13-02-2021, 11:34 AM
Les autres jours de la semaine s’étaient passés sans problème particulier. J’étais allé à l’école chaque jour le cœur assez léger. J’avais souvent le visage de Benoît en tête. Mais je devais rester concentré en classe. J’étais à jour pour les cours et enfin les profs me laissaient tranquille. Je n’avais pas envie de passer pour un chouchou auprès des élèves de ma classe. J’étais content, j’avais rattrapé mon retard dans tous les cours. Souvent je parlais avec Marie sur le temps de midi. Nous parlions de tout, des derniers films au ciné, des amours de Johnny Halliday, du prof de géo qui parfois puait sous les bras, etc.
En rentrant à la maison après l’école je m’efforçais pour resté présent et non dans la lune comme cela avait été le cas ces derniers jours.
Hop, le réveil sonnait. On était vendredi et ce soir Benoît venait loger à la maison. Nous allions pouvoir nous revoir et dormir ensemble. Puis il y avait réunion chez les scouts samedi.
Je m’étais douché en compagnie de Jean pour ne pas perdre de temps. Cela nous arrivait souvent. Une fois prêt je quittais la maison pour prendre le bus pour aller à l’école. J’avais hâte d’être au soir, j’avais hâte de retrouver Benoît.
En arrivant à l’école, j’avais vu Marie qui m’attendait près de l’entrée du préau. En fait il avait commencé à pleuvoir. Tous les élèves s’étaient donc placés sous le préau. Marie avait vu que j’avais la mine resplendissante. Elle me demandait la raison de mon entrain du matin. Je lui avais confié que mon ami Benoît allait venir loger à la maison ce soir. Elle m’avait dit être heureuse pour moi.
Le reste de la journée m’avait paru assez long. Le temps semblait s’être arrêté pour m’empêcher de revoir mon amoureux.
Finalement la sonnerie de la fin des cours avait sonné. Il n’avait pas fallu trois minutes pour que je me trouve à l’arrêt de bus.
J’étais arrivé à la maison et j’avais salué maman et ma sœur Anne. Mon frère Jean allait revenir un peu plus tard car il allait au cinéma avec des élèves de sa classe. Il rentrerait en fin de soirée.
Maman m’avait demandé ce qu’il fallait prévoir pour la nuit comme couchage pour Benoît. Je ne savais que dire. Je n’allais pas dire qu’il allait dormir avec moi dans mon lit. J’avais suggéré de mettre un matelas gonflable dans ma chambre. J’avais donc été préparer le matelas et un sac de couchage à côté de mon lit. J’avais l’intention de demander à Benoît de me rejoindre dans mon lit bien entendu.
Une fois la chambre préparée, j’avais donné un coup de main à maman pour la préparation du repas. Ne sachant pas ce Benoît préférait, j’avais demandé à maman de faire un potage suivi d’un bon plat de boulettes sauce tomate avec des frites.
J’avais mis la table pour cinq personnes. Je savais que papa allait rentrer et j’avais déjà préparé les verres pour la table et en plus son verre de whisky, il ne restait plus qu’à le remplir à son arrivée et y mettre un glaçon.
On sonna à la porte. J’étais allé ouvrir et c’était Benoît qui était là devant moi. Je l’avais fait entrer. Maman était arrivée dans le hall et elle avait salué Benoît.
Mam : « Bonsoir Benoît, sois le bienvenu.
Ben : Bonsoir madame.
Mam : Tu peux m’appeler Jacqueline.
Ben : Oui, merci Jacqueline.
Mam : Je suppose que tu veux déposer tes affaires. Phil tu peux montrer à Benoît où il va dormir et qu’il prenne son sac pour le déposer dans ta chambre.
Moi : Oui maman, pas de problème.
Ben : Merci Jacqueline. »
Nous étions donc montés jusqu’à ma chambre. Une fois la porte fermée, j’avais attiré Benoît vers moi et je l’avais serré contre moi. Nos visages s’étaient rapprochés et nos bouches s’étaient collées l’une à l’autre. Nous nous étions alors embrassés, nos lèvres s’étaient ouvertes en vue de laisser passer nos langues fougueuses. Elles se tournaient, elles dansaient ensemble, elles se retiraient pour mieux se reprendre par la suite. Nous mélangions nos salives, nous nous embrassions amoureusement.
On avait entendu frapper à la porte de la chambre. Nous nous étions séparés et j’avais dit d’entrer, c’était ma sœur Anne. Elle venait nous dire que papa était rentré et qu’il nous attendait au salon.
Nous étions donc descendus pour saluer mon père. Nous étions entrés dans le salon et directement papa avait dit :
Papa : « Bonsoir Benoît, bienvenue à la maison, moi c’est Jean-Claude.
Ben : Bonsoir Jean-Claude, merci de votre accueil.
Papa : Mais il n’y a pas de problème. Tu es l’ami de Phil et tu as été d’un grand réconfort lorsqu’il était à l’hôpital et que vous étiez dans la même chambre.
Ben : Merci, c’est gentil.
Papa : Je te remercie aussi d’avoir incité Phil à aller chez les scouts dans ta troupe. Je crois que ça lui fait un grand bien.
Moi : Oui papa, tu le sais, je suis super content et je suis heureux. Et c’est grâce à Ben également.
Papa : Ah, OK, tu préfères qu’on t’appelle Ben ou Benoît ?
Ben : C’est gentil à vous mais j’aime bien Ben. C’est comme pour Philippe, il préfère Phil bien entendu.
Papa : C’est entendu, on t’appellera Ben, alors.
Nous nous sommes mis à rire.
Papa : Bon les jeunes, je veux dire Ben et Phil, je vous propose de prendre l’apéro. Ce sera un kir pour vous ainsi que pour maman Anne et moi. Je ne prends pas de whisky ce soir. »
Nous avions donc pris l’apéro en famille. Nous parlions de tout et de rien. Puis la conversation s’est portée sur les scouts, le camp et un tas de chose du genre. Puis je ne sais pas pourquoi, mais papa avait demandé à Ben s’il avait une petite amie. J’ai vu Ben devenir rouge pivoine. Il balbutiait, quelque chose du style : « eh bien, non, mais, non, pas encore ! » J’avais failli éclater de rire.
Nous étions ensuite passés à table. Maman avait préparé le potage ainsi que les boulettes sauce tomate avec des frites. Ben avait alors dit qu’il adorait ça et que c’était presque son plat préféré. Il avait le sourire aux lèvres.
Nous avions mangé de bon cœur. Nous parlions à table de ce qui s’était passé durant la semaine, du sport, des études, entre autres choses.
Une fois le repas terminé, nous nous étions tous retrouvés au salon après avoir débarrassé la table. Nous avions regardé la télévision.
Jean venait de renter du cinéma. Il avait mangé un sandwich avec ses copains de classe. Il était venu saluer maman et papa, notre sœur et bien entendu Benoît.
C’est vers 22h30 qui papa nous avait dit qu’il était temps d’aller dormir pour être en forme pour le lendemain.
Après avoir dit bonne nuit à la famille, Ben et moi nous étions montés dans ma chambre. Une nouvelle fois nous nous étions embrassés. Nos lèvres s’étaient une nouvelle fois jointes, pour s’ouvrir et laisser nos langues s’en donner à cœur joie. J’étais heureux et Ben aussi. Nous étions une nouvelle fois ensemble et nous allions passer la nuit enlacés.
Nous nous étions désapés pour aller prendre une bonne douche. Nous étions dans la salle de bain sous la douche quand Jean avait entre-ouvert la porte. Il était nu lui aussi. Je lui avais fait signe de nous rejoindre. Ben regardait Jean pour la première fois à poil. Il me fit un signe pour me dire qu’il le trouvait beau et craquant. Nous primes donc notre douche à trois.
Une fois secs, nous avions regagné la chambre non sans croiser Anne sur le palier. Elle allait elle aussi à la salle de bain en tenue d’Eve. Ben avait machinalement mis ses mains sur son sexe. Je lui ai dit que nous avions l’habitude d’être nus à la maison. Ben en fut étonné. Je lui avais expliqué que nous faisions du naturisme en famille. Il avait alors compris.
Nous nous étions alors couchés, nus, dans mon lit, laissant le matelas où il était, soit à côté du lit.
Nos bouches s’étaient retrouvées et nous nous étions embrassés. Nos sexes avaient pris du volume, ils étaient bandés. Nos mains parcouraient nos corps. Je caressais le dos de Ben ainsi que son cou et ses joues Ben me caressait les bras, et les pectoraux. Puis j’avais descendu une main sur une fesse de Ben. Il fit de même avec moi. Finalement nous avions en main la barre de chaire gonflée de notre partenaire. Puis nous nous masturbions mutuellement avec volupté. J’avais demandé à Ben s’il voulait que je le suce, il avait marqué son accord et nous étions placé tête bêche pour pouvoir nous sucer en même temps. Nous avions le sexe de l’autre dans la bouche. La bite de Ben coulissait entre mes lèvres et je léchais de temps à autre son gland. Je remontais le long d sa colonne de chair jusqu‘au frein en vue de donner des sensations à Ben. Lui de son côté claquait ses mouvements aux miens. Nous nous sucions tendrement, laissant le temps au temps, sans aller trop vite. Je prenais parfois les deux boules de Ben pour les masser en même temps que je suçais son membre viril. Puis après un gros quart d’heure, j’avais senti que la respiration de Ben s’accélérait. J’avais ralenti la pression pour que je puisse moi aussi arriver au même niveau. Puis voyant que nous étions proches de la jouissance, j’avais accéléré mes mouvements de va et vient entre mes lèvres pour arriver à ce Ben puisse se libérer et ainsi lâcher 5 jets de sperme dans ma bouche, moi de mon côté, j’avais également joui dans la bouche de Ben 6 jets de semence. Nous avions presque tout avalé mais nous avions partagé le reste en nous embrassant pour gouter à nos semences mélangées.
Nous nous étions ensuite affalés sur lit, heureux de nous être ainsi donné du plaisir. Nous nous étions alors endormis, fourbus mais heureux.
Au matin nous avions été réveillés par Jean, il était rentré dans la chambre et nous avait trouvé couchés dans le même lit. Il nous a seulement dit :
Jean : « Allez debout les amoureux.
Moi : Bonjour frérot. Tu ne dis rien aux parents, ils ne sont toujours pas encore au courant.
Jean : Ne te fais pas de bile. Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien, mais je croix que maman à des doutes.
Moi : Oh mince alors. Il va falloir que je pense à le dire, mais c’est peut-être un peu trop tôt.
Ben : Tu sais Jean, mes parents ne sont pas au courant non plus et de plus ils ne savent pas que je suis homo !
Jean : Tu me l’avais déjà dit. Eh bien tu peux compter sur moi, je ne dirai rien. Bon courage alors. »
Nous nous étions levés et nous avions pris une douche en vitesse. Une fois dans la chambre nous nous sommes mis en uniforme scout.
Nous avions pris le petit déjeuner en famille. Ben et moi nous étions heureux de pouvoir passer une journée chez les scouts.
La réunion s’était déroulée sans problème. J’avais remis les deux documents complétés et signés par mes parents à Bruno. Tout était en règle.
Nous avions fait un jeu inter-patrouilles au bois. Nous nous étions très amusés malgré le temps froid et un peu humide.
Une fois la réunion terminée, Ben est rentré chez lui et moi je suis revenu à la maison.
A l’issue du repas j’étais allé prendre une bonne douche pour me réchauffer. J’avais ensuite été dans ma chambre où j’avais mis des disques de Brassens et Brel.
Vers 22h30 j m’étais glissé sous la couette pour profiter d’une bonne nuit de sommeil. Demain c’était dimanche et nous allions dire un petit bonjour à l’oncle Pierre. Ce dernier nous avait invités pour le repas de midi.
Ce dimanche nous étions donc allés rendre visite à l’oncle Pierre. Il était toujours aussi affable et il n’arrêtait pas de raconter des blagues. D’ailleurs la journée est vite passée, sans même nous en rendre compte il était plus de 18 heures quand papa a décidé qu’il était temps de rentrer. Oui car je devais encore revoir l’un ou l’autre cours pour le lendemain matin.
En rentrant à la maison après l’école je m’efforçais pour resté présent et non dans la lune comme cela avait été le cas ces derniers jours.
Hop, le réveil sonnait. On était vendredi et ce soir Benoît venait loger à la maison. Nous allions pouvoir nous revoir et dormir ensemble. Puis il y avait réunion chez les scouts samedi.
Je m’étais douché en compagnie de Jean pour ne pas perdre de temps. Cela nous arrivait souvent. Une fois prêt je quittais la maison pour prendre le bus pour aller à l’école. J’avais hâte d’être au soir, j’avais hâte de retrouver Benoît.
En arrivant à l’école, j’avais vu Marie qui m’attendait près de l’entrée du préau. En fait il avait commencé à pleuvoir. Tous les élèves s’étaient donc placés sous le préau. Marie avait vu que j’avais la mine resplendissante. Elle me demandait la raison de mon entrain du matin. Je lui avais confié que mon ami Benoît allait venir loger à la maison ce soir. Elle m’avait dit être heureuse pour moi.
Le reste de la journée m’avait paru assez long. Le temps semblait s’être arrêté pour m’empêcher de revoir mon amoureux.
Finalement la sonnerie de la fin des cours avait sonné. Il n’avait pas fallu trois minutes pour que je me trouve à l’arrêt de bus.
J’étais arrivé à la maison et j’avais salué maman et ma sœur Anne. Mon frère Jean allait revenir un peu plus tard car il allait au cinéma avec des élèves de sa classe. Il rentrerait en fin de soirée.
Maman m’avait demandé ce qu’il fallait prévoir pour la nuit comme couchage pour Benoît. Je ne savais que dire. Je n’allais pas dire qu’il allait dormir avec moi dans mon lit. J’avais suggéré de mettre un matelas gonflable dans ma chambre. J’avais donc été préparer le matelas et un sac de couchage à côté de mon lit. J’avais l’intention de demander à Benoît de me rejoindre dans mon lit bien entendu.
Une fois la chambre préparée, j’avais donné un coup de main à maman pour la préparation du repas. Ne sachant pas ce Benoît préférait, j’avais demandé à maman de faire un potage suivi d’un bon plat de boulettes sauce tomate avec des frites.
J’avais mis la table pour cinq personnes. Je savais que papa allait rentrer et j’avais déjà préparé les verres pour la table et en plus son verre de whisky, il ne restait plus qu’à le remplir à son arrivée et y mettre un glaçon.
On sonna à la porte. J’étais allé ouvrir et c’était Benoît qui était là devant moi. Je l’avais fait entrer. Maman était arrivée dans le hall et elle avait salué Benoît.
Mam : « Bonsoir Benoît, sois le bienvenu.
Ben : Bonsoir madame.
Mam : Tu peux m’appeler Jacqueline.
Ben : Oui, merci Jacqueline.
Mam : Je suppose que tu veux déposer tes affaires. Phil tu peux montrer à Benoît où il va dormir et qu’il prenne son sac pour le déposer dans ta chambre.
Moi : Oui maman, pas de problème.
Ben : Merci Jacqueline. »
Nous étions donc montés jusqu’à ma chambre. Une fois la porte fermée, j’avais attiré Benoît vers moi et je l’avais serré contre moi. Nos visages s’étaient rapprochés et nos bouches s’étaient collées l’une à l’autre. Nous nous étions alors embrassés, nos lèvres s’étaient ouvertes en vue de laisser passer nos langues fougueuses. Elles se tournaient, elles dansaient ensemble, elles se retiraient pour mieux se reprendre par la suite. Nous mélangions nos salives, nous nous embrassions amoureusement.
On avait entendu frapper à la porte de la chambre. Nous nous étions séparés et j’avais dit d’entrer, c’était ma sœur Anne. Elle venait nous dire que papa était rentré et qu’il nous attendait au salon.
Nous étions donc descendus pour saluer mon père. Nous étions entrés dans le salon et directement papa avait dit :
Papa : « Bonsoir Benoît, bienvenue à la maison, moi c’est Jean-Claude.
Ben : Bonsoir Jean-Claude, merci de votre accueil.
Papa : Mais il n’y a pas de problème. Tu es l’ami de Phil et tu as été d’un grand réconfort lorsqu’il était à l’hôpital et que vous étiez dans la même chambre.
Ben : Merci, c’est gentil.
Papa : Je te remercie aussi d’avoir incité Phil à aller chez les scouts dans ta troupe. Je crois que ça lui fait un grand bien.
Moi : Oui papa, tu le sais, je suis super content et je suis heureux. Et c’est grâce à Ben également.
Papa : Ah, OK, tu préfères qu’on t’appelle Ben ou Benoît ?
Ben : C’est gentil à vous mais j’aime bien Ben. C’est comme pour Philippe, il préfère Phil bien entendu.
Papa : C’est entendu, on t’appellera Ben, alors.
Nous nous sommes mis à rire.
Papa : Bon les jeunes, je veux dire Ben et Phil, je vous propose de prendre l’apéro. Ce sera un kir pour vous ainsi que pour maman Anne et moi. Je ne prends pas de whisky ce soir. »
Nous avions donc pris l’apéro en famille. Nous parlions de tout et de rien. Puis la conversation s’est portée sur les scouts, le camp et un tas de chose du genre. Puis je ne sais pas pourquoi, mais papa avait demandé à Ben s’il avait une petite amie. J’ai vu Ben devenir rouge pivoine. Il balbutiait, quelque chose du style : « eh bien, non, mais, non, pas encore ! » J’avais failli éclater de rire.
Nous étions ensuite passés à table. Maman avait préparé le potage ainsi que les boulettes sauce tomate avec des frites. Ben avait alors dit qu’il adorait ça et que c’était presque son plat préféré. Il avait le sourire aux lèvres.
Nous avions mangé de bon cœur. Nous parlions à table de ce qui s’était passé durant la semaine, du sport, des études, entre autres choses.
Une fois le repas terminé, nous nous étions tous retrouvés au salon après avoir débarrassé la table. Nous avions regardé la télévision.
Jean venait de renter du cinéma. Il avait mangé un sandwich avec ses copains de classe. Il était venu saluer maman et papa, notre sœur et bien entendu Benoît.
C’est vers 22h30 qui papa nous avait dit qu’il était temps d’aller dormir pour être en forme pour le lendemain.
Après avoir dit bonne nuit à la famille, Ben et moi nous étions montés dans ma chambre. Une nouvelle fois nous nous étions embrassés. Nos lèvres s’étaient une nouvelle fois jointes, pour s’ouvrir et laisser nos langues s’en donner à cœur joie. J’étais heureux et Ben aussi. Nous étions une nouvelle fois ensemble et nous allions passer la nuit enlacés.
Nous nous étions désapés pour aller prendre une bonne douche. Nous étions dans la salle de bain sous la douche quand Jean avait entre-ouvert la porte. Il était nu lui aussi. Je lui avais fait signe de nous rejoindre. Ben regardait Jean pour la première fois à poil. Il me fit un signe pour me dire qu’il le trouvait beau et craquant. Nous primes donc notre douche à trois.
Une fois secs, nous avions regagné la chambre non sans croiser Anne sur le palier. Elle allait elle aussi à la salle de bain en tenue d’Eve. Ben avait machinalement mis ses mains sur son sexe. Je lui ai dit que nous avions l’habitude d’être nus à la maison. Ben en fut étonné. Je lui avais expliqué que nous faisions du naturisme en famille. Il avait alors compris.
Nous nous étions alors couchés, nus, dans mon lit, laissant le matelas où il était, soit à côté du lit.
Nos bouches s’étaient retrouvées et nous nous étions embrassés. Nos sexes avaient pris du volume, ils étaient bandés. Nos mains parcouraient nos corps. Je caressais le dos de Ben ainsi que son cou et ses joues Ben me caressait les bras, et les pectoraux. Puis j’avais descendu une main sur une fesse de Ben. Il fit de même avec moi. Finalement nous avions en main la barre de chaire gonflée de notre partenaire. Puis nous nous masturbions mutuellement avec volupté. J’avais demandé à Ben s’il voulait que je le suce, il avait marqué son accord et nous étions placé tête bêche pour pouvoir nous sucer en même temps. Nous avions le sexe de l’autre dans la bouche. La bite de Ben coulissait entre mes lèvres et je léchais de temps à autre son gland. Je remontais le long d sa colonne de chair jusqu‘au frein en vue de donner des sensations à Ben. Lui de son côté claquait ses mouvements aux miens. Nous nous sucions tendrement, laissant le temps au temps, sans aller trop vite. Je prenais parfois les deux boules de Ben pour les masser en même temps que je suçais son membre viril. Puis après un gros quart d’heure, j’avais senti que la respiration de Ben s’accélérait. J’avais ralenti la pression pour que je puisse moi aussi arriver au même niveau. Puis voyant que nous étions proches de la jouissance, j’avais accéléré mes mouvements de va et vient entre mes lèvres pour arriver à ce Ben puisse se libérer et ainsi lâcher 5 jets de sperme dans ma bouche, moi de mon côté, j’avais également joui dans la bouche de Ben 6 jets de semence. Nous avions presque tout avalé mais nous avions partagé le reste en nous embrassant pour gouter à nos semences mélangées.
Nous nous étions ensuite affalés sur lit, heureux de nous être ainsi donné du plaisir. Nous nous étions alors endormis, fourbus mais heureux.
Au matin nous avions été réveillés par Jean, il était rentré dans la chambre et nous avait trouvé couchés dans le même lit. Il nous a seulement dit :
Jean : « Allez debout les amoureux.
Moi : Bonjour frérot. Tu ne dis rien aux parents, ils ne sont toujours pas encore au courant.
Jean : Ne te fais pas de bile. Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien, mais je croix que maman à des doutes.
Moi : Oh mince alors. Il va falloir que je pense à le dire, mais c’est peut-être un peu trop tôt.
Ben : Tu sais Jean, mes parents ne sont pas au courant non plus et de plus ils ne savent pas que je suis homo !
Jean : Tu me l’avais déjà dit. Eh bien tu peux compter sur moi, je ne dirai rien. Bon courage alors. »
Nous nous étions levés et nous avions pris une douche en vitesse. Une fois dans la chambre nous nous sommes mis en uniforme scout.
Nous avions pris le petit déjeuner en famille. Ben et moi nous étions heureux de pouvoir passer une journée chez les scouts.
La réunion s’était déroulée sans problème. J’avais remis les deux documents complétés et signés par mes parents à Bruno. Tout était en règle.
Nous avions fait un jeu inter-patrouilles au bois. Nous nous étions très amusés malgré le temps froid et un peu humide.
Une fois la réunion terminée, Ben est rentré chez lui et moi je suis revenu à la maison.
A l’issue du repas j’étais allé prendre une bonne douche pour me réchauffer. J’avais ensuite été dans ma chambre où j’avais mis des disques de Brassens et Brel.
Vers 22h30 j m’étais glissé sous la couette pour profiter d’une bonne nuit de sommeil. Demain c’était dimanche et nous allions dire un petit bonjour à l’oncle Pierre. Ce dernier nous avait invités pour le repas de midi.
Ce dimanche nous étions donc allés rendre visite à l’oncle Pierre. Il était toujours aussi affable et il n’arrêtait pas de raconter des blagues. D’ailleurs la journée est vite passée, sans même nous en rendre compte il était plus de 18 heures quand papa a décidé qu’il était temps de rentrer. Oui car je devais encore revoir l’un ou l’autre cours pour le lendemain matin.