30-01-2021, 12:05 PM
Benoît me regarde et puis il me demande si je suis d’accord de prendre la douche avec lui. Je n’en revenais pas. J’avais envie de voir mon voisin de chambre dans le plus simple appareil. Je lui avais dit qu’il n’y avait aucun souci. Nous nous étions mis nus et nous avions pris place dans la grande douche. En fait elle pouvait servir pour des personnes à mobilité réduite. Puis c’était bien car il y avait des barres partout pour pouvoir se tenir. Je devais aussi faire attention car j’étais assez faible sur mes jambes, mes muscles avaient fondus durant toute la période où je me trouvais dans le coma.
Benoît était splendide, c’était un adonis. Il avait un sexe plus gros et plus long que le mien. Il avait toujours son prépuce, comme moi aussi. Il avait les couilles d’une taille assez honorable. Ses fesses étaient super bien galbées, et puis sa bouche était, comment dire, pulpeuse à souhait. J’aurai bien déposé mes lèvres sur les siennes. Bon restons calme, j’avais déjà une semi-bandaison. En y regardant bien Benoît également. Nous nous étions savonnés. Benoît me demandait si je pouvais faire son dos. J’avais tout de suite accepté en lui demandant de faire le mien par la suite.
Mon sexe ayant repris sa dimension initiale, j’avais entrepris de nettoyer mon gland, j’avais décalotté mon gland et je l’avais nettoyé avec du savon. Benoît me regardait faire les yeux grands ouverts et étonné. Je lui avais demandé ce qui se passait et Benoît m’expliquait :
Ben : « Eh, Phil, tu sais décalotter ton pénis pour laver ton gland sans problème.
Moi : Oui, je le fais tous les jours. Pourquoi tu demandes ça ?
Ben : Je n’y arrive pas facilement. Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Regarde, tu t’y prends doucement, entre tes deux doigts tu fais rouler ton prépuce et puis tu laisses sortir le gland. C’est comme tu m’as vu faire.
Ben : Oh, je vais essayer. »
Benoît s’appliquait, mais son gland avait difficile à sortir. Je lui avais expliqué qu’il devait le faire tous jour pour ne pas avoir de problème pour les relations sexuelles à venir. Benoît s’était mis à rire mais il était rouge pivoine. J’avais ajouté que c’était aussi bien mieux au point de vue hygiène.
Une fois la douche terminée, nous nous étions séchés. Nous avions regagné la chambre et nous nous étions couchés dans nos lits. J’étais resté nu car Alex devait venir mettre ma couche pour la nuit. Il semble que c’étaient plutôt des langes. Benoît lui aussi était resté nu. Je me demandais pourquoi. Puis Benoît me regardait avec insistance, sans rien dire. Je lui posais alors la question :
Moi : « Il y a quelque chose qui ne va pas.
Ben : Ben, non, mais tu sais le soir, souvent je …me ..
Moi : Ah, oui, j’ai compris, tu te branles.
Ben : Oui, mais comme tu es là, je n’ose pas.
Moi : Oh, ne t’inquiètes pas, moi aussi je me masturbe. Tu sais à notre âge c’est tout les jours. »
Ma queue était déjà mi bandée, il n’a pas fallu plus de trois ou quatre va et vient pour qu’elle prenne sa position verticale, direction le plafond. Benoît s’y était lui aussi mis à prendre son sexe en main. Nous voilà tous les deux occupés à nous branler dans la chambre. Nous nous regardions l’un l’autre, nous nous observions ou plutôt nous regardions le sexe de notre voisin.
Cela faisait plus de trois semaines que je ne m’étais pas masturbé, j’avais très vite éjaculé. Six jets de sperme sont venus s’écraser sur mon torse. Dès que Benoît m’avait vu juter, il avait lui aussi de son côté laisser partir cinq longs jets sur son ventre.
J’étais heureux. J’avais un voisin de chambre au top, il était scout, il n’hésitait pas à se branler et il était super sympa.
Nous nous étions essuyés avec des mouchoirs en papiers.
Quelques minutes plus tard Alex entrait dans la chambre. Il nous regardait puis il nous a dit :
Inf : « Hum, hum, ça sent le foutre dans cette chambre. J’espère que vous n’avez pas trop salopé vos draps !
Alex avait un large sourire en disant ça.
Ben : Ohé, mais non Alex, on a fait attention. Je te l’avais dit Phil qu’Alex était super sympa.
Inf : Eh Phil, tu sais, je suis ici depuis plus de 10 ans et je sais que les ados ont besoin de se satisfaire. Je l’avais dit à Benoît et j’étais certain qu’il passerait le mot. Alors il ne faut pas avoir honte, c’est dans la normale des choses.
Moi : Merci Alex, tu est super. »
Alex me présenta un lange. Il me demanda de m’allonger, de relever et d’écarter un peu les jambes. Il mit un peu de talc sur mon service trois pièces et la raie du cul et il referma le lange. Benoît avait assisté à la scène sans dire un mot. J’étais prêt pour la nuit.
Benoît m’a souhaité une très bonne nuit et moi de mon côté j’avais fait de même.
Au matin, c'est-à-dire vers 06h35, je m’étais réveillé. J’avais passé une excellente nuit. Benoît était encore endormi et je l’avais laissé dormir. Je m’étais aperçu que mon lange était plein d’urine. Je m’étais alors levé pour le retirer. Je m’étais remis dans mon lit, nu comme un ver.
Je le regardais, sa tignasse blonde en éventail sur l’oreiller. Il était beau comme un dieu. Ne fusse que de le regarder, j’avais la gaule. J’étais tombé amoureux de Benoît. Mais, était-il gay, je n’en savais rien. Il fallait que je sache, car dans quelques jours il allait quitter l’hôpital.
Finalement Benoît avait ouvert un œil. Tout de suite je lui ai souri en lui disant bonjour.
Benoît m’avait alors souri à son tour, il était rayonnant avec son sourire, c’était un ange.
Ben : « Alors Phil, tu es en train de me regarder, tu m’observais.
Moi : Heu, bien oui, je trouvais que tes cheveux étaient splendides éparpillés sur l’oreiller.
Ben : Oui, c’est ça ! Tu me matais, c’est plutôt ça.
Moi : Mais non, ce n’est qu’une impression. »
Voilà les petits déjeuners. Nous avions mangé d’un bon appétit. Puis après une douche nous nous étions habillés pour la séance de kiné. J’avais au préalable mis un lange pour éviter d’inonder mon pantalon de training.
La séance de kiné s’était déroulée de la meilleure des façons. J’arrivais à faire tous les exercices sans trop de difficultés. Benoît lui aussi avait fait beaucoup de progrès.
En rentrant en chambre, je m’étais rendu compte que le lange était sec. J’étais content. Benoît l’avait aussi remarqué, il m’en avait fait part et il m’avait dit que j’étais sur le bon chemin.
La matinée était presque finie. On nous apportait déjà le déjeuner. Nous avions mangé sans trop d’appétit, la nourriture n’était des meilleures. Nous avions dû nous forcer. Juste le dessert était bon.
Après le repas, je m’étais un peu assoupi. C’était la fatigue de la kiné.
Après une grosse demi-heure j’avais ouvert un œil. J’avais directement vu que Benoît m’observait. Je lui avais alors dit « Salut ». Benoît a alors piqué un phare. Je me demandais si Benoît n’était pas gay. J’en étais de plus en plus certain. Bref il restait deux ou trois jours pour en savoir plus.
A 13h45 j’étais chez la psy. Cette séance a été très positive, j’avais pu faire le point et mettre des mots sur des impressions, sur des idées non encore épanouies. J’avais l’impression de grandir, de progresser. Je pouvais réfléchir et me poser les bonnes questions.
De retour en chambre, vers 14h30 alors que je bavardais avec Ben, j’avais vu sa tête me montrer la porte de la chambre. Je m’étais retourné et il y avait dans l’embrasure de la porte Anne et Jean. Mes yeux s’étaient embués en les voyants. Les deux visiteurs s’étaient approchés de moi et je m’étais mis à pleurer. Il y avait quatre bras qui m’enlaçaient. Cela a duré cinq bonnes minutes. Benoît nous regardait sans dire un mot. Puis une fois un peu remis de mes émotions, j’ai dit :
Moi : « Ça me fait chaud au cœur de vous voir. Je vous demande pardon, je sais que je vous ai fait très peur.
Anne : Non Phil, arrête, ne t’en veux pas. Je t’aime tu sais mon frère, ne t’inquiète pas tu as déjà tellement souffert.
Moi : Merci ma grande sœur.
Jean : Oh, Phil ne me refais plus jamais ça. Tu as de la chance que je sois rentré assez tôt. Je t’en supplie Phil, plus jamais, tu m’entends !
Jean s’est effondré en larmes. Maman m’avait dit que c’était lui qui m’avait trouvé et qu’il avait fait appel au service de secours. J’avais pris Jean dans mes bras pour le consoler et le remercier.
Une fois le calme revenu dans la chambre Benoît m’avait regardé dans les yeux et il avait alors dit :
Ben : Tu as une famille formidable. Tu as de la chance. Ne recommence pas, il y a des gens qui tiennent à toi.
Moi : Oui Ben, j’en suis conscients. »
Anne et Jean étaient restés une partie de l’après-midi en ma compagnie et celle de Benoît. Nous avions parlé à quatre de choses et d’autres, ainsi que de mon retour dans quelques jours. Jean avait hâte que je rentre à la maison, il disait que la maison sans moi, c’était comme une maison sans vie et sans âme. Ca m’avait fait rire.
Benoît me disait lui aussi que normalement dans deux jours il pourrait rentrer chez lui. Il fallait donc que je ne tarde pas trop pour savoir quoi !
Un peu avant le repas du soir Anne et Jean m’avaient embrassé avant de rentrer à la maison. J’avais été heureux de les revoir. Cela m’avait fait chaud au cœur. Comme avait dit Benoît, j’avais une famille formidable. J’étais ému et mes yeux s’embrumaient. J’avais pu contenir mes larmes.
Une fois le repas avalé, Benoît m’avait proposé d’aller faire un tour dans le jardin de l’hôpital, l’infirmière de jour lui ayant donné l’autorisation. Nous étions donc allés prendre l’air à l’extérieur.
C’est Alex, notre infirmier de la nuit, qui était venu nous dire qu’il était temps de rentrer.
Nous avions regagné la chambre. Nous étions tout de suite allés prendre notre douche. Nous étions une nouvelle fois ensemble dans la douche. Sous le jet je sentais que mon sexe se gonflait de plus en plus. Celui de Benoît également. Nous nous étions mis à rire. Puis sans vergogne nous nous étions mis à nous branler chacun de notre côté. Il n’avait pas fallu longtemps pour nous éjaculions sur les murs de la douche.
Une fois essuyés, nous étions allés nous coucher sur nos lits. Nous attendions la venue de notre infirmier Alex.
Alex était entré dans la chambre. Il voyait que nous avions déjà pris notre douche. Il m’avait mis mon lange pour passer la nuit. Il nous regardait et nous demandait :
Alex : « Alors les gars, vous avez été sages ce soir !
Ben : Bon, écoute, c’est très sympa aussi dans la douche sous le jet d’eau !
Moi : Bien sympa, je peux te le dire !
Alex : Vous êtes des couchons. (En riant). «Bonne nuit les mecs.
Ben et Moi : Merci Alex. A demain. »
Benoît était splendide, c’était un adonis. Il avait un sexe plus gros et plus long que le mien. Il avait toujours son prépuce, comme moi aussi. Il avait les couilles d’une taille assez honorable. Ses fesses étaient super bien galbées, et puis sa bouche était, comment dire, pulpeuse à souhait. J’aurai bien déposé mes lèvres sur les siennes. Bon restons calme, j’avais déjà une semi-bandaison. En y regardant bien Benoît également. Nous nous étions savonnés. Benoît me demandait si je pouvais faire son dos. J’avais tout de suite accepté en lui demandant de faire le mien par la suite.
Mon sexe ayant repris sa dimension initiale, j’avais entrepris de nettoyer mon gland, j’avais décalotté mon gland et je l’avais nettoyé avec du savon. Benoît me regardait faire les yeux grands ouverts et étonné. Je lui avais demandé ce qui se passait et Benoît m’expliquait :
Ben : « Eh, Phil, tu sais décalotter ton pénis pour laver ton gland sans problème.
Moi : Oui, je le fais tous les jours. Pourquoi tu demandes ça ?
Ben : Je n’y arrive pas facilement. Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Regarde, tu t’y prends doucement, entre tes deux doigts tu fais rouler ton prépuce et puis tu laisses sortir le gland. C’est comme tu m’as vu faire.
Ben : Oh, je vais essayer. »
Benoît s’appliquait, mais son gland avait difficile à sortir. Je lui avais expliqué qu’il devait le faire tous jour pour ne pas avoir de problème pour les relations sexuelles à venir. Benoît s’était mis à rire mais il était rouge pivoine. J’avais ajouté que c’était aussi bien mieux au point de vue hygiène.
Une fois la douche terminée, nous nous étions séchés. Nous avions regagné la chambre et nous nous étions couchés dans nos lits. J’étais resté nu car Alex devait venir mettre ma couche pour la nuit. Il semble que c’étaient plutôt des langes. Benoît lui aussi était resté nu. Je me demandais pourquoi. Puis Benoît me regardait avec insistance, sans rien dire. Je lui posais alors la question :
Moi : « Il y a quelque chose qui ne va pas.
Ben : Ben, non, mais tu sais le soir, souvent je …me ..
Moi : Ah, oui, j’ai compris, tu te branles.
Ben : Oui, mais comme tu es là, je n’ose pas.
Moi : Oh, ne t’inquiètes pas, moi aussi je me masturbe. Tu sais à notre âge c’est tout les jours. »
Ma queue était déjà mi bandée, il n’a pas fallu plus de trois ou quatre va et vient pour qu’elle prenne sa position verticale, direction le plafond. Benoît s’y était lui aussi mis à prendre son sexe en main. Nous voilà tous les deux occupés à nous branler dans la chambre. Nous nous regardions l’un l’autre, nous nous observions ou plutôt nous regardions le sexe de notre voisin.
Cela faisait plus de trois semaines que je ne m’étais pas masturbé, j’avais très vite éjaculé. Six jets de sperme sont venus s’écraser sur mon torse. Dès que Benoît m’avait vu juter, il avait lui aussi de son côté laisser partir cinq longs jets sur son ventre.
J’étais heureux. J’avais un voisin de chambre au top, il était scout, il n’hésitait pas à se branler et il était super sympa.
Nous nous étions essuyés avec des mouchoirs en papiers.
Quelques minutes plus tard Alex entrait dans la chambre. Il nous regardait puis il nous a dit :
Inf : « Hum, hum, ça sent le foutre dans cette chambre. J’espère que vous n’avez pas trop salopé vos draps !
Alex avait un large sourire en disant ça.
Ben : Ohé, mais non Alex, on a fait attention. Je te l’avais dit Phil qu’Alex était super sympa.
Inf : Eh Phil, tu sais, je suis ici depuis plus de 10 ans et je sais que les ados ont besoin de se satisfaire. Je l’avais dit à Benoît et j’étais certain qu’il passerait le mot. Alors il ne faut pas avoir honte, c’est dans la normale des choses.
Moi : Merci Alex, tu est super. »
Alex me présenta un lange. Il me demanda de m’allonger, de relever et d’écarter un peu les jambes. Il mit un peu de talc sur mon service trois pièces et la raie du cul et il referma le lange. Benoît avait assisté à la scène sans dire un mot. J’étais prêt pour la nuit.
Benoît m’a souhaité une très bonne nuit et moi de mon côté j’avais fait de même.
Au matin, c'est-à-dire vers 06h35, je m’étais réveillé. J’avais passé une excellente nuit. Benoît était encore endormi et je l’avais laissé dormir. Je m’étais aperçu que mon lange était plein d’urine. Je m’étais alors levé pour le retirer. Je m’étais remis dans mon lit, nu comme un ver.
Je le regardais, sa tignasse blonde en éventail sur l’oreiller. Il était beau comme un dieu. Ne fusse que de le regarder, j’avais la gaule. J’étais tombé amoureux de Benoît. Mais, était-il gay, je n’en savais rien. Il fallait que je sache, car dans quelques jours il allait quitter l’hôpital.
Finalement Benoît avait ouvert un œil. Tout de suite je lui ai souri en lui disant bonjour.
Benoît m’avait alors souri à son tour, il était rayonnant avec son sourire, c’était un ange.
Ben : « Alors Phil, tu es en train de me regarder, tu m’observais.
Moi : Heu, bien oui, je trouvais que tes cheveux étaient splendides éparpillés sur l’oreiller.
Ben : Oui, c’est ça ! Tu me matais, c’est plutôt ça.
Moi : Mais non, ce n’est qu’une impression. »
Voilà les petits déjeuners. Nous avions mangé d’un bon appétit. Puis après une douche nous nous étions habillés pour la séance de kiné. J’avais au préalable mis un lange pour éviter d’inonder mon pantalon de training.
La séance de kiné s’était déroulée de la meilleure des façons. J’arrivais à faire tous les exercices sans trop de difficultés. Benoît lui aussi avait fait beaucoup de progrès.
En rentrant en chambre, je m’étais rendu compte que le lange était sec. J’étais content. Benoît l’avait aussi remarqué, il m’en avait fait part et il m’avait dit que j’étais sur le bon chemin.
La matinée était presque finie. On nous apportait déjà le déjeuner. Nous avions mangé sans trop d’appétit, la nourriture n’était des meilleures. Nous avions dû nous forcer. Juste le dessert était bon.
Après le repas, je m’étais un peu assoupi. C’était la fatigue de la kiné.
Après une grosse demi-heure j’avais ouvert un œil. J’avais directement vu que Benoît m’observait. Je lui avais alors dit « Salut ». Benoît a alors piqué un phare. Je me demandais si Benoît n’était pas gay. J’en étais de plus en plus certain. Bref il restait deux ou trois jours pour en savoir plus.
A 13h45 j’étais chez la psy. Cette séance a été très positive, j’avais pu faire le point et mettre des mots sur des impressions, sur des idées non encore épanouies. J’avais l’impression de grandir, de progresser. Je pouvais réfléchir et me poser les bonnes questions.
De retour en chambre, vers 14h30 alors que je bavardais avec Ben, j’avais vu sa tête me montrer la porte de la chambre. Je m’étais retourné et il y avait dans l’embrasure de la porte Anne et Jean. Mes yeux s’étaient embués en les voyants. Les deux visiteurs s’étaient approchés de moi et je m’étais mis à pleurer. Il y avait quatre bras qui m’enlaçaient. Cela a duré cinq bonnes minutes. Benoît nous regardait sans dire un mot. Puis une fois un peu remis de mes émotions, j’ai dit :
Moi : « Ça me fait chaud au cœur de vous voir. Je vous demande pardon, je sais que je vous ai fait très peur.
Anne : Non Phil, arrête, ne t’en veux pas. Je t’aime tu sais mon frère, ne t’inquiète pas tu as déjà tellement souffert.
Moi : Merci ma grande sœur.
Jean : Oh, Phil ne me refais plus jamais ça. Tu as de la chance que je sois rentré assez tôt. Je t’en supplie Phil, plus jamais, tu m’entends !
Jean s’est effondré en larmes. Maman m’avait dit que c’était lui qui m’avait trouvé et qu’il avait fait appel au service de secours. J’avais pris Jean dans mes bras pour le consoler et le remercier.
Une fois le calme revenu dans la chambre Benoît m’avait regardé dans les yeux et il avait alors dit :
Ben : Tu as une famille formidable. Tu as de la chance. Ne recommence pas, il y a des gens qui tiennent à toi.
Moi : Oui Ben, j’en suis conscients. »
Anne et Jean étaient restés une partie de l’après-midi en ma compagnie et celle de Benoît. Nous avions parlé à quatre de choses et d’autres, ainsi que de mon retour dans quelques jours. Jean avait hâte que je rentre à la maison, il disait que la maison sans moi, c’était comme une maison sans vie et sans âme. Ca m’avait fait rire.
Benoît me disait lui aussi que normalement dans deux jours il pourrait rentrer chez lui. Il fallait donc que je ne tarde pas trop pour savoir quoi !
Un peu avant le repas du soir Anne et Jean m’avaient embrassé avant de rentrer à la maison. J’avais été heureux de les revoir. Cela m’avait fait chaud au cœur. Comme avait dit Benoît, j’avais une famille formidable. J’étais ému et mes yeux s’embrumaient. J’avais pu contenir mes larmes.
Une fois le repas avalé, Benoît m’avait proposé d’aller faire un tour dans le jardin de l’hôpital, l’infirmière de jour lui ayant donné l’autorisation. Nous étions donc allés prendre l’air à l’extérieur.
C’est Alex, notre infirmier de la nuit, qui était venu nous dire qu’il était temps de rentrer.
Nous avions regagné la chambre. Nous étions tout de suite allés prendre notre douche. Nous étions une nouvelle fois ensemble dans la douche. Sous le jet je sentais que mon sexe se gonflait de plus en plus. Celui de Benoît également. Nous nous étions mis à rire. Puis sans vergogne nous nous étions mis à nous branler chacun de notre côté. Il n’avait pas fallu longtemps pour nous éjaculions sur les murs de la douche.
Une fois essuyés, nous étions allés nous coucher sur nos lits. Nous attendions la venue de notre infirmier Alex.
Alex était entré dans la chambre. Il voyait que nous avions déjà pris notre douche. Il m’avait mis mon lange pour passer la nuit. Il nous regardait et nous demandait :
Alex : « Alors les gars, vous avez été sages ce soir !
Ben : Bon, écoute, c’est très sympa aussi dans la douche sous le jet d’eau !
Moi : Bien sympa, je peux te le dire !
Alex : Vous êtes des couchons. (En riant). «Bonne nuit les mecs.
Ben et Moi : Merci Alex. A demain. »