29-12-2020, 03:50 PM
En route vers la Faute Sur Mer. Assis à l’arrière de la voiture de papa, nous avancions sur la route qui longe la côte. Nous avions le temps, toute la journée était là devant nous. Papa nous demanda, à Henri et à moi, si tout allait bien. Nous lui répondîmes de concert que tout allait pour le mieux pour nous.
Maman ajouta cependant : « Henri, j’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons régulièrement nus lorsque nous sommes à la villa ou encore, comme tantôt, à la plage devant d’autres personnes inconnues ! »
Henri : « Mais non, on contraire Jacqueline, j’adore, dommage que n’aies pas connu ça plutôt ! »
Maman : « Tu sais Henri, je vois que tu es un garçon très ouvert, je ne sais pas si Phil à quelque chose à voir, mais je t’apprécie tel que tu es ! S’il y a le moindre problème, je suis là pour t’aider et il en est de même pour Jean-Claude, n’est-ce pas mon chéri ! »
Papa : « Oh oui mon amour, s’il y a le moindre problème Henri, nous serons là pour t’aider. Il en va de même pour toi mon grand. » Il parlait de moi bien sûr !!! J’avais vu sa tête dans le rétro de l’auto.
Henri : « Oh, merci, je suis très bien à vos côtés, je me sens très bien accueilli, vous êtes vous et la famille un écrin d’amour et de joie, tous autant que vous êtes ! »
Je vis des larmes perler et couler sur les joues de mon cher Henri. Je l’ai alors pris dans mes bras pour lui faire un gros câlin. Maman, ayant vu ce qui se passait derrière elle, ajouta : « Tu sais Henri, il n’y a pas à avoir honte, tu peux te laisser aller et pleurer, c’est tout à fait normal d’exprimer ses sentiments. Tu me donnes des larmes aux yeux aussi, à te voir comme ça si sensible ! Je vous adore mes deux loulous ! »
Papa : « Moi aussi, je vous aime mes lascars, vous êtres si animés de très belles choses qu’on ne peut que vous souhaiter le meilleur pour vous deux. La seule chose que je souhaite, c’est que vous soyez attentifs à ne pas heurter les autres par votre liaison et que vous preniez surtout soin de vous, et plus précisément soin l’un de l’autre ; le monde dans lequel nous vivons n’est pas un monde de Bisounours ! »
Moi : « Merci papa, je le sais et je te remercie de m’aimer, je veux dire de nous aimer tels que nous sommes, sans nous juger. Tu ne peux pas savoir quel bien tu me fais en me parlant comme tu le fais. » Là, n’y tenant plus, je me suis mis à pleurer.
Papa arrêta alors la voiture sur le parking le plus proche et il était venu nous serrer Henri et moi dans ses bras. Maman quant à elle s’est aussi mise autour de nous pour marquer par sa présence tout l’intérêt qu’elle nous porte elle aussi !
Après ce moment de vives émotions, nous avions repris la route vers la Tranche sur Mer.
Nous étions arrivés à la Tranche sur Mer. Nous étions allés nous promener et flâner dans les rues commerçantes. Maman regardait partout pour trouver je ne sais quoi pour soit décorer la maison, ou alors un habit ou un maillot qui lui irait bien, bref, nous suivions en famille. Entre Anne, Jean, Henri et moi, nous nous amusions à faire des jeux de mots sur l’instant, sur ce que nous apercevions, sur ce que nous pensions, et ainsi le temps passait plus vite.
Papa de son côté était parti avec l’oncle Pierre pour trouver un restaurant pour le dîner. Je savais que papa et l’oncle Pierre étaient amateurs de fruits de mer, maman n’étant pas en reste non plus. Pour nous les jeunes, parfois c’étaient des moules ou alors le traditionnel steak haché avec frites et salade.
J’avais fait un signe à Henri et avec l’accord de maman nous avions rejoint papa et oncle Pierre. Nous étions tous les quatre occupés à regarder les cartes des menus et des cartes des restaurants. J’avais pris le bras de papa et je lui avais montré un restaurant qui avait l’air assez sympa. Nous avions regardé la carte et papa nous signifia que c’était ici que nous allions manger à midi.
Nous avions dîné dans ce petit restaurant et tout le monde avait trouvé les menus très bons.
Nous avions encore parcourus les rues de la Tranche avant de reprendre les voitures pour aller à la plage de la « Pointe d’Arçay » à La Faute sur Mer. J’avais regardé Henri et je lui avais dit que c’était une plage naturiste. Henri avait souri et m’avait glissé à l’oreille : « Enfin, je suis content d’y arriver, je vais enfin connaître l’ambiance d’une plage naturiste. Tu resteras avec moi au début Phil. »
Moi : « Bien sûr Henri, de toute façon nous sommes très souvent placés avec toute la famille à un même endroit, car s’est plus facile pour se repérer quand on va à l’eau ou quand on joue sur le sable. »
Henri : « Ah, OK, ça me va. »
Une fois arrivés sur la plage après avoir marché sur les caillebotis en bois et certains en plastic tressés pour traverser les dunes, nous nous étions ensuite dirigés sur la gauche en direction de la plage naturiste, en direction de la « Pointe d’Arçay ». Une fois la pancarte « Zone Naturiste » franchie, nous avions repéré un endroit pour nous installer et nous nous étions tous dévêtus. Henri n’a pas hésité une seule seconde. Il n’y avait pas trop de monde sur la plage et Henri avait trouvé ça très sympa.
L’après-midi s’était assez vite passée. Nous avions joué entre jeunes avec un ballon, puis avec des boules de pétanque et bien sûr nous étions allés nous baigner en faisant attention de na pas trop approcher des supports en bois où sont élevées les moules bouchots. L’oncle Pierre lui aimait se balader le long de l’eau arpentant ainsi la plage dans un sens puis dans l’autre, il disait qu’il n’y a rien de meilleur pour bronzer. Effectivement oncle Pierre était toujours bien bronzé et il avait le tain halé une bonne partie de l’automne.
Nous avions prévu quelques galettes et des biscuits pour manger lors du goûter ainsi que des bouteilles de limonades pour boire.
Maman demanda alors à Henri : « Alors Henri, ça va, pas trop gêné d’être en tenu d’Adam au milieu de personnes que tu ne connais pas ? »
Henri : « Merci Jacqueline de me le demander, mais je suis tranquille avec ça, cela ne me dérange pas le moins du monde, de toute façon on est tous pareils, garçons ou filles, je dirais même que je regrette de ne pas avoir découvert cette pratique de la nudité avant ! »
Jacqueline : « Oh là Henri, je vois que tu te sens très bien dans ta tête et dans ton corps, félicitations ! »
Papa : « Oui, Jacqueline, je trouve aussi qu’Henri s’est superbement bien intégré dans notre famille et j’en suis assez fier ! »
À la suite de cette conversation nous avions tous bien rit. Henri était aux anges, je retrouvais en lui son air angélique plein de mystères, comme au début de notre relation.
Alors que je jouais avec Henri avec des raquettes et une balle en mousse, Henri avait vu au loin s’approcher un jeune de notre âge. Il était avec sa famille et eux aussi étaient nus. Au fur et à mesure que ce petit groupe se rapprochait, Henri était de plus en plus intrigué par le jeune ado qui avançait sur la plage.
Puis Henri me dit : « Eh Phil, c’est Alexandre, le gars chez qui on a fait la "BA" durant le camp. C’est le mec de la piscine ! »
Moi : « Ah oui, tu as raison. On va aller le saluer, et sa maman est avec eux également. »
Henri et moi nous avions laissé le jeu en place près de la famille pour aller saluer le groupe qui n’était plus qu’à une dizaine de mètres.
Ensemble, Henri et moi nous avions dit : « Salut Alexandre, comme tu vas. Tu nous reconnais ? »
Alex : « Oh oui, vous êtes deux des scouts qui étaient venus à la maison lors de votre camp. »
Moi : « Oui Alexandre, moi c’est Philippe et voici Henri. »
Alex : « Salut les gars, c’est génial de se rencontrer comme ça si loin sur une plage, et une plage naturiste en plus ! »
Henri : « Oui, c’est fou ! »
Moi : « Bonjour madame, bonjour monsieur. »
Couple : « Bonjour les enfants, c’est juste vous étiez venus à la maison pour y faire un peu de jardinage, comme BA lors de votre camp scout. »
Henri : « Oui, c’est bien cela. »
Moi : « Vous êtes en vacances dans le coin. »
Alex : « Oui à La Tranche Sur Mer. »
Henri : « Je suis en vacances avec la famille de Philippe, j’ai été invité pour la semaine. »
Alex : « C’est chouette ! On voit que vous vous entendez bien ! »
Moi : « Oui, on s’entend très bien ! »
Alex : « Maman, je peux rester un peu avec eux, je vous rejoins après à la villa, si vous êtes partis de la plage. »
La maman : « Oui, c’est bon, mais pas d’imprudence ! »
Alex : « Merci maman. »
Nous nous étions quelque peu éloignés en direction de la mer. Nous avions ensuite commencé à discuter de tout et de rien. Puis nous avions reparlé de l’épisode de la baignade dans la piscine durant notre présence chez Alexandre.
Alex : « J’espère que je ne vais pas vous froisser, mais êtes-vous « ensemble ? »
Moi : « Que veux-tu dire ? »
Alex : « Vous êtes gays, je m’en étais déjà douté lors de votre présence chez moi. »
Henri : « Pour être honnête avec toi, oui, et nous sommes en couple. »
Moi : « J’espère que ça ne te dérange pas et que tu nous acceptes comme on est. »
Alex : « Je ne l’ai pas dit à mes parents, mais je crois que je suis aussi homo. J’ai déjà eu une petite aventure avec un copain de classe. Puis il y a eu le passage de votre patrouille chez nous lors du camp. C’est ce jour-là que j’ai bien compris que je préférais les garçons aux filles. »
Henri : « Bienvenue au club. Tu vois pour nous, nos deux familles sont au courant et tu vois, j’ai été invité par la famille de Philippe pour passer une semaine de vacances. »
Alex : « Vos parents sont géniaux. J’espère que si je fais mon coming-out, que ça se passera bien, mais j’ai encore bien le temps, avec mon copain c’est assez compliqué pour le dire à ma famille actuellement. »
Moi : « OK. Assez parlé, on va se baigner ! »
Alex et Henri : « Oui, très bonne idée ! »
Nous étions donc allés nous baigner à trois. Parfois des mains s’égaraient vers nos intimités sans trop s’y attarder ; il s’agissait de frôlements, de furtives caresses, rien de plus. Puis mon frère Jean est venu nous rejoindre. Nous avions alors joué plus tranquillement, pour ne pas trop nous faire remarquer. Mais nos zizis étaient régulièrement pointés vers le ciel dans l’eau de la mer. On ne voyait rien depuis la plage, mais à proximité de l’un et l’autre, ça se voyait très bien. Nous avions alors commencé à nous caresser chacun de notre côté. Puis j’avais approché ma main de l’intimité d’Henri et je m’étais emparé de son sexe bandé. Henri fit de même avec mon vis bandant. Nous nous branlions ensemble dans les vagues. J’avais suivi des yeux Alex qui sans y toucher s’approchait de mon frère Jean. C’est la première fois qu’ils se voyaient. Alex avait alors demandé à Jean : « Je peux… » Jean avait très bien compris et il avait marqué son accord d’un mouvement de la tête. Alex et Jean se branlaient eux aussi mutuellement.
Nous avions passé un excellent moment à quatre.
A la fin de l’après-midi, nous avions quitté Alexandre et sa famille et nous avions regagné les voitures pour revenir à Notre Dame de Mont, à la villa.
Maman ajouta cependant : « Henri, j’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons régulièrement nus lorsque nous sommes à la villa ou encore, comme tantôt, à la plage devant d’autres personnes inconnues ! »
Henri : « Mais non, on contraire Jacqueline, j’adore, dommage que n’aies pas connu ça plutôt ! »
Maman : « Tu sais Henri, je vois que tu es un garçon très ouvert, je ne sais pas si Phil à quelque chose à voir, mais je t’apprécie tel que tu es ! S’il y a le moindre problème, je suis là pour t’aider et il en est de même pour Jean-Claude, n’est-ce pas mon chéri ! »
Papa : « Oh oui mon amour, s’il y a le moindre problème Henri, nous serons là pour t’aider. Il en va de même pour toi mon grand. » Il parlait de moi bien sûr !!! J’avais vu sa tête dans le rétro de l’auto.
Henri : « Oh, merci, je suis très bien à vos côtés, je me sens très bien accueilli, vous êtes vous et la famille un écrin d’amour et de joie, tous autant que vous êtes ! »
Je vis des larmes perler et couler sur les joues de mon cher Henri. Je l’ai alors pris dans mes bras pour lui faire un gros câlin. Maman, ayant vu ce qui se passait derrière elle, ajouta : « Tu sais Henri, il n’y a pas à avoir honte, tu peux te laisser aller et pleurer, c’est tout à fait normal d’exprimer ses sentiments. Tu me donnes des larmes aux yeux aussi, à te voir comme ça si sensible ! Je vous adore mes deux loulous ! »
Papa : « Moi aussi, je vous aime mes lascars, vous êtres si animés de très belles choses qu’on ne peut que vous souhaiter le meilleur pour vous deux. La seule chose que je souhaite, c’est que vous soyez attentifs à ne pas heurter les autres par votre liaison et que vous preniez surtout soin de vous, et plus précisément soin l’un de l’autre ; le monde dans lequel nous vivons n’est pas un monde de Bisounours ! »
Moi : « Merci papa, je le sais et je te remercie de m’aimer, je veux dire de nous aimer tels que nous sommes, sans nous juger. Tu ne peux pas savoir quel bien tu me fais en me parlant comme tu le fais. » Là, n’y tenant plus, je me suis mis à pleurer.
Papa arrêta alors la voiture sur le parking le plus proche et il était venu nous serrer Henri et moi dans ses bras. Maman quant à elle s’est aussi mise autour de nous pour marquer par sa présence tout l’intérêt qu’elle nous porte elle aussi !
Après ce moment de vives émotions, nous avions repris la route vers la Tranche sur Mer.
Nous étions arrivés à la Tranche sur Mer. Nous étions allés nous promener et flâner dans les rues commerçantes. Maman regardait partout pour trouver je ne sais quoi pour soit décorer la maison, ou alors un habit ou un maillot qui lui irait bien, bref, nous suivions en famille. Entre Anne, Jean, Henri et moi, nous nous amusions à faire des jeux de mots sur l’instant, sur ce que nous apercevions, sur ce que nous pensions, et ainsi le temps passait plus vite.
Papa de son côté était parti avec l’oncle Pierre pour trouver un restaurant pour le dîner. Je savais que papa et l’oncle Pierre étaient amateurs de fruits de mer, maman n’étant pas en reste non plus. Pour nous les jeunes, parfois c’étaient des moules ou alors le traditionnel steak haché avec frites et salade.
J’avais fait un signe à Henri et avec l’accord de maman nous avions rejoint papa et oncle Pierre. Nous étions tous les quatre occupés à regarder les cartes des menus et des cartes des restaurants. J’avais pris le bras de papa et je lui avais montré un restaurant qui avait l’air assez sympa. Nous avions regardé la carte et papa nous signifia que c’était ici que nous allions manger à midi.
Nous avions dîné dans ce petit restaurant et tout le monde avait trouvé les menus très bons.
Nous avions encore parcourus les rues de la Tranche avant de reprendre les voitures pour aller à la plage de la « Pointe d’Arçay » à La Faute sur Mer. J’avais regardé Henri et je lui avais dit que c’était une plage naturiste. Henri avait souri et m’avait glissé à l’oreille : « Enfin, je suis content d’y arriver, je vais enfin connaître l’ambiance d’une plage naturiste. Tu resteras avec moi au début Phil. »
Moi : « Bien sûr Henri, de toute façon nous sommes très souvent placés avec toute la famille à un même endroit, car s’est plus facile pour se repérer quand on va à l’eau ou quand on joue sur le sable. »
Henri : « Ah, OK, ça me va. »
Une fois arrivés sur la plage après avoir marché sur les caillebotis en bois et certains en plastic tressés pour traverser les dunes, nous nous étions ensuite dirigés sur la gauche en direction de la plage naturiste, en direction de la « Pointe d’Arçay ». Une fois la pancarte « Zone Naturiste » franchie, nous avions repéré un endroit pour nous installer et nous nous étions tous dévêtus. Henri n’a pas hésité une seule seconde. Il n’y avait pas trop de monde sur la plage et Henri avait trouvé ça très sympa.
L’après-midi s’était assez vite passée. Nous avions joué entre jeunes avec un ballon, puis avec des boules de pétanque et bien sûr nous étions allés nous baigner en faisant attention de na pas trop approcher des supports en bois où sont élevées les moules bouchots. L’oncle Pierre lui aimait se balader le long de l’eau arpentant ainsi la plage dans un sens puis dans l’autre, il disait qu’il n’y a rien de meilleur pour bronzer. Effectivement oncle Pierre était toujours bien bronzé et il avait le tain halé une bonne partie de l’automne.
Nous avions prévu quelques galettes et des biscuits pour manger lors du goûter ainsi que des bouteilles de limonades pour boire.
Maman demanda alors à Henri : « Alors Henri, ça va, pas trop gêné d’être en tenu d’Adam au milieu de personnes que tu ne connais pas ? »
Henri : « Merci Jacqueline de me le demander, mais je suis tranquille avec ça, cela ne me dérange pas le moins du monde, de toute façon on est tous pareils, garçons ou filles, je dirais même que je regrette de ne pas avoir découvert cette pratique de la nudité avant ! »
Jacqueline : « Oh là Henri, je vois que tu te sens très bien dans ta tête et dans ton corps, félicitations ! »
Papa : « Oui, Jacqueline, je trouve aussi qu’Henri s’est superbement bien intégré dans notre famille et j’en suis assez fier ! »
À la suite de cette conversation nous avions tous bien rit. Henri était aux anges, je retrouvais en lui son air angélique plein de mystères, comme au début de notre relation.
Alors que je jouais avec Henri avec des raquettes et une balle en mousse, Henri avait vu au loin s’approcher un jeune de notre âge. Il était avec sa famille et eux aussi étaient nus. Au fur et à mesure que ce petit groupe se rapprochait, Henri était de plus en plus intrigué par le jeune ado qui avançait sur la plage.
Puis Henri me dit : « Eh Phil, c’est Alexandre, le gars chez qui on a fait la "BA" durant le camp. C’est le mec de la piscine ! »
Moi : « Ah oui, tu as raison. On va aller le saluer, et sa maman est avec eux également. »
Henri et moi nous avions laissé le jeu en place près de la famille pour aller saluer le groupe qui n’était plus qu’à une dizaine de mètres.
Ensemble, Henri et moi nous avions dit : « Salut Alexandre, comme tu vas. Tu nous reconnais ? »
Alex : « Oh oui, vous êtes deux des scouts qui étaient venus à la maison lors de votre camp. »
Moi : « Oui Alexandre, moi c’est Philippe et voici Henri. »
Alex : « Salut les gars, c’est génial de se rencontrer comme ça si loin sur une plage, et une plage naturiste en plus ! »
Henri : « Oui, c’est fou ! »
Moi : « Bonjour madame, bonjour monsieur. »
Couple : « Bonjour les enfants, c’est juste vous étiez venus à la maison pour y faire un peu de jardinage, comme BA lors de votre camp scout. »
Henri : « Oui, c’est bien cela. »
Moi : « Vous êtes en vacances dans le coin. »
Alex : « Oui à La Tranche Sur Mer. »
Henri : « Je suis en vacances avec la famille de Philippe, j’ai été invité pour la semaine. »
Alex : « C’est chouette ! On voit que vous vous entendez bien ! »
Moi : « Oui, on s’entend très bien ! »
Alex : « Maman, je peux rester un peu avec eux, je vous rejoins après à la villa, si vous êtes partis de la plage. »
La maman : « Oui, c’est bon, mais pas d’imprudence ! »
Alex : « Merci maman. »
Nous nous étions quelque peu éloignés en direction de la mer. Nous avions ensuite commencé à discuter de tout et de rien. Puis nous avions reparlé de l’épisode de la baignade dans la piscine durant notre présence chez Alexandre.
Alex : « J’espère que je ne vais pas vous froisser, mais êtes-vous « ensemble ? »
Moi : « Que veux-tu dire ? »
Alex : « Vous êtes gays, je m’en étais déjà douté lors de votre présence chez moi. »
Henri : « Pour être honnête avec toi, oui, et nous sommes en couple. »
Moi : « J’espère que ça ne te dérange pas et que tu nous acceptes comme on est. »
Alex : « Je ne l’ai pas dit à mes parents, mais je crois que je suis aussi homo. J’ai déjà eu une petite aventure avec un copain de classe. Puis il y a eu le passage de votre patrouille chez nous lors du camp. C’est ce jour-là que j’ai bien compris que je préférais les garçons aux filles. »
Henri : « Bienvenue au club. Tu vois pour nous, nos deux familles sont au courant et tu vois, j’ai été invité par la famille de Philippe pour passer une semaine de vacances. »
Alex : « Vos parents sont géniaux. J’espère que si je fais mon coming-out, que ça se passera bien, mais j’ai encore bien le temps, avec mon copain c’est assez compliqué pour le dire à ma famille actuellement. »
Moi : « OK. Assez parlé, on va se baigner ! »
Alex et Henri : « Oui, très bonne idée ! »
Nous étions donc allés nous baigner à trois. Parfois des mains s’égaraient vers nos intimités sans trop s’y attarder ; il s’agissait de frôlements, de furtives caresses, rien de plus. Puis mon frère Jean est venu nous rejoindre. Nous avions alors joué plus tranquillement, pour ne pas trop nous faire remarquer. Mais nos zizis étaient régulièrement pointés vers le ciel dans l’eau de la mer. On ne voyait rien depuis la plage, mais à proximité de l’un et l’autre, ça se voyait très bien. Nous avions alors commencé à nous caresser chacun de notre côté. Puis j’avais approché ma main de l’intimité d’Henri et je m’étais emparé de son sexe bandé. Henri fit de même avec mon vis bandant. Nous nous branlions ensemble dans les vagues. J’avais suivi des yeux Alex qui sans y toucher s’approchait de mon frère Jean. C’est la première fois qu’ils se voyaient. Alex avait alors demandé à Jean : « Je peux… » Jean avait très bien compris et il avait marqué son accord d’un mouvement de la tête. Alex et Jean se branlaient eux aussi mutuellement.
Nous avions passé un excellent moment à quatre.
A la fin de l’après-midi, nous avions quitté Alexandre et sa famille et nous avions regagné les voitures pour revenir à Notre Dame de Mont, à la villa.