisir toute seule vu que Damien ne semblait pas devoir revenir rapidement, mais c’eût été un peu comme se faire un macdo par dépit après l’annulation par texto d’un repas de Saint Valentin dans un resto romantique : oui on mange, mais c’est sans plaisir, sans désir, et ça vous reste sur l’estomac. Ce fut donc très déçue que j’allai me coucher. Vous allez me trouver d’une honnêteté sans faille, et je devrai en convenir, mais moi qui avait caressé l’espoir d’esquiver ce passage obligé, j’étais fermement décidée maintenant à payer ma part de loyer.
Je ne revis pas Damien pendant plusieurs jours. Je devais apprendre plusieurs années plus tard qu’une bêtise humaine à l’autre bout du globe allait mettre très sérieusement en danger la santé de son entreprise et qu’il lui avait fallu réagir dans l’instant. Et vous savez quoi ? Ce furent presque une semaine qui passa bien mieux qu’on aurait pu le croire. Une fois le moment de tension et de désir passé, et une bonne nuit de sommeil aidant, la reprise des cours m’occupa l’esprit. Je travaillais tranquillement, étais à l’aise matériellement, dans l’ensemble la vie était belle. La seule chose qui me rappelait ma situation était la sonnerie de mon téléphone, réglé à 21h, pour me rappeler la nouvelle habitude que je devais prendre. Heureusement que j’avais réglé ce réveil, sinon jamais je n’y aurais songé !
Ce fut vendredi après-midi, à mon retour de la fac, que je retrouvai Damien. Il était installé dans un fauteuil du salon en train de lire le journal. L’image tenait presque du cliché : il ne manquait plus que la pipe et le chien dormant à ses pieds. Il leva les yeux, me sourit, posa son journal et vint m’embrasser. Je lui tendis les lèvres sans faire de manière. Je fus cependant surprise de sentir ses mains venir saisir mon arrière train, sans manières lui non plus. Je n’avais jamais eu de copain, et ce genre de familiarité était nouveau pour moi, mais j’allais vite y prendre goût.
- Je crois que je te préférerais sans ce jean.
- Est-ce que je dois aller me changer ?
- Je pense que je vais pérenniser la règle : jupe et pas de sous-vêtements à la maison.
J’aurais pu rétorquer. Ce n’était pas sur notre contrat. Cela ne me vint pas à l’esprit. J’étais heureuse de sentir ses mains à nouveau et j’avais envie de les sentir plus encore, donc cela m’allait très bien.
- Est-ce que je dois aller me changer ?
- Ce serait bien si tu le faisais tout de suite.
Avec un sourire je quittai ses bras pour rejoindre ma chambre. Il eut la délicatesse de ne pas m’y suivre. Le jean vola vers la chaise à vêtements (vous savez, celle sur laquelle va retomber tout ce qui est mis mais ne vas pas tout de suite au sale) et ma culotte alla traîner au pied de mon lit. Ma chemise échoua sur la même chaise et mon soutif… devinez où ! Je repris la jupe plissée qui avait avant à peine servi, l’ajustai, et allai chercher un haut ad-hoc. Je ressenti à nouveau au contact de la jupe sur mon cul nu cette étrange sensation de nudité, plus forte encore que quand je ne portais pas de jupe. Un simple tee-shirt ample et gris fit l’affaire pour le haut. J’avais plus sexy, mais il était bien confortable.