08-12-2020, 09:43 AM
Chapitre 2.
De découvertes en découvertes.
Le camp se poursuivait et j’appréciais de plus en plus Henri. Il me semble que je tombais amoureux de lui. Amoureux, si jeune ? Comment est-ce possible ? Je me posais milles questions. Etais-je « homo » ? Pourquoi étais-je amoureux d’un garçon ? Je me suis dit qu’il valait mieux attendre et que le temps ferait son œuvre ; et, advienne que pourra.
Nous passions de bons moments ensemble. Nous avions souvent l’occasion de nous retrouver seuls. Nous nous regardions dans les yeux. Nous buvions les paroles de l’autre, nous nous sentions bien ensemble. Il suffisait de nous regarder pour nous comprendre.
Nous participions avec la troupe tout entière à un jeu de 24 heures. Il s’agissait en somme d’un grand jeu de stratégo, où il fallait défendre son camp contre les attaques des ennemis. A l’issue du jeu nous étions très fatigués et nous nous sommes tous couchés dans nos sac de couchage.
Au lever du jour, ou plutôt vers l’heure de midi, nous nous sommes levés. Pour nous réveiller les animateurs avaient décidé qu’il fallait que nous prenions un bon bain dans la rivière. Pour notre patrouille, nous avions décidé de nous baigner dans une petite courbe de la rivière à plus ou moins cinq cents mètres du camp, dans un endroit discret. Nous nous sommes déshabillés et nous étions tous les six nus, dans la rivière à nous éclabousser. D’immenses éclats de rire fusaient. Nous avions maintenant l’habitude de nous voir nus. Une fois les jeux d’eau terminé nous nous sommes lavés. Henri était bien entendu près de moi. Il avait avec lui un savon qui sentait bon la lavande. Je lui ai demandé s’il voulait bien me le prêter.
Il m’a répondu : « Veux-tu que je te lave le dos ? »
Je lui ai dit : « Si tu veux, ça me ferait plaisir ».
Henri s’est mis à me laver le dos à mains nues. Il faisait passer ses mains sur mes épaules, sur mon dos, sur mes bras, dans mon cou. J’aimais ses caresses, j’aimais sentir ses mains parcourir mon corps. Je ne restais pas insensible à ses caresses. Mon sexe se mit à se dresser, il pointait vers le ciel, mais je restais le dos tourné à Henri. C’est Jean qui a remarqué le premier mon émoi. Il s’est mis à rire en disant, « Voilà Phil qui est dans tous ses états, il bande ». A ses mots, Henri passa ses mains sur le devant de mon corps et elles se placèrent sur mon pénis tendu. Dès que je senti ses mains, mon sexe se mit à se gonfler au maximum. Henri se mit à faire des mouvements de va et vient sur ma hampe dressée vers le ciel. Je me suis retourné vers lui et je vis que le sexe d’Henri était lui aussi dressé et qu’il ne demandait qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Je me suis mis à prodiguer à Henri les mêmes caresses, les mêmes mouvements de va et vient. Nous étions au milieu de la rivière, de l’eau jusqu’à mis cuisses occupés à nous donner du plaisir. J’approchais mon visage de celui d’Henri. Mes lèvres allèrent à la rencontre des siennes. Nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont mélangées. Cette sensation nous fit bander de plus belle. D’une main je branlais le sexe d’Henri et de l’autre je lui caressais les couilles. Il se mit à faire de même avec moi. Je sentais la sève monter en moi, j’étais au bord de l’éjaculation. Henri lui aussi était proche de l’éjaculation, il respirait de plus en plus fort, il gémissait de bonheur, son corps se cabrait, ses muscles se contractaient, son corps était parcouru de frissons qui me faisaient ressentir son prochain orgasme. Je me suis alors mis à le masturber avec volupté. J’alternais les mouvements lents et rapides, et d’un coup dans un cri de bonheur étouffé, Henri déchargea dans ma main. Moi je me laissais aller dans les secondes qui suivaient. Je déchargeais à mon tour six longs jets de sperme qui tombèrent dans l’eau de la rivière. Etant occupé, nous n’avions pas remarqué que les quatre autres étaient par deux en train de se masturber. Henri et moi nous les regardions en souriant, voyant l’effet que nous avions produit sur nos camarades. Jean était en train de branler Roland et nous remarquions que le visage de Roland se rapprochait de celui de Jean. Leurs lèvres se touchaient, leurs bouches pour la première fois se trouvaient. Ils échangèrent leur premier baiser. Nous étions heureux de voir comment notre passion s’était communiquée aux autres. Philippe et Marc de leur côté n’étaient pas en reste ils s’appliquaient à se donner du plaisir. Ils se branlaient l’un l’autre sans se soucier de ce que ce qui se passait autour d’eux. Ils étaient dans leur monde, ils se donnaient du plaisir.
D’un coup Henri et moi avons entendu un bruit de branche cassée, plutôt un bruit comme si on avait marché sur une branche ou un branchage. Cela provenait de la direction du camp. Nous avons tout de suite reconnu Jean-Luc, le plus jeune des chefs, il était debout à l’orée du bois à 20 mètres de nous, le pantalon sur les chevilles, le sexe dans une main, il était en train de se masturber en regardant les gars de la patrouille se donner du plaisir. Philippe et Marc n’avaient rien entendu et continuaient à se prodiguer des caresses mutuellement. J’ai fait signe à Jean-Luc de s’approcher de nous. Je voyais qu’il hésitait. Je suis sorti de la rivière et je me suis dirigé vers lui. Arrivé devant Jean-Luc, j’ai vu qu’il était rouge, son visage était écarlate, son sexe était redevenu de taille normale. Jean-Luc ne savait pas quoi me dire, il balbutiait quelques mots, il était confus. Jean-Luc devait avoir 2 ou 3 ans de plus que moi, c’était le plus jeune des chefs, il venait d’entrer à la troupe au début du camp et il ne nous connaissait pas très bien. Il avait la même taille que moi, il avait des cheveux châtain clair et son visage était rond, quelques boutons d’acné étaient visibles au menton où un léger duvet laissait voir qu’il se rasait de temps en temps. Il était cependant plus mince que moi. Son sexe au repos était déjà d’une belle taille, assez fin. Il n’était pas circoncis comme mes autres camarades. Nous n’avions pas souvent parlé avec lui, du moins c’était mon cas. Je lui ai demandé de venir se joindre à nous. Il m’a suivi. Il a ôté ses derniers vêtement et s’est mis à l’eau avec nous. C’est à ce moment-là que Philippe et Marc ont remarqué la présence de Jean-Luc. Ils ont poursuivi leur masturbation mutuelle. Je vis le sexe de Jean-Luc se redresser, Jean-Luc était toujours aussi rouge et un peu gêné il s’est mis à se masturber en regardant nos deux compères. On voyait qu’il était excité car il est venu assez vite 5 à 6 longs jets se sont écrasés à la surface de l’eau juste avant que Philippe et Marc ne déchargent eux aussi.
Nous avons terminé notre toilette à sept. Jean-Luc nous a demandé de ne rien dire aux autres sur ce qui s’était passé entre nous. Nous lui avons promis de ne rien dire et de ne parler de rien, nous même, nous n’avions pas envie que les autres gars de la troupe sachent ce que nous avions fait et surtout les autres chefs.
Le soir même autour du feu de camp, Jean-Luc regardait souvent en direction de notre patrouille. Une certaine complicité s’était instaurée entre lui et nous. Ça c’est confirmé les jours qui ont suivis. Jean-Luc s’arrangeait pour faire certaines activités avec notre patrouille.
Un autre soir, alors que nous étions déjà dans notre tente, il devait être vers minuit, Jean-Luc est venu nous rejoindre. Il était venu discuter avec nous. En fait nous avions compris qu’il était un peu comme nous, qu’il avait notre mentalité d’ado. Il nous expliquait qu’il avait lui aussi dans une autre troupe découvert les joies du sexe entre garçons. Il nous disait que quand il nous avait vu à la rivière ses souvenirs lui étaient revenus. Nous avons encore parlé une bonne heure. Nous parlions chacun de nos expériences. Je pouvais voir qu’une bosse était apparue au niveau du pantalon de Jean-Luc. Nous étions dans nos sacs de couchage et moi-même j’avais le sexe au garde-à-vous. Je me suis mis à ma masturber de manière que Jean-Luc s’en rende compte. La bosse au niveau de son pantalon avait grossi. Il posa une main au niveau de son sexe comme pour le mettre mieux à l’aise dans son caleçon. Il fit ce geste 3 fois avant de finalement se caresser au travers de l’étoffe de son pantalon. J’ai arrêté de me masturber. Je me suis relevé et j’ai enlevé la main que Jean-Luc avait posé sur son sexe. J’ai défait la ceinture et ouvert la braguette. J’ai enlevé son pantalon. J’ai ensuite fait glisser son caleçon. Jean-Luc avait le sexe bandé, le bout de son gland apparaissait rouge au bout de sa hampe dressée. Je me suis saisi de son sexe et je me suis mis à le caresser délicatement. Je sentais le sexe de Jean-Luc palpiter dans ma main. Son sexe se gonflait au maximum, il était tendu à l’extrême. Jean-Luc de son côté avait avancé sa main vers mon sexe, il s’était mis à le caresser aussi. Nous étions blottis l’un contre l’autre, je sentais la chaleur de son corps, je sentais son odeur particulière, une odeur mêlée de fumée de feu de bois, de transpiration et de sexe. Il s’y prenait bien, il me masturbait de façon divine, il alternait les mouvements lents et rapides, la pression faite par sa main changeait régulièrement ce qui me procurait beaucoup de plaisir. Avec l’autre main Jean-Luc s’est mis à me caresser les fesses, il allait dans ma raie, il insistait en passant sur ma rosace. Puis j’ai senti qu’il introduisait son doigt dans mon anus, je me suis laissé aller, écartant les jambes pour le laisser faire, pour qu’il introduise son doigt le plus loin possible. Il faisait tourner son doigt dans mon cul. Je sentais que l’orgasme n’était pas loin. C’était une sensation intense, une nouvelle sensation encore inconnue pour moi, c’est ce qui m’a fait jouir très vite. 6 à 7 jets de sperme se sont écrasés sur la toile de tente à environ un mètre, je n’avais jamais joui aussi fort. J’étais épuisé, j’avais arrêté de masturber Jean-Luc depuis quelques minutes déjà, tellement je n’en pouvais plus de bonheur.
Les autres de la patrouille avaient assisté à la scène et ils n’avaient jamais vu quelqu’un éjaculer de la sorte. C’étaient pour eux aussi quelque chose de nouveau de que mettre un doigt dans l’anus. C’est par après que j’ai appris que c’est de cette façon qu’on stimule la prostate et que cela provoque un orgasme puissant.
Voyant Jean-Luc la queue en l’air et sachant qu’il n’avait pas joui, je me suis décidé à le masturber à mon tour et de la même façon que la sienne. J’ai mis un doigt dans son anus. Il avait les même réactions que moi, son corps se cambrait, ses muscles se tendaient, sa respiration était de plus en plus rapide. Je l’ai aussi fait jouir assez vite, 6 long jets de sperme se sont écrasés sur son torse.
Après quelques minutes Jean-Luc s’est rhabillé et a quitté notre tente. Nous nous sommes endormis, la tête pleine de souvenirs.
Le camp allait bon train, il ne restait que quatre jours avant la fin. Nous pensions à cette échéance mais nous n’en disions rien, nous gardions ça chacun pour soi. Inconsciemment nous ne voulions pas que ce camp finisse, nous ne voulions pas que nos relations s’arrêtent comme ça.
La vie du camp se poursuivait. Après le début de nuit où Jean-Luc était passé (tout jeune chef à la troupe depuis le début du camp) dans notre tente, nous nous sommes réveillés au matin. Nous étions encore à moitié endormis quand le chef de troupe nous a annoncé que la troupe allait faire une journée « BA » (bonne action) dans le village proche de notre campement.
Il y avait du travail pour les quatre patrouilles. Jean le CP de notre patrouille s’était arrangé pour que notre patrouille soit seule, car il y avait un endroit où deux patrouilles devaient travailler ensemble pour donner un coup de main. Jean nous avait dit que c’était une surprise, que nous découvrirons l’endroit de notre « BA » au dernier moment. Je voyais que Jean avait l’œil malicieux, ce qui nous réservait bien sur une très bonne surprise, mais quoi ?
Nous n’allions pas tarder à découvrir de quel travail il s’agissait. Nous sommes donc partis à 6 en compagnie de Jean-Luc qui avait lui aussi bien arrangé les choses pour pouvoir nous accompagner. Chemin faisant, chacun y allait avec ses questions, ses avis et son imagination pour tenter de faire dire à Jean où nous allions. En fait nous avons traversé tout le village pour prendre la direction de la campagne. Nous marchions en nous demandant quel travail nous allions bien pouvoir effectuer pour l’habitant. Qui avait bien pu accepter notre offre, ou plutôt celle des chefs. Où allions nous travailler pour rendre service. Nous arrivons à la dernière maison de la rue, c’était une grande bâtisse avec une tourelle sur le coin avant gauche. Elle était retirée de près de 50 mètres de la route et pour accéder à la porte d’entrée il fallait monté par un perron avec double escalier. Il y a avait bien 18 fenêtres sur la façade avant. C’était semble-t-il une bâtisse de notable. A notre arrivée, nous avons été accueillis par une dame très charmante. Elle devait avoir 35 ans, brune avec des yeux verts. Elle avait le teint bronzé et elle devait sûrement revenir de vacances. Elle nous a montré le petit parc situé à l’arrière de la maison. Le parc qui n’était pas visible depuis la route, car il était bordé d’une grosse haie vive. Cette dame nous montrait ce que nous devions faire pour lui rendre service. En fait il fallait tondre la pelouse, ramasser l’herbe et nettoyer le potager qui se trouvait au fond de la propriété à côté d’une serre où poussait de la vigne grimpante. La suite de la visite était assez intéressante. Elle nous a montré la piscine qui se trouvait située à l’arrière droit de la demeure. Elle était entourée elle aussi d’une haie vive, raison pour laquelle nous ne l’avions pas remarquée. La dame nous dit alors que si nous avions bien travaillé, nous pourrions y aller faire un petit plongeon.
Une fois le tour de la propriété terminé, elle nous montra les outils de jardinage qui se trouvaient dans une remise située à côté de la serre. Il y avait 2 tondeuses, 3 ou 4 râteaux à herbe, des rasettes, etc. Je me suis mis avec Henri pour ramasser l’herbe que Roland coupait avec une tondeuse, il faut dire que l’autre était en panne. Jean, Marc et Philippe s’occupaient à nettoyer le potager. Jean-Luc, quant à lui, il faisait des allés et retours avec la brouette pour jeter l’herbe sur le compost qui se trouvait aussi à côté du potager.
Après une heure et demie de travail, notre hôtesse nous a apporté une collation. Elle nous dit aussi que pour manger, elle avait prévu de faire un barbecue pour y cuire des saucisses. Nous avons repris le travail après une pause bien méritée de 10 minutes.
A midi trente le barbecue était prêt. Nous avons mangé en compagnie d’Alexandre, le fils de la maison. Il avait mon âge à peu de chose près, tout au plus avait-il six mois de plus que moi. Il était cependant plus grand, il avait au moins 10 centimètres de plus. Il avait l’allure sportive, il était fort élancé, il avait les cheveux châtains moyens, des yeux marrons et une bouche assez sensuelle. Il était vêtu d’un short de tennis blanc et d’une blouse couleur ocre sans manche. Il portait des sandales en cuir brun. On voyait qu’il avait profité du soleil car il avait le teint halé, il avait pris le soleil.
Après le repas nous avons changé les équipes. Henri et moi, en compagnie de Jean-Luc, nous avons terminé de nettoyer le potager, nous avons ensuite rangé la serre. Les autres, quant à eux, ils terminaient de tondre la pelouse et de ramasser l’herbe pour la mettre au compost.
De découvertes en découvertes.
Le camp se poursuivait et j’appréciais de plus en plus Henri. Il me semble que je tombais amoureux de lui. Amoureux, si jeune ? Comment est-ce possible ? Je me posais milles questions. Etais-je « homo » ? Pourquoi étais-je amoureux d’un garçon ? Je me suis dit qu’il valait mieux attendre et que le temps ferait son œuvre ; et, advienne que pourra.
Nous passions de bons moments ensemble. Nous avions souvent l’occasion de nous retrouver seuls. Nous nous regardions dans les yeux. Nous buvions les paroles de l’autre, nous nous sentions bien ensemble. Il suffisait de nous regarder pour nous comprendre.
Nous participions avec la troupe tout entière à un jeu de 24 heures. Il s’agissait en somme d’un grand jeu de stratégo, où il fallait défendre son camp contre les attaques des ennemis. A l’issue du jeu nous étions très fatigués et nous nous sommes tous couchés dans nos sac de couchage.
Au lever du jour, ou plutôt vers l’heure de midi, nous nous sommes levés. Pour nous réveiller les animateurs avaient décidé qu’il fallait que nous prenions un bon bain dans la rivière. Pour notre patrouille, nous avions décidé de nous baigner dans une petite courbe de la rivière à plus ou moins cinq cents mètres du camp, dans un endroit discret. Nous nous sommes déshabillés et nous étions tous les six nus, dans la rivière à nous éclabousser. D’immenses éclats de rire fusaient. Nous avions maintenant l’habitude de nous voir nus. Une fois les jeux d’eau terminé nous nous sommes lavés. Henri était bien entendu près de moi. Il avait avec lui un savon qui sentait bon la lavande. Je lui ai demandé s’il voulait bien me le prêter.
Il m’a répondu : « Veux-tu que je te lave le dos ? »
Je lui ai dit : « Si tu veux, ça me ferait plaisir ».
Henri s’est mis à me laver le dos à mains nues. Il faisait passer ses mains sur mes épaules, sur mon dos, sur mes bras, dans mon cou. J’aimais ses caresses, j’aimais sentir ses mains parcourir mon corps. Je ne restais pas insensible à ses caresses. Mon sexe se mit à se dresser, il pointait vers le ciel, mais je restais le dos tourné à Henri. C’est Jean qui a remarqué le premier mon émoi. Il s’est mis à rire en disant, « Voilà Phil qui est dans tous ses états, il bande ». A ses mots, Henri passa ses mains sur le devant de mon corps et elles se placèrent sur mon pénis tendu. Dès que je senti ses mains, mon sexe se mit à se gonfler au maximum. Henri se mit à faire des mouvements de va et vient sur ma hampe dressée vers le ciel. Je me suis retourné vers lui et je vis que le sexe d’Henri était lui aussi dressé et qu’il ne demandait qu’une chose c’est qu’on s’occupe de lui. Je me suis mis à prodiguer à Henri les mêmes caresses, les mêmes mouvements de va et vient. Nous étions au milieu de la rivière, de l’eau jusqu’à mis cuisses occupés à nous donner du plaisir. J’approchais mon visage de celui d’Henri. Mes lèvres allèrent à la rencontre des siennes. Nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont mélangées. Cette sensation nous fit bander de plus belle. D’une main je branlais le sexe d’Henri et de l’autre je lui caressais les couilles. Il se mit à faire de même avec moi. Je sentais la sève monter en moi, j’étais au bord de l’éjaculation. Henri lui aussi était proche de l’éjaculation, il respirait de plus en plus fort, il gémissait de bonheur, son corps se cabrait, ses muscles se contractaient, son corps était parcouru de frissons qui me faisaient ressentir son prochain orgasme. Je me suis alors mis à le masturber avec volupté. J’alternais les mouvements lents et rapides, et d’un coup dans un cri de bonheur étouffé, Henri déchargea dans ma main. Moi je me laissais aller dans les secondes qui suivaient. Je déchargeais à mon tour six longs jets de sperme qui tombèrent dans l’eau de la rivière. Etant occupé, nous n’avions pas remarqué que les quatre autres étaient par deux en train de se masturber. Henri et moi nous les regardions en souriant, voyant l’effet que nous avions produit sur nos camarades. Jean était en train de branler Roland et nous remarquions que le visage de Roland se rapprochait de celui de Jean. Leurs lèvres se touchaient, leurs bouches pour la première fois se trouvaient. Ils échangèrent leur premier baiser. Nous étions heureux de voir comment notre passion s’était communiquée aux autres. Philippe et Marc de leur côté n’étaient pas en reste ils s’appliquaient à se donner du plaisir. Ils se branlaient l’un l’autre sans se soucier de ce que ce qui se passait autour d’eux. Ils étaient dans leur monde, ils se donnaient du plaisir.
D’un coup Henri et moi avons entendu un bruit de branche cassée, plutôt un bruit comme si on avait marché sur une branche ou un branchage. Cela provenait de la direction du camp. Nous avons tout de suite reconnu Jean-Luc, le plus jeune des chefs, il était debout à l’orée du bois à 20 mètres de nous, le pantalon sur les chevilles, le sexe dans une main, il était en train de se masturber en regardant les gars de la patrouille se donner du plaisir. Philippe et Marc n’avaient rien entendu et continuaient à se prodiguer des caresses mutuellement. J’ai fait signe à Jean-Luc de s’approcher de nous. Je voyais qu’il hésitait. Je suis sorti de la rivière et je me suis dirigé vers lui. Arrivé devant Jean-Luc, j’ai vu qu’il était rouge, son visage était écarlate, son sexe était redevenu de taille normale. Jean-Luc ne savait pas quoi me dire, il balbutiait quelques mots, il était confus. Jean-Luc devait avoir 2 ou 3 ans de plus que moi, c’était le plus jeune des chefs, il venait d’entrer à la troupe au début du camp et il ne nous connaissait pas très bien. Il avait la même taille que moi, il avait des cheveux châtain clair et son visage était rond, quelques boutons d’acné étaient visibles au menton où un léger duvet laissait voir qu’il se rasait de temps en temps. Il était cependant plus mince que moi. Son sexe au repos était déjà d’une belle taille, assez fin. Il n’était pas circoncis comme mes autres camarades. Nous n’avions pas souvent parlé avec lui, du moins c’était mon cas. Je lui ai demandé de venir se joindre à nous. Il m’a suivi. Il a ôté ses derniers vêtement et s’est mis à l’eau avec nous. C’est à ce moment-là que Philippe et Marc ont remarqué la présence de Jean-Luc. Ils ont poursuivi leur masturbation mutuelle. Je vis le sexe de Jean-Luc se redresser, Jean-Luc était toujours aussi rouge et un peu gêné il s’est mis à se masturber en regardant nos deux compères. On voyait qu’il était excité car il est venu assez vite 5 à 6 longs jets se sont écrasés à la surface de l’eau juste avant que Philippe et Marc ne déchargent eux aussi.
Nous avons terminé notre toilette à sept. Jean-Luc nous a demandé de ne rien dire aux autres sur ce qui s’était passé entre nous. Nous lui avons promis de ne rien dire et de ne parler de rien, nous même, nous n’avions pas envie que les autres gars de la troupe sachent ce que nous avions fait et surtout les autres chefs.
Le soir même autour du feu de camp, Jean-Luc regardait souvent en direction de notre patrouille. Une certaine complicité s’était instaurée entre lui et nous. Ça c’est confirmé les jours qui ont suivis. Jean-Luc s’arrangeait pour faire certaines activités avec notre patrouille.
Un autre soir, alors que nous étions déjà dans notre tente, il devait être vers minuit, Jean-Luc est venu nous rejoindre. Il était venu discuter avec nous. En fait nous avions compris qu’il était un peu comme nous, qu’il avait notre mentalité d’ado. Il nous expliquait qu’il avait lui aussi dans une autre troupe découvert les joies du sexe entre garçons. Il nous disait que quand il nous avait vu à la rivière ses souvenirs lui étaient revenus. Nous avons encore parlé une bonne heure. Nous parlions chacun de nos expériences. Je pouvais voir qu’une bosse était apparue au niveau du pantalon de Jean-Luc. Nous étions dans nos sacs de couchage et moi-même j’avais le sexe au garde-à-vous. Je me suis mis à ma masturber de manière que Jean-Luc s’en rende compte. La bosse au niveau de son pantalon avait grossi. Il posa une main au niveau de son sexe comme pour le mettre mieux à l’aise dans son caleçon. Il fit ce geste 3 fois avant de finalement se caresser au travers de l’étoffe de son pantalon. J’ai arrêté de me masturber. Je me suis relevé et j’ai enlevé la main que Jean-Luc avait posé sur son sexe. J’ai défait la ceinture et ouvert la braguette. J’ai enlevé son pantalon. J’ai ensuite fait glisser son caleçon. Jean-Luc avait le sexe bandé, le bout de son gland apparaissait rouge au bout de sa hampe dressée. Je me suis saisi de son sexe et je me suis mis à le caresser délicatement. Je sentais le sexe de Jean-Luc palpiter dans ma main. Son sexe se gonflait au maximum, il était tendu à l’extrême. Jean-Luc de son côté avait avancé sa main vers mon sexe, il s’était mis à le caresser aussi. Nous étions blottis l’un contre l’autre, je sentais la chaleur de son corps, je sentais son odeur particulière, une odeur mêlée de fumée de feu de bois, de transpiration et de sexe. Il s’y prenait bien, il me masturbait de façon divine, il alternait les mouvements lents et rapides, la pression faite par sa main changeait régulièrement ce qui me procurait beaucoup de plaisir. Avec l’autre main Jean-Luc s’est mis à me caresser les fesses, il allait dans ma raie, il insistait en passant sur ma rosace. Puis j’ai senti qu’il introduisait son doigt dans mon anus, je me suis laissé aller, écartant les jambes pour le laisser faire, pour qu’il introduise son doigt le plus loin possible. Il faisait tourner son doigt dans mon cul. Je sentais que l’orgasme n’était pas loin. C’était une sensation intense, une nouvelle sensation encore inconnue pour moi, c’est ce qui m’a fait jouir très vite. 6 à 7 jets de sperme se sont écrasés sur la toile de tente à environ un mètre, je n’avais jamais joui aussi fort. J’étais épuisé, j’avais arrêté de masturber Jean-Luc depuis quelques minutes déjà, tellement je n’en pouvais plus de bonheur.
Les autres de la patrouille avaient assisté à la scène et ils n’avaient jamais vu quelqu’un éjaculer de la sorte. C’étaient pour eux aussi quelque chose de nouveau de que mettre un doigt dans l’anus. C’est par après que j’ai appris que c’est de cette façon qu’on stimule la prostate et que cela provoque un orgasme puissant.
Voyant Jean-Luc la queue en l’air et sachant qu’il n’avait pas joui, je me suis décidé à le masturber à mon tour et de la même façon que la sienne. J’ai mis un doigt dans son anus. Il avait les même réactions que moi, son corps se cambrait, ses muscles se tendaient, sa respiration était de plus en plus rapide. Je l’ai aussi fait jouir assez vite, 6 long jets de sperme se sont écrasés sur son torse.
Après quelques minutes Jean-Luc s’est rhabillé et a quitté notre tente. Nous nous sommes endormis, la tête pleine de souvenirs.
Le camp allait bon train, il ne restait que quatre jours avant la fin. Nous pensions à cette échéance mais nous n’en disions rien, nous gardions ça chacun pour soi. Inconsciemment nous ne voulions pas que ce camp finisse, nous ne voulions pas que nos relations s’arrêtent comme ça.
La vie du camp se poursuivait. Après le début de nuit où Jean-Luc était passé (tout jeune chef à la troupe depuis le début du camp) dans notre tente, nous nous sommes réveillés au matin. Nous étions encore à moitié endormis quand le chef de troupe nous a annoncé que la troupe allait faire une journée « BA » (bonne action) dans le village proche de notre campement.
Il y avait du travail pour les quatre patrouilles. Jean le CP de notre patrouille s’était arrangé pour que notre patrouille soit seule, car il y avait un endroit où deux patrouilles devaient travailler ensemble pour donner un coup de main. Jean nous avait dit que c’était une surprise, que nous découvrirons l’endroit de notre « BA » au dernier moment. Je voyais que Jean avait l’œil malicieux, ce qui nous réservait bien sur une très bonne surprise, mais quoi ?
Nous n’allions pas tarder à découvrir de quel travail il s’agissait. Nous sommes donc partis à 6 en compagnie de Jean-Luc qui avait lui aussi bien arrangé les choses pour pouvoir nous accompagner. Chemin faisant, chacun y allait avec ses questions, ses avis et son imagination pour tenter de faire dire à Jean où nous allions. En fait nous avons traversé tout le village pour prendre la direction de la campagne. Nous marchions en nous demandant quel travail nous allions bien pouvoir effectuer pour l’habitant. Qui avait bien pu accepter notre offre, ou plutôt celle des chefs. Où allions nous travailler pour rendre service. Nous arrivons à la dernière maison de la rue, c’était une grande bâtisse avec une tourelle sur le coin avant gauche. Elle était retirée de près de 50 mètres de la route et pour accéder à la porte d’entrée il fallait monté par un perron avec double escalier. Il y a avait bien 18 fenêtres sur la façade avant. C’était semble-t-il une bâtisse de notable. A notre arrivée, nous avons été accueillis par une dame très charmante. Elle devait avoir 35 ans, brune avec des yeux verts. Elle avait le teint bronzé et elle devait sûrement revenir de vacances. Elle nous a montré le petit parc situé à l’arrière de la maison. Le parc qui n’était pas visible depuis la route, car il était bordé d’une grosse haie vive. Cette dame nous montrait ce que nous devions faire pour lui rendre service. En fait il fallait tondre la pelouse, ramasser l’herbe et nettoyer le potager qui se trouvait au fond de la propriété à côté d’une serre où poussait de la vigne grimpante. La suite de la visite était assez intéressante. Elle nous a montré la piscine qui se trouvait située à l’arrière droit de la demeure. Elle était entourée elle aussi d’une haie vive, raison pour laquelle nous ne l’avions pas remarquée. La dame nous dit alors que si nous avions bien travaillé, nous pourrions y aller faire un petit plongeon.
Une fois le tour de la propriété terminé, elle nous montra les outils de jardinage qui se trouvaient dans une remise située à côté de la serre. Il y avait 2 tondeuses, 3 ou 4 râteaux à herbe, des rasettes, etc. Je me suis mis avec Henri pour ramasser l’herbe que Roland coupait avec une tondeuse, il faut dire que l’autre était en panne. Jean, Marc et Philippe s’occupaient à nettoyer le potager. Jean-Luc, quant à lui, il faisait des allés et retours avec la brouette pour jeter l’herbe sur le compost qui se trouvait aussi à côté du potager.
Après une heure et demie de travail, notre hôtesse nous a apporté une collation. Elle nous dit aussi que pour manger, elle avait prévu de faire un barbecue pour y cuire des saucisses. Nous avons repris le travail après une pause bien méritée de 10 minutes.
A midi trente le barbecue était prêt. Nous avons mangé en compagnie d’Alexandre, le fils de la maison. Il avait mon âge à peu de chose près, tout au plus avait-il six mois de plus que moi. Il était cependant plus grand, il avait au moins 10 centimètres de plus. Il avait l’allure sportive, il était fort élancé, il avait les cheveux châtains moyens, des yeux marrons et une bouche assez sensuelle. Il était vêtu d’un short de tennis blanc et d’une blouse couleur ocre sans manche. Il portait des sandales en cuir brun. On voyait qu’il avait profité du soleil car il avait le teint halé, il avait pris le soleil.
Après le repas nous avons changé les équipes. Henri et moi, en compagnie de Jean-Luc, nous avons terminé de nettoyer le potager, nous avons ensuite rangé la serre. Les autres, quant à eux, ils terminaient de tondre la pelouse et de ramasser l’herbe pour la mettre au compost.