02-02-2021, 04:37 PM
Petite suite avant le final...
- Antoine / Tu sais, je suis conscient que l'abstinence que je t'impose de fait doit être pour toi un vrai supplice et je m'en excuse vraiment mais dit-toi que j'en souffre également
- Hector / Oui, c'est vrai que c'est parfois dur d'être à tes côtés, de savoir que tu bandes comme moi et de ne pas pouvoir assouvir cette tension de manière plus franche, plus directe. Mais je connais tes raisons, je les comprends et donc je les respecte mais Antoine, cela ne peut pas durer ni pour moi ni pour toi, tu ne peux pas réserver toute ta vie pour ce garçon qui t'a apparemment oublié. Tu dois te prendre en main et faire ta vie en pensant à toi… et un peu à moi également
- Moi / Je suis d'accord, je crois que je vais être prêt mais je dois t'avouer quelque chose, et cela me gêne un peu de te le dire, en fait je suis puceau car avec Pierre nous n'avons jamais rien fait d'autre que des branlettes, comme tous les jeunes, qu'ils soient gays ou hétéros
- Hector / [un peu surpris et riant] ça je l'aurais jamais pensé mais, rassure-toi j'irai doucement parce que, moi aussi, je suis innocent !
- Moi / Alors c'est ensemble que nous découvrirons le plaisir de la sexualité mais, j'espère, surtout celui de la sensualité car je pense que, pour l’instant, je préfère être homosensuel qu'homosexuel, ce qui n'empêchera rien, rassure-toi !
Cette mise au point faite, il s'est bien passé une quinzaine de jours avant que nous nous lancions dans la découverte de nos corps, même si, dormant tous les deux nus et dans le même lit, nous ne serions pas vraiment surpris le moment venu.
C'était mon tour de monter au Village, il neigeait depuis deux jours et faisait très froid : nous nous sentions bien au chaud dans le petit nid de mon appartement en prenant un apéritif après avoir fait une bonne marche dans la tourmente. Un beau feu de cheminée brulait et nous regardions le jeu des flammes, confortablement assis sur le canapé, nous n'avions pas allumé l'électricité, l'atmosphère était particulière, comme mystique.
Sans m'en rendre compte, ma tête était blottie dans le creux de l'épaule d'Hector. J'entendais les battements de son cœur qui, par moment, se confondaient avec mes propres pulsations cardiaques. Insensiblement nos têtes se rapprochaient, nous réalisions que quelque chose allait se produire, que ce pas dont nous avions envie depuis longtemps allait être franchi, que cette barrière psychique qui me bloquait allait se lever. Nos cheveux se mélangeaient déjà, je sentais un souffle chaud et humide qui m'arrivait sur le visage, je respirais une odeur, la sienne, que je ne connaissais pas encore mais qui, déjà, m'enivrait.
Le temps n'existait plus, la distance était abolie, nos lèvres venaient de faire connaissance, timidement d'abord puis plus sûres d'elles-mêmes. Imperceptiblement, nos lèvres s'ouvrirent, avec prudence car en terrain inconnu, permettant un tout premier contact de nos langues qui, surprises, envoyèrent comme une décharge à nos corps pour les avertir de cette promesse de découvertes. Le bal va pouvoir commencer, je suis à moitié couché sur sa poitrine, sa main m'entoure à la hauteur des fesses alors que la mienne s'est calée sur sa hanche, juste au-dessus de l'élastique de son slip qui laisse entrevoir un morceau de peau : elle a l'air si douce cette peau.
Nous sommes parfaitement immobiles sauf nos sexes qui vont bientôt se trouver à l'étroit dans leurs prisons de tissu. Sauf aussi nos bouches qui ne s'opposent plus au contact de nos langues, encore très timides, à peine une très légère caresse qui suffit à nous envoyer, à nouveau, une décharge plus ciblée cette fois, me semble-t-il, sur mon bas-ventre. Nous sommes toujours habillés avec pullovers, chemises et pantalons. Un peu hypocrite, Hector enlève son pull en déclarant qu'il fait vraiment chaud dans cette pièce, j'en fais de même peu après. Nos langues sont de plus en plus audacieuses. Les trois premiers boutons de la chemise d'Hector sont défaits, je vois sa poitrine presque imberbe, comme si c'était la première fois alors que nous dormons nus, ma main a quitté sa hanche comme si elle recherchait un endroit plus convivial, plus doux, endroit qu'elle trouve entre ses deux tétons fermement érigés. D'immobile, ma main s'égare, elle prend un des tétons qu'elle excite par de subtiles caresses, l'autre téton réclame sa part, ma main passe de l'un à l'autre. Mon sexe est dur. Je sens que la barrière de mon pantalon a cédé et qu'une main, qui n'est pas la mienne, découvre, en passant de l'un à l'autre, deux monts séparés par une profonde vallée, mais sans oser encore descendre dans ces profondeurs mystérieuses. Mon sexe est toujours plus dur, je réalise qu'il doit être humide. Ma jambe heurte une barre qui n'existait pas il a y un moment : curieux comme le corps peut rapidement évolué !
Je n'ai pas de chat et pourtant je surprends un ronronnement. Ma main, sans rien me demander, a déménagé de plusieurs étages, elle s'est posée à proximité d'une zone très bien protégée mais semble-t-il bien légère pour un explorateur audacieux. La découverte de ma vallée a débuté mais le brouillard (mon slip !) limite les audaces, tout ce qui est gouffre est soigneusement évité. Je suis vraiment très dur, je ne suis plus humide mais mouillé. Ma main a brisé l'une des défenses essentielles en trouvant le système d'ouverture de la braguette et en faisant sauter les boutons alentours : un slip blanc se dévoile, une tache sur le devant laisse supposer que la situation est semblable à la mienne. Je ne tiens plus, je descends moi-même l'ouverture de mon pantalon et je commence même à descendre celui-ci : je n'aurai qu'à me soulever lorsqu'Hector décidera de l'enlever. Il sourit en découvrant le gros relief qui se cache encore dans mon sous-vêtement et au bout duquel un dessin plus précis se détache grâce au liquide séminal qui m'inonde.
Le monde est en train de culbuter lorsque soudain, nous nous levons et, très sensuellement, chacun déshabille l'autre ; nous n'avons plus que nos slips, la situation est très sexy car on ne voit rien mais on devine tout, tout est suggéré. Le premier, je baisse ce dernier morceau de tissu et je l'enlève, je suis nu devant Hector qui me regarde comme s'il ne m'avait jamais vu ; à son tour, il enlève son ultime et illusoire protection, je le regarde comme si je ne l'avais jamais vu. Et c'est vrai, nous ne nous sommes jamais vus avec ce désir qui a maintenant pris possession de nous, avec cette envie de caresser, de palper, de humer nos corps dans leurs moindres recoins.
Hector profite de remettre du bois dans le feu, il se penche, je vois ses fesses si attirantes, sa vallée à lui avec une petite ouverture qu'un jour, je le sais, je visiterai. Hector s'est redressé et réalise tout ce qu'il m'a dévoilé, son sexe a une crise de spasmes alors que mon gland est brillant et suintant. Nous savons que le point de non-retour est atteint, debouts nous nous serrons l'un contre l'autre, nos sexes n'en finissent pas de s'agiter depuis qu'ils sont collés ensemble et soudain c'est l'éblouissement, nos spermes giclent en même temps contre nos ventres qui ne font qu'un, nous perdons presque connaissance tellement le moment est violent, sublime, hors de tout ce que nous pouvions imaginer. Lorsque nous revenons à nous et retrouvons un semblant d'équilibre, nos spermes mélangés deviennent notre sperme commun, nous le sentons qui coule sur nos testicules, le long de nos jambes ; c'est tellement bon ! Je hume et me délecte de cette odeur si caractéristique chez les jeunes gens en mal d'amour, je crois qu'Hector en fait autant.
Pour la première fois, nos sexes, d'instruments de travail pour la vidange obligatoire sont devenus des organes de pure volupté, de pur bonheur. Nous sommes heureux, nous sommes ensemble et comblés, notre avenir sexuel est devant nous pour en découvrir toutes les facettes, notre avenir tout court nous appartient pour en faire ce que nous voudrons.
- Antoine / Tu sais, je suis conscient que l'abstinence que je t'impose de fait doit être pour toi un vrai supplice et je m'en excuse vraiment mais dit-toi que j'en souffre également
- Hector / Oui, c'est vrai que c'est parfois dur d'être à tes côtés, de savoir que tu bandes comme moi et de ne pas pouvoir assouvir cette tension de manière plus franche, plus directe. Mais je connais tes raisons, je les comprends et donc je les respecte mais Antoine, cela ne peut pas durer ni pour moi ni pour toi, tu ne peux pas réserver toute ta vie pour ce garçon qui t'a apparemment oublié. Tu dois te prendre en main et faire ta vie en pensant à toi… et un peu à moi également
- Moi / Je suis d'accord, je crois que je vais être prêt mais je dois t'avouer quelque chose, et cela me gêne un peu de te le dire, en fait je suis puceau car avec Pierre nous n'avons jamais rien fait d'autre que des branlettes, comme tous les jeunes, qu'ils soient gays ou hétéros
- Hector / [un peu surpris et riant] ça je l'aurais jamais pensé mais, rassure-toi j'irai doucement parce que, moi aussi, je suis innocent !
- Moi / Alors c'est ensemble que nous découvrirons le plaisir de la sexualité mais, j'espère, surtout celui de la sensualité car je pense que, pour l’instant, je préfère être homosensuel qu'homosexuel, ce qui n'empêchera rien, rassure-toi !
Cette mise au point faite, il s'est bien passé une quinzaine de jours avant que nous nous lancions dans la découverte de nos corps, même si, dormant tous les deux nus et dans le même lit, nous ne serions pas vraiment surpris le moment venu.
C'était mon tour de monter au Village, il neigeait depuis deux jours et faisait très froid : nous nous sentions bien au chaud dans le petit nid de mon appartement en prenant un apéritif après avoir fait une bonne marche dans la tourmente. Un beau feu de cheminée brulait et nous regardions le jeu des flammes, confortablement assis sur le canapé, nous n'avions pas allumé l'électricité, l'atmosphère était particulière, comme mystique.
Sans m'en rendre compte, ma tête était blottie dans le creux de l'épaule d'Hector. J'entendais les battements de son cœur qui, par moment, se confondaient avec mes propres pulsations cardiaques. Insensiblement nos têtes se rapprochaient, nous réalisions que quelque chose allait se produire, que ce pas dont nous avions envie depuis longtemps allait être franchi, que cette barrière psychique qui me bloquait allait se lever. Nos cheveux se mélangeaient déjà, je sentais un souffle chaud et humide qui m'arrivait sur le visage, je respirais une odeur, la sienne, que je ne connaissais pas encore mais qui, déjà, m'enivrait.
Le temps n'existait plus, la distance était abolie, nos lèvres venaient de faire connaissance, timidement d'abord puis plus sûres d'elles-mêmes. Imperceptiblement, nos lèvres s'ouvrirent, avec prudence car en terrain inconnu, permettant un tout premier contact de nos langues qui, surprises, envoyèrent comme une décharge à nos corps pour les avertir de cette promesse de découvertes. Le bal va pouvoir commencer, je suis à moitié couché sur sa poitrine, sa main m'entoure à la hauteur des fesses alors que la mienne s'est calée sur sa hanche, juste au-dessus de l'élastique de son slip qui laisse entrevoir un morceau de peau : elle a l'air si douce cette peau.
Nous sommes parfaitement immobiles sauf nos sexes qui vont bientôt se trouver à l'étroit dans leurs prisons de tissu. Sauf aussi nos bouches qui ne s'opposent plus au contact de nos langues, encore très timides, à peine une très légère caresse qui suffit à nous envoyer, à nouveau, une décharge plus ciblée cette fois, me semble-t-il, sur mon bas-ventre. Nous sommes toujours habillés avec pullovers, chemises et pantalons. Un peu hypocrite, Hector enlève son pull en déclarant qu'il fait vraiment chaud dans cette pièce, j'en fais de même peu après. Nos langues sont de plus en plus audacieuses. Les trois premiers boutons de la chemise d'Hector sont défaits, je vois sa poitrine presque imberbe, comme si c'était la première fois alors que nous dormons nus, ma main a quitté sa hanche comme si elle recherchait un endroit plus convivial, plus doux, endroit qu'elle trouve entre ses deux tétons fermement érigés. D'immobile, ma main s'égare, elle prend un des tétons qu'elle excite par de subtiles caresses, l'autre téton réclame sa part, ma main passe de l'un à l'autre. Mon sexe est dur. Je sens que la barrière de mon pantalon a cédé et qu'une main, qui n'est pas la mienne, découvre, en passant de l'un à l'autre, deux monts séparés par une profonde vallée, mais sans oser encore descendre dans ces profondeurs mystérieuses. Mon sexe est toujours plus dur, je réalise qu'il doit être humide. Ma jambe heurte une barre qui n'existait pas il a y un moment : curieux comme le corps peut rapidement évolué !
Je n'ai pas de chat et pourtant je surprends un ronronnement. Ma main, sans rien me demander, a déménagé de plusieurs étages, elle s'est posée à proximité d'une zone très bien protégée mais semble-t-il bien légère pour un explorateur audacieux. La découverte de ma vallée a débuté mais le brouillard (mon slip !) limite les audaces, tout ce qui est gouffre est soigneusement évité. Je suis vraiment très dur, je ne suis plus humide mais mouillé. Ma main a brisé l'une des défenses essentielles en trouvant le système d'ouverture de la braguette et en faisant sauter les boutons alentours : un slip blanc se dévoile, une tache sur le devant laisse supposer que la situation est semblable à la mienne. Je ne tiens plus, je descends moi-même l'ouverture de mon pantalon et je commence même à descendre celui-ci : je n'aurai qu'à me soulever lorsqu'Hector décidera de l'enlever. Il sourit en découvrant le gros relief qui se cache encore dans mon sous-vêtement et au bout duquel un dessin plus précis se détache grâce au liquide séminal qui m'inonde.
Le monde est en train de culbuter lorsque soudain, nous nous levons et, très sensuellement, chacun déshabille l'autre ; nous n'avons plus que nos slips, la situation est très sexy car on ne voit rien mais on devine tout, tout est suggéré. Le premier, je baisse ce dernier morceau de tissu et je l'enlève, je suis nu devant Hector qui me regarde comme s'il ne m'avait jamais vu ; à son tour, il enlève son ultime et illusoire protection, je le regarde comme si je ne l'avais jamais vu. Et c'est vrai, nous ne nous sommes jamais vus avec ce désir qui a maintenant pris possession de nous, avec cette envie de caresser, de palper, de humer nos corps dans leurs moindres recoins.
Hector profite de remettre du bois dans le feu, il se penche, je vois ses fesses si attirantes, sa vallée à lui avec une petite ouverture qu'un jour, je le sais, je visiterai. Hector s'est redressé et réalise tout ce qu'il m'a dévoilé, son sexe a une crise de spasmes alors que mon gland est brillant et suintant. Nous savons que le point de non-retour est atteint, debouts nous nous serrons l'un contre l'autre, nos sexes n'en finissent pas de s'agiter depuis qu'ils sont collés ensemble et soudain c'est l'éblouissement, nos spermes giclent en même temps contre nos ventres qui ne font qu'un, nous perdons presque connaissance tellement le moment est violent, sublime, hors de tout ce que nous pouvions imaginer. Lorsque nous revenons à nous et retrouvons un semblant d'équilibre, nos spermes mélangés deviennent notre sperme commun, nous le sentons qui coule sur nos testicules, le long de nos jambes ; c'est tellement bon ! Je hume et me délecte de cette odeur si caractéristique chez les jeunes gens en mal d'amour, je crois qu'Hector en fait autant.
Pour la première fois, nos sexes, d'instruments de travail pour la vidange obligatoire sont devenus des organes de pure volupté, de pur bonheur. Nous sommes heureux, nous sommes ensemble et comblés, notre avenir sexuel est devant nous pour en découvrir toutes les facettes, notre avenir tout court nous appartient pour en faire ce que nous voudrons.