19-01-2021, 10:21 AM
Au matin, le soleil était déjà assez haut, nous nous étions réveillés. Nous étions Henri et moi heureux d’avoir pu nous aimer. Et puis, cerise sur le gâteau, le lit était resté au sec. Nous nous sommes embrassés langoureusement.
Puis nous avons entendu frapper à la porte, Henri avait dit « Oui ». C’était Véronique qui venait voir si nous étions réveillés. Elle nous voyait toujours couchés l’un à côté de l’autre dans le lit d’Henri, nus.
Véronique m’a regardé et m’a fait un clin d’œil. Je lui ai alors dit en souriant :
Moi : « Véronique, je n’ai pas fait pipi, le lit est sec.
Véro : Je suis très heureuse pour toi. Henri était au courant ?
Moi : Je le lui ai dit hier soir. J’étais gêné, mais je ne voulais lui cacher que normalement je porte des couches culottes pour la nuit.
Henri : Oui maman, Phil m’a expliqué qu’il portait des couches, comme il n’en avait pas, je lui ai dit que si cela arrivait, je préférais dans mon lit que dans celui d’André. Pour moi, cela n’avait pas d’importance. Je l’aime tel qu’il est.
Véro : Vous êtes craquants mes deux loustics. Hop, levez-vous. »
Nous nous étions levés et nous étions allés prendre notre douche à la salle de bain. Nous avions retraversé le hall lorsque Véronique passait avec du linge. Elle nous avait elle aussi dit :
Véro : « Mais vous êtes tout bronzés, pas de fesses blanches. Vous êtes beaux à croquer !
Henri : Enfin maman, nous sommes beaux, ça on le sait ! » (Sur le ton de la rigolade.)
N’ayant pas d’autre sous vêtement sous la main, car je ne savais que j’allais passer la nuit chez Henri, je lui avais demandé de me prêter un boxer pour ne pas remettre celui de la veille. Henri m’avait alors passé un super boxer noir.
Une fois habillés, nous étions allés prendre le petit déjeuner. Café, baguettes et croissants. Véronique était restée près de nous. Véronique m’avais alors confié qu’elle avait été mise au courant par maman que je portais normalement des couches pour la nuit. N’en ayant pas Véronique avait placé une alèse supplémentaire au cas où. Mais j’étais content d’être resté au sec. J’avais alors pensé que c’était parce que j’étais avec Henri et qu’il avait le pouvoir de m’apaiser, raison pour laquelle j’avais passé une très bonne nuit. Après nous discutions de choses et d’autres. Puis nous avions parlé de la façon de nous revoir durant l’année scolaire. Nous avions décidé de ne pas nous voir durant la semaine, sauf parfois le mercredi après-midi si nous n’avions pas trop d’occupations de notre côté. Nous allions nous revoir chez les scouts et nous devions rester vigilants et ne pas nous exposer devant les autres. Nous avions envisagé de dormir une fois chez l’un et la fois suivante chez l’autre les jours où il y avait réunion chez les scouts.
Véronique avait approuvé cette façon de faire et elle était d’accord de défendre ce point de vue avec mes parents et Joseph le papa d’Henri.
Véronique ajouta :
Véro : « Je crois que c’est bien de vous voir une nuit par semaine. Pour les vacances nous verrons au cas par cas.
Henri : Merci maman, tu es super.
Moi : Oh, merci Véronique.
Véro : De toute façon je préfère que vous vous aimiez dans un bon lit que de le faire n’importe où.
Nous nous étions mis à rougir tous les deux.
Véronique ajouta alors :
Véro : Hier soir vous n’avez pas fait ça en sourdine, mais je sais ce que c’est quand on aime, on est hors du temps.
Henri : Oh maman, bon !
Moi :« Henri tu vois bien que ta maman nous charrie un peu.
Véro : Oui, mais je vous aime mes deux lascars ! »
Nous avions ensuite débarrassé la table, nous avions refait le lit dans la chambre. Il était alors l’heure de nous quitter. Nous nous étions embrassés.
Je quittais avec regrets l’appartement d’Henri, après avoir salué Véronique
Henri et moi nous nous étions donné rendez-vous le lendemain matin vers dix heures au parc.
Nous comptions nous balader dans la ville et profiter des derniers jours avant la rentrée scolaire.
Puis nous avons entendu frapper à la porte, Henri avait dit « Oui ». C’était Véronique qui venait voir si nous étions réveillés. Elle nous voyait toujours couchés l’un à côté de l’autre dans le lit d’Henri, nus.
Véronique m’a regardé et m’a fait un clin d’œil. Je lui ai alors dit en souriant :
Moi : « Véronique, je n’ai pas fait pipi, le lit est sec.
Véro : Je suis très heureuse pour toi. Henri était au courant ?
Moi : Je le lui ai dit hier soir. J’étais gêné, mais je ne voulais lui cacher que normalement je porte des couches culottes pour la nuit.
Henri : Oui maman, Phil m’a expliqué qu’il portait des couches, comme il n’en avait pas, je lui ai dit que si cela arrivait, je préférais dans mon lit que dans celui d’André. Pour moi, cela n’avait pas d’importance. Je l’aime tel qu’il est.
Véro : Vous êtes craquants mes deux loustics. Hop, levez-vous. »
Nous nous étions levés et nous étions allés prendre notre douche à la salle de bain. Nous avions retraversé le hall lorsque Véronique passait avec du linge. Elle nous avait elle aussi dit :
Véro : « Mais vous êtes tout bronzés, pas de fesses blanches. Vous êtes beaux à croquer !
Henri : Enfin maman, nous sommes beaux, ça on le sait ! » (Sur le ton de la rigolade.)
N’ayant pas d’autre sous vêtement sous la main, car je ne savais que j’allais passer la nuit chez Henri, je lui avais demandé de me prêter un boxer pour ne pas remettre celui de la veille. Henri m’avait alors passé un super boxer noir.
Une fois habillés, nous étions allés prendre le petit déjeuner. Café, baguettes et croissants. Véronique était restée près de nous. Véronique m’avais alors confié qu’elle avait été mise au courant par maman que je portais normalement des couches pour la nuit. N’en ayant pas Véronique avait placé une alèse supplémentaire au cas où. Mais j’étais content d’être resté au sec. J’avais alors pensé que c’était parce que j’étais avec Henri et qu’il avait le pouvoir de m’apaiser, raison pour laquelle j’avais passé une très bonne nuit. Après nous discutions de choses et d’autres. Puis nous avions parlé de la façon de nous revoir durant l’année scolaire. Nous avions décidé de ne pas nous voir durant la semaine, sauf parfois le mercredi après-midi si nous n’avions pas trop d’occupations de notre côté. Nous allions nous revoir chez les scouts et nous devions rester vigilants et ne pas nous exposer devant les autres. Nous avions envisagé de dormir une fois chez l’un et la fois suivante chez l’autre les jours où il y avait réunion chez les scouts.
Véronique avait approuvé cette façon de faire et elle était d’accord de défendre ce point de vue avec mes parents et Joseph le papa d’Henri.
Véronique ajouta :
Véro : « Je crois que c’est bien de vous voir une nuit par semaine. Pour les vacances nous verrons au cas par cas.
Henri : Merci maman, tu es super.
Moi : Oh, merci Véronique.
Véro : De toute façon je préfère que vous vous aimiez dans un bon lit que de le faire n’importe où.
Nous nous étions mis à rougir tous les deux.
Véronique ajouta alors :
Véro : Hier soir vous n’avez pas fait ça en sourdine, mais je sais ce que c’est quand on aime, on est hors du temps.
Henri : Oh maman, bon !
Moi :« Henri tu vois bien que ta maman nous charrie un peu.
Véro : Oui, mais je vous aime mes deux lascars ! »
Nous avions ensuite débarrassé la table, nous avions refait le lit dans la chambre. Il était alors l’heure de nous quitter. Nous nous étions embrassés.
Je quittais avec regrets l’appartement d’Henri, après avoir salué Véronique
Henri et moi nous nous étions donné rendez-vous le lendemain matin vers dix heures au parc.
Nous comptions nous balader dans la ville et profiter des derniers jours avant la rentrée scolaire.