11-02-2021, 04:50 PM
et voici la suite
La campagne de pêche se poursuit, l'océan arctique est moins agité que les premiers jours et, surtout, la pêche est bonne, le capitaine et les hommes sont contents car les salaires vont être nettement plus importants que ce qui pouvait être attendu. L'ambiance à bord est nettement plus détendue d'autant que la perspective d'un retour avancé se précise. L'absence de femmes à bord n'est pas facile à supporter et j'ai déjà pu observer des marins se masturbant avec délectation, en fermant les yeux et ne par-venant pas toujours à réfréner leurs gémissements. J'ai pu également surprendre deux marins d'une quarantaine d'années qui faisaient largement plus que ce qui est norma-lement toléré à bord : ils avaient mal tiré le rideau qui aurait dû les cacher et, en rejoi-gnant ma cabine, Sven dormait déjà, je n'ai pu m'empêcher de voir ce que je n'aurais pas dû voir, pire, je me suis arrêté pour discrètement mater les deux corps nus qui prati-quaient une belle fellation, les deux pines étaient tendues à l'extrême, tout comme, je le reconnais, la mienne car moi également j'étais en manque manifeste ; les éjaculations dues au contact du corps de mon aide-cuistot n'étaient suffisantes et de loin, à me sa-tisfaire. Je regardais donc les deux hommes avec envie, mon sexe était largement sorti de mon slip, par ailleurs d'une propreté une peu douteuse, et mon gland se frottait contre la toile rude de mon pantalon. Mon excitation devenait douloureuse, je mouillais généreusement aussi, lorsque je fus découvert et qu'un des hommes me fit signe d'ap-procher, je n'hésitais pas. Je m'approchais d'eux tout en descendant pantalon et slip et ma bite fut immédiatement embouchée, pour ma plus grande satisfaction. Mais la ten-sion était trop forte pour nous trois et, ensemble, très rapidement nous éjaculâmes une quantité impressionnante de sperme, qui dans la bouche qui sur le ventre et, pour moi dans mon malheureux slip. Nous nous fîmes un large sourire de satisfaction réci-proque, qu'est-ce que cela pouvait faire du bien !
Demain, dans l'après-midi, nous accosterions au port de pêche et les terriens se char-geraient de s'occuper de notre récolte. Je n'avais pas encore réfléchi où j'allais crécher car j'avais résilié mon petit studio, par raison d'économie mais j'espérais que je pourrais le réintégrer.
- Sven / dis-voir Antoine, si tu veux tu peux venir chez moi jusqu'à ce que tu trouves un logement, il y a de la place dans ma chambre et je pense que mon père sera ab-sent car à cette époque il travaille à l'extérieur
- Antoine / Ca serait formidable car je ne pense pas rester indéfiniment ici, je veux partir à nouveau à l'aventure
- Sven / Cela ne t'a pas suffi comme aventure cette campagne de pêche ? Moi, en tout cas cela m'a un peu dégoûté, mais heureusement que tu étais là pour me pro-téger car je ne sais pas si j'aurais tenu le coup
- Antoine / ah ah ah, tu aurais appelé un taxi pour rentrer chez toi ?
Le premier soir à terre, il y avait le repas de l'équipage et je vous laisse à penser la dé-bauche que ce fut, des mets de la région mais délicieux et que je ne connaissais pas pour certains et quant aux alcools… Les deux marins qui m'avaient donné du plaisir cherchèrent à m'attirer mais, courageusement, je résistais, je contrôlais encore bien mon état alcoolique et je ne souhaitais pas aller plus loin. J'aperçus Sven qui était visi-blement fatigué, j'en avais assez moi-même de tous ces hommes fortement enivrés en général et qui utilisaient un langage que j'avais de plus en plus de peine à com-prendre. Je rejoignis mon petit cuisinier et nous rentrâmes ensemble chez lui où, comme il l'avait prévu, nous serions seuls. Il était deux heures du matin, le soleil n'était pas couché et une luminosité typiquement nordique donnait au paysage des airs un peu phantasmagoriques, presque inquiétants, nous nous rapprochions l'un de l'autre, comme pour nous donner du courage.
Dans sa chambre, sous le toit, il y avait un lit qui nous attirait, Sven était déjà déshabillé et ne cachait pas ses petites fesses, bien marquées et une raie parfaitement imberbe. Je le regardais avec un certain attendrissement et je me disais que pour la première fois depuis notre embarquement nous aurions suffisamment de place pour dormir sans nous gêner. J'étais en passe d'enlever mon slip, j'en avais mis un propre, Sven me re-gardait fixement : c'est vrai que sur le bateau, la place était tellement limitée qu'il n'avait jamais pu vraiment me voir nu et il en était de même pour moi. Moi aussi, je découvrais un petit sexe, bien recouvert ce qui n'empêchait pas son liquide séminal de marquer son territoire avec une goutte qui n'attendait que de pouvoir tomber. Deux petites couilles dont la peau était tendue à en devenir lisse et sur lesquelles quelques rares poils blonds donnaient comme un relief à cette partie de son corps ; je découvris en le regardant plus attentivement que sa pine portait également quelques poils, toujours aussi blonds et attendrissants. Au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient, j'avais l'impression que nos deux sexes grandissaient à l'unisson, son prépuce déga-geait une petite partie de ce qu'il était censé protéger. Mon excitation grandissante était telle que mon prépuce s'était totalement retiré laissant apparaître mon gland mouillé à tel point que je me demandais si ce n'était pas déjà une trace de sperme. Sven s'était agenouillé devant moi et avant que je ne réalise ce qu'il faisait, je sentis un étui chaud, doux et voluptueux qui m'enrobait. Cela dura quelques secondes lorsque Sven me poussa en arrière sur son lit où je tombais sur le dos, déséquilibré, les jambes large-ment écartées avec au milieu une petite frimousse qui me léchait avec ferveur et effi-cacité. Il avait pris à pleines mains mon trois pièces ce qui lui donnait une vue sur mes fesses, sur ma raie mais surtout sur ma rondelle et son puit d'amour dans lequel Sven avait glissé un doigt qu'il faisait aller et venir avec un mouvement tournant à la limite du supportable tellement le plaisir qu'il me donnait était fort
- Moi / Oh arrête Sven, tu me rends fou… oh oh oh oui, c'est trop bon, attends je veux te faire la même…
- Sven / Pas question, je veux te donner un maximum de plaisir pour te remercier de toute la protection que tu m'a accordée, pour ce sentiment ineffable que j'éprouvais chaque fois que je sentais ta barre dure contre mes fesses, pour le nombre de fois, alors que tu dormais, où j'ai pris en main ton pénis pour ressentir le plaisir d'avoir la main pleine de ta sueur et même, une fois ou deux, pour recueillir ton sperme qui s'écoulait dans ma main. Comme je ne pouvais pas bouger, j'essuyais ma main en étalant ton sperme sur ton ventre. Alors cette dette, je la paye maintenant, si tu veux, tu pourras toujours me rendre la monnaie une autre fois.
Et sur ce, il reprit ses délicieuses caresses, ses délicates intrusions dans cette partie du corps la plus intime qui soit, cette partie que certains considèrent comme sale et hon-teuse, mais qui lorsque l'amour se mêle à ce viol, accepté et même souhaité, devient un supplice de Tantale. Après un moment de ce traitement, j'avertis Sven que j'allais me lâcher, que je n'aurais ni la force et encore moins la volonté de me retenir. Je sen-tais le bouillonnement dans mon bas-ventre, un bouillonnement qui montait toujours plus haut, toujours plus puissant, toujours plus. plus je ne sais quoi, mais que c'était divin. Sven s'accrocha à moi pour que je ne me retire pas, je jutais avec une force comme jamais, mon sexe nageait dans une mer de sperme, dans sa bouche trop petite pour pouvoir contenir toute ma semence de sorte que deux filets s'écoulaient à droite et à gauche. Soudain il me lâchât, ses lèvres se plaquèrent sur les miennes et alors que je dégustais mon propre jus, je sentis un violent spasme contre mon ventre, Sven se déversait dans un râle de plaisir. Nous ne sommes pas allés prendre de douches, nous étions trop exténués et de respirer nos effluves masculines étaient trop jouissifs. Je m'endormis en me disant que le petit Sven avait de grands talents cachés qu'il savait merveilleusement bien utiliser lorsqu'il en avait envie, et il en avait véritablement eu envie cette nuit.
Au petit matin, je me suis rendu à la Capitainerie où je retrouvais tout l'équipage, per-sonne n'aurait voulu raté ce moment, celui de la répartition de la vente du poisson. A ma grande surprise, au lieu de recevoir le forfait qui avait été fixé, un des marins, celui m'avait fait une fellation, proposa que j'aie droit à la même répartition que tout le monde ce qui fut accepté par de vives acclamations : pour moi, c'était presque la richesse. Tout le monde regretta que je ne rempile pas pour une nouvelle expédition. Sven reçut sa part, divisée par deux vu son jeune âge. On ne lui a pas proposé de rempiler.
J'avais déniché un emploi dans la Laponie suédoise comme traducteur et, accessoire-ment, comme guide pour les touristes désireux de découvrir la froidure de cette magni-fique région où le thermomètre descend régulièrement à moins vingt degrés, voire plus. Une fois de plus, ma connaissance des langues avait été déterminante pour cette en-gagement assez bien payé sans parler des pourboires consistants que les touristes payaient volontiers. On m'avait averti que l'hiver serait rude tant par le froid, les quanti-tés de neige et le blizzard qui soufflait régulièrement mais que j'aurais droit à un équi-pement approprié pour me protéger.
Trois jours avant de quitter le petit village où habitait Sven, j'entendis le ronflement d'une grosse moto qui s'arrête devant la porte de la maison : C'était Samuel, ce moni-teur du camp d'été auquel j'avais participé il y a quelque années et qui avait eu des ap-proches que je considérais à l'époque comme répréhensibles. Mais j'avais évolué, j'avais vécu de nombreuses expériences masculines, avec des jeunes et des moins jeunes, avec même un très jeune comme mon petit Sven. Et malgré cette connaissance que j'avais de l'amour entre hommes, les actes de Samuel, pourtant bien innocents quand j'y pense, me révulsaient. Je m'efforçait malgré tout de l'accueillir gentiment alors qu'il avait appris que je vivais dans cette région et qu'il avait trouvé sympa de faire un petit détours pour me voir. Sven, en parfaite innocence, lui offrit un lit dans la chambre d'ami, celle que j'aurais normalement dû occupé moi-même. Le soir, Sven voulu nous laissé aller sans lui à un bon petit restaurant de poissons, car il ne com-prendrait rien à notre charabia français mais Samuel insista pour qu'il nous accom-pagne. Je remarquais que Samuel regardait Sven d'une manière particulière, il lui fai-sait des compliments que je traduisais sur la beauté de son corps, il lui passa à plu-sieurs reprises la main dans sa chevelure blonde ; je n'y accordais pas plus d'attention car je savais Samuel très tactile et surtout il m'avait confié qu'il avait achevé il y a moins de deux ans des études de pasteur protestant. Nous sommes rentrés tous les trois à la maison, un peu guilleret il est vrai et nous sommes allés nous coucher, Samuel dans la chambre qui lui avait été attribuée et Sven et moi ensemble comme nous en avions pris l'habitude.
La campagne de pêche se poursuit, l'océan arctique est moins agité que les premiers jours et, surtout, la pêche est bonne, le capitaine et les hommes sont contents car les salaires vont être nettement plus importants que ce qui pouvait être attendu. L'ambiance à bord est nettement plus détendue d'autant que la perspective d'un retour avancé se précise. L'absence de femmes à bord n'est pas facile à supporter et j'ai déjà pu observer des marins se masturbant avec délectation, en fermant les yeux et ne par-venant pas toujours à réfréner leurs gémissements. J'ai pu également surprendre deux marins d'une quarantaine d'années qui faisaient largement plus que ce qui est norma-lement toléré à bord : ils avaient mal tiré le rideau qui aurait dû les cacher et, en rejoi-gnant ma cabine, Sven dormait déjà, je n'ai pu m'empêcher de voir ce que je n'aurais pas dû voir, pire, je me suis arrêté pour discrètement mater les deux corps nus qui prati-quaient une belle fellation, les deux pines étaient tendues à l'extrême, tout comme, je le reconnais, la mienne car moi également j'étais en manque manifeste ; les éjaculations dues au contact du corps de mon aide-cuistot n'étaient suffisantes et de loin, à me sa-tisfaire. Je regardais donc les deux hommes avec envie, mon sexe était largement sorti de mon slip, par ailleurs d'une propreté une peu douteuse, et mon gland se frottait contre la toile rude de mon pantalon. Mon excitation devenait douloureuse, je mouillais généreusement aussi, lorsque je fus découvert et qu'un des hommes me fit signe d'ap-procher, je n'hésitais pas. Je m'approchais d'eux tout en descendant pantalon et slip et ma bite fut immédiatement embouchée, pour ma plus grande satisfaction. Mais la ten-sion était trop forte pour nous trois et, ensemble, très rapidement nous éjaculâmes une quantité impressionnante de sperme, qui dans la bouche qui sur le ventre et, pour moi dans mon malheureux slip. Nous nous fîmes un large sourire de satisfaction réci-proque, qu'est-ce que cela pouvait faire du bien !
Demain, dans l'après-midi, nous accosterions au port de pêche et les terriens se char-geraient de s'occuper de notre récolte. Je n'avais pas encore réfléchi où j'allais crécher car j'avais résilié mon petit studio, par raison d'économie mais j'espérais que je pourrais le réintégrer.
- Sven / dis-voir Antoine, si tu veux tu peux venir chez moi jusqu'à ce que tu trouves un logement, il y a de la place dans ma chambre et je pense que mon père sera ab-sent car à cette époque il travaille à l'extérieur
- Antoine / Ca serait formidable car je ne pense pas rester indéfiniment ici, je veux partir à nouveau à l'aventure
- Sven / Cela ne t'a pas suffi comme aventure cette campagne de pêche ? Moi, en tout cas cela m'a un peu dégoûté, mais heureusement que tu étais là pour me pro-téger car je ne sais pas si j'aurais tenu le coup
- Antoine / ah ah ah, tu aurais appelé un taxi pour rentrer chez toi ?
Le premier soir à terre, il y avait le repas de l'équipage et je vous laisse à penser la dé-bauche que ce fut, des mets de la région mais délicieux et que je ne connaissais pas pour certains et quant aux alcools… Les deux marins qui m'avaient donné du plaisir cherchèrent à m'attirer mais, courageusement, je résistais, je contrôlais encore bien mon état alcoolique et je ne souhaitais pas aller plus loin. J'aperçus Sven qui était visi-blement fatigué, j'en avais assez moi-même de tous ces hommes fortement enivrés en général et qui utilisaient un langage que j'avais de plus en plus de peine à com-prendre. Je rejoignis mon petit cuisinier et nous rentrâmes ensemble chez lui où, comme il l'avait prévu, nous serions seuls. Il était deux heures du matin, le soleil n'était pas couché et une luminosité typiquement nordique donnait au paysage des airs un peu phantasmagoriques, presque inquiétants, nous nous rapprochions l'un de l'autre, comme pour nous donner du courage.
Dans sa chambre, sous le toit, il y avait un lit qui nous attirait, Sven était déjà déshabillé et ne cachait pas ses petites fesses, bien marquées et une raie parfaitement imberbe. Je le regardais avec un certain attendrissement et je me disais que pour la première fois depuis notre embarquement nous aurions suffisamment de place pour dormir sans nous gêner. J'étais en passe d'enlever mon slip, j'en avais mis un propre, Sven me re-gardait fixement : c'est vrai que sur le bateau, la place était tellement limitée qu'il n'avait jamais pu vraiment me voir nu et il en était de même pour moi. Moi aussi, je découvrais un petit sexe, bien recouvert ce qui n'empêchait pas son liquide séminal de marquer son territoire avec une goutte qui n'attendait que de pouvoir tomber. Deux petites couilles dont la peau était tendue à en devenir lisse et sur lesquelles quelques rares poils blonds donnaient comme un relief à cette partie de son corps ; je découvris en le regardant plus attentivement que sa pine portait également quelques poils, toujours aussi blonds et attendrissants. Au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient, j'avais l'impression que nos deux sexes grandissaient à l'unisson, son prépuce déga-geait une petite partie de ce qu'il était censé protéger. Mon excitation grandissante était telle que mon prépuce s'était totalement retiré laissant apparaître mon gland mouillé à tel point que je me demandais si ce n'était pas déjà une trace de sperme. Sven s'était agenouillé devant moi et avant que je ne réalise ce qu'il faisait, je sentis un étui chaud, doux et voluptueux qui m'enrobait. Cela dura quelques secondes lorsque Sven me poussa en arrière sur son lit où je tombais sur le dos, déséquilibré, les jambes large-ment écartées avec au milieu une petite frimousse qui me léchait avec ferveur et effi-cacité. Il avait pris à pleines mains mon trois pièces ce qui lui donnait une vue sur mes fesses, sur ma raie mais surtout sur ma rondelle et son puit d'amour dans lequel Sven avait glissé un doigt qu'il faisait aller et venir avec un mouvement tournant à la limite du supportable tellement le plaisir qu'il me donnait était fort
- Moi / Oh arrête Sven, tu me rends fou… oh oh oh oui, c'est trop bon, attends je veux te faire la même…
- Sven / Pas question, je veux te donner un maximum de plaisir pour te remercier de toute la protection que tu m'a accordée, pour ce sentiment ineffable que j'éprouvais chaque fois que je sentais ta barre dure contre mes fesses, pour le nombre de fois, alors que tu dormais, où j'ai pris en main ton pénis pour ressentir le plaisir d'avoir la main pleine de ta sueur et même, une fois ou deux, pour recueillir ton sperme qui s'écoulait dans ma main. Comme je ne pouvais pas bouger, j'essuyais ma main en étalant ton sperme sur ton ventre. Alors cette dette, je la paye maintenant, si tu veux, tu pourras toujours me rendre la monnaie une autre fois.
Et sur ce, il reprit ses délicieuses caresses, ses délicates intrusions dans cette partie du corps la plus intime qui soit, cette partie que certains considèrent comme sale et hon-teuse, mais qui lorsque l'amour se mêle à ce viol, accepté et même souhaité, devient un supplice de Tantale. Après un moment de ce traitement, j'avertis Sven que j'allais me lâcher, que je n'aurais ni la force et encore moins la volonté de me retenir. Je sen-tais le bouillonnement dans mon bas-ventre, un bouillonnement qui montait toujours plus haut, toujours plus puissant, toujours plus. plus je ne sais quoi, mais que c'était divin. Sven s'accrocha à moi pour que je ne me retire pas, je jutais avec une force comme jamais, mon sexe nageait dans une mer de sperme, dans sa bouche trop petite pour pouvoir contenir toute ma semence de sorte que deux filets s'écoulaient à droite et à gauche. Soudain il me lâchât, ses lèvres se plaquèrent sur les miennes et alors que je dégustais mon propre jus, je sentis un violent spasme contre mon ventre, Sven se déversait dans un râle de plaisir. Nous ne sommes pas allés prendre de douches, nous étions trop exténués et de respirer nos effluves masculines étaient trop jouissifs. Je m'endormis en me disant que le petit Sven avait de grands talents cachés qu'il savait merveilleusement bien utiliser lorsqu'il en avait envie, et il en avait véritablement eu envie cette nuit.
Au petit matin, je me suis rendu à la Capitainerie où je retrouvais tout l'équipage, per-sonne n'aurait voulu raté ce moment, celui de la répartition de la vente du poisson. A ma grande surprise, au lieu de recevoir le forfait qui avait été fixé, un des marins, celui m'avait fait une fellation, proposa que j'aie droit à la même répartition que tout le monde ce qui fut accepté par de vives acclamations : pour moi, c'était presque la richesse. Tout le monde regretta que je ne rempile pas pour une nouvelle expédition. Sven reçut sa part, divisée par deux vu son jeune âge. On ne lui a pas proposé de rempiler.
J'avais déniché un emploi dans la Laponie suédoise comme traducteur et, accessoire-ment, comme guide pour les touristes désireux de découvrir la froidure de cette magni-fique région où le thermomètre descend régulièrement à moins vingt degrés, voire plus. Une fois de plus, ma connaissance des langues avait été déterminante pour cette en-gagement assez bien payé sans parler des pourboires consistants que les touristes payaient volontiers. On m'avait averti que l'hiver serait rude tant par le froid, les quanti-tés de neige et le blizzard qui soufflait régulièrement mais que j'aurais droit à un équi-pement approprié pour me protéger.
Trois jours avant de quitter le petit village où habitait Sven, j'entendis le ronflement d'une grosse moto qui s'arrête devant la porte de la maison : C'était Samuel, ce moni-teur du camp d'été auquel j'avais participé il y a quelque années et qui avait eu des ap-proches que je considérais à l'époque comme répréhensibles. Mais j'avais évolué, j'avais vécu de nombreuses expériences masculines, avec des jeunes et des moins jeunes, avec même un très jeune comme mon petit Sven. Et malgré cette connaissance que j'avais de l'amour entre hommes, les actes de Samuel, pourtant bien innocents quand j'y pense, me révulsaient. Je m'efforçait malgré tout de l'accueillir gentiment alors qu'il avait appris que je vivais dans cette région et qu'il avait trouvé sympa de faire un petit détours pour me voir. Sven, en parfaite innocence, lui offrit un lit dans la chambre d'ami, celle que j'aurais normalement dû occupé moi-même. Le soir, Sven voulu nous laissé aller sans lui à un bon petit restaurant de poissons, car il ne com-prendrait rien à notre charabia français mais Samuel insista pour qu'il nous accom-pagne. Je remarquais que Samuel regardait Sven d'une manière particulière, il lui fai-sait des compliments que je traduisais sur la beauté de son corps, il lui passa à plu-sieurs reprises la main dans sa chevelure blonde ; je n'y accordais pas plus d'attention car je savais Samuel très tactile et surtout il m'avait confié qu'il avait achevé il y a moins de deux ans des études de pasteur protestant. Nous sommes rentrés tous les trois à la maison, un peu guilleret il est vrai et nous sommes allés nous coucher, Samuel dans la chambre qui lui avait été attribuée et Sven et moi ensemble comme nous en avions pris l'habitude.