16-01-2021, 03:06 PM
Je m’étais réveillé vers les neuf heures. J’avais la couche culotte pleine de pipi. J’étais content de ne pas avoir mouillé le lit, mais j’étais déçu d’avoir pissé durant la nuit.
Je m’étais rendu à la salle de bain pour y prendre une bonne douche.
Je suis arrivé à la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Toute la famille était là. J’avais embrassé tout le monde. Maman m’avait regardé dans les yeux, je savais ce qu’elle voulait savoir, c’était de savoir si j’avais passé une bonne nuit dans tous les sens du terme.
J’avais pris mon courage et j’avais annoncé à maman et aux autres que le lit était sec, que j’avais quand même bien dormi et que la couche culotte était pleine.
Jean m’avait dit :
Jean : « Écoute Phil, on s’en fout que tu pisses dans une couche, que tu pisses au lit, je n’en n’ai rien à branler. Oups, excusez-moi ! Mais on s’en fout. La seule chose que je vois c’est que mon frère que j’aime n’est pas bien et qu’il faut le soutenir.
Mam : Merci Jean, je n’ai rien à dire de plus. »
Je m’étais une nouvelle fois mis à pleurer. C’est Anne qui était venue me consoler. J’avais une famille formidable.
Le reste de la journée s’était bien déroulée. Nous étions tous allés faire les achats pour la rentrée des classes. Classeurs, livres, crayons, compas, lattes, gommes, taille-crayons, etc.
Nous avions des sacs pleins de fournitures scolaires.
En rentant à la maison, nous avions tout rangé dans les cartables.
J’avais ensuite proposé à Jean d’aller faire un tour à vélo. Nous avions alors enfourché nos destriers de métal pour nous balader dans le quartier et le bois avoisinant. Jean était content de faire quelque chose avec moi. Il voulait me faire plaisir et m’accompagner pour me soutenir que d’aller voir ses copains.
Une fois de retour à la maison, nous avions pris un très bon goûter, maman avait fait des crêpes.
Alors que nous étions à table, maman, Anne, Jean et moi, je me suis adressé à Jean en ses termes :
Moi : « Jean, mon petit frère adoré, qui est presque aussi grand que moi, tu peux aller voir tes copains, je vais mieux. Occupes toi un peu de toi !
Anne : Tu sais Phil, nous ne voulions pas te laisser seul à te morfondre, nous sommes là pour toi aussi, tu es notre frère et tu sais qu’on t’aime énormément.
Mam : Oui Phil, nous t’aimons tous et nous ne voulons que ton bien tu sais !
Moi : Oui maman, je sais, mais vous devez aussi penser à vous. Je ne suis pas le centre du monde !
Jean : Non Phil, tu n’es pas le centre du monde, je le sais très bien, mais aujourd’hui tu es mon centre d’intérêt, je ne veux pas te laisser seul !
Mam : Tu sais Phil, tu as une sœur et un frère du tonnerre, ils t’aiment, laisse-leur t’accompagner dans ce moment difficile.
Moi : Oui, merci Anne, merci Jean, vous êtes des anges gardiens pour moi. Je vous aime très, très fort. »
Je me suis une nouvelle fois effondré en larmes !!!
Tant d’amour fraternel, tant de compassion, tant de réconfort, je ne pouvais pas lutter, c’était ma famille, c’était une terrible famille unie dans l’adversité et aussi pleine de bonheurs partagés.
Le lendemain, nous avions rendez-vous Henri et moi au parc. Nous avions envie de faire de skate sur la piste. C’est vers 14 heures que nous nous étions retrouvés. Nous nous sommes fait la bise sur la joue, ne voulant pas choquer la moindre personne et surtout pour ne pas attirer l’attention de l’un ou l’autre homophobe qui aurait pu se trouver dans le parc. Nous avions ainsi joué jusque passé 18 heures. Je pensais que nous allions nous séparer pour rentré chacun chez soi.
C’est alors que Henri avait insisté pour je passe chez lui, ses parents voulaient m’avoir pour le dîner.
J’avais accompagné Henri chez lui. Véronique nous attendait. Dès que j’étais entré dans l’appartement, elle m’a embrassé et m’a serré dans ses bras. Elle voulait savoir comment j’allais ! Je lui avais dit que ça pouvait aller mais que j’avais encore des cauchemars durant la nuit. Je n’avais pas parlé des couches que je portais la nuit pour ne pas mouiller mon lit.
Henri avait alors proposé de jouer un peu avant le dîner. Nous avions joué au combat naval.
A un moment, alors que je jouais avec Henri dans la chambre, André avait ouvert la porte. Dès qu’il m’a vu il s’était dirigé vers moi et d’un coup il m’a soulevé de terre pour m’enlacer. Il m’embrassait sur les joues sans dire un mot. Un fois mes pieds sur le sol et l’étreinte terminée, j’avais vu des larmes sur les joues d’André. Il était ému mais il ne savait pas prononcer un mot. Il demanda à Henri, d’un mouvement de la tête, de venir près de lui. André nous avait alors pris tous les deux dans ses bras pour nous câliner. Je ne savais pas qu’André était aussi émotif que ça. J’étais rassuré et certain qu’André serait toujours présent pour nous défendre Henri et moi. André était pour moi comme un grand frère.
Nous étions à table, Véronique, Joseph, André, Henri et moi. L’ambiance était au beau fixe, nous parlions de chose et d’autre. Nous n’avions pas parlé des faits qui s’étaient produit une fin d’après-midi !
Une fois le dessert terminé, André a regardé Henri, puis il m’a regardé. André pris alors la parole :
And : « Henri, Phil, je vais aller chez un copain pour passer la nuit, je vous laisse donc à deux dans la chambre. Mais soyez sages mes loulous !
Véro : Mais enfin André, ils vont être sages et de toute façon ce qu’ils font ne te regarde pas !
And : Mais maman, c’était pour les charrier un petit peu !
Véro : J’aime mieux ça !
Henri : Merci grand frère, tu es super gentil.
And : Oui, je sais, je suis content que tout s’arrange pour vous deux. Pas d’imprudence, c’est la seule chose que je veux vous dire. Si vous saviez combien je vous adore !
Jos : Merci André, c’est justement ce que je voulais aussi leur dire.
Moi : Mais mes parents ne savent pas que je reste loger chez vous !
Véro : Avant que vous ne reveniez du parc, j’avais contacté Jacqueline, ta maman, elle est d’accord pour que tu loges chez nous ce soir. Je ne vous l’avais pas dit, c’était la surprise !
Moi : Oh, merci !
Henri : Oh merci maman, je t’aime.
Véro : Bon hop, à la vaisselle mes deux chenapans ! »
Nous avions donc fait la vaisselle tous ensemble. Même Joseph avait donné un coup de main pour le rangement. Une fois que tout était remis en place, et la cuisine rangée, nous avions regardé dans le salon la télévision. Je m’étais assis à côté d’Henri, sur un bout du canapé. Véronique était assise à côté de nous. Henri et moi nous nous tenions la main, nous ne voulions pas en faire plus, nous voulions montrer que nous pouvions nous tenir.
Vers vingt-trois heures, une fois le film terminé, Henri et moi nous étions allés prendre une douche dans la salle de bain. Une fois lavé, nous avions regagné la chambre, nus, en passant par le hall de nuit. Joseph nous voyant nous avait dit : « On voit bien qu’ils ont bien bronzé les deux loulous, et même pas de trace blanche sur les fesses. Ils ont bien fait du naturisme ! »
Henri et moi, nous nous étions mis à rire. Joseph avait lui aussi rit de bon cœur.
En entrant dans la chambre j’avais dit à Henri :
Moi : « Ton père est super sympa, et ta maman aussi. Elle avait tout manigancé pour que je puisse passer la nuit avec toi. Et puis André qui, pour ne pas nous déranger, a proposé d’aller dormir chez un copain, il est très gentil.
Henri : Oui, ils sont supers !
Moi : Oh, Henri, je n’ai pas de ...
Henri : Quoi, tu n’as pas de quoi ?
Moi : Henri, je ne t’ai pas dit, mais pour la nuit…je…porte… (D’une voix chevrotante)
Henri : Ah oui, tu veux dire que tu portes des couches.
Moi : Oui Henri, mais je n’en ai pas ! (Les yeux embrumés)
Henri : Écoute Phil, pas de soucis. Je n’en a rien à faire. Si on dort ensemble ça ne me pose pas de problème. Puis je préfère que tu pisses dans mon lit que dans celui de mon frère André !
Moi : Merci Henri. J’ai honte tu sais, j’ai honte !
Henri : Tu ne dois pas avoir honte, ça va s’arranger tôt ou tard, mais ça va s’arranger !
Moi : Merci Henri, tu es si gentil avec moi. Je t’aime, je t’aime tu sais ! »
Henri s’était alors approché de moi et m’avait donné un baiser sur les lèvres. Directement je lui avais rendu son baiser. Puis nous bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées, nos lèvres s’étaient desserrées, nos langues s’étaient retrouvées, elles s’emmêlaient, nos salves se mélangeaient. Nous nous étions embrassés un bon bout de temps. Henri m’avait ensuite conduit jusqu’à son lit. Nous nous étions couchés, nus, côte à côte. Nous nous regardions dans les yeux et une nouvelle fois nous nous étions langoureusement embrassés. Nos queues s’étaient tendues, elles avaient pris de belles tailles. Nos mains caressaient le corps de l’être aimé. Nos bouches allaient sur les tétons, dans le creux du cou, sa la bouche de notre partenaire. Nous nous caressions langoureusement, calmement sans aller trop vite. Nous parcourions nos corps avec nos mains délicatement. Puis Henri me regarda dans les yeux. Il avait à nouveau son regard angélique, son regard plein de malice, rempli de cette lueur spéciale que j’avais découverte lors du camp scout. Je me retrouvais des semaines en arrière, lors de notre première nuit, dans mon sac de couchage ! J’avais souris, Henri lui avait de nouveau son sourire ravageur. Puis Henri se pencha vers mon oreille et me susurra :
Henri : « Phil, tu veux bien me faire l’amour !
Moi : Oh oui Henri, je me doutais que c’est cela que tu attendais. Oui je vais t’aimer, je vais me donner à toi !
Henri : Merci, je t’aime Phil ! »
Henri sortait alors de la table nuit un paquet de préservatifs. Il en prenait un et me le tendait.
Je voyais cette lueur d’envie dans les yeux de mon amant. Je m’étais préparé à le combler. J’avais pris de la vaseline et lui avait préparé l’anus, gentiment. J’avais ensuite enfilé la capote et j’avais présenté mon sexe bandé entre les fesses d’Henri. J’arrivais à sa rondelle et j’avais ensuite introduit lentement et doucement mon sexe dans son anus. Puis je l’ai aimé, je l’ai possédé, nous étions heureux. Henri gémissait de jouissance. Puis n’y tenant plus j’avais éjaculé de bonheur au fond de la capote. Henri était comme sur un nuage, il n’avait pas gémi de mal, mais bien de bonheur.
Henri était heureux.
Après un petit moment Henri s’était adressé à moi :
Henri : « Phil, je ne sais pas si pour toi, si je peux…, si je peux moi aussi t’aimer, te faire l’amour !
Moi : Oh Henri, ne t’en fait pas, moi ça va aller, je pense que tu peux me faire l’amour à ton tour. Il faut juste que tu y ailles doucement !
Henri : Merci Phil, merci mon amour, merci mon cœur, je t’aime. »
J’avais aussi envie de m’offrir à Henri, je lui devais bien ça. Il était tout pour moi et il fallait que je passe le pas, il fallait que je puisse aller de l’avant, nous n’avions plus fait l’amour depuis longtemps. Je me sentais prêt malgré une certaine appréhension.
Henri avait préparé mon anus délicatement, il y avait mis le temps. Il ne voulait pas me faire mal. Puis une fois le préservatif enfilé, il présenta son membre bandé au niveau de ma rondelle. Il avait attendu un moment, juste le moment pour moi de me préparer à le recevoir et aussi à évacuer tout le stress. Puis j’avais dit à mon amant : « Oui, Henri, oui vas-y, je me sens prêt. ». Henri me pénétra doucement, délicatement. Henri prenait soin de ne pas aller trop vite, il voulait faire de son mieux, il ne voulait pas me faire mal.
Puis, n’ayant presque pas mal, j’avais dit à Henri d’y aller, de me posséder, de m’aimer, de me faire l’amour. Henri avait dosé son énergie, il y allait par touche de mouvements lents et rapides. J’étais moi aussi à l’unisson avec lui, je pouvais enfin avoir à nouveau du plaisir et je ne pensais plus à ce bout de bois, à cet après-midi là ! Henri a joui et nous avions crié de bonheur ensemble.
Vidés, heureux, fatigués, mais ivre de bonheur nous étions restés couchés dans les bras l’un de l’autre durant une bonne demi-heure. Nous nous embrassions amoureusement en disant des « je t’aime ! »
Avant de nous endormir, j’avais été une dernière fois à la toilette.
Je m’étais rendu à la salle de bain pour y prendre une bonne douche.
Je suis arrivé à la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Toute la famille était là. J’avais embrassé tout le monde. Maman m’avait regardé dans les yeux, je savais ce qu’elle voulait savoir, c’était de savoir si j’avais passé une bonne nuit dans tous les sens du terme.
J’avais pris mon courage et j’avais annoncé à maman et aux autres que le lit était sec, que j’avais quand même bien dormi et que la couche culotte était pleine.
Jean m’avait dit :
Jean : « Écoute Phil, on s’en fout que tu pisses dans une couche, que tu pisses au lit, je n’en n’ai rien à branler. Oups, excusez-moi ! Mais on s’en fout. La seule chose que je vois c’est que mon frère que j’aime n’est pas bien et qu’il faut le soutenir.
Mam : Merci Jean, je n’ai rien à dire de plus. »
Je m’étais une nouvelle fois mis à pleurer. C’est Anne qui était venue me consoler. J’avais une famille formidable.
Le reste de la journée s’était bien déroulée. Nous étions tous allés faire les achats pour la rentrée des classes. Classeurs, livres, crayons, compas, lattes, gommes, taille-crayons, etc.
Nous avions des sacs pleins de fournitures scolaires.
En rentant à la maison, nous avions tout rangé dans les cartables.
J’avais ensuite proposé à Jean d’aller faire un tour à vélo. Nous avions alors enfourché nos destriers de métal pour nous balader dans le quartier et le bois avoisinant. Jean était content de faire quelque chose avec moi. Il voulait me faire plaisir et m’accompagner pour me soutenir que d’aller voir ses copains.
Une fois de retour à la maison, nous avions pris un très bon goûter, maman avait fait des crêpes.
Alors que nous étions à table, maman, Anne, Jean et moi, je me suis adressé à Jean en ses termes :
Moi : « Jean, mon petit frère adoré, qui est presque aussi grand que moi, tu peux aller voir tes copains, je vais mieux. Occupes toi un peu de toi !
Anne : Tu sais Phil, nous ne voulions pas te laisser seul à te morfondre, nous sommes là pour toi aussi, tu es notre frère et tu sais qu’on t’aime énormément.
Mam : Oui Phil, nous t’aimons tous et nous ne voulons que ton bien tu sais !
Moi : Oui maman, je sais, mais vous devez aussi penser à vous. Je ne suis pas le centre du monde !
Jean : Non Phil, tu n’es pas le centre du monde, je le sais très bien, mais aujourd’hui tu es mon centre d’intérêt, je ne veux pas te laisser seul !
Mam : Tu sais Phil, tu as une sœur et un frère du tonnerre, ils t’aiment, laisse-leur t’accompagner dans ce moment difficile.
Moi : Oui, merci Anne, merci Jean, vous êtes des anges gardiens pour moi. Je vous aime très, très fort. »
Je me suis une nouvelle fois effondré en larmes !!!
Tant d’amour fraternel, tant de compassion, tant de réconfort, je ne pouvais pas lutter, c’était ma famille, c’était une terrible famille unie dans l’adversité et aussi pleine de bonheurs partagés.
Le lendemain, nous avions rendez-vous Henri et moi au parc. Nous avions envie de faire de skate sur la piste. C’est vers 14 heures que nous nous étions retrouvés. Nous nous sommes fait la bise sur la joue, ne voulant pas choquer la moindre personne et surtout pour ne pas attirer l’attention de l’un ou l’autre homophobe qui aurait pu se trouver dans le parc. Nous avions ainsi joué jusque passé 18 heures. Je pensais que nous allions nous séparer pour rentré chacun chez soi.
C’est alors que Henri avait insisté pour je passe chez lui, ses parents voulaient m’avoir pour le dîner.
J’avais accompagné Henri chez lui. Véronique nous attendait. Dès que j’étais entré dans l’appartement, elle m’a embrassé et m’a serré dans ses bras. Elle voulait savoir comment j’allais ! Je lui avais dit que ça pouvait aller mais que j’avais encore des cauchemars durant la nuit. Je n’avais pas parlé des couches que je portais la nuit pour ne pas mouiller mon lit.
Henri avait alors proposé de jouer un peu avant le dîner. Nous avions joué au combat naval.
A un moment, alors que je jouais avec Henri dans la chambre, André avait ouvert la porte. Dès qu’il m’a vu il s’était dirigé vers moi et d’un coup il m’a soulevé de terre pour m’enlacer. Il m’embrassait sur les joues sans dire un mot. Un fois mes pieds sur le sol et l’étreinte terminée, j’avais vu des larmes sur les joues d’André. Il était ému mais il ne savait pas prononcer un mot. Il demanda à Henri, d’un mouvement de la tête, de venir près de lui. André nous avait alors pris tous les deux dans ses bras pour nous câliner. Je ne savais pas qu’André était aussi émotif que ça. J’étais rassuré et certain qu’André serait toujours présent pour nous défendre Henri et moi. André était pour moi comme un grand frère.
Nous étions à table, Véronique, Joseph, André, Henri et moi. L’ambiance était au beau fixe, nous parlions de chose et d’autre. Nous n’avions pas parlé des faits qui s’étaient produit une fin d’après-midi !
Une fois le dessert terminé, André a regardé Henri, puis il m’a regardé. André pris alors la parole :
And : « Henri, Phil, je vais aller chez un copain pour passer la nuit, je vous laisse donc à deux dans la chambre. Mais soyez sages mes loulous !
Véro : Mais enfin André, ils vont être sages et de toute façon ce qu’ils font ne te regarde pas !
And : Mais maman, c’était pour les charrier un petit peu !
Véro : J’aime mieux ça !
Henri : Merci grand frère, tu es super gentil.
And : Oui, je sais, je suis content que tout s’arrange pour vous deux. Pas d’imprudence, c’est la seule chose que je veux vous dire. Si vous saviez combien je vous adore !
Jos : Merci André, c’est justement ce que je voulais aussi leur dire.
Moi : Mais mes parents ne savent pas que je reste loger chez vous !
Véro : Avant que vous ne reveniez du parc, j’avais contacté Jacqueline, ta maman, elle est d’accord pour que tu loges chez nous ce soir. Je ne vous l’avais pas dit, c’était la surprise !
Moi : Oh, merci !
Henri : Oh merci maman, je t’aime.
Véro : Bon hop, à la vaisselle mes deux chenapans ! »
Nous avions donc fait la vaisselle tous ensemble. Même Joseph avait donné un coup de main pour le rangement. Une fois que tout était remis en place, et la cuisine rangée, nous avions regardé dans le salon la télévision. Je m’étais assis à côté d’Henri, sur un bout du canapé. Véronique était assise à côté de nous. Henri et moi nous nous tenions la main, nous ne voulions pas en faire plus, nous voulions montrer que nous pouvions nous tenir.
Vers vingt-trois heures, une fois le film terminé, Henri et moi nous étions allés prendre une douche dans la salle de bain. Une fois lavé, nous avions regagné la chambre, nus, en passant par le hall de nuit. Joseph nous voyant nous avait dit : « On voit bien qu’ils ont bien bronzé les deux loulous, et même pas de trace blanche sur les fesses. Ils ont bien fait du naturisme ! »
Henri et moi, nous nous étions mis à rire. Joseph avait lui aussi rit de bon cœur.
En entrant dans la chambre j’avais dit à Henri :
Moi : « Ton père est super sympa, et ta maman aussi. Elle avait tout manigancé pour que je puisse passer la nuit avec toi. Et puis André qui, pour ne pas nous déranger, a proposé d’aller dormir chez un copain, il est très gentil.
Henri : Oui, ils sont supers !
Moi : Oh, Henri, je n’ai pas de ...
Henri : Quoi, tu n’as pas de quoi ?
Moi : Henri, je ne t’ai pas dit, mais pour la nuit…je…porte… (D’une voix chevrotante)
Henri : Ah oui, tu veux dire que tu portes des couches.
Moi : Oui Henri, mais je n’en ai pas ! (Les yeux embrumés)
Henri : Écoute Phil, pas de soucis. Je n’en a rien à faire. Si on dort ensemble ça ne me pose pas de problème. Puis je préfère que tu pisses dans mon lit que dans celui de mon frère André !
Moi : Merci Henri. J’ai honte tu sais, j’ai honte !
Henri : Tu ne dois pas avoir honte, ça va s’arranger tôt ou tard, mais ça va s’arranger !
Moi : Merci Henri, tu es si gentil avec moi. Je t’aime, je t’aime tu sais ! »
Henri s’était alors approché de moi et m’avait donné un baiser sur les lèvres. Directement je lui avais rendu son baiser. Puis nous bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées, nos lèvres s’étaient desserrées, nos langues s’étaient retrouvées, elles s’emmêlaient, nos salves se mélangeaient. Nous nous étions embrassés un bon bout de temps. Henri m’avait ensuite conduit jusqu’à son lit. Nous nous étions couchés, nus, côte à côte. Nous nous regardions dans les yeux et une nouvelle fois nous nous étions langoureusement embrassés. Nos queues s’étaient tendues, elles avaient pris de belles tailles. Nos mains caressaient le corps de l’être aimé. Nos bouches allaient sur les tétons, dans le creux du cou, sa la bouche de notre partenaire. Nous nous caressions langoureusement, calmement sans aller trop vite. Nous parcourions nos corps avec nos mains délicatement. Puis Henri me regarda dans les yeux. Il avait à nouveau son regard angélique, son regard plein de malice, rempli de cette lueur spéciale que j’avais découverte lors du camp scout. Je me retrouvais des semaines en arrière, lors de notre première nuit, dans mon sac de couchage ! J’avais souris, Henri lui avait de nouveau son sourire ravageur. Puis Henri se pencha vers mon oreille et me susurra :
Henri : « Phil, tu veux bien me faire l’amour !
Moi : Oh oui Henri, je me doutais que c’est cela que tu attendais. Oui je vais t’aimer, je vais me donner à toi !
Henri : Merci, je t’aime Phil ! »
Henri sortait alors de la table nuit un paquet de préservatifs. Il en prenait un et me le tendait.
Je voyais cette lueur d’envie dans les yeux de mon amant. Je m’étais préparé à le combler. J’avais pris de la vaseline et lui avait préparé l’anus, gentiment. J’avais ensuite enfilé la capote et j’avais présenté mon sexe bandé entre les fesses d’Henri. J’arrivais à sa rondelle et j’avais ensuite introduit lentement et doucement mon sexe dans son anus. Puis je l’ai aimé, je l’ai possédé, nous étions heureux. Henri gémissait de jouissance. Puis n’y tenant plus j’avais éjaculé de bonheur au fond de la capote. Henri était comme sur un nuage, il n’avait pas gémi de mal, mais bien de bonheur.
Henri était heureux.
Après un petit moment Henri s’était adressé à moi :
Henri : « Phil, je ne sais pas si pour toi, si je peux…, si je peux moi aussi t’aimer, te faire l’amour !
Moi : Oh Henri, ne t’en fait pas, moi ça va aller, je pense que tu peux me faire l’amour à ton tour. Il faut juste que tu y ailles doucement !
Henri : Merci Phil, merci mon amour, merci mon cœur, je t’aime. »
J’avais aussi envie de m’offrir à Henri, je lui devais bien ça. Il était tout pour moi et il fallait que je passe le pas, il fallait que je puisse aller de l’avant, nous n’avions plus fait l’amour depuis longtemps. Je me sentais prêt malgré une certaine appréhension.
Henri avait préparé mon anus délicatement, il y avait mis le temps. Il ne voulait pas me faire mal. Puis une fois le préservatif enfilé, il présenta son membre bandé au niveau de ma rondelle. Il avait attendu un moment, juste le moment pour moi de me préparer à le recevoir et aussi à évacuer tout le stress. Puis j’avais dit à mon amant : « Oui, Henri, oui vas-y, je me sens prêt. ». Henri me pénétra doucement, délicatement. Henri prenait soin de ne pas aller trop vite, il voulait faire de son mieux, il ne voulait pas me faire mal.
Puis, n’ayant presque pas mal, j’avais dit à Henri d’y aller, de me posséder, de m’aimer, de me faire l’amour. Henri avait dosé son énergie, il y allait par touche de mouvements lents et rapides. J’étais moi aussi à l’unisson avec lui, je pouvais enfin avoir à nouveau du plaisir et je ne pensais plus à ce bout de bois, à cet après-midi là ! Henri a joui et nous avions crié de bonheur ensemble.
Vidés, heureux, fatigués, mais ivre de bonheur nous étions restés couchés dans les bras l’un de l’autre durant une bonne demi-heure. Nous nous embrassions amoureusement en disant des « je t’aime ! »
Avant de nous endormir, j’avais été une dernière fois à la toilette.