13-02-2021, 11:53 AM
- Avez-vous déjà eu un comportement à risque ? Je parle par exemple de sodomie sans préservatif ou d’usage de seringue hors du milieu médical ?
- Bien sûr que non !
J’étais outrée ! Elle me demandait littéralement si j’étais une fille de mauvaise vie.
- Bon, dans ce cas je ne pense pas que la batterie de tests pour les IST soit nécessaire. Je vais vous prescrire une pilule contraceptive à prendre quotidiennement. La régularité est le fondement de son efficacité, alors soyez attentive. Vous pouvez vous rhabiller.
J’allai remettre mes vêtements tandis qu’elle griffonnait l’ordonnance. Je pense que les médecins prennent des cours spéciaux en fac pour mal écrire.
- Ne tardez pas à aller la chercher : certaines pharmacies ont des stocks fluctuants. De quand datent vos dernières règles ?
- Elle se sont finies samedi matin.
- Parfait ! Vous pouvez commencer à la prendre dès ce soir. Je vous conseille cependant d’attendre un cycle complet avant toute relation non protégée : le premier mois, la protection n’est pas optimale. Ah oui, et ne vous inquiétez pas s’il y a des effets secondaires mineurs.
- Des effets secondaires ? Qu’entendez-vous par là ?
- Cela dépend des personnes. Souvent c’est une prise de poitrine modérée, parfois rien du tout. Vous verrez, mais revenez me voir si cela ne va pas.
- Merci madame.
Elle me raccompagne à la porte et alla chercher Damien qui s’enquit du résultat.
- Aucun soucis, j’ai pu lui prescrire. Fais juste attention : rien à signaler, elle est saine, mais elle a l’air féconde
- J’en ferai bon usage, ne t’en fais pas. Merci beaucoup Jeanne, à la prochaine !
Sur le chemin du retour, ces mots résonnaient dans ma tête. Bon usage ? Féconde ? Je n’étais pas une pouliche bon sang ! Damien s’arrêta en route devant une pharmacie pour que je puisse aller chercher ma plaquette de pilule. Je sentis chez lui un certain empressement, mais il ne dit rien. Ce n’est qu’une fois rentrés à l’appartement qui s’exprima.
- Prends-la dès ce soir. Cette nuit tu dors avec moi.
J’étais surprise. Il y avait dans sa voix une note de désir, d’envie refoulée. Je fus plus surprise encore quand je sentis naître au creux de mes reins comme une envolée de papillons. L’humidité qui naissait en moi ne laissait aucune place au doute : j’aimais me sentir désirée, convoitée. Ce soir j’allais devenir une femme et à l’appréhension se mêlait une impatience que jamais je n’aurais soupçonnée. CHAPITRE 6: Une première fois inoubliable
Il avait des affaires à traiter dont il n’avait pas pu s’occuper dans l’après-midi. Il parti donc, me laissant seule à l’appartement. Je me serais bien mise au travail, mais après seulement une demi-journée de cours, si l’on pouvait appeler ça des cours, je n’avais pas grand-chose à faire. J’aurais certainement mieux fait de me préparer à l’année à venir, de voir comment étaient organisés les transports en commun, tout plein de petites choses utiles qui me maqueraient par la suite si je ne m’en occupais pas tout de suite. Ça oui, j’aurais dû, mais je n’avais pas le cœur à ça.
Il faut avouer qu’à 18 ans et quelques mois, j’étais curieuse, comme toutes les filles de cet âge. Évidemment il y a les fantasmes, les peurs, les attentes et les interrogations. Chez moi tout se bousculait sans que rien ne prenne vraiment l’ascendant. Je me disais que si j’étais vraiment une fille « bien », pure et innocente, j’aurais dû me lamenter intérieurement de ce qui allait immanquablement d’arriver. Ce n’est pourtant pas ce que j’avais en tête. J’étais déchirée. D’une part ma tête me disait que c’était un mauvais moment à passer, un sacrifice cruel mais nécessaire ; d’autre part mes hanches me disaient que le temps ne passait décidément pas si vite que ça et qu’elles avaient hâte que le soir vienne. Mon imagination aussi vagabondait : comment était-il donc sous ses vêtements ? Le rêve érotique que j’avais fait il y avait quelques nuits me revint alors. Bon, il n’y avait pas à tortiller, j’avais envie, c’était vrai.
Je tournai en rond, me mettait sur YouTube pour mater une vidéo, l’interrompait, cherchai quelque chose sans savoir quoi. En fait j’étais comme un lion en cage. La trotteuse de ma montre avait tout de l’escargot anémique, un peu comme pendant ces cours de physique interminables du lycée. Je reçu alors un texto de Damien :
- Va prendre une douche et habille-toi. Une jupe, un débardeur, et rien d’autre.
Le message était plutôt court, sec. J’étais surprise.
- Rien d’autre ?
- Rien.
Ces quelques mots sur l’écran de mon portable donnait corps à l’objet de mon attente. J’allai fouiller dans mes affaires pour y choisir une jupe et un débardeur. Je les comparai, les évaluai, me demandant quel serait le meilleur accord. Maintenant je j’y pense, j’y mis peut-être autant de temps qu’à choisir mes vêtements pour mon premier rendez-vous. Cela me fit du bien : rien de tel que quelque chose sur quoi se concentrer. Je finis par opter pour une jupe plissée écossaise et un débardeur de coton noir très simple.
La douche fut un vrai bonheur. L’eau bien chaude était parfaite pour se détendre et se défaire de la tension qui m’habitait. Je me dis alors que c’était probablement pour cela qu’il me l’avait demandé et le bénis intérieurement. Je sortis de la douche, me séchai, et cherchai du regard mes sous-vêtements par la force de l’habitude. Je me repris et enfilai la jupe puis le débardeur. L’effet était étrange. Sentir le tissu à même la peau en des endroits qui n’en ont pas l’habitude donnait une étonnante impression de nudité, paradoxalement plus forte encore que lorsque j’étais réellement nue. La jupe plissée, très souple et mobile, ne demandait qu’à se retrousser tandis que le débardeur me moulait la poitrine laissant très clairement apparaître la forme de mes tétons. Le seul fait de l’enfiler en avait d’ailleurs provoqué un léger durcissement.
Je l’attendis encore pendant plus d’une heure avant qu’il ne rentre, assez tard. J’allai l’accueillir à l’entrée et son visage fatigué s’illumina aussitôt qu’il me vit. Son regard, allant de bas en haut, marqua une pause discrète mais visible lorsque son regard se posa sur ma poitrine.
- Je suppose que tu préfères manger à la maison.
La seule idée de sortir dans cette tenue me fit brutalement rougir. Cela le fit rire et il s’approcha de moi. Il posa la main sur ma hanche, me dominant d’une bonne tête, et me toisant d’un air légèrement dominateur. Je ne su pas quoi de son odeur légèrement musquée, de son assurance, ou de quelque autre chose provoqua ma réaction, mais je sentis ma poitrine pousser et mes tétons aller chercher à percer le tissu du débardeur.Il ne manqua pas de le voir, fit monter doucement sa main le long de mes hanches jusqu’à poser la main en coupole sur mon sein, comme pour le soupeser.
- Je vois que tu m’as obéis.
- Bien sûr.
- C’est bien.
Je cru qu’il allait m’embrasser à nouveau. Il se pencha un peu ; je fermai les yeux, tendant les lèvres, mais il se retira sans m’offrir les siennes. J’avais déjà pris goût au baisers, je n’aurais pas dit non à un autre.
La soirée fut étrange par bien des égards. Malgré ma tenue, elle se passa très normalement. Nous partageâmes un repas tout simple et allâmes discuter un peu au salon, comme nous l’avions fait de par le passé. J’essayais de voir où il posait les yeux, mais je n’arrivai pas à le surprendre en train de me déshabiller du regard. C’était comme une sorte de jeu du chat et de la souris, sauf que la souris avait furieusement envie de se faire attraper !
L’heure de se coucher vint enfin. Il me prit par la main et m’emmena vers la chambre. Il m’y fit entrer puis ferma la porte derrière moi, sans allumer la lumière. La pièce était plongée dans un noir profond, je n’y voyais rien. Je sentis cependant ses mains dans mon dos se poser sur mes hanches. Je me figeai alors, tendue et impatiente. Il déposa sur la base de ma nuque un baiser qui me fit frissonner de plaisir. Ses mains remontèrent de long de mes côtes, retroussant ce faisant mon débardeur. Je levai les bras pour le laisser faire, si bien qu’il ne tarda pas à atteindre puis dépasser ma poitrine. Il n s’y arrêta cependant pas, préférant d’abord me déshabiller.
Ses mains revinrent alors à mes seins qu’il prit avec douceur, soupesa dans un premier temps, comme pour mieux en évaluer la forme, puis caressa et les pressant doucement. Je sentais que mon sillon était plus inondé qu’après une pluie d’automne.
Il vint se coller à moi, glissa ses mains sous la ceinture de ma jupe dont il fit sauter le bouton. Avec un peu d’aide, elle tomba au sol. J’avais beau ne rien y voir, je savais que j’étais maintenant entièrement nue et lui entièrement habillée. Me sentir ainsi à lui, à sa merci, ne faisait qu’accentuer mon trouble et mon désir. J’étais cependant figée, incapable d’agir. Je ne savais pas quoi faire, j’avais peur de faire une gaffe, et ce que je ressentais était si bon que je ne voulais rien gâcher.
- Bien sûr que non !
J’étais outrée ! Elle me demandait littéralement si j’étais une fille de mauvaise vie.
- Bon, dans ce cas je ne pense pas que la batterie de tests pour les IST soit nécessaire. Je vais vous prescrire une pilule contraceptive à prendre quotidiennement. La régularité est le fondement de son efficacité, alors soyez attentive. Vous pouvez vous rhabiller.
J’allai remettre mes vêtements tandis qu’elle griffonnait l’ordonnance. Je pense que les médecins prennent des cours spéciaux en fac pour mal écrire.
- Ne tardez pas à aller la chercher : certaines pharmacies ont des stocks fluctuants. De quand datent vos dernières règles ?
- Elle se sont finies samedi matin.
- Parfait ! Vous pouvez commencer à la prendre dès ce soir. Je vous conseille cependant d’attendre un cycle complet avant toute relation non protégée : le premier mois, la protection n’est pas optimale. Ah oui, et ne vous inquiétez pas s’il y a des effets secondaires mineurs.
- Des effets secondaires ? Qu’entendez-vous par là ?
- Cela dépend des personnes. Souvent c’est une prise de poitrine modérée, parfois rien du tout. Vous verrez, mais revenez me voir si cela ne va pas.
- Merci madame.
Elle me raccompagne à la porte et alla chercher Damien qui s’enquit du résultat.
- Aucun soucis, j’ai pu lui prescrire. Fais juste attention : rien à signaler, elle est saine, mais elle a l’air féconde
- J’en ferai bon usage, ne t’en fais pas. Merci beaucoup Jeanne, à la prochaine !
Sur le chemin du retour, ces mots résonnaient dans ma tête. Bon usage ? Féconde ? Je n’étais pas une pouliche bon sang ! Damien s’arrêta en route devant une pharmacie pour que je puisse aller chercher ma plaquette de pilule. Je sentis chez lui un certain empressement, mais il ne dit rien. Ce n’est qu’une fois rentrés à l’appartement qui s’exprima.
- Prends-la dès ce soir. Cette nuit tu dors avec moi.
J’étais surprise. Il y avait dans sa voix une note de désir, d’envie refoulée. Je fus plus surprise encore quand je sentis naître au creux de mes reins comme une envolée de papillons. L’humidité qui naissait en moi ne laissait aucune place au doute : j’aimais me sentir désirée, convoitée. Ce soir j’allais devenir une femme et à l’appréhension se mêlait une impatience que jamais je n’aurais soupçonnée. CHAPITRE 6: Une première fois inoubliable
Il avait des affaires à traiter dont il n’avait pas pu s’occuper dans l’après-midi. Il parti donc, me laissant seule à l’appartement. Je me serais bien mise au travail, mais après seulement une demi-journée de cours, si l’on pouvait appeler ça des cours, je n’avais pas grand-chose à faire. J’aurais certainement mieux fait de me préparer à l’année à venir, de voir comment étaient organisés les transports en commun, tout plein de petites choses utiles qui me maqueraient par la suite si je ne m’en occupais pas tout de suite. Ça oui, j’aurais dû, mais je n’avais pas le cœur à ça.
Il faut avouer qu’à 18 ans et quelques mois, j’étais curieuse, comme toutes les filles de cet âge. Évidemment il y a les fantasmes, les peurs, les attentes et les interrogations. Chez moi tout se bousculait sans que rien ne prenne vraiment l’ascendant. Je me disais que si j’étais vraiment une fille « bien », pure et innocente, j’aurais dû me lamenter intérieurement de ce qui allait immanquablement d’arriver. Ce n’est pourtant pas ce que j’avais en tête. J’étais déchirée. D’une part ma tête me disait que c’était un mauvais moment à passer, un sacrifice cruel mais nécessaire ; d’autre part mes hanches me disaient que le temps ne passait décidément pas si vite que ça et qu’elles avaient hâte que le soir vienne. Mon imagination aussi vagabondait : comment était-il donc sous ses vêtements ? Le rêve érotique que j’avais fait il y avait quelques nuits me revint alors. Bon, il n’y avait pas à tortiller, j’avais envie, c’était vrai.
Je tournai en rond, me mettait sur YouTube pour mater une vidéo, l’interrompait, cherchai quelque chose sans savoir quoi. En fait j’étais comme un lion en cage. La trotteuse de ma montre avait tout de l’escargot anémique, un peu comme pendant ces cours de physique interminables du lycée. Je reçu alors un texto de Damien :
- Va prendre une douche et habille-toi. Une jupe, un débardeur, et rien d’autre.
Le message était plutôt court, sec. J’étais surprise.
- Rien d’autre ?
- Rien.
Ces quelques mots sur l’écran de mon portable donnait corps à l’objet de mon attente. J’allai fouiller dans mes affaires pour y choisir une jupe et un débardeur. Je les comparai, les évaluai, me demandant quel serait le meilleur accord. Maintenant je j’y pense, j’y mis peut-être autant de temps qu’à choisir mes vêtements pour mon premier rendez-vous. Cela me fit du bien : rien de tel que quelque chose sur quoi se concentrer. Je finis par opter pour une jupe plissée écossaise et un débardeur de coton noir très simple.
La douche fut un vrai bonheur. L’eau bien chaude était parfaite pour se détendre et se défaire de la tension qui m’habitait. Je me dis alors que c’était probablement pour cela qu’il me l’avait demandé et le bénis intérieurement. Je sortis de la douche, me séchai, et cherchai du regard mes sous-vêtements par la force de l’habitude. Je me repris et enfilai la jupe puis le débardeur. L’effet était étrange. Sentir le tissu à même la peau en des endroits qui n’en ont pas l’habitude donnait une étonnante impression de nudité, paradoxalement plus forte encore que lorsque j’étais réellement nue. La jupe plissée, très souple et mobile, ne demandait qu’à se retrousser tandis que le débardeur me moulait la poitrine laissant très clairement apparaître la forme de mes tétons. Le seul fait de l’enfiler en avait d’ailleurs provoqué un léger durcissement.
Je l’attendis encore pendant plus d’une heure avant qu’il ne rentre, assez tard. J’allai l’accueillir à l’entrée et son visage fatigué s’illumina aussitôt qu’il me vit. Son regard, allant de bas en haut, marqua une pause discrète mais visible lorsque son regard se posa sur ma poitrine.
- Je suppose que tu préfères manger à la maison.
La seule idée de sortir dans cette tenue me fit brutalement rougir. Cela le fit rire et il s’approcha de moi. Il posa la main sur ma hanche, me dominant d’une bonne tête, et me toisant d’un air légèrement dominateur. Je ne su pas quoi de son odeur légèrement musquée, de son assurance, ou de quelque autre chose provoqua ma réaction, mais je sentis ma poitrine pousser et mes tétons aller chercher à percer le tissu du débardeur.Il ne manqua pas de le voir, fit monter doucement sa main le long de mes hanches jusqu’à poser la main en coupole sur mon sein, comme pour le soupeser.
- Je vois que tu m’as obéis.
- Bien sûr.
- C’est bien.
Je cru qu’il allait m’embrasser à nouveau. Il se pencha un peu ; je fermai les yeux, tendant les lèvres, mais il se retira sans m’offrir les siennes. J’avais déjà pris goût au baisers, je n’aurais pas dit non à un autre.
La soirée fut étrange par bien des égards. Malgré ma tenue, elle se passa très normalement. Nous partageâmes un repas tout simple et allâmes discuter un peu au salon, comme nous l’avions fait de par le passé. J’essayais de voir où il posait les yeux, mais je n’arrivai pas à le surprendre en train de me déshabiller du regard. C’était comme une sorte de jeu du chat et de la souris, sauf que la souris avait furieusement envie de se faire attraper !
L’heure de se coucher vint enfin. Il me prit par la main et m’emmena vers la chambre. Il m’y fit entrer puis ferma la porte derrière moi, sans allumer la lumière. La pièce était plongée dans un noir profond, je n’y voyais rien. Je sentis cependant ses mains dans mon dos se poser sur mes hanches. Je me figeai alors, tendue et impatiente. Il déposa sur la base de ma nuque un baiser qui me fit frissonner de plaisir. Ses mains remontèrent de long de mes côtes, retroussant ce faisant mon débardeur. Je levai les bras pour le laisser faire, si bien qu’il ne tarda pas à atteindre puis dépasser ma poitrine. Il n s’y arrêta cependant pas, préférant d’abord me déshabiller.
Ses mains revinrent alors à mes seins qu’il prit avec douceur, soupesa dans un premier temps, comme pour mieux en évaluer la forme, puis caressa et les pressant doucement. Je sentais que mon sillon était plus inondé qu’après une pluie d’automne.
Il vint se coller à moi, glissa ses mains sous la ceinture de ma jupe dont il fit sauter le bouton. Avec un peu d’aide, elle tomba au sol. J’avais beau ne rien y voir, je savais que j’étais maintenant entièrement nue et lui entièrement habillée. Me sentir ainsi à lui, à sa merci, ne faisait qu’accentuer mon trouble et mon désir. J’étais cependant figée, incapable d’agir. Je ne savais pas quoi faire, j’avais peur de faire une gaffe, et ce que je ressentais était si bon que je ne voulais rien gâcher.