11-02-2021, 04:51 PM
et vois la fin...
Au milieu de la nuit, j'ai entendu d'abord du bruit puis un cri. Je me soulevai dans l'obscurité dans la nuit et en tendant le bras je m'aperçut que Sven n'était pas à sa place. Je giclais hors du lit et me précipitais dans le corridor, la porte de Samuel était fermée et un filet de lumière se glissait sur le seuil. Je voulus pénétrer dans la chambre mais la porte était fermée à clé et j'entendais Sven dire "non, non s'il vous plait pas ça, je ne veux pas". Et Samuel de dire "mais si, tu vas aimer tu vas voir, je sais que tu le fais avec Antoine, arrête de bouger comme ça, tu vois j'ai déjà presque ma main sur…" Il ne put jamais achever sa phrase car d'une violente poussée, je réussis à enfoncer cette légère porte, je me jetais sur Samuel, nu et le sexe érigé, heureusement encore loin de Sven. Je pris Samuel par les couilles pour le tirer dans l'escalier et l'expulser à l'exté-rieur où en ce début d'octobre il faisait déjà très frais. Je remontais en hâte à l'étage, pris la valise ouverte et les deux trois objets posés sur la petite table et jetais le tout par la fenêtre. Samuel eu beau me supplier d'ouvrir la porte, qu'il allait tout m'expliquer, je restais inflexible et lui donnais cinq minutes pour avoir disparu, faute de quoi ce serait la police qui s'en chargerait. Trois minutes plus tard, un bruit de moteur me confirma qu'il avait décampé.
Sven n'était plus dans la chambre, je rejoignis la nôtre et je le retrouvais recroquevillé dans notre lit, encore secoué de sanglots. Je le pris dans mes bras, je le serrais contre moi, je lui murmurais des mots doux, je le couvrais de baisers sur tous le corps, je lui prodiguais de multiples caresses et finalement je pris son petit sexe dans la main
- Sven / [en riant] tu sais, il n'a pas pu le toucher, il n'a rien pu toucher. Merci Antoine, une fois encore tu m'as sauvé, j'ai de nouveau une dette à ton égard. Je la réglerai demain
et sur ce, il s'endormit tranquillement dans mes bras. Il sentait bon, heureusement je ne décelais aucune odeur autre que la sienne, celle d'un petit mâle.
Je pensais dormir profondément tout en faisant un rêve assez curieux, j'étais dans une baignoire dont les bords se rapprochaient et finissaient par toucher mon corps qui était de plus en plus coincé, qui devenait de plus en plus mince jusqu'à ce qu'il disparaisse, comme s'il était aspiré par l'écoulement de la baignoire où un petit grillage ralentissait l'évacuation de mon corps. Soudain l'obstacle n'était plus là, je sombrais dans un pré-cipice sans fond. À mi-chemin entre le rêve et un semblant de réalité, je savais que j'étais nu et que mon sexe se dressait à la verticale au-dessus de mon ventre. Je sortais de plus en plus du rêve ce qui me permit de prendre conscience qu'une ombre était à califourchon en train de faire des allées et venues sur mon sexe. Je sortais brusque-ment du rêve pour découvrir un petit Sven, face à moi, qui semblait prendre un grand plaisir à ce qu'il faisait. J'étais en lui, dans ce petit fourreau qui lui appartenait et qu'il offrait pour la première fois ; il ressentait pour la première fois cette impression si spé-ciale de sentir son intestin envahit par un objet incongru mais qu'il appréciait haute-ment, cet objet qui se frottait contre ses parois intérieures et qui les faisaient palpiter de plaisir. Face à moi, il ne pouvait rien cacher ce qui me permettait de voir avec délecta-tion ma pine qui entrait et sortait de l'orifice de son petit cul, de voir cet orifice tendu et luisant de sueur mais surtout de nos sécrétions réciproques, de plus en plus abon-dantes. Ma bite fut soudain comme enfermée dans un mouvement qui avait cessé alors que les muscles de son sphincter me transmettaient la jouissance qu'il ressentait en sentant les jets de mon sperme jaillir en lui alors que sa propre semence, incapable de ne pas sortir, se répandait sur le haut de mon torse et sur ma figure. Dans mon rêve j'étais toujours en lui et je voyais mon propre sperme qui commençait à sortir autour de mon pieu et de son petit cul. Sven n'avait pas encore dit un mot lorsqu'il se pencha sur moi pour m'embrasser et partager nos spermes qu'il avait consciencieusement récoltés.
- Voilà Antoine, je t'ai dit hier soir que je réglerais ma dette ce matin, j'espère que tu as aimé, pour moi c'était fabuleux. Merci Antoine !
Sven s'était rendormi, il était encore tôt et je restais éveillé, déconcerté par ce que je ve-nais de vivre grâce à un petit mâle que je pensais inexpérimenté alors que le puceau s'était moi. Sois il était très expérimenté et cette idée me déplaisait soit il était excep-tionnellement doué avec une volonté innée de partager ses découvertes : cette idée me convenait parfaitement avec en plus un sentiment de fierté qu'il m'ait choisi moi, An-toine, l'étranger d'un pays si éloigné du sien.
Cela me remettait en question, moi et mes plans d'avenir car en principe je devais quit-ter cette région dans deux jours ce qui me contraignait à dire "Adieu" à Sven et cette perspective me faisait soudain très mal. J'éprouvais une impression curieuse que je n'avais jamais ressentie, que je ne connaissais pas mais qui était bien présente : Pour la première fois depuis je sillonnais l'Europe, que j'avais connu des filles et des gar-çons avec qui j'avais fait l'amour sans amour, surtout des garçons, je sentais que j'au-rais du mal à tenir l'engagement que je m'étais fait à moi-même "Ne t'attache jamais à quelqu'un, garde ta liberté". Sven était clairement en train de me faire douter de moi-même. Il fallait que je fasse le point de la situation pour y voir plus clair, pour cela je me donnais une semaine, donc je repoussais mon départ d'autant.
Sven sauta de joie lorsque je lui annonçais que je restais une semaine de plus et il de-vient soudain très sérieux lorsque je lui exposais les raisons de ce report
- Sven / explique moi ce qui se passe dans ta tête, j'ai l'impression que tu es déso-rienté
- Antoine / Je me sens responsable de ce salopard qui a voulu te violer, toi petit être innocent, je m'en veux à mort de ce qui a bien failli t'arriver et j'ai peur de te laisser seul si peu de temps après cette tentative. Il me semble qu'il est de mon devoir de veiller sur toi, au moins pendant un certain temps
- Sven / [en riant de bon cœur] Ne t'en fait pas, je ne suis ni déstabilisé ni n'ai besoin d'un psychologue, car je n'ai pas eu vraiment peur : j'avais une arme secrète, je connais quelques passes d'auto-défense qui l'auraient envoyé valser à l'autre bout de la pièce avec en passant un bon coup dans son entrejambe ! Jamais je ne me serais engagé sur le chalutier si je n'avais pas eu cette connaissance défensive !
Mais Antoine, j'ai l'idée que tu ne m'as pas tout dit sur les raisons qui t'incitent à res-ter encore quelques jours, ce dont je me réjouis à tous points de vue !
- Antoine / Je crois que je t'ai sous-estimé, je pensais que tu étais inexpérimenté et voilà que tu te révèles un amant extraordinaire qui m'a donné du plaisir comme je n'en avais encore jamais, tu entends jamais ressenti. Je découvre un garçon plein de sensibilité, de bon sens et sachant parfaitement s'assumer.
- Sven / Un amant extraordinaire, tu me flattes vraiment car, tu sais, j'étais puceau avant que tu viennes me déflorer, tu étais le premier, jamais personne n'avait saisi ma bite avec autant de délicatesse. Alors disons que nous sommes tous les deux des garçons qui aimons le sexe avec le plaisir qu'il accompagne et de pouvoir le partager avec celui qu'on aime, [en rougissant] enfin qu'on apprécie.
- Antoine / Tu as dit "partager avec celui qu'on aime"…
- Sven / [maintenant rouge pivoine] oui, enfin, façon de parler car…
- Antoine / car moi, je crois sérieusement que je commence à t'aimer
De rouge pivoine qu'il était, Sven a brusquement pâli, il est resté immobile comme sta-tufié puis, sans un mot il est parti en courant. Je suis bien évidemment resté stupéfait de sa réaction, totalement inattendue chez lui car d'habitude il se maîtrise très bien ; or là, il a incontestablement pété les plombs : Qu'avais-je fait ou dit ? Je ne pensais pas un instant qu'il ait pu être choqué par le fait que je lui avoue que je l'aimais, il n'est pas stupide, il devait s'en douter et même en être certain. Ou était-ce le fait que j'aie dis "je crois, donc dans son esprit cela peut vouloir dire que je n'en suis pas sûr, je commence à t'aimer, alors qu'il s'imaginait que je l'aimais, tout simplement"
Je rentrais tranquillement chez nous, enfin chez lui, et j'avais bien l'intention de lui té-moigner par tous les moyens que je l'aimais vraiment.
- Sven / D'abord excuse-moi pour ma réaction qui a été comme un acte de défense
- Antoine / De défense contre quoi, contre qui ?
- Sven / Tu ne le sais peut-être pas, mais ce n'est pas Sven que tu aimes, c'est son corps
- Antoine / Mais tu es fou, je…
- Sven / Non, je le sais, tu aimes la fragilité de mon corps, tu aimes mon sourire, tu aimes mon petit sexe et les boules qui vont avec, tu aimes vois mes fesses bien re-bondies, tu aimes jouer avec la collerette de mon cul, oui, tu aurais voulu à plu-sieurs reprises me pénétrer mais je m'y suis toujours opposé. Antoine, regarde bien en toi et tu verras que j'ai raison. Alors on va passer une dernière nuit ensemble et demain je te demande de me quitter. Et puis, j'aime mon pays, ma région et je n'ai pas envie de les quitter et toi, je sais qu'un jour tu retourneras dans les montagnes que tu aimes.
Je restais silencieux, je réfléchissais à tout ce qu'il m'avait dit et je réalisais une fois de plus la profondeur de sa pensée et le solide bon sens qu'il avait et que je n'avais pas.
- Antoine / Je partirai demain et j'emporterai le souvenir d'un merveilleux garçon
Nous avons passé une nuit que je n'oublierai jamais. J'ai aimé caresser son corps dont la peau est d'une douceur extrême, spécialement dans les endroits les plus intimes. J'ai aimé lorsqu'il promenait sa langue avec une sensualité inégalable sur mon sexe en remontant avec lenteur de la base jusqu'à sa couronne, me faisant attendre, languir avant d'arriver sur mon gland qu'il contournait dans tous les sens. J'ai aimé lorsque qu'il gémissait alors que ma langue explorait sa raie, depuis ses testicules que je pre-nais en bouche en passant, jusqu'à son petit puit d'amour où ma langue cherchait à s'introduire.
J'ai aimé tout ce qu'il m'a fait et je crois qu'il a aimé tout ce que je lui ai fait.
Lorsque je l'ai quitté, je savais qu'il avait raison, c'est son corps que j'aimais, ce n'était pas le garçon très fin et très intelligeant qui se cachait derrière son charme sexuel.
F I N
Au milieu de la nuit, j'ai entendu d'abord du bruit puis un cri. Je me soulevai dans l'obscurité dans la nuit et en tendant le bras je m'aperçut que Sven n'était pas à sa place. Je giclais hors du lit et me précipitais dans le corridor, la porte de Samuel était fermée et un filet de lumière se glissait sur le seuil. Je voulus pénétrer dans la chambre mais la porte était fermée à clé et j'entendais Sven dire "non, non s'il vous plait pas ça, je ne veux pas". Et Samuel de dire "mais si, tu vas aimer tu vas voir, je sais que tu le fais avec Antoine, arrête de bouger comme ça, tu vois j'ai déjà presque ma main sur…" Il ne put jamais achever sa phrase car d'une violente poussée, je réussis à enfoncer cette légère porte, je me jetais sur Samuel, nu et le sexe érigé, heureusement encore loin de Sven. Je pris Samuel par les couilles pour le tirer dans l'escalier et l'expulser à l'exté-rieur où en ce début d'octobre il faisait déjà très frais. Je remontais en hâte à l'étage, pris la valise ouverte et les deux trois objets posés sur la petite table et jetais le tout par la fenêtre. Samuel eu beau me supplier d'ouvrir la porte, qu'il allait tout m'expliquer, je restais inflexible et lui donnais cinq minutes pour avoir disparu, faute de quoi ce serait la police qui s'en chargerait. Trois minutes plus tard, un bruit de moteur me confirma qu'il avait décampé.
Sven n'était plus dans la chambre, je rejoignis la nôtre et je le retrouvais recroquevillé dans notre lit, encore secoué de sanglots. Je le pris dans mes bras, je le serrais contre moi, je lui murmurais des mots doux, je le couvrais de baisers sur tous le corps, je lui prodiguais de multiples caresses et finalement je pris son petit sexe dans la main
- Sven / [en riant] tu sais, il n'a pas pu le toucher, il n'a rien pu toucher. Merci Antoine, une fois encore tu m'as sauvé, j'ai de nouveau une dette à ton égard. Je la réglerai demain
et sur ce, il s'endormit tranquillement dans mes bras. Il sentait bon, heureusement je ne décelais aucune odeur autre que la sienne, celle d'un petit mâle.
Je pensais dormir profondément tout en faisant un rêve assez curieux, j'étais dans une baignoire dont les bords se rapprochaient et finissaient par toucher mon corps qui était de plus en plus coincé, qui devenait de plus en plus mince jusqu'à ce qu'il disparaisse, comme s'il était aspiré par l'écoulement de la baignoire où un petit grillage ralentissait l'évacuation de mon corps. Soudain l'obstacle n'était plus là, je sombrais dans un pré-cipice sans fond. À mi-chemin entre le rêve et un semblant de réalité, je savais que j'étais nu et que mon sexe se dressait à la verticale au-dessus de mon ventre. Je sortais de plus en plus du rêve ce qui me permit de prendre conscience qu'une ombre était à califourchon en train de faire des allées et venues sur mon sexe. Je sortais brusque-ment du rêve pour découvrir un petit Sven, face à moi, qui semblait prendre un grand plaisir à ce qu'il faisait. J'étais en lui, dans ce petit fourreau qui lui appartenait et qu'il offrait pour la première fois ; il ressentait pour la première fois cette impression si spé-ciale de sentir son intestin envahit par un objet incongru mais qu'il appréciait haute-ment, cet objet qui se frottait contre ses parois intérieures et qui les faisaient palpiter de plaisir. Face à moi, il ne pouvait rien cacher ce qui me permettait de voir avec délecta-tion ma pine qui entrait et sortait de l'orifice de son petit cul, de voir cet orifice tendu et luisant de sueur mais surtout de nos sécrétions réciproques, de plus en plus abon-dantes. Ma bite fut soudain comme enfermée dans un mouvement qui avait cessé alors que les muscles de son sphincter me transmettaient la jouissance qu'il ressentait en sentant les jets de mon sperme jaillir en lui alors que sa propre semence, incapable de ne pas sortir, se répandait sur le haut de mon torse et sur ma figure. Dans mon rêve j'étais toujours en lui et je voyais mon propre sperme qui commençait à sortir autour de mon pieu et de son petit cul. Sven n'avait pas encore dit un mot lorsqu'il se pencha sur moi pour m'embrasser et partager nos spermes qu'il avait consciencieusement récoltés.
- Voilà Antoine, je t'ai dit hier soir que je réglerais ma dette ce matin, j'espère que tu as aimé, pour moi c'était fabuleux. Merci Antoine !
Sven s'était rendormi, il était encore tôt et je restais éveillé, déconcerté par ce que je ve-nais de vivre grâce à un petit mâle que je pensais inexpérimenté alors que le puceau s'était moi. Sois il était très expérimenté et cette idée me déplaisait soit il était excep-tionnellement doué avec une volonté innée de partager ses découvertes : cette idée me convenait parfaitement avec en plus un sentiment de fierté qu'il m'ait choisi moi, An-toine, l'étranger d'un pays si éloigné du sien.
Cela me remettait en question, moi et mes plans d'avenir car en principe je devais quit-ter cette région dans deux jours ce qui me contraignait à dire "Adieu" à Sven et cette perspective me faisait soudain très mal. J'éprouvais une impression curieuse que je n'avais jamais ressentie, que je ne connaissais pas mais qui était bien présente : Pour la première fois depuis je sillonnais l'Europe, que j'avais connu des filles et des gar-çons avec qui j'avais fait l'amour sans amour, surtout des garçons, je sentais que j'au-rais du mal à tenir l'engagement que je m'étais fait à moi-même "Ne t'attache jamais à quelqu'un, garde ta liberté". Sven était clairement en train de me faire douter de moi-même. Il fallait que je fasse le point de la situation pour y voir plus clair, pour cela je me donnais une semaine, donc je repoussais mon départ d'autant.
Sven sauta de joie lorsque je lui annonçais que je restais une semaine de plus et il de-vient soudain très sérieux lorsque je lui exposais les raisons de ce report
- Sven / explique moi ce qui se passe dans ta tête, j'ai l'impression que tu es déso-rienté
- Antoine / Je me sens responsable de ce salopard qui a voulu te violer, toi petit être innocent, je m'en veux à mort de ce qui a bien failli t'arriver et j'ai peur de te laisser seul si peu de temps après cette tentative. Il me semble qu'il est de mon devoir de veiller sur toi, au moins pendant un certain temps
- Sven / [en riant de bon cœur] Ne t'en fait pas, je ne suis ni déstabilisé ni n'ai besoin d'un psychologue, car je n'ai pas eu vraiment peur : j'avais une arme secrète, je connais quelques passes d'auto-défense qui l'auraient envoyé valser à l'autre bout de la pièce avec en passant un bon coup dans son entrejambe ! Jamais je ne me serais engagé sur le chalutier si je n'avais pas eu cette connaissance défensive !
Mais Antoine, j'ai l'idée que tu ne m'as pas tout dit sur les raisons qui t'incitent à res-ter encore quelques jours, ce dont je me réjouis à tous points de vue !
- Antoine / Je crois que je t'ai sous-estimé, je pensais que tu étais inexpérimenté et voilà que tu te révèles un amant extraordinaire qui m'a donné du plaisir comme je n'en avais encore jamais, tu entends jamais ressenti. Je découvre un garçon plein de sensibilité, de bon sens et sachant parfaitement s'assumer.
- Sven / Un amant extraordinaire, tu me flattes vraiment car, tu sais, j'étais puceau avant que tu viennes me déflorer, tu étais le premier, jamais personne n'avait saisi ma bite avec autant de délicatesse. Alors disons que nous sommes tous les deux des garçons qui aimons le sexe avec le plaisir qu'il accompagne et de pouvoir le partager avec celui qu'on aime, [en rougissant] enfin qu'on apprécie.
- Antoine / Tu as dit "partager avec celui qu'on aime"…
- Sven / [maintenant rouge pivoine] oui, enfin, façon de parler car…
- Antoine / car moi, je crois sérieusement que je commence à t'aimer
De rouge pivoine qu'il était, Sven a brusquement pâli, il est resté immobile comme sta-tufié puis, sans un mot il est parti en courant. Je suis bien évidemment resté stupéfait de sa réaction, totalement inattendue chez lui car d'habitude il se maîtrise très bien ; or là, il a incontestablement pété les plombs : Qu'avais-je fait ou dit ? Je ne pensais pas un instant qu'il ait pu être choqué par le fait que je lui avoue que je l'aimais, il n'est pas stupide, il devait s'en douter et même en être certain. Ou était-ce le fait que j'aie dis "je crois, donc dans son esprit cela peut vouloir dire que je n'en suis pas sûr, je commence à t'aimer, alors qu'il s'imaginait que je l'aimais, tout simplement"
Je rentrais tranquillement chez nous, enfin chez lui, et j'avais bien l'intention de lui té-moigner par tous les moyens que je l'aimais vraiment.
- Sven / D'abord excuse-moi pour ma réaction qui a été comme un acte de défense
- Antoine / De défense contre quoi, contre qui ?
- Sven / Tu ne le sais peut-être pas, mais ce n'est pas Sven que tu aimes, c'est son corps
- Antoine / Mais tu es fou, je…
- Sven / Non, je le sais, tu aimes la fragilité de mon corps, tu aimes mon sourire, tu aimes mon petit sexe et les boules qui vont avec, tu aimes vois mes fesses bien re-bondies, tu aimes jouer avec la collerette de mon cul, oui, tu aurais voulu à plu-sieurs reprises me pénétrer mais je m'y suis toujours opposé. Antoine, regarde bien en toi et tu verras que j'ai raison. Alors on va passer une dernière nuit ensemble et demain je te demande de me quitter. Et puis, j'aime mon pays, ma région et je n'ai pas envie de les quitter et toi, je sais qu'un jour tu retourneras dans les montagnes que tu aimes.
Je restais silencieux, je réfléchissais à tout ce qu'il m'avait dit et je réalisais une fois de plus la profondeur de sa pensée et le solide bon sens qu'il avait et que je n'avais pas.
- Antoine / Je partirai demain et j'emporterai le souvenir d'un merveilleux garçon
Nous avons passé une nuit que je n'oublierai jamais. J'ai aimé caresser son corps dont la peau est d'une douceur extrême, spécialement dans les endroits les plus intimes. J'ai aimé lorsqu'il promenait sa langue avec une sensualité inégalable sur mon sexe en remontant avec lenteur de la base jusqu'à sa couronne, me faisant attendre, languir avant d'arriver sur mon gland qu'il contournait dans tous les sens. J'ai aimé lorsque qu'il gémissait alors que ma langue explorait sa raie, depuis ses testicules que je pre-nais en bouche en passant, jusqu'à son petit puit d'amour où ma langue cherchait à s'introduire.
J'ai aimé tout ce qu'il m'a fait et je crois qu'il a aimé tout ce que je lui ai fait.
Lorsque je l'ai quitté, je savais qu'il avait raison, c'est son corps que j'aimais, ce n'était pas le garçon très fin et très intelligeant qui se cachait derrière son charme sexuel.
F I N