22-12-2020, 07:41 PM
D’accord de faire un plan, mais ensuite il faut encore le suivre, et je n’ai pas l’impression que je le suivrais, j’aurais de nouvelles idées à mesure que j’écris et que le résultat final ne correspondrait plus au plan.
Je pense plutôt que le problème est inhérent au roman-feuilleton. Je vous livre une histoire par tranches de 1’000 mots environ et je ne vous livre pas un roman entier qui a été relu et dont les passages les moins bons ont été coupés ou corrigés. Vous êtes donc dépendants de mon inspiration au moment où j’écris chaque épisode.
Je pourrais renoncer à écrire les jours où je ne suis pas inspiré, mais je ne pense pas que ce serait la solution, ce serait plutôt une incitation à la procrastination. Et je vous rappelle que je ne suis qu’un écrivaillon de province qui a perdu tout espoir de recevoir le prix Goncourt.
Ne pas s’acharner à raconter l’inexistant ? C’est peut-être la conséquence de la pandémie, j’ai constaté que ma vie est inexistante depuis qu’on m’a enlevé tout ce qui en faisait sa saveur : un repas au restaurant, une soirée au théâtre, une visite au musée, un petit voyage à l’étranger. Vous me direz qu’il me reste le sexe… Je n’ai plus 20 ans et la vigueur de mes personnages.
Je vais cesser de faire mon autocritique, nous ne sommes pas dans la Chine maoïste, je vous promets donc que tous les épisodes suivants seront géniaux et ne décriront pas l’inexistant, tant pis si vous ne me croyez pas.
Passez de bonnes fêtes de Noël malgré les circonstances et que la force soit avec vous (nous). Et n’oubliez pas de jeter un coup d’œil sur « À chacun son histoire » après le 25, il y aura un petit cadeau de ma part.
PS : Merci à [member=146]Nostalgique[/member] d’avoir passé.
Je pense plutôt que le problème est inhérent au roman-feuilleton. Je vous livre une histoire par tranches de 1’000 mots environ et je ne vous livre pas un roman entier qui a été relu et dont les passages les moins bons ont été coupés ou corrigés. Vous êtes donc dépendants de mon inspiration au moment où j’écris chaque épisode.
Je pourrais renoncer à écrire les jours où je ne suis pas inspiré, mais je ne pense pas que ce serait la solution, ce serait plutôt une incitation à la procrastination. Et je vous rappelle que je ne suis qu’un écrivaillon de province qui a perdu tout espoir de recevoir le prix Goncourt.
Ne pas s’acharner à raconter l’inexistant ? C’est peut-être la conséquence de la pandémie, j’ai constaté que ma vie est inexistante depuis qu’on m’a enlevé tout ce qui en faisait sa saveur : un repas au restaurant, une soirée au théâtre, une visite au musée, un petit voyage à l’étranger. Vous me direz qu’il me reste le sexe… Je n’ai plus 20 ans et la vigueur de mes personnages.
Je vais cesser de faire mon autocritique, nous ne sommes pas dans la Chine maoïste, je vous promets donc que tous les épisodes suivants seront géniaux et ne décriront pas l’inexistant, tant pis si vous ne me croyez pas.
Passez de bonnes fêtes de Noël malgré les circonstances et que la force soit avec vous (nous). Et n’oubliez pas de jeter un coup d’œil sur « À chacun son histoire » après le 25, il y aura un petit cadeau de ma part.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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