10-12-2020, 12:21 PM
De découvertes en découvertes. (suite)
Ah ! Enfin fini ! Il était presque 16h00. Alexandre était venu nous trouver pour nous dire que nous pouvions aller à la piscine. Il nous a dit aussi de ne pas nous inquiéter, que nous pouvions profiter de la piscine et de la terrasse pour nous reposer. Alexandre nous dit aussi qu’il serait heureux de pouvoir jouer avec nous dans l’eau. Nous avons accepté avec joie.
Nous arrivons à la piscine. C’était une piscine qui devait avoir environ 12 mètres sur 6 mètres. La grande profondeur avait plus ou moins 2 mètres. Alexandre nous montre alors un chalet jouxtant la terrasse. Il nous dit de nous déshabiller là. Nous lui avons dit ne pas avoir de maillots de bain avec nous. Ce qui ne nous dérangeait pas du tout entre nous. Il nous répondit : « ça n’est rien, nous nageons souvent nu en famille ». Il ajoute alors : « vous pouvez faire de même, il n’y a pas de problème ».
Hop, en trente secondes nous voilà tous les huit à poil. Alexandre n’était pas gêné pour un sou. On voyait qu’il avait l’habitude d’être nu car il avait un corps bien bronzé et on ne voyait pas de marque de maillot, il était sûrement naturiste. Il avait une queue assez fine mais longue, environ 12 centimètres. Il avait une toison d’un noir intense au niveau du pubis. On voyait ses pectoraux bien dessinés, il avait la cage thoracique en forme de « V » comme les grands sportifs. Il avait de superbes fesses bien galbées. Alors, bronzé comme il était il avait tout d’un bel adonis.
Nous voilà donc à l’eau. Nous nous éclaboussions, nous riions ensemble, nous étions heureux de pouvoir nous délasser ainsi dans un endroit calme et à l’abri des regards. Dans l’eau nous nous frôlions, nous nous caressions, il y avait des mains qui traînaient et qui se posaient sur nos sexes. Je sais qu’à un moment Alexandre faisait la même chose que nous, il participait lui aussi à nos jeux sensuels, à nous jeux sexuels. Il m’avait aussi mis la main au panier. Je me suis dit : « toi mon ami, tu es comme nous aussi, tu aimes le sexe, tu aimes sûrement le sexe entre garçons ».
Après 20 minutes de jeu, nous avons décidé de nous étendre au soleil, sur la terrasse. Nous voulions profiter du soleil, du calme du parc, bref nous détendre avant de retourner au campement. Des grands matelas étaient disposés en demi-cercle. Il y en avait quatre. Henri et moi nous avons pris place sur le premier, Jean et Marc en firent autant, suivis de Roland et Philippe. Alexandre invita Jean-Luc sur le dernier matelas, matelas situé à côté du mien. Au bout de quelques minutes on voyait que Jean-Luc et Roland bandaient, ils avaient le sexe dressé vers le ciel. On s’est tous mis à rire, même Alexandre. Dans les minutes qui ont suivis, nous étions tous les huit avec le sexe bandé, en train de rire. Je ne me souviens plus, je ne sais plus qui a commencé, mais nous avions chacun une main sur notre queue et nous faisions des mouvements de va et vient. Alexandre n’était pas en reste, il s’astiquait avec raffinement, il prenait son temps. Henri me demanda alors s’il pouvait me branler, sans attendre ma réponse il posa sa main sur celle qui tenait mon sexe, il l’a retirée et commença à me masturber. Alexandre qui était près de nous pris un air amusé. Il ne perdait rien de la scène qui se déroulait sous les yeux. Sans rien demander à Jean-Luc, il vient lui prendre le sexe de la main pour le masturber à son tour. Il semblait bien s’y prendre lui aussi. Nous étions tous les huit occupés à nous branler mutuellement, deux par deux. Après un moment Alexandre nous dit que ça serait bien de changer. Je me suis levé pour rejoindre Alexandre. Je croix que c’est ça qu’il voulait, il n’avait pas arrêté de me regarder quand je m’occupais d’Henri. Henri était rejoint par Roland, je savais que Roland avait lui aussi envie de mieux connaître Henri. Marc allait rejoindre Philippe, tandis que Jean-Luc rejoignait Jean, notre CP. Nous avons poursuivi nos masturbations mutuelles. C’est Jean qui éjacula le premier, suivi d’Henri. Moi de mon côté j’étais heureux d’être avec Alexandre, je le découvrais, il était doux, câlin même. Il avait ce côté d’adonis qui me plaisait. De plus, il savait y faire, je pouvais me rendre compte que je n’étais pas le premier garçon qu’il masturbait. Il tenait mon sexe en main avec une grande délicatesse. Il me masturbait délicatement, dévoilant mon gland à chaque mouvement descendant et le recourant à chaque mouvement montant. Il me caressait les boules, il passait aussi sa main sur le galbe de mes fesses. Moi de mon côté je n’étais en reste, je lui rendais ses caresses, le m’attardais aussi à ses fesses, elles étaient parfaites, bien galbées, douces au toucher. Alexandre avait aussi l’haleine fraîche et je rapprochais ma bouche de la sienne pour voir sa réaction. Nos bouches étaient tout près l’une de l’autre. Alexandre posa ses lèvres sur les miennes, j’ai ouvert ma bouche, j’ai passé la langue et j’ai forcé le passage pour l’introduire dans la bouche d’Alexandre. Il n’a pas résisté longtemps. De son côté il fit de même, il mit sa langue dans ma bouche pour venir titiller ma langue. Nous avons échangé un long baiser. Nous avons continué à nous branler avec intensité, je sentais que j’allais venir, j’avais le souffle de plus en plus court. Alexandre de son côté respirait de plus en plus fort. Nous avons émis chacun des râles de bonheur. Nous nous sommes cabrés, nous avons jouis presque en même temps. Son sperme s’est écrasé sur ma main, le mien en partie sur le ventre et sur sa main. Nous avons alors échangé à nouveau un long baiser mouillé, nos salives se mêlaient. Les autres avaient eux aussi jouis. Ils étaient heureux de ce qui venait de se passer.
Après les galipettes, nous avons plongé à nouveau une tête dans la piscine avant de nous essuyer et de nous rhabiller.
Au moment de partir, j’ai bien vu qu’Alexandre était un peu triste. Il semblait regretter notre départ. Il aurait voulu que nous restions encore un peu, mais le repas nous attendait au camp. Nous avons repris le chemin du retour, heureux d’avoir vécu ce moment de repos et de bonheur inattendu.
Au soir, après le feu de camp nous avons rejoint notre tente pour y passer la nuit. Nous avons parlé entre nous de ce que nous avions vécu durant la fin de journée. J’avais encore à l’esprit le visage d’Alexandre, j’avais encore en souvenir son odeur, le goût de sa salive, l’image de son pénis qui se laissait caresser par ma main. Bref je me suis endormi avec ses pensées sensuelles, avec le visage d’Alexandre en mémoire.
Au réveil les gars de la patrouille étaient encore tout heureux d’avoir passé une très bonne journée « BA ». Nous en parlions comme si nous avions vécu un rêve, comme si ça n’avait pas été réel. Bref nous conservions chacun un très bon souvenir de cette journée. Certains semblaient dire que c’était la meilleure journée du camp. Pour moi, je savais que c’était le meilleur camp auquel j’ai participé. J’avais vécu tellement de moments de grandes intensités que ce camp resterait déjà pour moi un souvenir impérissable.
Aujourd’hui c’est la journée olympiade. C’est le jour où les patrouilles peuvent se mesurer et voir laquelle est la plus forte en sport. Nous avons participé à dix épreuves. Pour commencer nous avons couru le 100 mètres, puis le saut en hauteur, le lancer du poids, le parcours d’obstacles, le saut en longueur, la course du tronc (il s’agit d’une course relais dans laquelle il faut porter un tronc d’arbre de 2 mètres de long sur une distance de 15 mètres et le remettre à son coéquipier qui à son tour parcours les 15 mètres et ainsi de suite jusqu’au moment où les six membres de la patrouille sont passés deux fois), le ramping, la natation, la traction à la corde et pour conclure le cross sur environ six kilomètres. A l’issue de cette journée nous étions très contents d’être second à trois points seulement de la première patrouille. Les gars de la patrouille se sont très bien comportés et nous n’avons pas à rougir de notre seconde place. Bien sûr nous aurions pu être premiers, mais en fin de compte, ce n’était qu’un jeu.
Après le cross, nous sommes allés nous laver à la rivière. Nous avons été retrouver notre petit coin à l’abri des regards, dans la courbe que fait la rivière à proximité du camp. Sans aucune pudeur nous nous sommes déshabillés, nous étions à nouveau six, nus et content d’être entre nous. Nous avions pris l’habitude d’être nus et de nous voir ainsi l’un l’autre. Nous étions tous des ados qui vivions ensemble une belle aventure. C’était devenu également une habitude de nous laver l’un l’autre. Henri me lavait et ensuite c’est moi qui lavais Henri. Marc et Philippe faisaient de même, ainsi que Jean et Roland. Nous étions tous en érection, et c’était aussi le moment des caresses et des baisers. Henri était face à moi et prit l’initiative. Il avait posé sa main sur mon sexe déjà à la verticale et il me masturbait voluptueusement avec une main tandis que l’autre main caressait mes fesses. Il avait fait de réels progrès, il avait compris comment donner du plaisir à un garçon, comment se faire désirer aussi. Il avait toujours son air angélique et ses yeux pétillants, il semblait vivre intensément chaque moment, chaque instant. Les mouvements de va et vient le long de mon pénis tendu se faisaient parfois lents, parfois rapides, la pression exercée par la main était changeante, cela procurait un plaisir un peu plus subtil. Je me suis approché de son visage, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, doucement. Henri a voulu ouvrir la bouche pour inviter ma langue à aller titiller la sienne, mais je ma suis reculé, j’ai reculé mes lèvres. Il m’a regardé, il avait l’air de se demander pourquoi je ne le laissais pas faire. Il me regardait intensément avec une lueur particulière dans les yeux. Après un petit moment, j’ai reposé mes lèvres sur les siennes doucement, je lui ai donné une série de petits baisers sur les lèvres et petit à petit les baisers se faisaient de plus en plus fougueux. J’y allais crescendo, puis nous avons ouvert nos bouches et nos langues se sont trouvées. Elles se roulaient et se déroulaient dans nos bouches, elles se cherchaient, elles s’écartaient pour revenir ensuite. Je retrouvais cette lueur d’extase dans les yeux d’Henri, cette lueur candide que j’étais habitué à voir dans ses yeux. Nos salives se mêlaient, nos sexes étaient de plus en plus gros. Henri continuait à me masturber, moi je me suis mis à caresser son pénis doucement, lentement, avec des mouvements de va et vient très subtils, décalottant doucement à chaque passage le gland violet d’Henri. Henri de son côté s’appliquait pour me faire plaisir. Effectivement ses caresses me procuraient beaucoup de plaisir, je sentais la sève monter en moi, je savais que j’allais bientôt arriver à l’éjaculation. J’ai demandé à Henri d’y aller plus doucement, de ne pas y aller trop vite et de me faire durer encore un peu de temps. De mon côte je m’appliquais à donner de plaisir à Henri, je sentais à sa respiration que le plaisir montait aussi chez lui, je sentais que lui aussi n’étais pas loin d’arriver à l’éjaculation. Je sentais que nous allions bientôt jouir ensemble, je me suis rapproché de lui, je me suis collé à lui, nos sexes se sont rejoints, ils étaient collés l’un à l’autre et nos deux mains se sont unies pour masturber nos deux sexes réunis. Nous avions pris le même rythme, nous exercions la même pression, nous étions à l’unisson, nous vivions intensément ce moment, nous étions au bord de l’extase, nous sentions ce que l’autre ressentait aussi au même moment, à la même seconde. Nos deux corps se sont raidis et ensuite ils ont été pris de spasmes, nous nous sommes laissés aller et nous avons enfin joui ensemble, nos spermes se sont libérés en jets qui sont retombés sur nos doigts et nos mains. Nous avons encore échangé un long baiser avant de nous relaver mutuellement.
Ah ! Enfin fini ! Il était presque 16h00. Alexandre était venu nous trouver pour nous dire que nous pouvions aller à la piscine. Il nous a dit aussi de ne pas nous inquiéter, que nous pouvions profiter de la piscine et de la terrasse pour nous reposer. Alexandre nous dit aussi qu’il serait heureux de pouvoir jouer avec nous dans l’eau. Nous avons accepté avec joie.
Nous arrivons à la piscine. C’était une piscine qui devait avoir environ 12 mètres sur 6 mètres. La grande profondeur avait plus ou moins 2 mètres. Alexandre nous montre alors un chalet jouxtant la terrasse. Il nous dit de nous déshabiller là. Nous lui avons dit ne pas avoir de maillots de bain avec nous. Ce qui ne nous dérangeait pas du tout entre nous. Il nous répondit : « ça n’est rien, nous nageons souvent nu en famille ». Il ajoute alors : « vous pouvez faire de même, il n’y a pas de problème ».
Hop, en trente secondes nous voilà tous les huit à poil. Alexandre n’était pas gêné pour un sou. On voyait qu’il avait l’habitude d’être nu car il avait un corps bien bronzé et on ne voyait pas de marque de maillot, il était sûrement naturiste. Il avait une queue assez fine mais longue, environ 12 centimètres. Il avait une toison d’un noir intense au niveau du pubis. On voyait ses pectoraux bien dessinés, il avait la cage thoracique en forme de « V » comme les grands sportifs. Il avait de superbes fesses bien galbées. Alors, bronzé comme il était il avait tout d’un bel adonis.
Nous voilà donc à l’eau. Nous nous éclaboussions, nous riions ensemble, nous étions heureux de pouvoir nous délasser ainsi dans un endroit calme et à l’abri des regards. Dans l’eau nous nous frôlions, nous nous caressions, il y avait des mains qui traînaient et qui se posaient sur nos sexes. Je sais qu’à un moment Alexandre faisait la même chose que nous, il participait lui aussi à nos jeux sensuels, à nous jeux sexuels. Il m’avait aussi mis la main au panier. Je me suis dit : « toi mon ami, tu es comme nous aussi, tu aimes le sexe, tu aimes sûrement le sexe entre garçons ».
Après 20 minutes de jeu, nous avons décidé de nous étendre au soleil, sur la terrasse. Nous voulions profiter du soleil, du calme du parc, bref nous détendre avant de retourner au campement. Des grands matelas étaient disposés en demi-cercle. Il y en avait quatre. Henri et moi nous avons pris place sur le premier, Jean et Marc en firent autant, suivis de Roland et Philippe. Alexandre invita Jean-Luc sur le dernier matelas, matelas situé à côté du mien. Au bout de quelques minutes on voyait que Jean-Luc et Roland bandaient, ils avaient le sexe dressé vers le ciel. On s’est tous mis à rire, même Alexandre. Dans les minutes qui ont suivis, nous étions tous les huit avec le sexe bandé, en train de rire. Je ne me souviens plus, je ne sais plus qui a commencé, mais nous avions chacun une main sur notre queue et nous faisions des mouvements de va et vient. Alexandre n’était pas en reste, il s’astiquait avec raffinement, il prenait son temps. Henri me demanda alors s’il pouvait me branler, sans attendre ma réponse il posa sa main sur celle qui tenait mon sexe, il l’a retirée et commença à me masturber. Alexandre qui était près de nous pris un air amusé. Il ne perdait rien de la scène qui se déroulait sous les yeux. Sans rien demander à Jean-Luc, il vient lui prendre le sexe de la main pour le masturber à son tour. Il semblait bien s’y prendre lui aussi. Nous étions tous les huit occupés à nous branler mutuellement, deux par deux. Après un moment Alexandre nous dit que ça serait bien de changer. Je me suis levé pour rejoindre Alexandre. Je croix que c’est ça qu’il voulait, il n’avait pas arrêté de me regarder quand je m’occupais d’Henri. Henri était rejoint par Roland, je savais que Roland avait lui aussi envie de mieux connaître Henri. Marc allait rejoindre Philippe, tandis que Jean-Luc rejoignait Jean, notre CP. Nous avons poursuivi nos masturbations mutuelles. C’est Jean qui éjacula le premier, suivi d’Henri. Moi de mon côté j’étais heureux d’être avec Alexandre, je le découvrais, il était doux, câlin même. Il avait ce côté d’adonis qui me plaisait. De plus, il savait y faire, je pouvais me rendre compte que je n’étais pas le premier garçon qu’il masturbait. Il tenait mon sexe en main avec une grande délicatesse. Il me masturbait délicatement, dévoilant mon gland à chaque mouvement descendant et le recourant à chaque mouvement montant. Il me caressait les boules, il passait aussi sa main sur le galbe de mes fesses. Moi de mon côté je n’étais en reste, je lui rendais ses caresses, le m’attardais aussi à ses fesses, elles étaient parfaites, bien galbées, douces au toucher. Alexandre avait aussi l’haleine fraîche et je rapprochais ma bouche de la sienne pour voir sa réaction. Nos bouches étaient tout près l’une de l’autre. Alexandre posa ses lèvres sur les miennes, j’ai ouvert ma bouche, j’ai passé la langue et j’ai forcé le passage pour l’introduire dans la bouche d’Alexandre. Il n’a pas résisté longtemps. De son côté il fit de même, il mit sa langue dans ma bouche pour venir titiller ma langue. Nous avons échangé un long baiser. Nous avons continué à nous branler avec intensité, je sentais que j’allais venir, j’avais le souffle de plus en plus court. Alexandre de son côté respirait de plus en plus fort. Nous avons émis chacun des râles de bonheur. Nous nous sommes cabrés, nous avons jouis presque en même temps. Son sperme s’est écrasé sur ma main, le mien en partie sur le ventre et sur sa main. Nous avons alors échangé à nouveau un long baiser mouillé, nos salives se mêlaient. Les autres avaient eux aussi jouis. Ils étaient heureux de ce qui venait de se passer.
Après les galipettes, nous avons plongé à nouveau une tête dans la piscine avant de nous essuyer et de nous rhabiller.
Au moment de partir, j’ai bien vu qu’Alexandre était un peu triste. Il semblait regretter notre départ. Il aurait voulu que nous restions encore un peu, mais le repas nous attendait au camp. Nous avons repris le chemin du retour, heureux d’avoir vécu ce moment de repos et de bonheur inattendu.
Au soir, après le feu de camp nous avons rejoint notre tente pour y passer la nuit. Nous avons parlé entre nous de ce que nous avions vécu durant la fin de journée. J’avais encore à l’esprit le visage d’Alexandre, j’avais encore en souvenir son odeur, le goût de sa salive, l’image de son pénis qui se laissait caresser par ma main. Bref je me suis endormi avec ses pensées sensuelles, avec le visage d’Alexandre en mémoire.
Au réveil les gars de la patrouille étaient encore tout heureux d’avoir passé une très bonne journée « BA ». Nous en parlions comme si nous avions vécu un rêve, comme si ça n’avait pas été réel. Bref nous conservions chacun un très bon souvenir de cette journée. Certains semblaient dire que c’était la meilleure journée du camp. Pour moi, je savais que c’était le meilleur camp auquel j’ai participé. J’avais vécu tellement de moments de grandes intensités que ce camp resterait déjà pour moi un souvenir impérissable.
Aujourd’hui c’est la journée olympiade. C’est le jour où les patrouilles peuvent se mesurer et voir laquelle est la plus forte en sport. Nous avons participé à dix épreuves. Pour commencer nous avons couru le 100 mètres, puis le saut en hauteur, le lancer du poids, le parcours d’obstacles, le saut en longueur, la course du tronc (il s’agit d’une course relais dans laquelle il faut porter un tronc d’arbre de 2 mètres de long sur une distance de 15 mètres et le remettre à son coéquipier qui à son tour parcours les 15 mètres et ainsi de suite jusqu’au moment où les six membres de la patrouille sont passés deux fois), le ramping, la natation, la traction à la corde et pour conclure le cross sur environ six kilomètres. A l’issue de cette journée nous étions très contents d’être second à trois points seulement de la première patrouille. Les gars de la patrouille se sont très bien comportés et nous n’avons pas à rougir de notre seconde place. Bien sûr nous aurions pu être premiers, mais en fin de compte, ce n’était qu’un jeu.
Après le cross, nous sommes allés nous laver à la rivière. Nous avons été retrouver notre petit coin à l’abri des regards, dans la courbe que fait la rivière à proximité du camp. Sans aucune pudeur nous nous sommes déshabillés, nous étions à nouveau six, nus et content d’être entre nous. Nous avions pris l’habitude d’être nus et de nous voir ainsi l’un l’autre. Nous étions tous des ados qui vivions ensemble une belle aventure. C’était devenu également une habitude de nous laver l’un l’autre. Henri me lavait et ensuite c’est moi qui lavais Henri. Marc et Philippe faisaient de même, ainsi que Jean et Roland. Nous étions tous en érection, et c’était aussi le moment des caresses et des baisers. Henri était face à moi et prit l’initiative. Il avait posé sa main sur mon sexe déjà à la verticale et il me masturbait voluptueusement avec une main tandis que l’autre main caressait mes fesses. Il avait fait de réels progrès, il avait compris comment donner du plaisir à un garçon, comment se faire désirer aussi. Il avait toujours son air angélique et ses yeux pétillants, il semblait vivre intensément chaque moment, chaque instant. Les mouvements de va et vient le long de mon pénis tendu se faisaient parfois lents, parfois rapides, la pression exercée par la main était changeante, cela procurait un plaisir un peu plus subtil. Je me suis approché de son visage, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, doucement. Henri a voulu ouvrir la bouche pour inviter ma langue à aller titiller la sienne, mais je ma suis reculé, j’ai reculé mes lèvres. Il m’a regardé, il avait l’air de se demander pourquoi je ne le laissais pas faire. Il me regardait intensément avec une lueur particulière dans les yeux. Après un petit moment, j’ai reposé mes lèvres sur les siennes doucement, je lui ai donné une série de petits baisers sur les lèvres et petit à petit les baisers se faisaient de plus en plus fougueux. J’y allais crescendo, puis nous avons ouvert nos bouches et nos langues se sont trouvées. Elles se roulaient et se déroulaient dans nos bouches, elles se cherchaient, elles s’écartaient pour revenir ensuite. Je retrouvais cette lueur d’extase dans les yeux d’Henri, cette lueur candide que j’étais habitué à voir dans ses yeux. Nos salives se mêlaient, nos sexes étaient de plus en plus gros. Henri continuait à me masturber, moi je me suis mis à caresser son pénis doucement, lentement, avec des mouvements de va et vient très subtils, décalottant doucement à chaque passage le gland violet d’Henri. Henri de son côté s’appliquait pour me faire plaisir. Effectivement ses caresses me procuraient beaucoup de plaisir, je sentais la sève monter en moi, je savais que j’allais bientôt arriver à l’éjaculation. J’ai demandé à Henri d’y aller plus doucement, de ne pas y aller trop vite et de me faire durer encore un peu de temps. De mon côte je m’appliquais à donner de plaisir à Henri, je sentais à sa respiration que le plaisir montait aussi chez lui, je sentais que lui aussi n’étais pas loin d’arriver à l’éjaculation. Je sentais que nous allions bientôt jouir ensemble, je me suis rapproché de lui, je me suis collé à lui, nos sexes se sont rejoints, ils étaient collés l’un à l’autre et nos deux mains se sont unies pour masturber nos deux sexes réunis. Nous avions pris le même rythme, nous exercions la même pression, nous étions à l’unisson, nous vivions intensément ce moment, nous étions au bord de l’extase, nous sentions ce que l’autre ressentait aussi au même moment, à la même seconde. Nos deux corps se sont raidis et ensuite ils ont été pris de spasmes, nous nous sommes laissés aller et nous avons enfin joui ensemble, nos spermes se sont libérés en jets qui sont retombés sur nos doigts et nos mains. Nous avons encore échangé un long baiser avant de nous relaver mutuellement.