Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (6)
Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil
— C’est un rêve ? chuchota Stefan. J’espère que je ne me réveillerai pas juste avant de jouir.
— Tu n’as jamais eu de rêve humide ? demanda Peter. Quand on en a plein le pyjama en se réveillant le matin ?
— Oui, ma première éjaculation, je me suis demandé ce que ma mère en penserait.
— Et qu’est-ce qu’elle en a pensé ?
— Elle ne m’a rien dit, on ne parle pas de ces choses dans ma famille. Je me suis ensuite branlé souvent pour que cela ne se reproduise plus.
Peter pinça alternativement les deux tétons de Stefan, provoquant une réaction de sa queue qui se dressa.
— Tu es sensible, dit Peter en souriant. Qui t’a appris à te branler ?
— Mon frère. Nous dormons dans la même chambre, il est plus vieux que moi et j’avais déjà entendu des bruits bizarres, le lit qui grinçait.
Peter descendit jusqu’au nombril de Stefan avec son doigt, puis jusqu’au pubis.
— Curieux cette ligne de poils, dit-il, je n’en ai pas. Tu es mignon. Comment est-ce possible qu’aucun élève de l’école ne t’ait dépucelé ?
— Je suis depuis peu dans cette école, j’avais commencé mon apprentissage ailleurs. Ils restent entre eux.
— Tant pis pour eux.
— Tu vas me dépuceler ?
— C’est un rêve…
Peter suivit la veine dorsale jusqu’au gland, il continua sa progression en titillant le méat, le frein, longea le raphé médian, les couilles, le point du plaisir et termina à l’anus.
— C’est bon ? demanda Stefan. Le matériel est complet ? J’ai tout ce qu’il te faut ?
— Il me manque le prépuce, on fera avec.
— Ma mère disait que c’était plus propre puisque nous n’avons pas de douche.
— Ton frère est aussi circoncis ?
— Oui.
Peter refit le même chemin, cette fois avec la langue, tout en caressant le pénis maintenant très dur. Sefan jeta un coup d’œil sur sa droite, Frédéric suçait la bite luisante de Koen. L’apprenti cuisinier était content d’avoir déjà vidé ses couilles dans la voiture, sinon il aurait joui trop vite. Il sentait du liquide suinter de son méat.
Peter s’arrêta au gland, lécha la couronne et le frein. Stefan se dit que Peter devait déjà avoir de l’expérience et que lui serait bien maladroit lorsqu’ils échangeraient les rôles. Il regretta de n’avoir jamais proposé à son frère de le sucer, mais celui-ci préférait les filles et n’aurait pas voulu passer pour un pédé, c’était mal vu à Zweilütschinen. Peter prit le gland et la hampe dans sa bouche, Stefan frissonna et ferma les yeux pour apprécier les nouvelles sensations que lui procuraient cette fellation, quel rêve agréable !
Koen, lui aussi, profitait du spectacle des deux apprentis tout en regrettant qu’ils parlassent en dialecte, il n’avait rien compris. Il n’oubliait pas non plus de regarder le professeur qui se branlait seul, il eut pitié de lui, il espéra qu’il se trouverait un partenaire le lendemain.
Le silence se fit à présent que Peter avait la bouche pleine, on entendait seulement quelques gémissements, le bruit des succions. Le professeur contemplait les corps nus faiblement éclairés, sentait la tension qui montait, qui devenait insoutenable. Il avait déjà tellement observé de corps en extase, suivant les tracés sur ses appareils, qu’il savait à quel moment ils allaient se libérer.
Ce fut Koen qui jouit en premier en poussant un cri. Frédéric, qui s’était rendu compte qu’on l’observait, avait sorti le gland de sa bouche afin que les spectateurs pussent voir les jets de sperme qu’il reçut en pleine figure. Stefan fut étonné, son plaisir monta rapidement, il éjacula lui aussi. Peter avait gardé le membre dans sa bouche.
— Tu as… tu as avalé mon sperme ? s’étonna Stefan.
— C’est plus propre, comme dirait ta mère. Je vais encore te nettoyer.
Stefan passa sa langue sur le gland afin d’enlever toute trace.
— Comme cela ton pyjama sera propre et ta mère ne sera pas troublée. À moins que tu ne dormes nu à présent ?
— Cela me semble la tenue habituelle ici.
Frédéric était allé chercher un mouchoir pour se nettoyer. Il revint se coucher vers Koen et lui proposa :
— Tu voudrais que je t’encule ?
— Je ne me sentirais pas à l’aise en présence de voyeurs, réservons cela à notre intimité.
— Comme tu voudras.
Peter demanda à Stefan :
— Tu désirerais que je te pénètre ?
— Que veux-tu dire ?
— Que je mette ma queue entre tes fesses ?
— Tu l’as déjà fait à quelqu’un ?
— Non, jamais, je voulais le faire avec mon premier amour.
— C’est moi ton premier amour ? Je rêve toujours ?
— C’est un rêve…
— Je vais attendre d’être réveillé, cela me dérange un peu de ne pas être seul avec toi.
— Alors suce-moi.
Stefan se demanda s’il avait bien compris, Peter lui avait-il déjà fait une déclaration d’amour ? Jusqu’à présent, il avait considéré cette fellation comme un jeu, une découverte, comme celles qu’il avait faites en se branlant avec son frère. Chaque chose en son temps, il devait déjà essayer de sucer Peter.
Frédéric prit un drap rouge et recouvrit entièrement son corps et celui de Koen. Ils étaient maintenant cachés aux yeux des autres, ils se prirent dans les bras et s’embrassèrent longuement.
— Il se rince l’œil ton Dr Latte, dit Frédéric.
— C’est son travail d’étudier les orgasmes.
— Nous ne sommes pas dans son laboratoire ici.
— Dans le magazine Der Ring, ils promeuvent l’amour libre, nous sommes dans l’un de leurs temples, semble-t-il.
Comme pour confirmer ses propos, Koen prit le pénis de Frédéric dans sa main et joua avec le prépuce.
— Oui, acquiesça Frédéric, et ici pas besoin d’intronisation comme dans la Confrérie de Vincelard, tout le monde est le bienvenu.
— Il faut quand même être invité.
Le membre de Frédéric avait durci et Koen le caressait lentement.
Peter était appuyé contre le mur, calé sur des oreillers. Stefan avait débuté la fellation, il essayait de s’appliquer, de ne pas mordre la bite de son nouvel ami. Celui-ci lui passait la main dans les cheveux en l’encourageant. Peter était-il vraiment tombé amoureux de Stefan ou n’étaient-ce que des paroles en l’air, sous le prétexte qu’ils rêvaient ? Il faudrait attendre la fin du week-end pour y voir plus clair. Peter imaginait qu’ils ouvriraient un restaurant d’alpage, Peter fabriquerait le fromage et Stefan ferait la cuisine : des fondues, des raclettes, des croûtes…
L’horloge éteignit automatiquement la lumière, il n’y avait plus que des veilleuses qui indiquaient les sorties. Le professeur ne put pas observer l’orgasme de Peter dans la bouche de Stefan qui avala stoïquement le sperme. Les deux apprentis se couvrirent d’un drap jaune, ils rapprochèrent leurs lèvres et se serrèrent l’un contre l’autre avant de partir pour le pays des rêves, rejoints par Koen et Frédéric.
Le professeur eut de la peine à s’endormir. Il se sentait vieux et n’avait pas profité suffisamment de sa jeunesse. Il espérait rencontrer un Méphistophélès le lendemain.
Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil
— C’est un rêve ? chuchota Stefan. J’espère que je ne me réveillerai pas juste avant de jouir.
— Tu n’as jamais eu de rêve humide ? demanda Peter. Quand on en a plein le pyjama en se réveillant le matin ?
— Oui, ma première éjaculation, je me suis demandé ce que ma mère en penserait.
— Et qu’est-ce qu’elle en a pensé ?
— Elle ne m’a rien dit, on ne parle pas de ces choses dans ma famille. Je me suis ensuite branlé souvent pour que cela ne se reproduise plus.
Peter pinça alternativement les deux tétons de Stefan, provoquant une réaction de sa queue qui se dressa.
— Tu es sensible, dit Peter en souriant. Qui t’a appris à te branler ?
— Mon frère. Nous dormons dans la même chambre, il est plus vieux que moi et j’avais déjà entendu des bruits bizarres, le lit qui grinçait.
Peter descendit jusqu’au nombril de Stefan avec son doigt, puis jusqu’au pubis.
— Curieux cette ligne de poils, dit-il, je n’en ai pas. Tu es mignon. Comment est-ce possible qu’aucun élève de l’école ne t’ait dépucelé ?
— Je suis depuis peu dans cette école, j’avais commencé mon apprentissage ailleurs. Ils restent entre eux.
— Tant pis pour eux.
— Tu vas me dépuceler ?
— C’est un rêve…
Peter suivit la veine dorsale jusqu’au gland, il continua sa progression en titillant le méat, le frein, longea le raphé médian, les couilles, le point du plaisir et termina à l’anus.
— C’est bon ? demanda Stefan. Le matériel est complet ? J’ai tout ce qu’il te faut ?
— Il me manque le prépuce, on fera avec.
— Ma mère disait que c’était plus propre puisque nous n’avons pas de douche.
— Ton frère est aussi circoncis ?
— Oui.
Peter refit le même chemin, cette fois avec la langue, tout en caressant le pénis maintenant très dur. Sefan jeta un coup d’œil sur sa droite, Frédéric suçait la bite luisante de Koen. L’apprenti cuisinier était content d’avoir déjà vidé ses couilles dans la voiture, sinon il aurait joui trop vite. Il sentait du liquide suinter de son méat.
Peter s’arrêta au gland, lécha la couronne et le frein. Stefan se dit que Peter devait déjà avoir de l’expérience et que lui serait bien maladroit lorsqu’ils échangeraient les rôles. Il regretta de n’avoir jamais proposé à son frère de le sucer, mais celui-ci préférait les filles et n’aurait pas voulu passer pour un pédé, c’était mal vu à Zweilütschinen. Peter prit le gland et la hampe dans sa bouche, Stefan frissonna et ferma les yeux pour apprécier les nouvelles sensations que lui procuraient cette fellation, quel rêve agréable !
Koen, lui aussi, profitait du spectacle des deux apprentis tout en regrettant qu’ils parlassent en dialecte, il n’avait rien compris. Il n’oubliait pas non plus de regarder le professeur qui se branlait seul, il eut pitié de lui, il espéra qu’il se trouverait un partenaire le lendemain.
Le silence se fit à présent que Peter avait la bouche pleine, on entendait seulement quelques gémissements, le bruit des succions. Le professeur contemplait les corps nus faiblement éclairés, sentait la tension qui montait, qui devenait insoutenable. Il avait déjà tellement observé de corps en extase, suivant les tracés sur ses appareils, qu’il savait à quel moment ils allaient se libérer.
Ce fut Koen qui jouit en premier en poussant un cri. Frédéric, qui s’était rendu compte qu’on l’observait, avait sorti le gland de sa bouche afin que les spectateurs pussent voir les jets de sperme qu’il reçut en pleine figure. Stefan fut étonné, son plaisir monta rapidement, il éjacula lui aussi. Peter avait gardé le membre dans sa bouche.
— Tu as… tu as avalé mon sperme ? s’étonna Stefan.
— C’est plus propre, comme dirait ta mère. Je vais encore te nettoyer.
Stefan passa sa langue sur le gland afin d’enlever toute trace.
— Comme cela ton pyjama sera propre et ta mère ne sera pas troublée. À moins que tu ne dormes nu à présent ?
— Cela me semble la tenue habituelle ici.
Frédéric était allé chercher un mouchoir pour se nettoyer. Il revint se coucher vers Koen et lui proposa :
— Tu voudrais que je t’encule ?
— Je ne me sentirais pas à l’aise en présence de voyeurs, réservons cela à notre intimité.
— Comme tu voudras.
Peter demanda à Stefan :
— Tu désirerais que je te pénètre ?
— Que veux-tu dire ?
— Que je mette ma queue entre tes fesses ?
— Tu l’as déjà fait à quelqu’un ?
— Non, jamais, je voulais le faire avec mon premier amour.
— C’est moi ton premier amour ? Je rêve toujours ?
— C’est un rêve…
— Je vais attendre d’être réveillé, cela me dérange un peu de ne pas être seul avec toi.
— Alors suce-moi.
Stefan se demanda s’il avait bien compris, Peter lui avait-il déjà fait une déclaration d’amour ? Jusqu’à présent, il avait considéré cette fellation comme un jeu, une découverte, comme celles qu’il avait faites en se branlant avec son frère. Chaque chose en son temps, il devait déjà essayer de sucer Peter.
Frédéric prit un drap rouge et recouvrit entièrement son corps et celui de Koen. Ils étaient maintenant cachés aux yeux des autres, ils se prirent dans les bras et s’embrassèrent longuement.
— Il se rince l’œil ton Dr Latte, dit Frédéric.
— C’est son travail d’étudier les orgasmes.
— Nous ne sommes pas dans son laboratoire ici.
— Dans le magazine Der Ring, ils promeuvent l’amour libre, nous sommes dans l’un de leurs temples, semble-t-il.
Comme pour confirmer ses propos, Koen prit le pénis de Frédéric dans sa main et joua avec le prépuce.
— Oui, acquiesça Frédéric, et ici pas besoin d’intronisation comme dans la Confrérie de Vincelard, tout le monde est le bienvenu.
— Il faut quand même être invité.
Le membre de Frédéric avait durci et Koen le caressait lentement.
Peter était appuyé contre le mur, calé sur des oreillers. Stefan avait débuté la fellation, il essayait de s’appliquer, de ne pas mordre la bite de son nouvel ami. Celui-ci lui passait la main dans les cheveux en l’encourageant. Peter était-il vraiment tombé amoureux de Stefan ou n’étaient-ce que des paroles en l’air, sous le prétexte qu’ils rêvaient ? Il faudrait attendre la fin du week-end pour y voir plus clair. Peter imaginait qu’ils ouvriraient un restaurant d’alpage, Peter fabriquerait le fromage et Stefan ferait la cuisine : des fondues, des raclettes, des croûtes…
L’horloge éteignit automatiquement la lumière, il n’y avait plus que des veilleuses qui indiquaient les sorties. Le professeur ne put pas observer l’orgasme de Peter dans la bouche de Stefan qui avala stoïquement le sperme. Les deux apprentis se couvrirent d’un drap jaune, ils rapprochèrent leurs lèvres et se serrèrent l’un contre l’autre avant de partir pour le pays des rêves, rejoints par Koen et Frédéric.
Le professeur eut de la peine à s’endormir. Il se sentait vieux et n’avait pas profité suffisamment de sa jeunesse. Il espérait rencontrer un Méphistophélès le lendemain.
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