24-12-2020, 12:04 PM
Chapitre 4 : (suite)
Découverte particulière.
Deux jours plus tard Henri était venu dîner à la maison à la suite de l’invitation de maman. Henri n’avait pas oublié, en entrant il avait donné deux bises à maman en lui disant : « Bonjour Jacqueline, et merci pour cette invitation à dîner. » tout en lui offrant un bouquet de fleurs !
Maman lui avait répondu « Oh grand merci pour les fleurs, Henri » et elle ajoutait, que ce n’était rien, qu’elle l’avait invité en vue de partager un moment en famille avec lui devant un bon repas. Papa rentrait à son tour à la maison. Directement Henri était venu le saluer et lui disait : « Bonjour Jean-Claude ». Merci Henri lui répondait-il.
Nous étions passés à table après avoir pris l’apéro, soit coca pour les jeunes et cocktails pour les parents. Maman avait préparé un petit buffet de charcuteries, de fromages et légumes avec du pain. Une bonne bouteille de vin blanc avait également été ouverte par papa.
Le repas s’était très bien passé. Henri avait été quelque peu mis au centre de la discussion, soit en vue de connaître sa vie, l’ambiance du camp scout et un tas de choses. Henri répondait sans faire allusion à notre « relation particulière ».
Maman s’adressait à Henri et lui disait : « Henri, tu es le bienvenu à la maison. Nous sommes au courant de la relation qui existe entre toi et Phil. Pour nous ça ne change rien, nous en avons parlé avec Phil. La seule chose que nous vous demandons c’est que vous vous respectiez l’un l’autre et que vous soyez discrets. »
Henri, rouge comme une pivoine, s’était levé pour embrasser Maman et pour lui dire « Merci ».
Puis vers la fin du repas, Papa demanda à Henri ce qu’il comptait faire pour la fin de la semaine et le début de la suivante. Henri répondait qu’il n’avait pas grand-chose à faire que de venir me voir, ou d’aller à la piscine ou faire d’autres activités de vacances. Papa lui demandait s’il était partant pour venir quelques jours avec notre famille sur la côte vendéenne. J’avais alors vu des étoiles briller dans les yeux d’Henri. Il répondait à Papa, « oh, …heu, bien oui volontiers ! » Papa précisait alors à Henri que la famille pratiquait le naturisme et que s’il voulait venir avec nous il devrait s’y faire. Henri répondait qu’il était au courant et que cela ne le dérangeait pas du tout. Papa lui demanda alors le numéro de téléphone de ses parents pour qu’il puisse lui-même faire cette demande à ses parents.
Papa ne tarda pas à revenir dans la salle à manger. Puis avec un large sourire il nous disait qu’il n’y avait aucun problème pour qu’Henri nous accompagne une semaine en Vendée !
Henri s’était levé et est venu embrasser Papa et Maman, pour les remercier de cette invitation inattendue.
Papa avait ajouté que les parents d’Henri avaient également demandé si Phil pouvait aller loger cette nuit chez eux, ce qui leurs permettraient de faire plus ample connaissance avant le séjour en Vendée.
La soirée s’était donc terminée sur une note très positive.
Henri étant rentré chez lui avec moi, il remerciait à son tour ses parents pour avoir accepté de la laisser partir une semaine en Vendée avec moi, son ami scout et sa famille. J’avais salué sa maman, Véronique et son papa Joseph, ils nous donnèrent un bisou à chacun. Ses parents m’avaient demandé de les appeler par leur prénom.
Nous nous étions installés au salon et nous avions bavardé de chose et d’autre. Je pensais plutôt que j’étais le centre d’intérêt de la conversation. Beaucoup de questions de tout ordre que ce soit sur le camp, sur le travail de mes parents, les études, etc.
Joseph, le papa, nous dévisagea tour à tour et puis en regardant son épouse Véronique il nous disait : « Tu sais Phil, je ne te connais que depuis peu, mais j’ai surtout vu le changement chez mon fils Henri à l’issue du camp scout. Il me semble que tu as quelque chose à voir dans ce changement. Vous semblez avoir tous les deux une amitié particulière et très bénéfique l’un pour l’autre ; il suffit de vous regarder. »
J’étais devenu rouge, j’avais les joues en feu ! C’est vrai que les parents d’Henri n’étaient pas au courant de notre relation assez poussée depuis le camp. Mes parents étaient au courant, mais que penser de ce que venait de dire Joseph le papa d’Henri. Je me suis tourné vers Henri et je voyais qu’il était sur le point de se mettre à pleurer. Véronique la maman d’Henri ne disait rien et mais nous regardait tour à tour.
Joseph ajouta alors : « Pour moi pas de problème tant que ne faîtes pas de bêtises ! » Véronique disait : « Vous êtes tous les deux adorables. Votre amitié semble très sincère et je vous souhaite de la garder aussi belle. » Ni elle, ni le papa, n’avaient fait allusion à notre « amour naissant » ! Savaient-ils ce qui se passait entre leur fils Henri et moi ; André leur avait-il parlé, car lui seul savait pour moi et Henri ! Je me posais un tas de questions.
Véronique ajoutait : « Pour cette nuit, comme André n’est pas là car il est chez un copain, Phil tu pourras dès lors avoir son lit. » Je lui avais répondu un très gentil merci.
Voyant l’heure, Joseph nous embrassa ainsi que Véronique en nous souhaitant une très bonne nuit. Henri et moi nous les avions remerciés et leur avions également embrassé.
J’avais accompagné Henri dans sa chambre, chambre qu’il partage avec son frère André. Une fois la porte fermée, Henri était venu se blottir dans mes bras et s’était mis à pleurer. Il m’avait dit avoir eu peur de la réaction de ses parents au sujet de notre relation « particulière ». Nous nous étions étreints un bon moment.
Henri me regardait et d’un coup il m’avait dit : « Tu ne penses pas que je vais te laisser aller dormir dans le lit de mon frère, c’est avec moi que tu vas passer la nuit ; enfin si tu veux ! » Ma réaction avait été de l’embrasser tendrement sur la bouche pour ensuite laisser passer nos langues qui n’attendaient que ça.
Nous nous étions déshabillés, nous trouvant donc nus au milieu de la pièce. Henri m’avait pris par la main et m’avait dirigé vers son lit. Nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre et nos sexes avaient déjà pris un peu de volume. Nos lèvres s’étaient une nouvelle fois rencontrées et nous avions échangé un long baiser torride. Nos pénis étaient bandés au maximum. Henri s’était mis à me lécher les mamelons, il descendait vers mon abdomen, il poursuivait au niveau de mon nombril en y faisant de petits bisous pour ensuite effleurer mon mat de cocagne. Il s’était mis à le lécher depuis la base en remontant jusqu’au gland. Mon sexe était très humide de pré-sperme. Henri goba ensuite mon sexe dressé et il s’était mis à me procurer un plaisir immense avec beaucoup de volupté et de malice. De mon côté je m’étais mis en position pour pouvoir lui rendre la pareille. J’avais lécher son sexe délicatement, m’attardant sur le frein pour ensuite redescendre à la base de sa queue pour y lécher ses bourses peu poilues. J’avais ensuite placé sa bite dans ma bouche en la faisant coulisser entre mes lèvres en feu. Je variais la pression en vue de procurer à Henri beaucoup de sensations, je voulais qu’il puisse monter au septième ciel. Je sentais qu’Henri arrivait à un point de non-retour, j’avais alors suspendu mes vas et viens pour lui titiller la rondelle avec mes doigts. Henri quant à lui continuait à sucer d’une divine manière. Il calquait ses mouvements de la bouche aux miens, il voulait lui aussi me faire ressentir de fortes sensations. A mon tour je sentais que ma sève allait bientôt monter et je repris donc la fellation débutée à mon amant. Nous étions tous les deux en sueur, nos corps se cambraient de plus en plus en fonction du plaisir qui grandissait en chacun de nous. Puis dans un râle contenu nous avions éjaculé presque en même temps chacun dans la bouche de notre amant. Nous avions avalé le nectar de l’autre. Nous l’avions savouré telle une récompense suprême. Une fois avoir repris nos esprits nous nous étions affalés sur le lit, couchés côté à côte.
Une bonne demi-heure après nous nous étions dit en même temps « Je t’aime. » ce qui avait déclenché un fou rire contenu pour ne pas attirer l’attention des parents.
Nous nous étions endormis couchés sur le lit sans rien pour nous couvrir, nus et bien heureux !
Le jour était déjà levé depuis un bon moment lorsque nous avions été réveillés par Véronique, la maman d’Henri. Elle avait ouvert la porte de la chambre et nous avait découvert endormis, nus, nos corps enlacés. Nous nous étions réveillés en sursaut. Je m’étais levé d’un bon, comme un diable sortant d’une boîte, pour me trouver devant Véronique, nu avec la trique matinale. Henri était encore couché sur son lit et dans le même état que moi. Sa maman avait alors dit : « Oh, pardon ! » Elle s’était ensuite éclipsée en refermant la porte.
Henri et moi, nous nous étions regardés comme deux chiens apeurés au milieu d’un jeu de quilles.
Henri était venu se blottir dans mes bras, il pleurait à chaudes larmes ! Moi de mon côté j’étais sur le point de craquer. J’avais peur de pleurer et ainsi d’encore accroître le chagrin d’Henri. Je tentais de me retenir un maximum, mes yeux étant déjà embués ! J’aurais dû faire attention et ne pas accepter d’aller dans le même lit avec Henri. Je m’en voulais à mort. Qu’allait-il advenir de notre relation, j’avais peur de ne plus pouvoir avoir de contact avec Henri. Je me posais un tas de questions, sans pouvoir envisager l’une ou l’autre réponse. Je m’étais ressaisi et prenant mon courage, ou le peu qui en restait, j’ai alors déposé délicatement un baiser sur le front de mon amant.
J’avais alors dit à Henri qu’il valait mieux s’habiller et d’aller à la rencontre de sa maman, Véronique et ainsi affronter la réalité.
Nous nous étions habillés rapidement. Nous avions ouvert la chambre à coucher et avions gagné le salon où nous attendait Véronique. Elle était assise dans un fauteuil, le visage pâle et l’air inquiète. Henri, toujours la larme à l’œil, s’était approché d’elle pour lui faire face en lui disant : « Pardon maman, pardon ! ». Véronique a levé les yeux vers lui et lui a répondu : « Ne t’inquiète pas mon garçon, c’est moi qui aurait dû faire attention et ne pas entrer dans ta chambre tambour battant ! » Henri s’est mis à pleurer en disant : « Mais… » il n’arrivait pas dire un mot de plus. Je me serais bien caché sous le tapis du salon, je ne savais pas où me mettre.
Puis Véronique s’est tournée vers moi et m’a souri. Elle ajouta encore : « Je n’avais pas bien compris votre relation, maintenant je sais de quoi il retourne, ne vous en voulez pas. J’aurai dû comprendre dès que mon cher Henri est rentré du camp qu’il y avait quelque chose de changé chez lui et j’aurai aussi dû le voir quand tu es arrivé à la maison Phil. J’ai compris ce matin en vous voyant ensemble en train de dormir. Phil ne t’en fait pas, je sais maintenant que tu aimes Henri et que c’est réciproque de sa part. Je suis encore désolée da la façon dont j’ai réagi ce matin, mais il fallait que je sorte de la chambre. »
J’avais ensuite pris la parole : « Véronique, je m’excuse de ne pas avoir dormi seul dans le lit d’André, j’aurai du obéir, mais ça a été plus fort que moi. C’est vrai qu’il y a quelque chose entre Henri et moi, je crois que nous nous aimons. » Des larmes coulaient sur mes joues, j’avais la vue troublée et j’étais prêt à vaciller sur le sol. Véronique s’était levée et approchée de moi, elle m’avait pris dans ses bras puis m’avait donné un baiser sur le front en me disant : « Arrête de pleurer Phil, je ne t’en veux absolument pas, tu es si avenant, si aimable, si gentil avec Henri, tu as su le comprendre et lui apporter ton amitié et même plus. Tu es pour moi un troisième fils et je t’aime pour ce que tu es ; je dirais même plus je vous aime, mes deux garnements ! »
Henri demanda alors à sa maman : « Et papa, que va-t-il dire, j’ai peur de sa réaction. » Véronique lui avait répondu : « Henri, je crois que ton père se doutait de la situation alors que c’est moi qui n’avait pas encore compris le lien qui t’uni à Phil. Penses-tu qu’il aurait accepté que ton copain reste loger s’il n’avait pas été d’accord sur votre relation. Je pense qu’il n’y fera pas obstacle, il a bien vu ce que Phil t’apporte de bien et de positif. Je vois que tu es heureux, que veux-tu de plus. »
Nous nous étions tous les trois enlacés au milieu du salon, Henri pleurait encore, mais des larmes de joie à la suite de la réaction de sa maman.
Véronique nous regardait et elle avait ajouté : « Pour le séjour en Vendée, pas de problème, Henri tu peux toujours y aller avec la famille de Phil. »
Henri lui sauta au cou et l’embrassa, moi je l’avais remerciée de toute sa gentillesse.
Avant de quitter Henri et sa maman, j’avais communiqué le numéro de téléphone de mes parents. J’avais dit à Véronique que mes parents étaient au courant de la situation et de la relation entre Henri et moi-même, comme cela ils pouvaient en parler ensemble, entre parents.
Découverte particulière.
Deux jours plus tard Henri était venu dîner à la maison à la suite de l’invitation de maman. Henri n’avait pas oublié, en entrant il avait donné deux bises à maman en lui disant : « Bonjour Jacqueline, et merci pour cette invitation à dîner. » tout en lui offrant un bouquet de fleurs !
Maman lui avait répondu « Oh grand merci pour les fleurs, Henri » et elle ajoutait, que ce n’était rien, qu’elle l’avait invité en vue de partager un moment en famille avec lui devant un bon repas. Papa rentrait à son tour à la maison. Directement Henri était venu le saluer et lui disait : « Bonjour Jean-Claude ». Merci Henri lui répondait-il.
Nous étions passés à table après avoir pris l’apéro, soit coca pour les jeunes et cocktails pour les parents. Maman avait préparé un petit buffet de charcuteries, de fromages et légumes avec du pain. Une bonne bouteille de vin blanc avait également été ouverte par papa.
Le repas s’était très bien passé. Henri avait été quelque peu mis au centre de la discussion, soit en vue de connaître sa vie, l’ambiance du camp scout et un tas de choses. Henri répondait sans faire allusion à notre « relation particulière ».
Maman s’adressait à Henri et lui disait : « Henri, tu es le bienvenu à la maison. Nous sommes au courant de la relation qui existe entre toi et Phil. Pour nous ça ne change rien, nous en avons parlé avec Phil. La seule chose que nous vous demandons c’est que vous vous respectiez l’un l’autre et que vous soyez discrets. »
Henri, rouge comme une pivoine, s’était levé pour embrasser Maman et pour lui dire « Merci ».
Puis vers la fin du repas, Papa demanda à Henri ce qu’il comptait faire pour la fin de la semaine et le début de la suivante. Henri répondait qu’il n’avait pas grand-chose à faire que de venir me voir, ou d’aller à la piscine ou faire d’autres activités de vacances. Papa lui demandait s’il était partant pour venir quelques jours avec notre famille sur la côte vendéenne. J’avais alors vu des étoiles briller dans les yeux d’Henri. Il répondait à Papa, « oh, …heu, bien oui volontiers ! » Papa précisait alors à Henri que la famille pratiquait le naturisme et que s’il voulait venir avec nous il devrait s’y faire. Henri répondait qu’il était au courant et que cela ne le dérangeait pas du tout. Papa lui demanda alors le numéro de téléphone de ses parents pour qu’il puisse lui-même faire cette demande à ses parents.
Papa ne tarda pas à revenir dans la salle à manger. Puis avec un large sourire il nous disait qu’il n’y avait aucun problème pour qu’Henri nous accompagne une semaine en Vendée !
Henri s’était levé et est venu embrasser Papa et Maman, pour les remercier de cette invitation inattendue.
Papa avait ajouté que les parents d’Henri avaient également demandé si Phil pouvait aller loger cette nuit chez eux, ce qui leurs permettraient de faire plus ample connaissance avant le séjour en Vendée.
La soirée s’était donc terminée sur une note très positive.
Henri étant rentré chez lui avec moi, il remerciait à son tour ses parents pour avoir accepté de la laisser partir une semaine en Vendée avec moi, son ami scout et sa famille. J’avais salué sa maman, Véronique et son papa Joseph, ils nous donnèrent un bisou à chacun. Ses parents m’avaient demandé de les appeler par leur prénom.
Nous nous étions installés au salon et nous avions bavardé de chose et d’autre. Je pensais plutôt que j’étais le centre d’intérêt de la conversation. Beaucoup de questions de tout ordre que ce soit sur le camp, sur le travail de mes parents, les études, etc.
Joseph, le papa, nous dévisagea tour à tour et puis en regardant son épouse Véronique il nous disait : « Tu sais Phil, je ne te connais que depuis peu, mais j’ai surtout vu le changement chez mon fils Henri à l’issue du camp scout. Il me semble que tu as quelque chose à voir dans ce changement. Vous semblez avoir tous les deux une amitié particulière et très bénéfique l’un pour l’autre ; il suffit de vous regarder. »
J’étais devenu rouge, j’avais les joues en feu ! C’est vrai que les parents d’Henri n’étaient pas au courant de notre relation assez poussée depuis le camp. Mes parents étaient au courant, mais que penser de ce que venait de dire Joseph le papa d’Henri. Je me suis tourné vers Henri et je voyais qu’il était sur le point de se mettre à pleurer. Véronique la maman d’Henri ne disait rien et mais nous regardait tour à tour.
Joseph ajouta alors : « Pour moi pas de problème tant que ne faîtes pas de bêtises ! » Véronique disait : « Vous êtes tous les deux adorables. Votre amitié semble très sincère et je vous souhaite de la garder aussi belle. » Ni elle, ni le papa, n’avaient fait allusion à notre « amour naissant » ! Savaient-ils ce qui se passait entre leur fils Henri et moi ; André leur avait-il parlé, car lui seul savait pour moi et Henri ! Je me posais un tas de questions.
Véronique ajoutait : « Pour cette nuit, comme André n’est pas là car il est chez un copain, Phil tu pourras dès lors avoir son lit. » Je lui avais répondu un très gentil merci.
Voyant l’heure, Joseph nous embrassa ainsi que Véronique en nous souhaitant une très bonne nuit. Henri et moi nous les avions remerciés et leur avions également embrassé.
J’avais accompagné Henri dans sa chambre, chambre qu’il partage avec son frère André. Une fois la porte fermée, Henri était venu se blottir dans mes bras et s’était mis à pleurer. Il m’avait dit avoir eu peur de la réaction de ses parents au sujet de notre relation « particulière ». Nous nous étions étreints un bon moment.
Henri me regardait et d’un coup il m’avait dit : « Tu ne penses pas que je vais te laisser aller dormir dans le lit de mon frère, c’est avec moi que tu vas passer la nuit ; enfin si tu veux ! » Ma réaction avait été de l’embrasser tendrement sur la bouche pour ensuite laisser passer nos langues qui n’attendaient que ça.
Nous nous étions déshabillés, nous trouvant donc nus au milieu de la pièce. Henri m’avait pris par la main et m’avait dirigé vers son lit. Nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre et nos sexes avaient déjà pris un peu de volume. Nos lèvres s’étaient une nouvelle fois rencontrées et nous avions échangé un long baiser torride. Nos pénis étaient bandés au maximum. Henri s’était mis à me lécher les mamelons, il descendait vers mon abdomen, il poursuivait au niveau de mon nombril en y faisant de petits bisous pour ensuite effleurer mon mat de cocagne. Il s’était mis à le lécher depuis la base en remontant jusqu’au gland. Mon sexe était très humide de pré-sperme. Henri goba ensuite mon sexe dressé et il s’était mis à me procurer un plaisir immense avec beaucoup de volupté et de malice. De mon côté je m’étais mis en position pour pouvoir lui rendre la pareille. J’avais lécher son sexe délicatement, m’attardant sur le frein pour ensuite redescendre à la base de sa queue pour y lécher ses bourses peu poilues. J’avais ensuite placé sa bite dans ma bouche en la faisant coulisser entre mes lèvres en feu. Je variais la pression en vue de procurer à Henri beaucoup de sensations, je voulais qu’il puisse monter au septième ciel. Je sentais qu’Henri arrivait à un point de non-retour, j’avais alors suspendu mes vas et viens pour lui titiller la rondelle avec mes doigts. Henri quant à lui continuait à sucer d’une divine manière. Il calquait ses mouvements de la bouche aux miens, il voulait lui aussi me faire ressentir de fortes sensations. A mon tour je sentais que ma sève allait bientôt monter et je repris donc la fellation débutée à mon amant. Nous étions tous les deux en sueur, nos corps se cambraient de plus en plus en fonction du plaisir qui grandissait en chacun de nous. Puis dans un râle contenu nous avions éjaculé presque en même temps chacun dans la bouche de notre amant. Nous avions avalé le nectar de l’autre. Nous l’avions savouré telle une récompense suprême. Une fois avoir repris nos esprits nous nous étions affalés sur le lit, couchés côté à côte.
Une bonne demi-heure après nous nous étions dit en même temps « Je t’aime. » ce qui avait déclenché un fou rire contenu pour ne pas attirer l’attention des parents.
Nous nous étions endormis couchés sur le lit sans rien pour nous couvrir, nus et bien heureux !
Le jour était déjà levé depuis un bon moment lorsque nous avions été réveillés par Véronique, la maman d’Henri. Elle avait ouvert la porte de la chambre et nous avait découvert endormis, nus, nos corps enlacés. Nous nous étions réveillés en sursaut. Je m’étais levé d’un bon, comme un diable sortant d’une boîte, pour me trouver devant Véronique, nu avec la trique matinale. Henri était encore couché sur son lit et dans le même état que moi. Sa maman avait alors dit : « Oh, pardon ! » Elle s’était ensuite éclipsée en refermant la porte.
Henri et moi, nous nous étions regardés comme deux chiens apeurés au milieu d’un jeu de quilles.
Henri était venu se blottir dans mes bras, il pleurait à chaudes larmes ! Moi de mon côté j’étais sur le point de craquer. J’avais peur de pleurer et ainsi d’encore accroître le chagrin d’Henri. Je tentais de me retenir un maximum, mes yeux étant déjà embués ! J’aurais dû faire attention et ne pas accepter d’aller dans le même lit avec Henri. Je m’en voulais à mort. Qu’allait-il advenir de notre relation, j’avais peur de ne plus pouvoir avoir de contact avec Henri. Je me posais un tas de questions, sans pouvoir envisager l’une ou l’autre réponse. Je m’étais ressaisi et prenant mon courage, ou le peu qui en restait, j’ai alors déposé délicatement un baiser sur le front de mon amant.
J’avais alors dit à Henri qu’il valait mieux s’habiller et d’aller à la rencontre de sa maman, Véronique et ainsi affronter la réalité.
Nous nous étions habillés rapidement. Nous avions ouvert la chambre à coucher et avions gagné le salon où nous attendait Véronique. Elle était assise dans un fauteuil, le visage pâle et l’air inquiète. Henri, toujours la larme à l’œil, s’était approché d’elle pour lui faire face en lui disant : « Pardon maman, pardon ! ». Véronique a levé les yeux vers lui et lui a répondu : « Ne t’inquiète pas mon garçon, c’est moi qui aurait dû faire attention et ne pas entrer dans ta chambre tambour battant ! » Henri s’est mis à pleurer en disant : « Mais… » il n’arrivait pas dire un mot de plus. Je me serais bien caché sous le tapis du salon, je ne savais pas où me mettre.
Puis Véronique s’est tournée vers moi et m’a souri. Elle ajouta encore : « Je n’avais pas bien compris votre relation, maintenant je sais de quoi il retourne, ne vous en voulez pas. J’aurai dû comprendre dès que mon cher Henri est rentré du camp qu’il y avait quelque chose de changé chez lui et j’aurai aussi dû le voir quand tu es arrivé à la maison Phil. J’ai compris ce matin en vous voyant ensemble en train de dormir. Phil ne t’en fait pas, je sais maintenant que tu aimes Henri et que c’est réciproque de sa part. Je suis encore désolée da la façon dont j’ai réagi ce matin, mais il fallait que je sorte de la chambre. »
J’avais ensuite pris la parole : « Véronique, je m’excuse de ne pas avoir dormi seul dans le lit d’André, j’aurai du obéir, mais ça a été plus fort que moi. C’est vrai qu’il y a quelque chose entre Henri et moi, je crois que nous nous aimons. » Des larmes coulaient sur mes joues, j’avais la vue troublée et j’étais prêt à vaciller sur le sol. Véronique s’était levée et approchée de moi, elle m’avait pris dans ses bras puis m’avait donné un baiser sur le front en me disant : « Arrête de pleurer Phil, je ne t’en veux absolument pas, tu es si avenant, si aimable, si gentil avec Henri, tu as su le comprendre et lui apporter ton amitié et même plus. Tu es pour moi un troisième fils et je t’aime pour ce que tu es ; je dirais même plus je vous aime, mes deux garnements ! »
Henri demanda alors à sa maman : « Et papa, que va-t-il dire, j’ai peur de sa réaction. » Véronique lui avait répondu : « Henri, je crois que ton père se doutait de la situation alors que c’est moi qui n’avait pas encore compris le lien qui t’uni à Phil. Penses-tu qu’il aurait accepté que ton copain reste loger s’il n’avait pas été d’accord sur votre relation. Je pense qu’il n’y fera pas obstacle, il a bien vu ce que Phil t’apporte de bien et de positif. Je vois que tu es heureux, que veux-tu de plus. »
Nous nous étions tous les trois enlacés au milieu du salon, Henri pleurait encore, mais des larmes de joie à la suite de la réaction de sa maman.
Véronique nous regardait et elle avait ajouté : « Pour le séjour en Vendée, pas de problème, Henri tu peux toujours y aller avec la famille de Phil. »
Henri lui sauta au cou et l’embrassa, moi je l’avais remerciée de toute sa gentillesse.
Avant de quitter Henri et sa maman, j’avais communiqué le numéro de téléphone de mes parents. J’avais dit à Véronique que mes parents étaient au courant de la situation et de la relation entre Henri et moi-même, comme cela ils pouvaient en parler ensemble, entre parents.