17-12-2020, 11:10 AM
(Modification du message : 21-12-2020, 10:12 AM par Philou0033.)
Chapitre 2. Ouvertures.
Nous nous sommes souvent retrouvés Henri et moi pour parler de chose et d’autre ; et du fait que son frère André était au courant de notre « relation » et qu’il ne dirait rien à personne. Nous nous étions épris d’une amitié que je qualifierais de particulière. Nos sujets de conversations étaient portés sur l’amitié, sur les copains et sur le sexe évidemment. Nous ne parlions jamais de filles. C’est comme si elles ne nous concernaient pas. Nous passions des heures ensemble, et quand nous étions seuls, nous échangions de petits baisers. Nous partions faire des balades à vélo, nous nous promenions dans les parcs. C’était les vacances, et nous étions souvent livrés à nous-mêmes. J’ai alors proposé à Henri d’aller à la piscine. Comme André, le frère d’Henri était lui aussi seul, Henri m’a demandé si nous pouvions inviter André à venir avec nous nager à la piscine. Pour ma part je n’y voyais aucun inconvénient. Nous avions alors pris rendez-vous pour le lendemain matin. Nous nous sommes retrouvés devant l’entrée de la piscine, Henri, son frère André et moi. Nous sommes entrés, Henri et moi, ensemble dans une cabine ; André étant lui entré dans une autre cabine, seul ! Nous nous sommes déshabillés. Nous avons mis nos slips de bain et nous sommes allés nous baigner. Tout le temps qu’a duré la séance de natation nous avons nagé à trois les uns près des autres, nous nous effleurions, nous passions nos mains discrètement sur nos corps et le plus souvent sur la bosse que faisait notre sexe dans le slip de bain ; il faut dire que André n’hésitait pas lui non plus. Nous nagions sous l’eau pour venir voir nos sexes bandés dans nos slips. Une fois cette baignade terminée, nous nous sommes douchés. Ensuite nous avons été, Henri et moi, dans la même cabine pour nous changer. Nous avons enlevé nos slips de bain. Une fois nus, nous nous sommes regardés dans les yeux et c’est moi qui ai avancé ma main vers le sexe bandé d’Henri. Henri fit de même avec moi, il me prit le sexe dans une main et nous nous sommes masturbés en regardant dans les yeux et en nous embrassant. Nous avons laissé monter en nous le désir, nous avons laissé la chaleur de nos corps nous envahir, nous nous sommes fait plaisir l’un à l’autre, nous avons joui presque en même temps. Le sperme d’Henri coulait dans la paume de ma main et mon sperme coulait entre les doigts d’Henri. Nous nous sommes essuyés dans nos mouchoirs. Nous avons encore une fois échangé un baiser fougueux.
Une fois hors de la cabine, André nous attendait à l’extérieur dans le couloir des vestiaires. André nous dit alors : Vous auriez pu être un peu plus discrets !!!
Henri et moi nous étions rouges de honte à la suite des paroles d’André.
Nous avons quitté la piscine pour nous retrouver dans le parc attenant. Là nous nous sommes assis sur un banc. Nous avons bavardé tous les trois.
André était un peu soucieux. Puis d’un coup il me regarde et me dit : Phil, tu as intérêt à ne pas faire souffrir mon petit frère Henri, sinon tu auras à faire à moi et je ne blague pas ! Je me sentais d’un coup très faible, je me serai caché sous terre. Et puis, dans un sursaut, une larme sur chaque joue, le rouge aux pommettes, regardant André dans les yeux, je lui ai répondu : Je ne te connais que depuis peu, tu me sembles avoir compris que j’aimais ton frère Henri et que lui aussi m’aimait ; je ne compte pas le faire souffrir, je te garantis que je l’aime et qu’il n’est pas question de le faire souffrir ; je l’aime trop pour ça…, et je me suis mis à pleurer.
Henri et moi nous nous sommes alors regardés. Henri s’est approché de moi et m’a donné un baiser sur la bouche. Ce seul geste voulait tout dire. André s’est alors approché de moi et m’a donné un bisou sur la joue ; geste au combien important pour moi, André prenant conscience de l’amour qui unissait son frère Henri à moi-même était déjà assez fort. Dans la foulée de la discussion, j’ai alors expliqué à Henri que je devais partir quelques jours chez un oncle et que je pouvais venir avec un copain. J’ai demandé à Henri et à André si leurs parents seraient opposés à ce qu’Henri vienne avec moi chez mon oncle. Henri m’a dit que normalement ses parents ne refuseraient pas et qu’il leurs en parlerait le soir même. André de son côté approuvait ce que son frère venait de dire. J’ai insisté pour connaître la réponse le plus tôt possible pour avertir mon oncle.
Le soir même vers 20 heures, Henri donnait un coup de téléphone. A sa voix j’ai tout de suite compris que ses parents avaient accepté qu’il puisse venir avec moi chez mon oncle. Ma mère a parlé avec celle d’Henri pour mettre les détails au point. J’étais impatient d’être en vacances chez mon oncle avec Henri.
Henri et moi nous avons été conduis chez mon oncle par ma mère. Une fois sur place mon oncle nous a montré la chambre d’ami dans laquelle nous allions dormir en compagnie d’un cousin, Stéphane, le fils d’une autre tante à ma maman. Dans la chambre il y avait trois lits d’une personne, une grande garde-robe, trois tables de nuit et deux chaises. L’après-midi a très vite passé, nous avons joué avec mes cousins dans le grand jardin. Nous étions assez fatigués après le repas du soir. Nous avons encore regardé la télévision avant d’aller nous coucher. Dans la chambre nous nous sommes mis au lit après être passé chacun à notre tour dans la salle de bain. Les trois lits étaient séparés par une table de nuit. Mon cousin Stéphane avait pris le lit près du mur, je m’étais mis dans celui du milieu et Henri était dans celui près de la fenêtre. Dans la chambre nous avons commencé à bavarder de chose et d’autre. Mon cousin Stéphane qui avait un an de moins que moi, a lancé la conversation sur le sexe. Il disait avoir reçu d’un de ses copains une revue porno. Il nous racontait de mémoire les images qu’il avait tant et tant regardé, les images qui selon lui l’avait fait bander. J’ai demandé à Stéphane s’il s’était masturbé devant les images de la revue porno. Il nous a répondu qu’effectivement il s’était plusieurs fois branlé en regardant les images de femmes nues. Stéphane nous dit alors qu’il avait « la gaule » et qu’il avait de plus en plus envie de sa branler. Il faut dire que moi aussi j’avais le sexe en érection, et que mon lit ressemblait plus à une tente de cirque, le mat central étant bandé au maximum. Moi-même n’y pouvant plus j’ai placé ma main sur mon sexe bandé et je me suis mis à faire de mouvements de va et vient. Mon cousin et Henri ne pouvaient ne pas voir que je me masturbais. Stéphane et Henri firent la même chose que moi, nous étions tous en train de nous branler sous nos draps. C’était la première fois que je me masturbais en présence de mon cousin. Après cette partie de branlette nous nous sommes endormis.
Le lendemain nous avons joué dans le jardin, nous sommes allés faire une balade dans les bois. Au soir après le repas et la soirée nous nous sommes vite retrouvés dans la chambre d’ami. Nous avions décidé de jouer au strip-poker. J’avais apporté mes dès et nous nous sommes mis à jouer. Assez vite Henri s’est retrouvé en slip. Stéphane n’avait lui non plus grand chose sur lui. Finalement Henri s’est retrouvé à poil. Nous avons alors décidé de lui donner un gage. Stéphane avait proposé qu’Henri se masturbe devant nous. Moi, de mon côté j’ai proposé qu’Henri masturbe Stéphane. Stéphane n’étais pas très chaud, il n’avait visiblement pas envie de se faire masturber. J’ai alors proposé à Henri de venir me masturber. Henri ne demandait pas mieux, il m’a ôté les derniers vêtements un à un et puis Henri et Stéphane ont pu voir que je bandais déjà, tout comme Henri qui ne pouvait plus le cacher depuis quelques minutes. Stéphane a dit que j’avais une belle queue et qu’il avait déjà eu l’occasion d’en voir dans la revue porno qu’il avait reçu. Henri a pris mon sexe en main et s’est mis à me branler. Stéphane de son côté bandait comme une bête, son sexe pointait à le verticale dans son slip où il était à l’étroit. Stéphane a finalement baissé son slip pour commencer à se branler, le spectacle que nous offrions Henri et moi, avait mis Stéphane dans tous ses états. Voyant la queue d’Henri qui n’attendait qu’à être prise par une main secourable, j’avançais la mienne et je me suis mis à masturber Henri. Stéphane ne manquait rien du spectacle, il était lui aussi aux anges. Nous avons joui presque en même temps. Nous étions épuisés tant par la journée au grand air que par cette partie de masturbation. Nous nous sommes mis au lit à poil.
Au matin, j’entendais un bruit de frôlement de tissus. Je me suis retourné et j’ai vu que mon cousin Stéphane étais en train de se branler sous ses draps. Je lui ai dit, « déjà la queue en de bonnes mains ». Stéphane est devenu tout rouge et il m’a murmuré, « j’avais la gaule en repensant au spectacle que tu m’as donné avec ton copain Henri ». Stéphane a ajouté « parfois rien que de voir des hommes nus, je bande ». Stéphane a joui en me souriant.
Durant la journée mon oncle nous a appris que deux cousins devaient arriver fin de journée. C’était deux jeunes cousins, les enfants d’un frère de maman. Mon oncle nous a demandé à Henri et à moi si ça ne nous dérangeaient pas de loger dans une tente dans le jardin. J’ai répondu à mon oncle qu’il n’y avait pas problème puisque nous étions scouts et que nous avions l’habitude de loger sous tente. Ni une ni deux, nous avons monté la tente dans le jardin à 40 mètres de la maison. C’était une tente de trois personnes. Mon oncle nous dit que les duvets seraient près le soir. Dans le courant de l’après-midi mes deux jeunes cousins sont arrivés. Ils se sont installés dans la chambre d’ami dans les lits que nous occupions Henri et moi. Le soir venu, au moment d’aller dormir, Stéphane nous a souhaité de passer une bonne nuit, je voyais qu’il avait envie de venir avec nous mais mon oncle avait insisté pour qu’il reste dans la chambre avec ses deux jeunes cousins.
Henri et moi nous nous sommes installés dans la tente. Deux duvets nous y attendaient. Nous nous sommes mis nus dans nos duvets. Nous nous sommes rapprochés, nous nous sommes regardés et puis nos visages se sont rapprochés, nos lèvres se sont rejointes, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont enfin titillées. Nous avons échangé un baiser tant désiré depuis des jours. Puis nous avons accroché les deux duvets pour ne plus en faire qu’un. Ma main s’est glissée sur le torse d’Henri, elle parcourait sa poitrine, passait sur ses bras, elle descendait vers son nombril et descendait le long des cuisses, elle remontait doucement dans l’entre jambe et s’arrêtait sous les bourses. Henri avait pris lui aussi sa main pour me caresser le corps, il me faisait bander de plus en plus fort, il s’attardait dans l’entre jambe et s’arrêtait aussi juste sous mes bourses. Puis de mon côté je me suis mis à remonter le long de son sexe bien dur. J’ai mis mes doigts à hauteur du gland et je me suis mis à caresser le gland sous la peau du prépuce, je faisais des mouvements circulaires au niveau du gland en modifiant de temps à autre la pression exercée, je sentais Henri respirer assez profondément. De son côté Henri me masturbait, il me donnait les mêmes caresses, il me masturbait de la même façon. Nous nous sommes donnés du plaisir durant une bonne demi-heure, voluptueusement, doucement en prenant le temps de vivre pleinement le moment présent, tout en volupté, en savourent et en vivant le plaisir qui montait en nous, en sentant la sève qui petit à petit voulait venir et puis ce fut l’explosion, le feu d’artifice, notre semence se répandait dans nos mains. Nous nous sommes essuyés. Après quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits, nous avons échangé un long baiser. Pris par le sommeil nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Nous nous sommes souvent retrouvés Henri et moi pour parler de chose et d’autre ; et du fait que son frère André était au courant de notre « relation » et qu’il ne dirait rien à personne. Nous nous étions épris d’une amitié que je qualifierais de particulière. Nos sujets de conversations étaient portés sur l’amitié, sur les copains et sur le sexe évidemment. Nous ne parlions jamais de filles. C’est comme si elles ne nous concernaient pas. Nous passions des heures ensemble, et quand nous étions seuls, nous échangions de petits baisers. Nous partions faire des balades à vélo, nous nous promenions dans les parcs. C’était les vacances, et nous étions souvent livrés à nous-mêmes. J’ai alors proposé à Henri d’aller à la piscine. Comme André, le frère d’Henri était lui aussi seul, Henri m’a demandé si nous pouvions inviter André à venir avec nous nager à la piscine. Pour ma part je n’y voyais aucun inconvénient. Nous avions alors pris rendez-vous pour le lendemain matin. Nous nous sommes retrouvés devant l’entrée de la piscine, Henri, son frère André et moi. Nous sommes entrés, Henri et moi, ensemble dans une cabine ; André étant lui entré dans une autre cabine, seul ! Nous nous sommes déshabillés. Nous avons mis nos slips de bain et nous sommes allés nous baigner. Tout le temps qu’a duré la séance de natation nous avons nagé à trois les uns près des autres, nous nous effleurions, nous passions nos mains discrètement sur nos corps et le plus souvent sur la bosse que faisait notre sexe dans le slip de bain ; il faut dire que André n’hésitait pas lui non plus. Nous nagions sous l’eau pour venir voir nos sexes bandés dans nos slips. Une fois cette baignade terminée, nous nous sommes douchés. Ensuite nous avons été, Henri et moi, dans la même cabine pour nous changer. Nous avons enlevé nos slips de bain. Une fois nus, nous nous sommes regardés dans les yeux et c’est moi qui ai avancé ma main vers le sexe bandé d’Henri. Henri fit de même avec moi, il me prit le sexe dans une main et nous nous sommes masturbés en regardant dans les yeux et en nous embrassant. Nous avons laissé monter en nous le désir, nous avons laissé la chaleur de nos corps nous envahir, nous nous sommes fait plaisir l’un à l’autre, nous avons joui presque en même temps. Le sperme d’Henri coulait dans la paume de ma main et mon sperme coulait entre les doigts d’Henri. Nous nous sommes essuyés dans nos mouchoirs. Nous avons encore une fois échangé un baiser fougueux.
Une fois hors de la cabine, André nous attendait à l’extérieur dans le couloir des vestiaires. André nous dit alors : Vous auriez pu être un peu plus discrets !!!
Henri et moi nous étions rouges de honte à la suite des paroles d’André.
Nous avons quitté la piscine pour nous retrouver dans le parc attenant. Là nous nous sommes assis sur un banc. Nous avons bavardé tous les trois.
André était un peu soucieux. Puis d’un coup il me regarde et me dit : Phil, tu as intérêt à ne pas faire souffrir mon petit frère Henri, sinon tu auras à faire à moi et je ne blague pas ! Je me sentais d’un coup très faible, je me serai caché sous terre. Et puis, dans un sursaut, une larme sur chaque joue, le rouge aux pommettes, regardant André dans les yeux, je lui ai répondu : Je ne te connais que depuis peu, tu me sembles avoir compris que j’aimais ton frère Henri et que lui aussi m’aimait ; je ne compte pas le faire souffrir, je te garantis que je l’aime et qu’il n’est pas question de le faire souffrir ; je l’aime trop pour ça…, et je me suis mis à pleurer.
Henri et moi nous nous sommes alors regardés. Henri s’est approché de moi et m’a donné un baiser sur la bouche. Ce seul geste voulait tout dire. André s’est alors approché de moi et m’a donné un bisou sur la joue ; geste au combien important pour moi, André prenant conscience de l’amour qui unissait son frère Henri à moi-même était déjà assez fort. Dans la foulée de la discussion, j’ai alors expliqué à Henri que je devais partir quelques jours chez un oncle et que je pouvais venir avec un copain. J’ai demandé à Henri et à André si leurs parents seraient opposés à ce qu’Henri vienne avec moi chez mon oncle. Henri m’a dit que normalement ses parents ne refuseraient pas et qu’il leurs en parlerait le soir même. André de son côté approuvait ce que son frère venait de dire. J’ai insisté pour connaître la réponse le plus tôt possible pour avertir mon oncle.
Le soir même vers 20 heures, Henri donnait un coup de téléphone. A sa voix j’ai tout de suite compris que ses parents avaient accepté qu’il puisse venir avec moi chez mon oncle. Ma mère a parlé avec celle d’Henri pour mettre les détails au point. J’étais impatient d’être en vacances chez mon oncle avec Henri.
Henri et moi nous avons été conduis chez mon oncle par ma mère. Une fois sur place mon oncle nous a montré la chambre d’ami dans laquelle nous allions dormir en compagnie d’un cousin, Stéphane, le fils d’une autre tante à ma maman. Dans la chambre il y avait trois lits d’une personne, une grande garde-robe, trois tables de nuit et deux chaises. L’après-midi a très vite passé, nous avons joué avec mes cousins dans le grand jardin. Nous étions assez fatigués après le repas du soir. Nous avons encore regardé la télévision avant d’aller nous coucher. Dans la chambre nous nous sommes mis au lit après être passé chacun à notre tour dans la salle de bain. Les trois lits étaient séparés par une table de nuit. Mon cousin Stéphane avait pris le lit près du mur, je m’étais mis dans celui du milieu et Henri était dans celui près de la fenêtre. Dans la chambre nous avons commencé à bavarder de chose et d’autre. Mon cousin Stéphane qui avait un an de moins que moi, a lancé la conversation sur le sexe. Il disait avoir reçu d’un de ses copains une revue porno. Il nous racontait de mémoire les images qu’il avait tant et tant regardé, les images qui selon lui l’avait fait bander. J’ai demandé à Stéphane s’il s’était masturbé devant les images de la revue porno. Il nous a répondu qu’effectivement il s’était plusieurs fois branlé en regardant les images de femmes nues. Stéphane nous dit alors qu’il avait « la gaule » et qu’il avait de plus en plus envie de sa branler. Il faut dire que moi aussi j’avais le sexe en érection, et que mon lit ressemblait plus à une tente de cirque, le mat central étant bandé au maximum. Moi-même n’y pouvant plus j’ai placé ma main sur mon sexe bandé et je me suis mis à faire de mouvements de va et vient. Mon cousin et Henri ne pouvaient ne pas voir que je me masturbais. Stéphane et Henri firent la même chose que moi, nous étions tous en train de nous branler sous nos draps. C’était la première fois que je me masturbais en présence de mon cousin. Après cette partie de branlette nous nous sommes endormis.
Le lendemain nous avons joué dans le jardin, nous sommes allés faire une balade dans les bois. Au soir après le repas et la soirée nous nous sommes vite retrouvés dans la chambre d’ami. Nous avions décidé de jouer au strip-poker. J’avais apporté mes dès et nous nous sommes mis à jouer. Assez vite Henri s’est retrouvé en slip. Stéphane n’avait lui non plus grand chose sur lui. Finalement Henri s’est retrouvé à poil. Nous avons alors décidé de lui donner un gage. Stéphane avait proposé qu’Henri se masturbe devant nous. Moi, de mon côté j’ai proposé qu’Henri masturbe Stéphane. Stéphane n’étais pas très chaud, il n’avait visiblement pas envie de se faire masturber. J’ai alors proposé à Henri de venir me masturber. Henri ne demandait pas mieux, il m’a ôté les derniers vêtements un à un et puis Henri et Stéphane ont pu voir que je bandais déjà, tout comme Henri qui ne pouvait plus le cacher depuis quelques minutes. Stéphane a dit que j’avais une belle queue et qu’il avait déjà eu l’occasion d’en voir dans la revue porno qu’il avait reçu. Henri a pris mon sexe en main et s’est mis à me branler. Stéphane de son côté bandait comme une bête, son sexe pointait à le verticale dans son slip où il était à l’étroit. Stéphane a finalement baissé son slip pour commencer à se branler, le spectacle que nous offrions Henri et moi, avait mis Stéphane dans tous ses états. Voyant la queue d’Henri qui n’attendait qu’à être prise par une main secourable, j’avançais la mienne et je me suis mis à masturber Henri. Stéphane ne manquait rien du spectacle, il était lui aussi aux anges. Nous avons joui presque en même temps. Nous étions épuisés tant par la journée au grand air que par cette partie de masturbation. Nous nous sommes mis au lit à poil.
Au matin, j’entendais un bruit de frôlement de tissus. Je me suis retourné et j’ai vu que mon cousin Stéphane étais en train de se branler sous ses draps. Je lui ai dit, « déjà la queue en de bonnes mains ». Stéphane est devenu tout rouge et il m’a murmuré, « j’avais la gaule en repensant au spectacle que tu m’as donné avec ton copain Henri ». Stéphane a ajouté « parfois rien que de voir des hommes nus, je bande ». Stéphane a joui en me souriant.
Durant la journée mon oncle nous a appris que deux cousins devaient arriver fin de journée. C’était deux jeunes cousins, les enfants d’un frère de maman. Mon oncle nous a demandé à Henri et à moi si ça ne nous dérangeaient pas de loger dans une tente dans le jardin. J’ai répondu à mon oncle qu’il n’y avait pas problème puisque nous étions scouts et que nous avions l’habitude de loger sous tente. Ni une ni deux, nous avons monté la tente dans le jardin à 40 mètres de la maison. C’était une tente de trois personnes. Mon oncle nous dit que les duvets seraient près le soir. Dans le courant de l’après-midi mes deux jeunes cousins sont arrivés. Ils se sont installés dans la chambre d’ami dans les lits que nous occupions Henri et moi. Le soir venu, au moment d’aller dormir, Stéphane nous a souhaité de passer une bonne nuit, je voyais qu’il avait envie de venir avec nous mais mon oncle avait insisté pour qu’il reste dans la chambre avec ses deux jeunes cousins.
Henri et moi nous nous sommes installés dans la tente. Deux duvets nous y attendaient. Nous nous sommes mis nus dans nos duvets. Nous nous sommes rapprochés, nous nous sommes regardés et puis nos visages se sont rapprochés, nos lèvres se sont rejointes, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont enfin titillées. Nous avons échangé un baiser tant désiré depuis des jours. Puis nous avons accroché les deux duvets pour ne plus en faire qu’un. Ma main s’est glissée sur le torse d’Henri, elle parcourait sa poitrine, passait sur ses bras, elle descendait vers son nombril et descendait le long des cuisses, elle remontait doucement dans l’entre jambe et s’arrêtait sous les bourses. Henri avait pris lui aussi sa main pour me caresser le corps, il me faisait bander de plus en plus fort, il s’attardait dans l’entre jambe et s’arrêtait aussi juste sous mes bourses. Puis de mon côté je me suis mis à remonter le long de son sexe bien dur. J’ai mis mes doigts à hauteur du gland et je me suis mis à caresser le gland sous la peau du prépuce, je faisais des mouvements circulaires au niveau du gland en modifiant de temps à autre la pression exercée, je sentais Henri respirer assez profondément. De son côté Henri me masturbait, il me donnait les mêmes caresses, il me masturbait de la même façon. Nous nous sommes donnés du plaisir durant une bonne demi-heure, voluptueusement, doucement en prenant le temps de vivre pleinement le moment présent, tout en volupté, en savourent et en vivant le plaisir qui montait en nous, en sentant la sève qui petit à petit voulait venir et puis ce fut l’explosion, le feu d’artifice, notre semence se répandait dans nos mains. Nous nous sommes essuyés. Après quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits, nous avons échangé un long baiser. Pris par le sommeil nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.