05-01-2021, 12:27 PM
(Modification du message : 06-01-2021, 05:56 PM par Philou0033.)
Une fois arrivés à la villa, nous les jeunes, nous nous étions rués vers la piscine. Nous nous étions désapés et nus nous avions piqué une tête dans la piscine. Nous nous amusions une nouvelle fois comme des gosses.
Une fois cette baignade terminée, Papa nous avait dit que nous pouvions monter à notre chambre si nous voulions. Je suis certain que Papa voulait que nous puissions avoir un peu d’intimité. J’avais regardé Henri et il m’a fait signe que nous avions encore le temps. Nous étions restés avec toute la famille pour savourer cette ambiance familiale pleine de bonheur et d’amour.
Une fois cette belle soirée terminée, nous avions tous regagné nos chambres.
Henri m’avait pris par la main, il m’avait conduit en direction de notre lit. Il était radieux, son visage respirait le bonheur, il était très heureux d’être là, avec moi. Ses yeux débordaient d’amour, ils avaient un éclat malicieux, cachant une âme très sensible. Une nouvelle fois son regard angélique avait prise sur moi, il m’envoûtait, j’étais ensorcelé, j’étais tout à lui ! C'est une impression bizarre que je l’avais connue lors du camp scout. Quels souvenirs impérissables !
Nous nous étions couchés, nus, sans artifice aucun, sans pudeur aucune, tels que nous étions l’un pour l’autre, unis par un faisceau invisible, livrés, l’un à l’autre, en communion d’âme et d’esprit.
Henri me murmurait à l’oreille :
Henri : « Oh, Phil, que je t’aime, je suis si heureux avec toi. Dis-moi, est-ce que ça va durer ?
Moi : Oh oui, Henri je t’aime aussi, je suis pleinement heureux avec toi, tu es mon rayon de soleil au travers de la nuit ! Je souhaite de tout cœur que notre amour dure jusqu’à la fin des temps !
Henri : Merci de me rassurer, j’avais un pressentiment, embrasse-moi s’il te plait ! »
Nous nous étions embrassés voluptueusement. Nous étions à l’unisson, nous étions en plein accord, en parfaite communion. Les mots n’avaient pas besoin d’être prononcés, nous étions au nirvana, nous planions dans un océan de bonheur ! Pas besoin d’amour physique, nous étions heureux comme ça !
Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre dans un amour plein de bienveillance !
L’aube pointait déjà le bout de son nez. Le soleil était au rendez-vous, la journée promettait d’être belle. Henri dormait encore à mes côtés dans le lit. Nous étions nus, nos corps étaient reposés par une nuit pleine de beaux rêves d’amour et partages.
Comme chaque matin au réveil, mon sexe était gonflé, il pointait vers le plafond. Je voyais que celui de mon très cher Henri était dans le même état. N’y résistant pas, j’avais posé ma main sur l’intimité dressée d’Henri. J’avais lentement caressé sa colonne de chair, elle avait d’ailleurs pris plus de volume. J’avais approché mes lèvres et doucement j’avais gobé le membre dressé. J’avais appliqué une pression douce et sensible ; puis au fur et à mesure je m’étais affranchi et j’avais accéléré les mouvements le long de ce sexe bandé. Henri commençait à gémir, j’avais pu voir qu’il avait les yeux ouverts et qu’il se délectait de cette fellation matinale. Puis j’avais encore accéléré le mouvement et la pression de mes lèvres sur son sexe, Henri était sur le point de non-retour et puis dans un mouvement de son bassin, il laissa 5 jets de semence s’écraser au fond de ma gorge. Il se laissa aller sur le lit savourant son orgasme ! Ensuite, dans un murmure il me glissa à l’oreille :
Henri : « Merci Phil, un réveil comme ça tous les matins, ce serait le pied !
Moi : Oui, je suis pour !
Henri : Laisse-toi faire mon amour. C’est à mon tour ! »
Henri avait avancé sa main vers mon intimité dressée. Il s’empara de ma zigounette et il la fit gonfler un peu plus. Henri me masturbait lentement et délicatement. Il savait comment s’y prendre pour me faire déconnecter de la réalité. Puis Henri approcha ses lèvres de mon mât tendu vers le ciel. Il lécha d’abord mon gland qu’il avait décalotté au préalable, il titillait le frein, il caressait avec sa main mes bourses, il descendait avec sa langue vers la base de mon plantoir, il remontait ensuite vers le gland puis il goba mon vis. Avec ses lèvres il fit des vas et viens délicieux, je ne savais plus où j’étais. Henri s’en donnait à cœur joie, c’était devenu un expert en pipe. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, je me sentais porté comme sur un nuage, j’étais comme envoûté par tant de volupté ! Enfin, me cabrant, j’avais laissé 5 longs jets de sperme s’écraser au fond de la gorge de mon amant ! Quel délice. Je m’étais alors laissé tomber comme une masse sur le dos. Henri, lui, riait de me voir ainsi !
J’avais alors glissé à l’oreille d’Henri :
Moi : « Merci, merci de m’aimer comme tu le fais !
Henri : Mais de rien mon amour, je t’aime tu sais.
Moi : Oh, Henri, si tu savais combien je t’aime aussi. »
Nous avions alors échangé un baiser langoureux !
Une bonne demi-heure plus tard nous nous étions levés pour aller prendre une bonne douche.
A peine installés sous la douche, nous avions vu arriver Jean. Il était encore un peu dans le cirage. Il avait la demi-gaule du matin. Nous l’avons autorisé à nous rejoindre. Nous nous étions savonnés le dos l’un l’autre en laissant nos attributs tranquilles. Même Jean était resté de marbre.
Une fois notre douche terminée, nous nous étions revêtus d’un short pour descendre prendre le petit-déjeuner. Papa et maman étaient déjà à table. On entendait l’oncle Pierre chanter sous la douche tandis que ma sœur Anne devait encore être dans son lit.
Nous avions donc mangé de bon appétit.
J’avais sollicité de la part de Papa l’autorisation d’aller à la plage des Lays à la Barre de Mont. Papa avait donné son accord pour que nous puissions y aller durant l’après-midi.
Henri était heureux car il savait que nous aurions enfin un peu de moment d’intimité à deux.
Nous avions décidé, Henri et moi, de donner un coup de main à Maman pour le déjeuner. Nous l’avions donc accompagné faire les achats. Nous avions été dans le centre de Saint-Jean de Mont faire quelques emplettes. Une fois nos achats terminés, Maman nous avait proposé de prendre une collation sur la terrasse d’un bar. Henri et moi avions choisi de prendre un chocolat chaud, maman ayant quant à elle opté pour une café serré.
Nous avions regagné la villa et avions apporté un petit coup de main pour la préparation du plat froid du midi. Une fois cette tâche terminée, nous étions allés nous jeter dans la piscine. Nous avions rejoint Jean qui y barbotait tout seul. Quel amusement de se détendre dans l’eau d’une piscine, de jouer comme ça en famille, car entre temps Anne nous avait rejoints.
Par la suite, nous avions joué, toujours nus, au badminton sur la pelouse. L’oncle Pierre avait fait l’arbitre. Quelle belle matinée encore une fois passée avec la famille !
Nous avions mangé en famille le déjeuner que maman avait préparé. C’était donc un plat froid. C’était bien apprécié par la chaleur qu’il faisait.
A l’issue du repas, Henri et moi nous avions enfourché nos vélos pour nous rendre à la plage. Papa nous avait recommandé de faire attention lorsque nous allions nous baigner car la mer était un peu forte à la suite de la marée.
Nous nous étions Henri et moi dirigés vers la plage en passant par les pistes cyclables qui évitent la route. Nous étions arrivés au parking et nous avions mis nos vélos en sécurité le long des barrières en les y attachant avec un cadenas.
Nous nous étions dirigés vers la plage en passant pas les dunes, ce qui nous évitait de longer la mer par la plage en vue de rejoindre la partie naturiste.
Une fois sur cette plage naturiste nous nous étions dévêtus. Nous avions placés nos effets à proximité des oyats comme nous l’avions fait deux jours avant.
Nous nous étions mis de la crème solaire sur le corps, nous nous étions aidés pour nous en mettre également dans le dos. Chacun en mettant sur le dos de l’autre.
Nous nous étions étendus au soleil, côte à côte sans plus. Nous ne voulions pas attirer les regards en notre direction. Nous faisions comme si nous étions des copains, sans plus, pas de geste équivoque entre nous.
Je n’avais pu m’empêcher d’une nouvelle fois admirer les pieds de mon cher Henri. Il avait les pieds les plus beaux du monde !
Plus tard dans l’après-midi étions allés dans la mer pour y prendre un bain et nous amuser. Nous plongions dans les vagues qui étaient plus hautes que les jours précédents. Nous nous frôlions, nos corps se touchaient et puis se séparaient. C’était un jeu de « séduction », une façon à nous de montrer à l’autre que nous étions là, plein de force et de vigueur. Puis nos mains se sont retrouvées, nous avons échangé un tout petit bisou sur la bouche, sans plus. Nos mains ont parcouru le corps de notre amant. Nous nous étions caressés, nos mains s’étaient ensuite attardées au niveau de nos attributs masculins, nous nous masturbions mutuellement au milieu des vagues. Nous étions loin de la plage, personne ne pouvait deviner ce que nous faisions ensemble. Puis au bout d’un bon quart d’heure nous nous étions libérés, nous avions éjaculé presque en même temps, nous avions savouré ce moment d’osmose entre nous. Nous étions une nouvelle fois comme seuls au monde, plus rien n’interférait, nous étions deux un point c’est tout.
Ensuite nous étions restés environ deux bonnes heures à nous amuser dans les vagues, nous lançant du sable mouillé, l’un sur l’autre, pour rigoler.
Nous avions quitté la mer pour enfin nous étendre et nous sécher au soleil. Il faisait très bon avec un petit vent qui nous caressait le corps. C’est une sensation de liberté que seuls les naturistes peuvent ressentir, n’ayant aucun morceau de tissus sur eux.
C’était un après-midi qui s’était très bien déroulé, sans aucune faille, pleine de bonne humeur et d’amour partagé avec l’être aimé.
Finalement, nous avions décidé de rentrer à la villa rejoindre la famille pour passer avec ses membres la fin de cet après-midi.
Une fois cette baignade terminée, Papa nous avait dit que nous pouvions monter à notre chambre si nous voulions. Je suis certain que Papa voulait que nous puissions avoir un peu d’intimité. J’avais regardé Henri et il m’a fait signe que nous avions encore le temps. Nous étions restés avec toute la famille pour savourer cette ambiance familiale pleine de bonheur et d’amour.
Une fois cette belle soirée terminée, nous avions tous regagné nos chambres.
Henri m’avait pris par la main, il m’avait conduit en direction de notre lit. Il était radieux, son visage respirait le bonheur, il était très heureux d’être là, avec moi. Ses yeux débordaient d’amour, ils avaient un éclat malicieux, cachant une âme très sensible. Une nouvelle fois son regard angélique avait prise sur moi, il m’envoûtait, j’étais ensorcelé, j’étais tout à lui ! C'est une impression bizarre que je l’avais connue lors du camp scout. Quels souvenirs impérissables !
Nous nous étions couchés, nus, sans artifice aucun, sans pudeur aucune, tels que nous étions l’un pour l’autre, unis par un faisceau invisible, livrés, l’un à l’autre, en communion d’âme et d’esprit.
Henri me murmurait à l’oreille :
Henri : « Oh, Phil, que je t’aime, je suis si heureux avec toi. Dis-moi, est-ce que ça va durer ?
Moi : Oh oui, Henri je t’aime aussi, je suis pleinement heureux avec toi, tu es mon rayon de soleil au travers de la nuit ! Je souhaite de tout cœur que notre amour dure jusqu’à la fin des temps !
Henri : Merci de me rassurer, j’avais un pressentiment, embrasse-moi s’il te plait ! »
Nous nous étions embrassés voluptueusement. Nous étions à l’unisson, nous étions en plein accord, en parfaite communion. Les mots n’avaient pas besoin d’être prononcés, nous étions au nirvana, nous planions dans un océan de bonheur ! Pas besoin d’amour physique, nous étions heureux comme ça !
Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre dans un amour plein de bienveillance !
L’aube pointait déjà le bout de son nez. Le soleil était au rendez-vous, la journée promettait d’être belle. Henri dormait encore à mes côtés dans le lit. Nous étions nus, nos corps étaient reposés par une nuit pleine de beaux rêves d’amour et partages.
Comme chaque matin au réveil, mon sexe était gonflé, il pointait vers le plafond. Je voyais que celui de mon très cher Henri était dans le même état. N’y résistant pas, j’avais posé ma main sur l’intimité dressée d’Henri. J’avais lentement caressé sa colonne de chair, elle avait d’ailleurs pris plus de volume. J’avais approché mes lèvres et doucement j’avais gobé le membre dressé. J’avais appliqué une pression douce et sensible ; puis au fur et à mesure je m’étais affranchi et j’avais accéléré les mouvements le long de ce sexe bandé. Henri commençait à gémir, j’avais pu voir qu’il avait les yeux ouverts et qu’il se délectait de cette fellation matinale. Puis j’avais encore accéléré le mouvement et la pression de mes lèvres sur son sexe, Henri était sur le point de non-retour et puis dans un mouvement de son bassin, il laissa 5 jets de semence s’écraser au fond de ma gorge. Il se laissa aller sur le lit savourant son orgasme ! Ensuite, dans un murmure il me glissa à l’oreille :
Henri : « Merci Phil, un réveil comme ça tous les matins, ce serait le pied !
Moi : Oui, je suis pour !
Henri : Laisse-toi faire mon amour. C’est à mon tour ! »
Henri avait avancé sa main vers mon intimité dressée. Il s’empara de ma zigounette et il la fit gonfler un peu plus. Henri me masturbait lentement et délicatement. Il savait comment s’y prendre pour me faire déconnecter de la réalité. Puis Henri approcha ses lèvres de mon mât tendu vers le ciel. Il lécha d’abord mon gland qu’il avait décalotté au préalable, il titillait le frein, il caressait avec sa main mes bourses, il descendait avec sa langue vers la base de mon plantoir, il remontait ensuite vers le gland puis il goba mon vis. Avec ses lèvres il fit des vas et viens délicieux, je ne savais plus où j’étais. Henri s’en donnait à cœur joie, c’était devenu un expert en pipe. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, je me sentais porté comme sur un nuage, j’étais comme envoûté par tant de volupté ! Enfin, me cabrant, j’avais laissé 5 longs jets de sperme s’écraser au fond de la gorge de mon amant ! Quel délice. Je m’étais alors laissé tomber comme une masse sur le dos. Henri, lui, riait de me voir ainsi !
J’avais alors glissé à l’oreille d’Henri :
Moi : « Merci, merci de m’aimer comme tu le fais !
Henri : Mais de rien mon amour, je t’aime tu sais.
Moi : Oh, Henri, si tu savais combien je t’aime aussi. »
Nous avions alors échangé un baiser langoureux !
Une bonne demi-heure plus tard nous nous étions levés pour aller prendre une bonne douche.
A peine installés sous la douche, nous avions vu arriver Jean. Il était encore un peu dans le cirage. Il avait la demi-gaule du matin. Nous l’avons autorisé à nous rejoindre. Nous nous étions savonnés le dos l’un l’autre en laissant nos attributs tranquilles. Même Jean était resté de marbre.
Une fois notre douche terminée, nous nous étions revêtus d’un short pour descendre prendre le petit-déjeuner. Papa et maman étaient déjà à table. On entendait l’oncle Pierre chanter sous la douche tandis que ma sœur Anne devait encore être dans son lit.
Nous avions donc mangé de bon appétit.
J’avais sollicité de la part de Papa l’autorisation d’aller à la plage des Lays à la Barre de Mont. Papa avait donné son accord pour que nous puissions y aller durant l’après-midi.
Henri était heureux car il savait que nous aurions enfin un peu de moment d’intimité à deux.
Nous avions décidé, Henri et moi, de donner un coup de main à Maman pour le déjeuner. Nous l’avions donc accompagné faire les achats. Nous avions été dans le centre de Saint-Jean de Mont faire quelques emplettes. Une fois nos achats terminés, Maman nous avait proposé de prendre une collation sur la terrasse d’un bar. Henri et moi avions choisi de prendre un chocolat chaud, maman ayant quant à elle opté pour une café serré.
Nous avions regagné la villa et avions apporté un petit coup de main pour la préparation du plat froid du midi. Une fois cette tâche terminée, nous étions allés nous jeter dans la piscine. Nous avions rejoint Jean qui y barbotait tout seul. Quel amusement de se détendre dans l’eau d’une piscine, de jouer comme ça en famille, car entre temps Anne nous avait rejoints.
Par la suite, nous avions joué, toujours nus, au badminton sur la pelouse. L’oncle Pierre avait fait l’arbitre. Quelle belle matinée encore une fois passée avec la famille !
Nous avions mangé en famille le déjeuner que maman avait préparé. C’était donc un plat froid. C’était bien apprécié par la chaleur qu’il faisait.
A l’issue du repas, Henri et moi nous avions enfourché nos vélos pour nous rendre à la plage. Papa nous avait recommandé de faire attention lorsque nous allions nous baigner car la mer était un peu forte à la suite de la marée.
Nous nous étions Henri et moi dirigés vers la plage en passant par les pistes cyclables qui évitent la route. Nous étions arrivés au parking et nous avions mis nos vélos en sécurité le long des barrières en les y attachant avec un cadenas.
Nous nous étions dirigés vers la plage en passant pas les dunes, ce qui nous évitait de longer la mer par la plage en vue de rejoindre la partie naturiste.
Une fois sur cette plage naturiste nous nous étions dévêtus. Nous avions placés nos effets à proximité des oyats comme nous l’avions fait deux jours avant.
Nous nous étions mis de la crème solaire sur le corps, nous nous étions aidés pour nous en mettre également dans le dos. Chacun en mettant sur le dos de l’autre.
Nous nous étions étendus au soleil, côte à côte sans plus. Nous ne voulions pas attirer les regards en notre direction. Nous faisions comme si nous étions des copains, sans plus, pas de geste équivoque entre nous.
Je n’avais pu m’empêcher d’une nouvelle fois admirer les pieds de mon cher Henri. Il avait les pieds les plus beaux du monde !
Plus tard dans l’après-midi étions allés dans la mer pour y prendre un bain et nous amuser. Nous plongions dans les vagues qui étaient plus hautes que les jours précédents. Nous nous frôlions, nos corps se touchaient et puis se séparaient. C’était un jeu de « séduction », une façon à nous de montrer à l’autre que nous étions là, plein de force et de vigueur. Puis nos mains se sont retrouvées, nous avons échangé un tout petit bisou sur la bouche, sans plus. Nos mains ont parcouru le corps de notre amant. Nous nous étions caressés, nos mains s’étaient ensuite attardées au niveau de nos attributs masculins, nous nous masturbions mutuellement au milieu des vagues. Nous étions loin de la plage, personne ne pouvait deviner ce que nous faisions ensemble. Puis au bout d’un bon quart d’heure nous nous étions libérés, nous avions éjaculé presque en même temps, nous avions savouré ce moment d’osmose entre nous. Nous étions une nouvelle fois comme seuls au monde, plus rien n’interférait, nous étions deux un point c’est tout.
Ensuite nous étions restés environ deux bonnes heures à nous amuser dans les vagues, nous lançant du sable mouillé, l’un sur l’autre, pour rigoler.
Nous avions quitté la mer pour enfin nous étendre et nous sécher au soleil. Il faisait très bon avec un petit vent qui nous caressait le corps. C’est une sensation de liberté que seuls les naturistes peuvent ressentir, n’ayant aucun morceau de tissus sur eux.
C’était un après-midi qui s’était très bien déroulé, sans aucune faille, pleine de bonne humeur et d’amour partagé avec l’être aimé.
Finalement, nous avions décidé de rentrer à la villa rejoindre la famille pour passer avec ses membres la fin de cet après-midi.