15-12-2020, 10:12 AM
(Modification du message : 21-12-2020, 10:12 AM par Philou0033.)
La partie « camp scout » est à présent terminée. Elle est suivie d’une autre partie dénommée « Henri ».
Je vais donc poursuivre ici le récit étant donné que les deux récits sont liés !
Encore merci d’avoir suivi la première partie et je vous souhaite une bonne lecture pour la seconde.
Je vais donc poursuivre ici le récit étant donné que les deux récits sont liés !
Encore merci d’avoir suivi la première partie et je vous souhaite une bonne lecture pour la seconde.
TOME 2.
Henri
Chapitre 1 : Confessions
A l’issue du camp scout, à la sortie de la gare, Henri m’avait demandé de lui inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. J’avais de mon côté noté ses coordonnées sur un bout de papier. Nous nous étions quittés en nous donnant une poignée de main qui nous avait paru saugrenue, nous aurions préféré nous donner un baiser ou nous quitter avec une marque d’affection plus physique que cette poignée de main faite dans le but de ne pas jeter le trouble dans nos familles respectives et pour ne pas monter notre attachement aux autres scouts de la troupe.
Dès le lendemain je suis parti avec mon frère chez mes grands-parents pour passer quelques jours à la campagne. Les premiers jours loin de chez moi et de ma ville m’ont paru interminables. J’avais toujours en pensée les moments vécus au camp avec Henri. Je ne parvenais pas faire sortir l’image de ce jeune ado de ma tête. Son sourire et son regard restaient gravés dans ma mémoire. Après une semaine chez mes grands-parents, j’allais enfin pouvoir rentrer à la maison. J’étais à la fois soulagé et inquiet. J’étais soulagé car je pouvais peut-être rencontrer Henri dans les jours qui allaient suivre et j’étais inquiet car je ne savais comment Henri allait réagir à nos retrouvailles. Je finis par me dire qu’advienne que pourra, on verrait bien ce que les jours suivants allaient nous réserver.
Une fois rentré à la maison, ma maman m’a dit qu’elle avait reçu un appel téléphonique d’un scout de ma patrouille. Je lui ai demandé qui avait appelé. Elle m’a répondu qu’il s’agissait de Marc, il demandait comment j’allais et si je m’étais reposé après le camp.
Une fois que je me suis retrouvé seul j’ai pu enfin prendre de téléphone et former le numéro d’Henri. J’ai eu son frère au téléphone. Il m’a dit qu’Henri était absent encore pour deux jours et qu’il était parti chez sa marraine.
J’ai téléphoné deux jours après chez Henri. J’ai de nouveau eu son frère. Il m’a dit : « je vais appeler Henri, patiente un peu ! ». Ayant entendu cette phrase, mon cœur s’est mit à battre plus fort, j’allais enfin pouvoir parler à Henri, entendre sa voix, j’allais pouvoir l’inviter chez moi, j’allais… « Allô, Phil c’est toi », c’était Henri qui me parlait. « Oui, c’est moi. » Henri me dit alors « comme je suis heureux de t’entendre, ça fait si longtemps. » J’étais heureux d’entendre cette phrase-là, elle me faisait à la fois plaisir et elle me confortait dans le fait qu’Henri tenait à moi, qu’il avait aussi envie de me revoir. Finalement nous nous sommes donnés rendez-vous pour le lendemain. Henri m’a dit que je pouvais venir chez lui car son frère allait partir en fin de journée chez une de ses tantes et qu’ainsi nous serions seuls chez lui, ses parents seraient au travail. J’attendais ce moment avec impatience. Je voulais déjà être le lendemain. Durant toute la nuit je me suis retourné des dizaines de fois dans mon lit.
Je me suis levé tôt, vers six heures. J’étais impatient, j’attendais notre entrevue. La matinée a passé lentement, les minutes me semblaient des heures. Enfin après le repas de midi, je suis parti. J’ai pris le bus pour me rendre chez Henri. Je me suis arrêté devant sa maison. Il s’agissait d’un immeuble à appartements. J’ai trouvé la sonnette ; « ding - dong ». Une voix, celle d’Henri m’a dit, monte c’est au premier. L’ouvre porte, les escaliers ; hop ! deux volées d’escalier ; le palier, une porte entre ouverte. Je suis sur le pas de la porte. Henri l’ouvre. Je le revois, il est heureux, il sourit, il montre ses dents blanches, il a les yeux pleins d’étincelles, il a son regard angélique. Je suis heureux, je lui souris, je deviens rouge, je sens que la chaleur m’envahit le visage. Henri me dit « entre ». J’entre dans son appartement. Il me fait faire le tour, il y a le hall, un grand living, une cuisine, deux chambres à coucher, une salle de bain et les toilettes. Henri m’offre une limonade. Nous parlons de nos séjours dans nos familles à l’issue du camp. Puis Henri me dit de venir voir sa chambre, la chambre qu’il partage avec son frère André. C’est une grande chambre avec deux lits, deux garde-robes, deux bureaux et deux bibliothèques. Henri me montre son lit, c’est celui qui est à droite de la fenêtre. Sur les murs il y a des posters, des images d’avions et de voitures de courses. A ce moment-là, nous nous sommes embrassés sur la bouche. C’était délicieux ! Nos langues se sont trouvées, elles se sont titillées, nos salives se mêlaient, nos mains se posaient sur nos corps, nous nous caressions au travers de nos vêtements. Ensuite, nous nous sommes déshabillés puis encore caressés partout. Nos mains se sont occupées de nos corps, elles se promenaient partout, elles montaient, descendaient le long de nos torses, de nos bras, de nos fesses et enfin, nous nous sommes branlés mutuellement. Nous étions couchés sur le lit d’Henri, nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes redécouverts. Et puis ce fut moi qui, le premier, proposai de faire une pipe. J’ai lâché la main qui tenait son sexe, ma bouche a parcouru son torse, elle est descendue jusqu’à son nombril, elle a poursuit jusqu’à sa hampe dressée. C’était la première fois, je n’avais jamais sucé une bitte, j’ai ouvert la bouche, ma langue s’est posée sur le dessus de son gland, j’ai sucé son gland comme on suce un sucre d’orge, j’ai mis un peu de salive sur son gland. Je voyais qu’Henri aimait ce que je lui faisais, il gémissait. Puis j’y suis allé, j’ai ouvert grand la bouche et j’ai enfourné son sexe. Je me suis mis à faire des mouvements de va et vient avec ma bouche sur son sexe. Son sexe grossissait encore, Henri respirait de plus en plus fort, je sentais qu’il allait venir, d’un geste il m’a tiré les cheveux pour se dégager, pour qu’il puisse retirer son sexe de ma bouche. Henri s’est cabré, il a ensuite éjaculé sur mon visage et dans mes cheveux. C’était la première fois que je faisais une pipe à un garçon, je n’étais pas déçu, c’était une chose que je rêvais de faire, mais que je n’avais pas osé faire au camp, pourtant ce n’est pas l’envie que me manquait. Il faut dire aussi que je n’avais pas envie d’être pris pour une « tapette » par les autres scouts. Nos jeux de branlettes et de baisers pouvaient être considérés comme des choses de la vie faites entre garçons et qui n’avaient pas de lendemain. J’étais cependant heureux d’avoir connu ça avec Henri. Henri m’a regardé et m’a dit qu’il n’était pas encore prêt à me faire la même chose. Il s’est alors occupé de moi, il m’a masturbé d’une divine façon. Il avait fait d’énormes progrès et il avait la manière de s’y prendre voluptueusement. Il m’a fait monter au ciel, j’ai déchargé comme je n’avais jamais déchargé auparavant, Henri avait mis deux doigts dans mon anus et il m’avait titillé la prostate, ça m’avait procuré un orgasme super génial. J’ai déchargé six à sept jets à plus d’un mètre de distance, il y en avait partout sur le lit d’Henri. Nous nous sommes encore embrassés et nous sommes restés coucher l’un à côté de l’autre durant un bon moment. Nous avons ensuite gagné la salle de bain pour y prendre une douche ensemble. Nous nous sommes lavés mutuellement le dos et bien évidement tout le corps. Une fois séchés nous nous sommes ensuite rhabillés. Je suis alors rentré chez moi, non sans regret ! J’aurai tant aimé rester encore avec Henri. Nous avions convenu de nous revoir le lendemain chez moi.
Henri est donc resté seul chez lui, son frère André devait rentrer dans les minutes qui suivaient. Henri avait allumé la télévision et commençait à regarder un film lorsque son frère André est rentré. Henri embrassa son frère sur la joue, comme ils avaient l’habitude de la faire. André était l’aîné, il avait 17 ans, presque 18, 1m78 pour 74 kg, cheveux bruns et un visage ou apparaissaient quelques poils au menton ainsi qu’une toute fine moustache qui apparaissait sur le dessus de la lèvre supérieure. André se rendit dans la chambre qu’il partageait avec Henri. En entrant il vit le lit défait de son frère et senti alors une odeur si particulière de foutre qui emplissait encore la pièce. Il appela alors Henri en lui demandant de venir dans la chambre. Henri entra et vit directement qu’il avait oublié de refaire son lit (où les taches de sperme étaient encore visibles) et surtout d’aérer la chambre.
André lança alors Tu ne t’emmerdes pas mon cochon.
Henri devint alors rouge pivoine.
Henri : Désolé André lança-t-il !
André : Je vois que tu ne t’es pas embêté, je dirais même vous ne vous êtes pas embêtés toi et ton copain. C’est lui que j’ai vu quitter l’immeuble il y a deux minutes ?
Henri, toujours aussi rouge : Oui.
André : C’est le scout qui était avec toi au camp et avec lequel tu t’es lié d’amitié.
Henri : Oui André, c’est bien lui, c’est comme je t’ai dit, c’est Phil.
André : C’est avec lui que tu as découvert la branlette mutuelle alors !
Henri : Oui, c’est bien Phil …Tu ne diras rien aux parents !
André : Bien sûr que non, petit con !
Henri : Bien oui, on s’est branlé Phil et moi, et en plus Phil m’a taillé une pipe ; j’ai adoré !
André : Mais mon petit frère a viré homo comme je vois. Henri, pour moi ça n’a pas d’importance, je t’aime comme tu es, tu es mon frère et tu le resteras toujours.
Henri : Dit André, tu ne dis rien à personne !
André : T’inquiètes pas petit frère, viens faire un gros câlin avec ton grand frère.
André et Henri se sont alors étreints ; Henri laissant quelques larmes couler sur ses joues ; larmes qu’André s’empressait d’essuyer avec ses mains.
Henri avait donc parlé à son frère André de ce qu’il avait vécu lors du dernier camp scout. Il lui avait raconté l’épisode de l’averse, le hike, la BA avec la piscine chez Alexandre, les masturbations mutuelles sous la tente, les toilettes dans la rivière, des nuits passées nus dans les sacs de couchage, etc.
André adore son petit frère Henri, et il est certain qu’il ne dira rien aux parents.
Depuis quelques mois les deux frères, alors qu’ils se trouvaient dans leur chambre, se masturbaient ensemble en même temps, chacun sur son lit. Ils prenaient souvent leur douche ensemble et se voyaient régulièrement à poil. Bref ils s’entendaient très bien.
Henri est arrivé vers 14h00. Il avait un short beige assez moulant, un polo bleu et il portait des sandales ouvertes en cuir brun. Il avait toujours son sourire angélique. Je lui ai fait faire le tour de la maison. Je lui ai montré ma chambre. J’avais ma chambre à moi tout seul, mon frère Jean avait la sienne et ma sœur Anne elle aussi. Henri s’est mis sur mon lit. Il me regardait d’un air malicieux. Je ne savais pas ce qu’il voulait, mais j’allais le découvrir assez vite. Je me suis mis à ses côtés. Henri m’a alors déshabillé, je me suis laissé faire. Il m’a ôté mon polo, mon short. J’étais en slip. Je me suis mis de côté à déshabiller Henri, hop le polo, ensuite le short. Henri était aussi en slip. En fait de slip on aurait dit la tente d’un cirque avec le mat central qui pointait vers le ciel. Moi de mon côté c’était la même chose. Henri a enlevé mon slip et j’ai fait de même avec lui. Henri s’est mis à me couvrir de baiser, il me donnait des baisers sur tout le corps. Je faisais de même avec lui. Puis Henri, en me regardant dans les yeux a descendu sa tête vers mon ventre, ensuite vers l’entre jambe. Il est ensuite remonté vers mon sexe qui n’attendait que ça. Il a ouvert la bouche et il s’est mis à lécher mon sexe. Sa langue parcourait mon sexe dressé, elle titillait mon gland en partie décalotté. Puis il enfonça mon sexe dans sa bouche jusqu’à la garde. Il se mit à faire de mouvement de va et vient le long de ma hampe. On me tortillant, je me suis mis de façon à pouvoir être tête bêche et ainsi en vue de savourer avec Henri un bon 69. J’ai de mon côté pris son sexe dans ma bouche. Henri calquait ses mouvements sur les miens, nous varions la pressions de nos lèvres au niveau de nos glands, nous alternions aussi avec des mouvements de la main, ma salive coulait le long du sexe d’Henri, elle se logeait dans ses poils pubiens, je pouvais sentir ses boules près de mon nez, sentir cette odeur de sexe assez particulière. Henri de son côté s’y prenait de mieux en mieux, il s’appliquait à me sucer et à me donner du plaisir. Nous avions chaud, nous commencions à transpirer. Nous sentions la chaleur monter en nous. Je ralentissais mes mouvements pour que cela dure le plus longtemps possible, Henri faisait de même pour ne pas me faire jouir trop vite. Puis nous sentions que nous allions venir, mais je ne voulais pas faire comme la veille, je voulais goûter à se sève, et je n’ai pas bougé quand Henri à déchargé, j’ai reçu toute sa sève dans le fond de la gorge, j’ai avalé une partie, ça avait un goût suave, à la fois amer et sucré. Henri lui avait fait de même il avait avalé une partie de mon sperme. Nous nous sommes regardés et nous avons échangé un baiser en mélangeant nos salives et nos spermes. C’était notre première pipe partagée. Henri m’a dit au creux de l’oreille «je t’aime ». Moi je lui ai répondu aussi «je t’aime ». Nous nous sommes une nouvelle fois embrassés. Nous sommes restés coller l’un à l’autre pendant une bonne heure. Nous avons savouré ce moment vécu.
Henri me raconta alors ce qui c’était passé lorsque son frère André était rentré la veille. Henri ajouta tout de suite qu’André ne dirait jamais rien à qui que ce soit. J’ai alors su que le garçon que j’avais croisé à la sortie de l’immeuble était André, le grand frère d’Henri.
Je savais que j’aimais Henri et que de son côté Henri m’aimait aussi. Je n’avais plus de doute, j’étais « homo ».
Durant la fin des vacances nous nous sommes revus presque tous les jours. Nous nous donnions l’un à l’autre. On a dû tout apprendre mais, comme on se disait tout, on sut très vite ce que l’autre aimait ou pas.
On a tout découvert ensemble mais jamais, en ce temps-là, nous ne nous sommes sodomisés ; on avait trop peur de la douleur.