22-12-2020, 10:04 AM
Chapitre 4.
Les parents.
Épuisés, nous nous sommes endormis dans mon lit, nus, fourbus mais heureux d’avoir fait l’amour, ensemble, d’un commun accord, sans contrainte et avec amour et tendresse.
Alors que j’ouvrais les yeux, à la lumière du soleil passant un peu au travers des tentures, j’ai vu, couché à mes côtés Henri, mon nouvel amant. Il dormait encore mais il donnait déjà des signes d’éveil imminent. J’ai alors déposé un baiser sur sa joue gauche. Il ouvrit les yeux et nos bouches se sont rencontrées, elles se sont ouvertes et nous nous sommes embrassés, nos langues se mélangeant avec frénésie.
J’ai proposé à Henri d’aller à la salle de bain pour prendre une bonne douche, en lui précisant que mes parents étaient déjà partis au travail. Nous nous sommes levés, nus. Nous étions dans le hall de nuit en direction de la salle de bain lorsque nous avons vu la porte de la salle d’eau s’ouvrir et ma sœur Anne en sortir, nue, elle aussi. Henri mit ses mains sur son sexe tandis que moi je n’y prenais garde. Ma sœur a alors dit en nous toisant du regard : « alors les amoureux, bien dormi ! ». Henri est devenu rouge pivoine et moi de même ! Ma sœur ajoutant alors « vous n’êtes pas très discrets les mecs ! ». Nous entrons dans la salle de bain, sans un mot. Puis je précise à Henri, chose que j’avais oubliée de lui dire, que la famille était « naturiste » et qu’il arrivait régulièrement que nous nous promenions nus dans la maison. Henri eu l’air étonné mais me fit ensuite un clin d’œil complice, montant que cela ne le dérangeait pas du tout. Nous nous sommes mis sous la douche, douche à l’italienne très large pouvant laisser assez de place à deux ou même trois personnes. Nous nous sommes mis à nous doucher. Puis à un moment la porte de la salle de bain s’est ouverte et c’est mon frère Jean qui entrait, nu ! Directement, comme ma sœur, il nous dit en souriant : « Ça va les amoureux ! » et sans rien ajouté, il nous rejoint sous la douche. Jean dit alors : « Ne vous inquiétez pas, ça ne me dérange pas, homo, bi ou hétéro, je n’en rien à faire. De toute façon Phil, tu es mon grand frère et je t’aime comme tu es. Ce qui ne gâche rien c’est que ton mec est très sympa et que je suis content de voir que c’est un super gars et que vous allez très bien ensemble ! »
Nous avons pris une douche ensemble, à trois. Henri m’a lavé le dos et j’ai fait de même avec lui. Jean dit alors « Et moi alors » ; Henri se mit sans ambages à laver le dos de mon frère. Cette situation assez particulière provoqua une hausse de la température et nos trois sexes se redressaient. Henri me regarde alors avec insistance, moi de mon côté je tentais de voir ce que mon frère allait faire. Jean, s’est mis à faire deux ou trois mouvement de vas et viens sur sa bite tendue. Je lui ai fait un clin d’œil et j’ai posé ma main droite sur le sexe bandé de mon mec et j’ai commencé à le masturber. Henri voyant la situation plaça sa main sur mon mat de cocagne et se mit à lui rendre hommage.
Jean continuait à se branler. Il avait un sexe assez fin, une toison noire et les boules étaient presque sans poils. Mon jeune frère se caressait le membre comme un jeune ado plein de fougue. Il nous regardait, Henri et moi, en train de nous donner du plaisir mutuellement. Henri me masturbait lentement, il prenait son temps pour ne pas brusquer les choses. Moi de mon côté je décalottais la verge d’Henri. Je faisais coulisser son prépuce en découvrant et en recouvrant son gland au fur et à mesure entre deux doigts. Jean n’avait d’yeux que pour nos anatomies dressées. Henri et moi nous nous donnions du plaisir et nous prenions tout notre temps ; nous savourions nos caresses mutuelles et par la suite nous entendions que la respiration de Jean qui était de plus en plus bruyante, nous savions qu’il allait bientôt épandre se semence sur le sol de la douche. L’eau coulait toujours sur nos corps en rut, elle était presque chaude et apportait un plus à nos ébats. En voyant Jean se palucher avec ardeur et en l’entendant respirer de plus en plus fort nos sexes respectifs ont encore pris un peu plus d’ampleur. Puis dans un râle d’extase Jean laissa gicler quatre longs jets de sperme, jets qui se sont écrasés sur le mur de la douche. Jean avait un sourire ébahi qui en disait long sur ce qu’il venait de ressentir. Suite à cela, Henri et moi, nous avons accéléré nos mouvements masturbatoires et nous avons éjaculé en même temps dans des râles retenus. Nos jets de spermes se sont retrouvés dans nos mains branleuses. Je n’ai pu m’empêcher de goûter à la semence qu’Henri avait laissée sur ma main. Jean, en voyant ça, en est resté bouche-bée, en disant « wouah » ! Henri s’approche alors de moi et rapproche sa bouche de la mienne, je ne recule pas et devant mon frère nous nous embrassons à pleine bouche nos langues se titillant l’une l’autre échangeant un peu de sperme d’Henri. Jean était médusé tout en ne ratant rien de ce qu’il venait de voir. Jean nous dit alors : « eh bien les mecs on voit que vous vous aimez » !
Nous avons alors terminé notre douche en nous savonnant mutuellement. Nos sexes avaient repris leur taille au repos.
Une fois sortis de la douche nous nous sommes séchés avant de rejoindre nos chambres, Jean la sienne et Henri et moi, la mienne. Nous nous sommes regardés Henri et moi et nous nous sommes mis à rire de ce qui venait de se passer. C’est la première fois que je voyais mon frère se branler devant moi et de même que je me fasse branler par mon « amant » devant lui. C’était très, très chaud.
Nous nous sommes retrouvés pour le petit-déjeuner à quatre, ma sœur Anne, mon frère Jean, Henri et moi. Nous n’avons pas parlé de ce qui venait de se passer dans la salle de bain. Nous avons parlé de chose et d’autre. Ma sœur nous regardait Henri et moi, chacun à notre tour, et puis elle dit : « Vous êtes super les mecs, vous allez bien ensemble, je vous adore ! » Elle ajouta : « En ce qui concerne les parents, je ne sais pas ce qu’ils vont dire à la suite des bruits spéciaux entendus en début de nuit ! ; en ce qui me concerne, ça ne m’a pas dérangé !» Jean ajouta à son tour : « Phil, pour moi, comme je l’ai dit ce matin, je m’en fout, homo, bi ou hétéro, tu es mon frère et je t’aime comme tu es ! » Il ajoute ensuite : « J’allais oublier, je t’adore aussi Henri, tu es un mec sympa ! ».
Je me mis à me demander ce que les parents allaient me dire quand ils rentreraient à l’issue de leur journée de travail. Henri vit que mon regard s’était assombri. Il regarda tour à tour Anne, Jean puis moi. Je vis que la tête d’Henri changeait, qu’il avait les yeux qui s’humidifiaient. Deux larmes se mirent à couler sur ses joues. Henri ne pipait mot, il restait ainsi prostré. Je me suis levé et j’ai pris Henri dans mes bras pour l’enlacer et essuyant ses larmes. Puis, d’un coup ma sœur Anne est venue nous prendre dans ses bras en nous disant : « Ne vous inquiétez pas, je pense que les parents ont l’esprit assez large et qu’ils comprendront ce qui vous unis. Je vous aime mes deux loulous ! ». Elle nous donna une bise sur la joue à chacun. Voyant ce que ma sœur venait de faire, je me suis aussi mis à pleurer, tant d’amour ainsi partagé avec ma sœur et mon frère, je dois être le plus heureux des mecs et en plus ils apprécient mon petit copain.
Finalement nous nous sommes tous mis à rire de bon cœur.
Nous avions passé, Henri et moi, le reste de la matinée à jouer à des jeux vidéo. Henri était parti juste avant le dîner, il devait rentrer chez lui.
J’étais resté l’après-midi à la maison en compagnie de ma sœur et de mon frère. Nous avions rangé nos chambres et remis un peu d’ordre dans le salon et dans le jardin.
Nous attendions nos parents pour le souper. C’est Anne et moi qui avions préparé le repas. Nous avions cuit un rôti, préparé un choux fleur gratiné au four ainsi que des pommes de terre vapeur. Pour le dessert, Anne avait fait de la mousse au chocolat.
Vers les 20 heures, nos parents étaient rentrés. Nous avions pris l’apéro, soit deux gin orange pour les parents et nous des softs.
Nous étions passés à table et nous avions mangé de bon appétit le repas tout en parlant de chose et d’autre. Moi je ne savais pas ce qu’il allait se passer après ma nuit avec Henri. Je ne savais toujours pas ce que mes parents avaient entendu, ce qu’ils pensaient de ma relation avec Henri. Au fur et à mesure que le repas avançait je commençais à avoir la boule au ventre. Anne de son côté voyait bien que je n’allais pas bien car elle jetait régulièrement un coup d’œil vers moi.
Une fois le dessert terminé, Papa et Maman demandèrent à Anne et à Jean de bien vouloir nous laisser quelques instants. J’étais devenu blême. Je m’étais assis dans un fauteuil du salon et j’attendais que Maman et Papa viennent me rejoindre.
Papa me disait alors :
Papa : « Nous avons parlé ta Maman et moi de ce qui s’est passé la nuit dernière. C’est Maman qui va t’expliquer.
Mam : Tu vois Phil, nous sommes très calmes et je vois que tu n’est pas dans ton assiette depuis quelques minutes.
Moi : Oui je me doute bien que vous vouliez me parler ; j’ai la boule au ventre !
Mam : Ne t’inquiète pas, rassure-toi, nous n’allons pas te « manger », nous voulons juste avoir une petite conversation avec toi.
Moi : Oui, …je vous écoute.
Mam : Je me suis rendue compte et ton père aussi, que tu avais une relation assez particulière avec Henri. Nous l’avons déjà vu quelques fois ici à la maison et je sais que c’est un très gentil garçon. Henri est resté loger hier soir dans ta chambre et c’est très bien, je n’ai rien à y redire. La seule chose, c’est que nous n’avions pas imaginé que vous aviez tous les deux une relation si forte entre vous.
Moi : Oui, …je…ne sais pas…quoi….
Mes larmes coulaient sur les joues, je pleurais devant mes parents ! Maman s’était levée et s’était rapprochée de moi pour me faire un gros câlin. Elle essuyait mes larmes et me donnait un gros bisou sur le front.
Mam : Ne t’inquiète pas mon fils, tu sais que ton père et moi nous t’aimons tel que tu es. Nous ne voyons aucun inconvénient avec ta relation avec Henri. La seule chose que nous vous demandons c’est d’être discrets !
Moi : Oui Maman. C’est vrai que nous n’avons pas été discrets.
Mam : C’est pour cette raison que nous te demandons de faire attention.
Moi : Je vous aime très fort, vous n’imaginez pas le poids que vous venez de m’enlever !
Papa : Nous nous en doutons.
Nous nous étions levés et au milieu du salon nous nous étions étreints tous les trois.
Maman avait alors appelé Anne et Jean pour qu’ils viennent nous rejoindre.
Maman leurs avait expliqué ce qu'il s’était passé et elle avait ajouté que tant elle que Papa nous aimaient tous tels que nous étions.
J’avais pris ma sœur et mon frère dans les bras et je leur avais dit que je les aimais très fort. Anne ajouta :
Anne : « Phil que tu sois gay, hétéro ou bi, ça ne me regarde pas, je t’aime tel que tu es et je suis certaine que c’est la même chose pour tous les membres de la famille, ils t’aiment aussi de tout leur cœur.
Jean, Maman et Papa dirent tous ensemble : Oh que oui ! »
Maman me demandait d’inviter Henri à dîner après le week-end en vue de faire plus connaissance.
J’avais pris le téléphone portable et j’étais monté dans ma chambre. J’avais appelé Henri pour lui expliquer la conversation que j’avais eu avec mes parents et la réaction de toute la famille. J’avais aussi invité Henri à venir dîner dans deux jours, mes parents étant contents de le recevoir à la maison.
Nous avions également convenu d’aller à la piscine le lendemain après-midi.
Le lendemain, nous étions arrivés à la piscine vers 14h00. Comme il y avait beaucoup de monde nous étions donc entrés à deux dans une cabine. Nous nous étions déshabillés et avions tout de suite enfilé nos shorts de bain. Et hop dans la piscine où nous avions d’abord fait quelques longueurs histoire de se dépenser. Nous nous étions aussi amusés à nous couler l’un l’autre, à nous chatouiller, bref nous étions très contents de passer l’après-midi ensemble. Il était alors temps de sortir de l’eau et d’aller se changer.
Arrivés aux vestiaires et plus précisément des douches, Henri m’avait pris par la main et il nous entrainait dans une cabine de douche. Une fois la porte verrouillée, Henri m’embrassa sur la bouche. Il força la mienne avec sa langue. Nos salives se mélangeaient nos langues se titillaient. Nos sexes étaient bandés au max dans nos shorts de bain. Nous nous étions débarrassés de ceux-ci et nous nous étions collés l’un à l’autre. Sa pine s’était plaquée sur le lobe de mes fesses. Henri faisait des mouvements de haut en bas au niveau de ma raie tout en m’enlaçant avec ses deux bras. Il jouait avec mes tétons et me donnait de petits bisous dans le cou. Mon sexe était quant à lui dressé au maximum. J’avais alors dit à Henri, pas si vite. Je m’étais retourné et nous nous étions une nouvelle fois enlacés, nos sexes étaient plaqués l’un sur l’autre. J’avais alors pris ma main et j’avais commencé une masturbation de nos deux sexes en même temps d’une seule main. Henri était aux anges. Il avait une nouvelle fois ce regard pur et angélique qui m’avait fait craquer lors du camp scout. Henri commençait à respirer de plus en plus fort, ma respiration s’accélérait également.
L’eau chaude de la douche couvrait nos gémissements contenus. Henri dandinait du bassin je sentais qu’il allait arriver à un point de non-retour. J’avais alors relâché la pression exercée au niveau de nos membres dressés. Henri m’embrassa une nouvelle fois, dans son regard je voyais bien qu’il était heureux, heureux de ce que je lui prodiguais comme sensation mais également heureux d’être avec moi, là dans mes bras. Henri avait mis sa main sur nos sexes réunis et il avait commencé une masturbation délicate et subtile. Je voyais bien qu’Henri avait pris beaucoup d’assurance et qu’il avait fait beaucoup de progrès au niveau sexuel ; j’en étais ravi ! Puis Henri accéléra la cadence, il faisait monter la tension dans nos verges tendues, il nous prodiguait une masturbation commune d’enfer. Puis d’un coup nous sentions que nous allions arriver à l’extase ; nos corps s’étaient raidis, nos dos s’étaient cambrés et dans un râle commun nous avions joui en même temps de longs jets qui s’étaient étalés sur nos abdominaux.
Henri avait les jambes en coton tellement il avait ressenti un immense orgasme, j’avais du retenir son corps pour qu’il ne tombe sur le sol. Puis après avoir repris nos esprits, j’avais murmuré à son oreille, « Merci Henri, je t’aime. » puis je l’avais embrassé. Henri, après notre baiser, m’avait également susurré à l’oreille « Je t’aime Phil, tu ne peux pas t’imaginer. ». Nous nous étions rincés mutuellement. Nous avions remis nos shorts et nous avions repris nos effets pour nous rhabiller dans la même cabine, bien entendu.
Les parents.
Épuisés, nous nous sommes endormis dans mon lit, nus, fourbus mais heureux d’avoir fait l’amour, ensemble, d’un commun accord, sans contrainte et avec amour et tendresse.
Alors que j’ouvrais les yeux, à la lumière du soleil passant un peu au travers des tentures, j’ai vu, couché à mes côtés Henri, mon nouvel amant. Il dormait encore mais il donnait déjà des signes d’éveil imminent. J’ai alors déposé un baiser sur sa joue gauche. Il ouvrit les yeux et nos bouches se sont rencontrées, elles se sont ouvertes et nous nous sommes embrassés, nos langues se mélangeant avec frénésie.
J’ai proposé à Henri d’aller à la salle de bain pour prendre une bonne douche, en lui précisant que mes parents étaient déjà partis au travail. Nous nous sommes levés, nus. Nous étions dans le hall de nuit en direction de la salle de bain lorsque nous avons vu la porte de la salle d’eau s’ouvrir et ma sœur Anne en sortir, nue, elle aussi. Henri mit ses mains sur son sexe tandis que moi je n’y prenais garde. Ma sœur a alors dit en nous toisant du regard : « alors les amoureux, bien dormi ! ». Henri est devenu rouge pivoine et moi de même ! Ma sœur ajoutant alors « vous n’êtes pas très discrets les mecs ! ». Nous entrons dans la salle de bain, sans un mot. Puis je précise à Henri, chose que j’avais oubliée de lui dire, que la famille était « naturiste » et qu’il arrivait régulièrement que nous nous promenions nus dans la maison. Henri eu l’air étonné mais me fit ensuite un clin d’œil complice, montant que cela ne le dérangeait pas du tout. Nous nous sommes mis sous la douche, douche à l’italienne très large pouvant laisser assez de place à deux ou même trois personnes. Nous nous sommes mis à nous doucher. Puis à un moment la porte de la salle de bain s’est ouverte et c’est mon frère Jean qui entrait, nu ! Directement, comme ma sœur, il nous dit en souriant : « Ça va les amoureux ! » et sans rien ajouté, il nous rejoint sous la douche. Jean dit alors : « Ne vous inquiétez pas, ça ne me dérange pas, homo, bi ou hétéro, je n’en rien à faire. De toute façon Phil, tu es mon grand frère et je t’aime comme tu es. Ce qui ne gâche rien c’est que ton mec est très sympa et que je suis content de voir que c’est un super gars et que vous allez très bien ensemble ! »
Nous avons pris une douche ensemble, à trois. Henri m’a lavé le dos et j’ai fait de même avec lui. Jean dit alors « Et moi alors » ; Henri se mit sans ambages à laver le dos de mon frère. Cette situation assez particulière provoqua une hausse de la température et nos trois sexes se redressaient. Henri me regarde alors avec insistance, moi de mon côté je tentais de voir ce que mon frère allait faire. Jean, s’est mis à faire deux ou trois mouvement de vas et viens sur sa bite tendue. Je lui ai fait un clin d’œil et j’ai posé ma main droite sur le sexe bandé de mon mec et j’ai commencé à le masturber. Henri voyant la situation plaça sa main sur mon mat de cocagne et se mit à lui rendre hommage.
Jean continuait à se branler. Il avait un sexe assez fin, une toison noire et les boules étaient presque sans poils. Mon jeune frère se caressait le membre comme un jeune ado plein de fougue. Il nous regardait, Henri et moi, en train de nous donner du plaisir mutuellement. Henri me masturbait lentement, il prenait son temps pour ne pas brusquer les choses. Moi de mon côté je décalottais la verge d’Henri. Je faisais coulisser son prépuce en découvrant et en recouvrant son gland au fur et à mesure entre deux doigts. Jean n’avait d’yeux que pour nos anatomies dressées. Henri et moi nous nous donnions du plaisir et nous prenions tout notre temps ; nous savourions nos caresses mutuelles et par la suite nous entendions que la respiration de Jean qui était de plus en plus bruyante, nous savions qu’il allait bientôt épandre se semence sur le sol de la douche. L’eau coulait toujours sur nos corps en rut, elle était presque chaude et apportait un plus à nos ébats. En voyant Jean se palucher avec ardeur et en l’entendant respirer de plus en plus fort nos sexes respectifs ont encore pris un peu plus d’ampleur. Puis dans un râle d’extase Jean laissa gicler quatre longs jets de sperme, jets qui se sont écrasés sur le mur de la douche. Jean avait un sourire ébahi qui en disait long sur ce qu’il venait de ressentir. Suite à cela, Henri et moi, nous avons accéléré nos mouvements masturbatoires et nous avons éjaculé en même temps dans des râles retenus. Nos jets de spermes se sont retrouvés dans nos mains branleuses. Je n’ai pu m’empêcher de goûter à la semence qu’Henri avait laissée sur ma main. Jean, en voyant ça, en est resté bouche-bée, en disant « wouah » ! Henri s’approche alors de moi et rapproche sa bouche de la mienne, je ne recule pas et devant mon frère nous nous embrassons à pleine bouche nos langues se titillant l’une l’autre échangeant un peu de sperme d’Henri. Jean était médusé tout en ne ratant rien de ce qu’il venait de voir. Jean nous dit alors : « eh bien les mecs on voit que vous vous aimez » !
Nous avons alors terminé notre douche en nous savonnant mutuellement. Nos sexes avaient repris leur taille au repos.
Une fois sortis de la douche nous nous sommes séchés avant de rejoindre nos chambres, Jean la sienne et Henri et moi, la mienne. Nous nous sommes regardés Henri et moi et nous nous sommes mis à rire de ce qui venait de se passer. C’est la première fois que je voyais mon frère se branler devant moi et de même que je me fasse branler par mon « amant » devant lui. C’était très, très chaud.
Nous nous sommes retrouvés pour le petit-déjeuner à quatre, ma sœur Anne, mon frère Jean, Henri et moi. Nous n’avons pas parlé de ce qui venait de se passer dans la salle de bain. Nous avons parlé de chose et d’autre. Ma sœur nous regardait Henri et moi, chacun à notre tour, et puis elle dit : « Vous êtes super les mecs, vous allez bien ensemble, je vous adore ! » Elle ajouta : « En ce qui concerne les parents, je ne sais pas ce qu’ils vont dire à la suite des bruits spéciaux entendus en début de nuit ! ; en ce qui me concerne, ça ne m’a pas dérangé !» Jean ajouta à son tour : « Phil, pour moi, comme je l’ai dit ce matin, je m’en fout, homo, bi ou hétéro, tu es mon frère et je t’aime comme tu es ! » Il ajoute ensuite : « J’allais oublier, je t’adore aussi Henri, tu es un mec sympa ! ».
Je me mis à me demander ce que les parents allaient me dire quand ils rentreraient à l’issue de leur journée de travail. Henri vit que mon regard s’était assombri. Il regarda tour à tour Anne, Jean puis moi. Je vis que la tête d’Henri changeait, qu’il avait les yeux qui s’humidifiaient. Deux larmes se mirent à couler sur ses joues. Henri ne pipait mot, il restait ainsi prostré. Je me suis levé et j’ai pris Henri dans mes bras pour l’enlacer et essuyant ses larmes. Puis, d’un coup ma sœur Anne est venue nous prendre dans ses bras en nous disant : « Ne vous inquiétez pas, je pense que les parents ont l’esprit assez large et qu’ils comprendront ce qui vous unis. Je vous aime mes deux loulous ! ». Elle nous donna une bise sur la joue à chacun. Voyant ce que ma sœur venait de faire, je me suis aussi mis à pleurer, tant d’amour ainsi partagé avec ma sœur et mon frère, je dois être le plus heureux des mecs et en plus ils apprécient mon petit copain.
Finalement nous nous sommes tous mis à rire de bon cœur.
Nous avions passé, Henri et moi, le reste de la matinée à jouer à des jeux vidéo. Henri était parti juste avant le dîner, il devait rentrer chez lui.
J’étais resté l’après-midi à la maison en compagnie de ma sœur et de mon frère. Nous avions rangé nos chambres et remis un peu d’ordre dans le salon et dans le jardin.
Nous attendions nos parents pour le souper. C’est Anne et moi qui avions préparé le repas. Nous avions cuit un rôti, préparé un choux fleur gratiné au four ainsi que des pommes de terre vapeur. Pour le dessert, Anne avait fait de la mousse au chocolat.
Vers les 20 heures, nos parents étaient rentrés. Nous avions pris l’apéro, soit deux gin orange pour les parents et nous des softs.
Nous étions passés à table et nous avions mangé de bon appétit le repas tout en parlant de chose et d’autre. Moi je ne savais pas ce qu’il allait se passer après ma nuit avec Henri. Je ne savais toujours pas ce que mes parents avaient entendu, ce qu’ils pensaient de ma relation avec Henri. Au fur et à mesure que le repas avançait je commençais à avoir la boule au ventre. Anne de son côté voyait bien que je n’allais pas bien car elle jetait régulièrement un coup d’œil vers moi.
Une fois le dessert terminé, Papa et Maman demandèrent à Anne et à Jean de bien vouloir nous laisser quelques instants. J’étais devenu blême. Je m’étais assis dans un fauteuil du salon et j’attendais que Maman et Papa viennent me rejoindre.
Papa me disait alors :
Papa : « Nous avons parlé ta Maman et moi de ce qui s’est passé la nuit dernière. C’est Maman qui va t’expliquer.
Mam : Tu vois Phil, nous sommes très calmes et je vois que tu n’est pas dans ton assiette depuis quelques minutes.
Moi : Oui je me doute bien que vous vouliez me parler ; j’ai la boule au ventre !
Mam : Ne t’inquiète pas, rassure-toi, nous n’allons pas te « manger », nous voulons juste avoir une petite conversation avec toi.
Moi : Oui, …je vous écoute.
Mam : Je me suis rendue compte et ton père aussi, que tu avais une relation assez particulière avec Henri. Nous l’avons déjà vu quelques fois ici à la maison et je sais que c’est un très gentil garçon. Henri est resté loger hier soir dans ta chambre et c’est très bien, je n’ai rien à y redire. La seule chose, c’est que nous n’avions pas imaginé que vous aviez tous les deux une relation si forte entre vous.
Moi : Oui, …je…ne sais pas…quoi….
Mes larmes coulaient sur les joues, je pleurais devant mes parents ! Maman s’était levée et s’était rapprochée de moi pour me faire un gros câlin. Elle essuyait mes larmes et me donnait un gros bisou sur le front.
Mam : Ne t’inquiète pas mon fils, tu sais que ton père et moi nous t’aimons tel que tu es. Nous ne voyons aucun inconvénient avec ta relation avec Henri. La seule chose que nous vous demandons c’est d’être discrets !
Moi : Oui Maman. C’est vrai que nous n’avons pas été discrets.
Mam : C’est pour cette raison que nous te demandons de faire attention.
Moi : Je vous aime très fort, vous n’imaginez pas le poids que vous venez de m’enlever !
Papa : Nous nous en doutons.
Nous nous étions levés et au milieu du salon nous nous étions étreints tous les trois.
Maman avait alors appelé Anne et Jean pour qu’ils viennent nous rejoindre.
Maman leurs avait expliqué ce qu'il s’était passé et elle avait ajouté que tant elle que Papa nous aimaient tous tels que nous étions.
J’avais pris ma sœur et mon frère dans les bras et je leur avais dit que je les aimais très fort. Anne ajouta :
Anne : « Phil que tu sois gay, hétéro ou bi, ça ne me regarde pas, je t’aime tel que tu es et je suis certaine que c’est la même chose pour tous les membres de la famille, ils t’aiment aussi de tout leur cœur.
Jean, Maman et Papa dirent tous ensemble : Oh que oui ! »
Maman me demandait d’inviter Henri à dîner après le week-end en vue de faire plus connaissance.
J’avais pris le téléphone portable et j’étais monté dans ma chambre. J’avais appelé Henri pour lui expliquer la conversation que j’avais eu avec mes parents et la réaction de toute la famille. J’avais aussi invité Henri à venir dîner dans deux jours, mes parents étant contents de le recevoir à la maison.
Nous avions également convenu d’aller à la piscine le lendemain après-midi.
Le lendemain, nous étions arrivés à la piscine vers 14h00. Comme il y avait beaucoup de monde nous étions donc entrés à deux dans une cabine. Nous nous étions déshabillés et avions tout de suite enfilé nos shorts de bain. Et hop dans la piscine où nous avions d’abord fait quelques longueurs histoire de se dépenser. Nous nous étions aussi amusés à nous couler l’un l’autre, à nous chatouiller, bref nous étions très contents de passer l’après-midi ensemble. Il était alors temps de sortir de l’eau et d’aller se changer.
Arrivés aux vestiaires et plus précisément des douches, Henri m’avait pris par la main et il nous entrainait dans une cabine de douche. Une fois la porte verrouillée, Henri m’embrassa sur la bouche. Il força la mienne avec sa langue. Nos salives se mélangeaient nos langues se titillaient. Nos sexes étaient bandés au max dans nos shorts de bain. Nous nous étions débarrassés de ceux-ci et nous nous étions collés l’un à l’autre. Sa pine s’était plaquée sur le lobe de mes fesses. Henri faisait des mouvements de haut en bas au niveau de ma raie tout en m’enlaçant avec ses deux bras. Il jouait avec mes tétons et me donnait de petits bisous dans le cou. Mon sexe était quant à lui dressé au maximum. J’avais alors dit à Henri, pas si vite. Je m’étais retourné et nous nous étions une nouvelle fois enlacés, nos sexes étaient plaqués l’un sur l’autre. J’avais alors pris ma main et j’avais commencé une masturbation de nos deux sexes en même temps d’une seule main. Henri était aux anges. Il avait une nouvelle fois ce regard pur et angélique qui m’avait fait craquer lors du camp scout. Henri commençait à respirer de plus en plus fort, ma respiration s’accélérait également.
L’eau chaude de la douche couvrait nos gémissements contenus. Henri dandinait du bassin je sentais qu’il allait arriver à un point de non-retour. J’avais alors relâché la pression exercée au niveau de nos membres dressés. Henri m’embrassa une nouvelle fois, dans son regard je voyais bien qu’il était heureux, heureux de ce que je lui prodiguais comme sensation mais également heureux d’être avec moi, là dans mes bras. Henri avait mis sa main sur nos sexes réunis et il avait commencé une masturbation délicate et subtile. Je voyais bien qu’Henri avait pris beaucoup d’assurance et qu’il avait fait beaucoup de progrès au niveau sexuel ; j’en étais ravi ! Puis Henri accéléra la cadence, il faisait monter la tension dans nos verges tendues, il nous prodiguait une masturbation commune d’enfer. Puis d’un coup nous sentions que nous allions arriver à l’extase ; nos corps s’étaient raidis, nos dos s’étaient cambrés et dans un râle commun nous avions joui en même temps de longs jets qui s’étaient étalés sur nos abdominaux.
Henri avait les jambes en coton tellement il avait ressenti un immense orgasme, j’avais du retenir son corps pour qu’il ne tombe sur le sol. Puis après avoir repris nos esprits, j’avais murmuré à son oreille, « Merci Henri, je t’aime. » puis je l’avais embrassé. Henri, après notre baiser, m’avait également susurré à l’oreille « Je t’aime Phil, tu ne peux pas t’imaginer. ». Nous nous étions rincés mutuellement. Nous avions remis nos shorts et nous avions repris nos effets pour nous rhabiller dans la même cabine, bien entendu.