31-12-2020, 12:13 PM
Une fois rentrés à la maison de vacances, nous nous étions une nouvelle fois plongés dans la piscine. Ça devenait un rituel familial !
Maman de son côté avait commencé à préparer le souper. L’oncle Pierre avait lui, commencé à mettre la table et papa était occupé à la préparation des boissons de » l’apéro et du repas et il finissait de préparer le dessert.
Le repas était assez frugal et papa avait ouvert deux bouteilles de rosé. Nous avions clôturé par une salade de fruits rehaussée à la mode « Papa-qui-débarque-des-îles ». (C’est-à-dire qu’il y avait de l’alcool (rhum))
Nous avions passé le reste de la soirée à parler de tas de chose, de la vie, de l’amour, de l’amitié, du prix du baril de brut, … etc.
J’aimais bien ce genre de soirée où nous pouvions dire quelque chose, où nous étions entendus et où nous apprenions ce qui n’est pas dans les livres. L’oncle Pierre était particulièrement calé dans beaucoup de domaines.
A un moment de la soirée j’avais fais signe à Jean de venir me voir discrètement. Nous nous étions retrouvés dans la salle de bain. J’ai alors, sans ambages, demandé à Jean :
Moi : « Pourquoi tu t’es branlé avec Alex tantôt quand nous étions à la mer ? »
Jean : « Ben, … Phil, tu sais j’en avais envie rien qu’à te voir avec Henri. Ce n’est pas pour ça que je suis homo tu sais ! »
Moi : « C’est tout, c’est pour savoir si tu étais devenu homo. »
Jean : « Mais non Phil, c’était juste pour le fun et de plus Alex avait l’air super sympa et très ouvert. »
Moi : « Oui, je sais, c’est un très chouette mec. »
Jean : « Puis tu sais Phil, pour être honnête avec toi, j’avais déjà branlé un copain, c’est arrivé deux fois, c’était juste pour la déconne. Pour moi, je suis hétéro et j’aime les filles. »
Moi : « Ça va Jean, t’inquiètes pas, je ne dis rien à personne tu sais, c’est seulement parce que tu es mon frère et que je t’aime. »
Jean : « Oui, je sais frérot. Moi en tout cas je t’aime tel que tu es, homo ou pas, je t’aime comme un frère, comme mon grand frère. »
Moi : « Merci Jean, allons rejoindre les autres ! »
Avant de monter dans les chambres nous avions Anne, Jean, Henri et moi piqué une nouvelle fois une tête dans la piscine.
Nous étions ensuite remontés, nus, dans nos chambres respectives pour y passer la nuit.
En entrant dans notre chambre, Henri m’avait regardé dans les yeux et il me souriait. Il semblait très heureux d’être là à ce moment précis. Une nouvelle fois je voyais dans le regard d’Henri cette candeur et cet angélisme que j’avais tant aimé lors du camp scout. Il était comme un oiseau posé au creux d’une main.
J’avais pris la main d’Henri et je l’avais mené jusqu’au lit. Je l’avais pris dans mes bras et l’avais posé délicatement telle une plume qui se dépose lentement sur un support ouaté. J’avais ensuite posé mes lèvres sur les siennes. Nos bouches s’étaient ouvertes et nos langues s’étaient frayées un chemin pour se rencontrer et se mélanger avec fougue. Nos sens étaient tous en éveil, nos mains parcouraient nos corps exposés aux caresses délicates. Nos attributs n’étaient pas en reste, ils se gonflaient et pointaient en direction de nos nombrils. Je caressais les cheveux soyeux de mon cher et aimé Henri. De son côté Henri me massait la nuque doucement. Nos corps commençaient à vibrer à l’unisson, nous étions sur un nuage, nous étions là tous les deux comme hors du temps. Nous savourions avec délice la tendresse que nous nous procurions et qui émanait de notre complicité amoureuse. Henri me glissa alors à l’oreille : « Phil, je t’aime, tu ne peux pas t’imaginer. »
Moi : « Oui Henri, je peux m’imaginer ce que tu ressens, car pour moi c’est la même chose, je t’aime mon Henri. »
Henri : « Puisse ce moment durer une éternité ! »
Moi : « Oh oui, que je suis bien avec toi, tu es mon rayon de soleil au milieu du cahot ! »
Henri : « Je vais t’éclairer pour ainsi être ton phare de bon secours. »
Moi : « Oui mon amour, mais restons les pieds sur terre, enfin tant que faire ce peut. »
Henri : « Arrête de briser l’ambiance mon Phil d’amour ! »
Moi : « Henri, je voudrais, si tu le veux toi aussi, te faire l’amour ce soir. »
Henri : « Je ne voulais pas te le demander, mais je n’attends que ça, aime moi et après je t’aimerai à mon tour. Oui faisons l’amour, Phil. Je t’aime. »
Moi : « Oui Henri, nous allons nous aimer si c’est ta volonté. »
J’avais ensuite ouvert le tiroir de la table de nuit pour y prendre un tube de lubrifiant et un paquet de condoms. J’avais alors signalé à Henri : « Tu sais que c’était Jacqueline, ma maman, qui en avait fait l’achat pour ne pas nous mettre dans l’embarra. »
Henri : « Cela ne m’étonne pas, tu as une maman en or, ne l’oublie jamais mon Phil, ta maman est une perle ! »
Moi : « Oh oui Henri, je m’en rends compte de jour en jour tu sais. »
Henri : « Vas-y Phil, je suis tout à toi, prend moi, je n’attends que ça. »
J’avais demandé à Henri de se placer de façon a présenter ses fesses bien en évidence pour que je puisse m’y présenter sens trop de problème. J’avais pris le tube de lubrifiant et j’avais enduit son anus ainsi que mes doigts. J’avais ensuite délicatement titillé sa rondelle en vue de ne pas lui faire mal par la suite. J’avais progressivement introduit un, puis deux doigts dans son rectum. Henri ressentait déjà du plaisir à se faire ainsi toucher le fondement. Puis ayant placé une capote sur ma verge, j’avais présenté mon boute-joie à l’entrée de la rondelle. Doucement avec délicatesse j’avais avancé dans l’antre tant désirée millimètres par millimètres et par plusieurs mouvements de reculs et de pénétrations, j’avais investi la grotte tant convoitée. Ayant enfoncé mon vis jusqu’à la garde, je m’étais mis à faire des vas et viens, d’abord lents et puis de plus en plus accentués. Henri râlait de bonheur, il ressentait chaque mouvement avec l’intensité et la force voulue, il savourait chaque pression, chaque mouvement dans ses entrailles, il montait en jouissance, il se sentait comme porté au nirvana. Henri ne cessait de me dire : « Oui Phil, comme ça, oui, vas-y, je t’aime. »
Moi de mon côté de tâchais de me contrôler pour ne pas lâcher la purée trop vite, je ralentissais le rythme pour laisser du temps au temps, pour ne pas brusquer les choses, pour savourer l’instant présent. Henri gémissait de plus en plus, il était presque hors de lui tant la jouissance était présente. Henri me disait n’avoir jamais ressenti de telles sensations. Je m’étais aussi mis à lui mordiller le lobe de son oreille gauche, ça me donnait encore plus envie de lui donner plus, de me donner encore plus à lui, l’être aimé. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, j’ai ralenti la cadence pour me concentrer sur mes caresses et mes bisous donnés dans le cou d’Henri. Je me concentrais pour ne pas aller trop vite. Je lui susurrais des je t’aime à l’oreille, je lui demandais de ne pas faire trop de bruit pour ne pas ameuter la famille sur l’ampleur de nos ébats. Je sentais aussi qu’Henri était sur le point de crier haut et fort la jouissance qu’il ressentait et dans un sursaut j’avais accéléré mes mouvements dans son fondement pour, dans un râle profond, laisser libérer toute ma semence en cinq jets puissants au fond de la capote et par ces ultimes spasmes ressentir au plus profond de moi une jouissance jamais ressentie auparavant. J’étais dans un autre monde, sur une autre planète. Puis tel un cheval fourbu par la tâche, je ne m’étais senti aussi libéré de tout sentiment négatif. J’avais enfin connu une approche d’un nirvana tant convoité !
Henri était monté au septième ciel, au moment où j’ai éjaculé dans sa grotte, lui de son côté dans une jouissance extrême avait éjaculé sur le lit 4 jets de sperme. Il était lui aussi monté au nirvana.
Henri était aussi affecté que moi. Il était fatigué des assauts répétés au niveau de son postérieur. Nous nous étions écroulés l’un à coté de l’autre, béats dans un sentiment de plénitude extrême.
J’avais alors dit une nouvelle fois à Henri : « Je t’aime. »
Henri me répondant : « Oh, Phil, je t‘aime. Je n’ai jamais rien connu de pareil dans ma vie. C’était super. »
Nous nous étions embrassés, nos langues une nouvelle fois s’étaient senties, ressenties, entremêlées. Quel bonheur, quel bonheur !
Après une bonne demi-heure, Henri, remis de ses émotions me glisse à l’oreille : « Phil, je veux aussi t’aimer, je veux que tu sois aussi à moi, que je puisse te faire l’amour. »
Moi : « Oh oui, Henri. Je t’attends, je te supplie de me prendre, de m’aimer comme jamais. Vas-y, je t’aime tant ! »
Henri, étant un très élève, avait tout de suite compris. Il me demanda de me coucher sur le lit et de relever les jambes. Il s’était placé devant moi et il avait mis mes jambes de chaque côté de son cou. Il avait placé sa capote sur son membre bandé. Il avait mis un peu de lubrifiant au niveau de ma rondelle et il enfonçait doucement un doigt dans mon intimité puis deux. Puis je pouvais voir qu’il savourait l’instant présent, il se concentra et puis présenta son intimité dressée au niveau de mon anus. Il plaça son sexe à entrée de ma grotte. Puis doucement, lentement il me pénétrait, il enfonçait son sexe tendu dans mes entrailles. Il arriva jusqu’à la garde, ses couilles venant buter sur ma raie du cul. Puis lentement il entamait des mouvements de va et vient. Je sentais son sexe approché de ma prostate, je commençais à ressentir un plaisir grandissant, je me sentais comme pris dans un tourbillon, je ne savais plus si j’étais couché ou debout, si c’était le soir ou la nuit, j’étais comme sur un nuage, planant dans une sérénité profonde. Je pouvais presque entendre le cœur d’Henri battre au même rythme que le mien. Nous étions en pleine communion de corps et je dirais même communion d’esprit. Henri avait su s’y prendre pour me donner beaucoup de plaisir. Puis Henri haletait de plus en plus, je sentais qu’il arrivait à l’extase et je lui avais demandé d’aller moins vite, de prendre son temps. Henri ralentissait alors ses mouvements de pénétration, il semblait lui aussi avoir envie d’attendre avant de déverser sa semence au fond de la capote. Puis sentant que le moment était venu d’approcher du septième ciel, j’avais dit à Henri : « Je t’aime, vas-y, défonce moi, fais nous monter au paradis. » Henri s’était alors mis à me labourer l’anus avec frénésie et comme soudé l’un à l’autre nous nous étions laissés aller à l’extase dans un râle commun, lui déchargeant dans la capote 5 jets de sperme et moi maculant le lit de 4 longs jets de ma semence. Nous nous étions alors affalés, fourbus, l’un à côté de l’autre, savourant l’instant, béats d’un bonheur ainsi partagé.
Nous avions repris nos esprits un bon quart d’heure après, avec un profond sentiment de satisfaction.
Nous avions remis notre lit en état et nous nous étions couchés dans les bras l’un de l’autre et nous avions ensuite échangé, sans un mot, un long baiser humide sur la bouche, nos langues tournant chacune sur celle de l’autre. Puis rompus de fatigue, nous nous étions endormis, nus, au dessus de la couette.
L’aube pointait le bout de son nez lorsque je m’étais réveillé. J’étais dans les bras d’Henri. Je lui avais donné un baiser sur le front et je m’étais rendormi.
A un moment, j’ai senti une main me caresser les cheveux. J’avais ouvert les yeux et j’avais vu que c’était Jean qui venait nous réveiller, Henri et moi. Jean avait été très silencieux et avait agi avec délicatesse. Il nous avait réveillés avec tendresse. Jean nous disait alors :
Jean : « Alors les amoureux, vous avez passé une bonne nuit ! »
Moi : « Oui mon charmant frérot, nous avons très bien dormi. »
Henri : « Oui Jean, merci pour ce réveil au combien délicat. »
Jean : « Vous avez dormi comme des anges les mecs. »
Moi : « Oui, et le reste ne te regardes pas. »
Henri : « Tu sais très bien ce qui se passe quand deux êtres s’aiment, tu n’es pas tombé de la dernière pluie ! »
Moi : « Tu me fais bien rire Henri ! »
Jean : « Ah, ça c’est la meilleur. »
Henri : « Tu étais bien content hier dans la mer quand Alex t’as branlé la zigounette ! »
Jean : « Oui, je sais, mais dites rien aux parents. C’était juste pour le fun, vous croyez quoi les mecs ! »
Moi : « Ne t’inquiète pas frangin, on sera muet comme des tombes. »
Jean : « Tu promets Phil et toi Henri, tu promets aussi ! Je suis hétéro les gars »
Henri et moi : « Mais oui Jean, on promet. On ne dit rien ! »
Moi : « Puis je te crois, tu avais juste envie de t’amuser, il n’y a pas de mal à ça. Qu’est-ce que tu en pense Henri ? »
Henri : « C’est vrai, on peut se branler la nouille sans pour autant être homo. Si tu as passé un bon moment avec Alex, alors c’est très bien. »
Jean : « Merci les gars, je vous aime, vous êtes super ! »
Moi : « Oui c’est ça. »
Jean : « Mais oui grand dadais ! » Hihihi (Juste pour taquiner)
Nous nous étions levés et hop à la piscine avant de prendre le petit déjeuner. Nous étions tous dans l’eau sauf maman qui préparait le repas.
A l’issue du petit déjeuner, papa nous avait dit que nous pouvions Henri et moi aller à la plage des Lays l’après-midi, après le déjeuner, car elle n’était pas trop loin de la villa.
Nous avions passé la matinée avec les autres à jouer dans le jardin et dans la piscine. C’était une très belle matinée en famille.
A midi nous avions mangé un repas froid préparé par maman et Anne, composé de salades variées, de fromages et de charcuteries, le tout accompagné de pain et de beurre.
Henri avait hâte de partir à la plage avec moi. Nous avions donc enfourché nos vélos pour aller en direction de la Barre de Mont et ainsi rejoindre la plage des Lays !
Nous avions gagné le parking de la plage et nous avions accroché nos vélos aux barrières de peur qu’ils ne soient volés.
Nous nous étions dirigés vers la partie naturiste de la plage. Et d’un et de deux nous nous étions retrouvés nus comme des vers. Nous étions heureux d’être enfin libres et nus dans le vent et le soleil, face à la mer. Nous avions placé nos draps de bain le long de oyats et nous étions directement allés nous plonger dans la mer, l’eau était très bonne et nous nous étions éclaboussés tout en riant de bon cœur. Nous étions vraiment heureux. J’étais avec mon « homme » et Henri était avec moi, son « homme ». Nous étions heureux et en harmonie tant avec nos corps qu’avec nos esprits et en plus avec les éléments comme le vent, le soleil et l’eau, nous ne pouvions espérer mieux.
Au loin, au peu au large nous nous étions embrassés langoureusement, nos langues se sont mêlées et nous savourions l’instant présent. Nous en avions profité pour nous caresser sous l’eau et ainsi nous masturber langoureusement dans la mer. C’était une sensation qu’Henri avait découverte et aimée la veille à la plage de la Pointe D’Arçay. Nous avions joui presqu’en même temps. Nos bouches se s’étaient une nouvelle fois retrouvées dans un baiser mouillé et agrémenté d’une salade de langues. Nous étions dans un autre monde.
Maman de son côté avait commencé à préparer le souper. L’oncle Pierre avait lui, commencé à mettre la table et papa était occupé à la préparation des boissons de » l’apéro et du repas et il finissait de préparer le dessert.
Le repas était assez frugal et papa avait ouvert deux bouteilles de rosé. Nous avions clôturé par une salade de fruits rehaussée à la mode « Papa-qui-débarque-des-îles ». (C’est-à-dire qu’il y avait de l’alcool (rhum))
Nous avions passé le reste de la soirée à parler de tas de chose, de la vie, de l’amour, de l’amitié, du prix du baril de brut, … etc.
J’aimais bien ce genre de soirée où nous pouvions dire quelque chose, où nous étions entendus et où nous apprenions ce qui n’est pas dans les livres. L’oncle Pierre était particulièrement calé dans beaucoup de domaines.
A un moment de la soirée j’avais fais signe à Jean de venir me voir discrètement. Nous nous étions retrouvés dans la salle de bain. J’ai alors, sans ambages, demandé à Jean :
Moi : « Pourquoi tu t’es branlé avec Alex tantôt quand nous étions à la mer ? »
Jean : « Ben, … Phil, tu sais j’en avais envie rien qu’à te voir avec Henri. Ce n’est pas pour ça que je suis homo tu sais ! »
Moi : « C’est tout, c’est pour savoir si tu étais devenu homo. »
Jean : « Mais non Phil, c’était juste pour le fun et de plus Alex avait l’air super sympa et très ouvert. »
Moi : « Oui, je sais, c’est un très chouette mec. »
Jean : « Puis tu sais Phil, pour être honnête avec toi, j’avais déjà branlé un copain, c’est arrivé deux fois, c’était juste pour la déconne. Pour moi, je suis hétéro et j’aime les filles. »
Moi : « Ça va Jean, t’inquiètes pas, je ne dis rien à personne tu sais, c’est seulement parce que tu es mon frère et que je t’aime. »
Jean : « Oui, je sais frérot. Moi en tout cas je t’aime tel que tu es, homo ou pas, je t’aime comme un frère, comme mon grand frère. »
Moi : « Merci Jean, allons rejoindre les autres ! »
Avant de monter dans les chambres nous avions Anne, Jean, Henri et moi piqué une nouvelle fois une tête dans la piscine.
Nous étions ensuite remontés, nus, dans nos chambres respectives pour y passer la nuit.
En entrant dans notre chambre, Henri m’avait regardé dans les yeux et il me souriait. Il semblait très heureux d’être là à ce moment précis. Une nouvelle fois je voyais dans le regard d’Henri cette candeur et cet angélisme que j’avais tant aimé lors du camp scout. Il était comme un oiseau posé au creux d’une main.
J’avais pris la main d’Henri et je l’avais mené jusqu’au lit. Je l’avais pris dans mes bras et l’avais posé délicatement telle une plume qui se dépose lentement sur un support ouaté. J’avais ensuite posé mes lèvres sur les siennes. Nos bouches s’étaient ouvertes et nos langues s’étaient frayées un chemin pour se rencontrer et se mélanger avec fougue. Nos sens étaient tous en éveil, nos mains parcouraient nos corps exposés aux caresses délicates. Nos attributs n’étaient pas en reste, ils se gonflaient et pointaient en direction de nos nombrils. Je caressais les cheveux soyeux de mon cher et aimé Henri. De son côté Henri me massait la nuque doucement. Nos corps commençaient à vibrer à l’unisson, nous étions sur un nuage, nous étions là tous les deux comme hors du temps. Nous savourions avec délice la tendresse que nous nous procurions et qui émanait de notre complicité amoureuse. Henri me glissa alors à l’oreille : « Phil, je t’aime, tu ne peux pas t’imaginer. »
Moi : « Oui Henri, je peux m’imaginer ce que tu ressens, car pour moi c’est la même chose, je t’aime mon Henri. »
Henri : « Puisse ce moment durer une éternité ! »
Moi : « Oh oui, que je suis bien avec toi, tu es mon rayon de soleil au milieu du cahot ! »
Henri : « Je vais t’éclairer pour ainsi être ton phare de bon secours. »
Moi : « Oui mon amour, mais restons les pieds sur terre, enfin tant que faire ce peut. »
Henri : « Arrête de briser l’ambiance mon Phil d’amour ! »
Moi : « Henri, je voudrais, si tu le veux toi aussi, te faire l’amour ce soir. »
Henri : « Je ne voulais pas te le demander, mais je n’attends que ça, aime moi et après je t’aimerai à mon tour. Oui faisons l’amour, Phil. Je t’aime. »
Moi : « Oui Henri, nous allons nous aimer si c’est ta volonté. »
J’avais ensuite ouvert le tiroir de la table de nuit pour y prendre un tube de lubrifiant et un paquet de condoms. J’avais alors signalé à Henri : « Tu sais que c’était Jacqueline, ma maman, qui en avait fait l’achat pour ne pas nous mettre dans l’embarra. »
Henri : « Cela ne m’étonne pas, tu as une maman en or, ne l’oublie jamais mon Phil, ta maman est une perle ! »
Moi : « Oh oui Henri, je m’en rends compte de jour en jour tu sais. »
Henri : « Vas-y Phil, je suis tout à toi, prend moi, je n’attends que ça. »
J’avais demandé à Henri de se placer de façon a présenter ses fesses bien en évidence pour que je puisse m’y présenter sens trop de problème. J’avais pris le tube de lubrifiant et j’avais enduit son anus ainsi que mes doigts. J’avais ensuite délicatement titillé sa rondelle en vue de ne pas lui faire mal par la suite. J’avais progressivement introduit un, puis deux doigts dans son rectum. Henri ressentait déjà du plaisir à se faire ainsi toucher le fondement. Puis ayant placé une capote sur ma verge, j’avais présenté mon boute-joie à l’entrée de la rondelle. Doucement avec délicatesse j’avais avancé dans l’antre tant désirée millimètres par millimètres et par plusieurs mouvements de reculs et de pénétrations, j’avais investi la grotte tant convoitée. Ayant enfoncé mon vis jusqu’à la garde, je m’étais mis à faire des vas et viens, d’abord lents et puis de plus en plus accentués. Henri râlait de bonheur, il ressentait chaque mouvement avec l’intensité et la force voulue, il savourait chaque pression, chaque mouvement dans ses entrailles, il montait en jouissance, il se sentait comme porté au nirvana. Henri ne cessait de me dire : « Oui Phil, comme ça, oui, vas-y, je t’aime. »
Moi de mon côté de tâchais de me contrôler pour ne pas lâcher la purée trop vite, je ralentissais le rythme pour laisser du temps au temps, pour ne pas brusquer les choses, pour savourer l’instant présent. Henri gémissait de plus en plus, il était presque hors de lui tant la jouissance était présente. Henri me disait n’avoir jamais ressenti de telles sensations. Je m’étais aussi mis à lui mordiller le lobe de son oreille gauche, ça me donnait encore plus envie de lui donner plus, de me donner encore plus à lui, l’être aimé. Je sentais que j’allais arriver à un point de non-retour, j’ai ralenti la cadence pour me concentrer sur mes caresses et mes bisous donnés dans le cou d’Henri. Je me concentrais pour ne pas aller trop vite. Je lui susurrais des je t’aime à l’oreille, je lui demandais de ne pas faire trop de bruit pour ne pas ameuter la famille sur l’ampleur de nos ébats. Je sentais aussi qu’Henri était sur le point de crier haut et fort la jouissance qu’il ressentait et dans un sursaut j’avais accéléré mes mouvements dans son fondement pour, dans un râle profond, laisser libérer toute ma semence en cinq jets puissants au fond de la capote et par ces ultimes spasmes ressentir au plus profond de moi une jouissance jamais ressentie auparavant. J’étais dans un autre monde, sur une autre planète. Puis tel un cheval fourbu par la tâche, je ne m’étais senti aussi libéré de tout sentiment négatif. J’avais enfin connu une approche d’un nirvana tant convoité !
Henri était monté au septième ciel, au moment où j’ai éjaculé dans sa grotte, lui de son côté dans une jouissance extrême avait éjaculé sur le lit 4 jets de sperme. Il était lui aussi monté au nirvana.
Henri était aussi affecté que moi. Il était fatigué des assauts répétés au niveau de son postérieur. Nous nous étions écroulés l’un à coté de l’autre, béats dans un sentiment de plénitude extrême.
J’avais alors dit une nouvelle fois à Henri : « Je t’aime. »
Henri me répondant : « Oh, Phil, je t‘aime. Je n’ai jamais rien connu de pareil dans ma vie. C’était super. »
Nous nous étions embrassés, nos langues une nouvelle fois s’étaient senties, ressenties, entremêlées. Quel bonheur, quel bonheur !
Après une bonne demi-heure, Henri, remis de ses émotions me glisse à l’oreille : « Phil, je veux aussi t’aimer, je veux que tu sois aussi à moi, que je puisse te faire l’amour. »
Moi : « Oh oui, Henri. Je t’attends, je te supplie de me prendre, de m’aimer comme jamais. Vas-y, je t’aime tant ! »
Henri, étant un très élève, avait tout de suite compris. Il me demanda de me coucher sur le lit et de relever les jambes. Il s’était placé devant moi et il avait mis mes jambes de chaque côté de son cou. Il avait placé sa capote sur son membre bandé. Il avait mis un peu de lubrifiant au niveau de ma rondelle et il enfonçait doucement un doigt dans mon intimité puis deux. Puis je pouvais voir qu’il savourait l’instant présent, il se concentra et puis présenta son intimité dressée au niveau de mon anus. Il plaça son sexe à entrée de ma grotte. Puis doucement, lentement il me pénétrait, il enfonçait son sexe tendu dans mes entrailles. Il arriva jusqu’à la garde, ses couilles venant buter sur ma raie du cul. Puis lentement il entamait des mouvements de va et vient. Je sentais son sexe approché de ma prostate, je commençais à ressentir un plaisir grandissant, je me sentais comme pris dans un tourbillon, je ne savais plus si j’étais couché ou debout, si c’était le soir ou la nuit, j’étais comme sur un nuage, planant dans une sérénité profonde. Je pouvais presque entendre le cœur d’Henri battre au même rythme que le mien. Nous étions en pleine communion de corps et je dirais même communion d’esprit. Henri avait su s’y prendre pour me donner beaucoup de plaisir. Puis Henri haletait de plus en plus, je sentais qu’il arrivait à l’extase et je lui avais demandé d’aller moins vite, de prendre son temps. Henri ralentissait alors ses mouvements de pénétration, il semblait lui aussi avoir envie d’attendre avant de déverser sa semence au fond de la capote. Puis sentant que le moment était venu d’approcher du septième ciel, j’avais dit à Henri : « Je t’aime, vas-y, défonce moi, fais nous monter au paradis. » Henri s’était alors mis à me labourer l’anus avec frénésie et comme soudé l’un à l’autre nous nous étions laissés aller à l’extase dans un râle commun, lui déchargeant dans la capote 5 jets de sperme et moi maculant le lit de 4 longs jets de ma semence. Nous nous étions alors affalés, fourbus, l’un à côté de l’autre, savourant l’instant, béats d’un bonheur ainsi partagé.
Nous avions repris nos esprits un bon quart d’heure après, avec un profond sentiment de satisfaction.
Nous avions remis notre lit en état et nous nous étions couchés dans les bras l’un de l’autre et nous avions ensuite échangé, sans un mot, un long baiser humide sur la bouche, nos langues tournant chacune sur celle de l’autre. Puis rompus de fatigue, nous nous étions endormis, nus, au dessus de la couette.
L’aube pointait le bout de son nez lorsque je m’étais réveillé. J’étais dans les bras d’Henri. Je lui avais donné un baiser sur le front et je m’étais rendormi.
A un moment, j’ai senti une main me caresser les cheveux. J’avais ouvert les yeux et j’avais vu que c’était Jean qui venait nous réveiller, Henri et moi. Jean avait été très silencieux et avait agi avec délicatesse. Il nous avait réveillés avec tendresse. Jean nous disait alors :
Jean : « Alors les amoureux, vous avez passé une bonne nuit ! »
Moi : « Oui mon charmant frérot, nous avons très bien dormi. »
Henri : « Oui Jean, merci pour ce réveil au combien délicat. »
Jean : « Vous avez dormi comme des anges les mecs. »
Moi : « Oui, et le reste ne te regardes pas. »
Henri : « Tu sais très bien ce qui se passe quand deux êtres s’aiment, tu n’es pas tombé de la dernière pluie ! »
Moi : « Tu me fais bien rire Henri ! »
Jean : « Ah, ça c’est la meilleur. »
Henri : « Tu étais bien content hier dans la mer quand Alex t’as branlé la zigounette ! »
Jean : « Oui, je sais, mais dites rien aux parents. C’était juste pour le fun, vous croyez quoi les mecs ! »
Moi : « Ne t’inquiète pas frangin, on sera muet comme des tombes. »
Jean : « Tu promets Phil et toi Henri, tu promets aussi ! Je suis hétéro les gars »
Henri et moi : « Mais oui Jean, on promet. On ne dit rien ! »
Moi : « Puis je te crois, tu avais juste envie de t’amuser, il n’y a pas de mal à ça. Qu’est-ce que tu en pense Henri ? »
Henri : « C’est vrai, on peut se branler la nouille sans pour autant être homo. Si tu as passé un bon moment avec Alex, alors c’est très bien. »
Jean : « Merci les gars, je vous aime, vous êtes super ! »
Moi : « Oui c’est ça. »
Jean : « Mais oui grand dadais ! » Hihihi (Juste pour taquiner)
Nous nous étions levés et hop à la piscine avant de prendre le petit déjeuner. Nous étions tous dans l’eau sauf maman qui préparait le repas.
A l’issue du petit déjeuner, papa nous avait dit que nous pouvions Henri et moi aller à la plage des Lays l’après-midi, après le déjeuner, car elle n’était pas trop loin de la villa.
Nous avions passé la matinée avec les autres à jouer dans le jardin et dans la piscine. C’était une très belle matinée en famille.
A midi nous avions mangé un repas froid préparé par maman et Anne, composé de salades variées, de fromages et de charcuteries, le tout accompagné de pain et de beurre.
Henri avait hâte de partir à la plage avec moi. Nous avions donc enfourché nos vélos pour aller en direction de la Barre de Mont et ainsi rejoindre la plage des Lays !
Nous avions gagné le parking de la plage et nous avions accroché nos vélos aux barrières de peur qu’ils ne soient volés.
Nous nous étions dirigés vers la partie naturiste de la plage. Et d’un et de deux nous nous étions retrouvés nus comme des vers. Nous étions heureux d’être enfin libres et nus dans le vent et le soleil, face à la mer. Nous avions placé nos draps de bain le long de oyats et nous étions directement allés nous plonger dans la mer, l’eau était très bonne et nous nous étions éclaboussés tout en riant de bon cœur. Nous étions vraiment heureux. J’étais avec mon « homme » et Henri était avec moi, son « homme ». Nous étions heureux et en harmonie tant avec nos corps qu’avec nos esprits et en plus avec les éléments comme le vent, le soleil et l’eau, nous ne pouvions espérer mieux.
Au loin, au peu au large nous nous étions embrassés langoureusement, nos langues se sont mêlées et nous savourions l’instant présent. Nous en avions profité pour nous caresser sous l’eau et ainsi nous masturber langoureusement dans la mer. C’était une sensation qu’Henri avait découverte et aimée la veille à la plage de la Pointe D’Arçay. Nous avions joui presqu’en même temps. Nos bouches se s’étaient une nouvelle fois retrouvées dans un baiser mouillé et agrémenté d’une salade de langues. Nous étions dans un autre monde.