02-12-2020, 12:05 PM
Chapitre 13.
Cours de conduite, mauvaise nouvelle, ….
Bzzz, bzzz, bzzz, c’est le réveil. Il est déjà huit heures pétantes. Nous allons prendre notre premier cours de conduite aujourd’hui. Nous avons rendez-vous à dix heures. Nous passons à la salle de bain ; une bonne douche pour bien se réveiller et être en forme. Habillage et ensuite petit-déjeuner. C’est important de manger un bout le matin, c’est un apport d’énergie qui est nécessaire pour passer une bonne matinée sans avoir la dalle vers dix – onze heures. Je ne comprends pas comment certains ados puissent faire l’impasse sur ce moment important. Bon, pour Julien et moi, c’est tartines à la confiture de fraise, chocolat chaud ou café, ainsi qu’un fruit ou un yaourt.
Nous attendons le bus pour nous rendre à notre premier cours de conduite. C’est toujours la même auto-école où nous nous rendons. Voilà le bus. Nous montons et nous présentons nos abonnements au chauffeur. Mais c’est le même chauffeur qui nous véhiculait pour les cours théoriques sur le permis de conduire. Nous le saluons avec un très grand sourire. Lui aussi nous répond par un énorme sourire et il nous dit :
Cha : Alors les petits gars, comment ça va les vacances ?
Moi : Oui très bien merci. Et vous monsieur, pas trop de travail pour le moment ?
Cha : Non, ce sont les vacances, alors il y a moins de monde dans le bus et aussi, ce que j’aime, il y a moins de circulation, ce qui fait que je suis toujours à l’heure aux arrêts !
Jul : Mais c’est bien, c’est vrai que cela change de la cohue habituelle durant l’année.
Cha : Très juste. Au fait, moi c’est Marcel et vous pouvez me tutoyer !
Moi : Très bien, heu Marcel, moi c’est Philippe, mais c’est plus simple de dire Phil.
Jul : Moi c’est Julien.
Cha : Très bien les jeunes. Bon je vous laisse vous asseoir, il est temps de quitter l’arrêt.
Moi et Jul : Merci Marcel. »
Nous nous installons juste derrière le poste de conduite. C’est devenu une habitude avec Marcel comme chauffeur. Il est vrai qu’avant de le connaître, c’était presque toujours sur la banquette arrière que les jeunes se plaçaient, nous aussi. Je sais que Marcel nous apprécie et nous nous arrangeons pour ne pas trop le perturber. J’ai déjà pu constater que c’est un très bon chauffeur, presque pas de secousses lors du démarrage, une conduite très souple et un freinage préventif pour ne pas bousculer les passagers.
Nous voilà arrivés à destination. Nous saluons Marcel en lui souhaitant une très bonne journée. Nous pouvons voir un très large sourire illuminer son visage. Il est vraiment très chouette notre chauffeur.
Nous entrons dans le hall d’accueil, il est neuf heures cinquante. Nous nous présentons à la secrétaire de l’établissement. Elle nous remercie d’être à l’heure car cela facilite les devoirs administratifs qu’elle doit accomplir avant que nous puissions monter dans une voiture pour apprendre à conduire. C’est la bonne vérification du document de réussite du cours sur le code de la route, de notre nom, du prénom, de notre date de naissance ainsi que de notre adresse de domicile. Il ne peut y avoir de faute dans toutes les données administratives au risque de devoir faire des rectifications laborieuses, mais aussi sans voir l’erreur éventuelle qui pourrait ralentir la délivrance de la licence d’apprentissage, étape avant l’obtention du permis de conduire définitif.
Il est dix heures. Nous attendons nos moniteurs. En fait nous avons chacun un moniteur et un véhicule adapté pour l’apprentissage de la conduite. Puis deux jeunes hommes d’environ vingt-cinq à trente ans se présentent. Le premier, un grand blond aux yeux clairs et habillé d’un tee-shirt et d’un jeans délavé se présente et il nous dit qu’il se prénomme Xavier. L’autre est plus petit, châtain clair, yeux marron, chemise blanche sans manche et pantalon de toile beige. Il s’appelle Didier nous dit-il. Ils ont chacun un porte documents en main. Xavier regarde le nom inscrit sur la première page et il interroge « Philippe » ? Je m’avance vers lui et je lui serre la main. Didier dit alors à Julien à le suivre.
Nous suivons notre instructeur. Xavier me présente le véhicule qui est mis à ma disposition pour l’apprentissage. C’est une fiat 123. Je vois que Juju a un véhicule identique au mien. Voilà, plus moyen de reculer, "alea jacta est" : nous allons apprendre à conduire.
Premiers pas, non premiers tours de roues avec une voiture. Bien entendu, c’est d’abord le placement du siège à bonne distance du volant, réglage des rétroviseurs, la mise de la ceinture de sécurité. Une fois installé, c’est au tour du maniement de la boîte de vitesse, l’apprentissage de la position des pédales, l’accélérateur, le frein et l’embrayage. Puis il ne faut pas oublier le frein à main, les leviers pour les clignotants, les feux, les essuie-glaces, etc. Bon, il a bien fallu un quart d’heure pour assimiler l’emplacement des manettes et des pédales permettant de faire fonctionner une voiture dans la circulation.
Puis, enfin, c’est le moment tant attendu, la mise en route du moteur. Xavier me met à l’aise et il me prodigue toutes les informations et astuces utiles pour la conduite. Il ne reste plus qu’à apprendre le maniement du volant, le dosage de l’accélérateur ainsi que de l’embrayage, c’est ce qu’il y a de plus délicat, car il ne faut pas oublier les autres véhicules dans la circulation, la mise en fonctionnement des clignotants, etc.
Les deux premières heures ont passés à une vitesse incroyable. Bien entendu que Xavier m’a fortement aidé avec la seconde commande du véhicule qui prime sur celle de l’élève-conducteur. Julien est lui aussi très content d’apprendre la conduite d’une voiture avec son moniteur Didier. Pour lui aussi, tout s’est très bien déroulé.
Le reste de l’après-midi s’est, bien entendu passé sous les meilleurs auspices. Repas à la maison chez Julien, balade en forêt et ensuite séance de bronzage « in naturalibus » dans le jardin avant de songer au souper.
Soirée amusante avec les deux filles et les parents de Julien. Une nuit bien calme, hormis des caresses et des baisers assez chauds entre nous.
Julien me caresse les cheveux et le visage. Il est déjà huit heures dix. J’ai passé une excellente nuit. C’est notre second cours de conduite. A ce rythme-là, dans quinze jours, nous saurons conduire une voiture.
J’ai la gaule du matin, Julien l’a bien vu car il dépose sa main droite sur mon vit dressé. Il est bien entendu que Julien lui aussi présente une déformation sous la toison pubienne. J’explore alors cet endroit déjà parcouru maintes fois. Nous nous caressons de plus en plus ouvertement. Nos doigts se positionnent le long de cette colonne de chair déjà très chaude. Puis les yeux dans les yeux, nous nous masturbons mutuellement. Nos doigts appliquent des mouvements tout le long de cette tige d’amour. Les mouvements se font tantôt lents et ensuite plus rapides. Mon prépuce dévoile et recouvre mon gland alternativement en fonction des mouvements donnés par Julien. Puis pour finir mon gland est à l’air libre, déjà tout humide de précum. C’est la même chose pour Julien. J’en profite pour lui caresser le périnée. Puis je laisse un doigt titiller la collerette de son anus. Julien pousse de petits cris. Il s’applique lui aussi à me faire connaître quelques sensations au niveau de mon orifice anal. Puis je sens qu’il enfonce un doigt qu’il avait préalablement enduit de mon précum. Quelle merveille, et de suite je m’engage dans cette même voie, je touche son gland pour y prélever avec mon doigt un peu de ce liquide translucide pour ensuite le présenter à l’entrée de sa grotte. Nous nous doigtons, tout en nous masturbant mutuellement. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant de jouir. Nous répandons notre sperme sur les doigts de notre amour ainsi que sur les draps. Puis nous retirons notre doigt de l’antre anal de notre partenaire. Je pense que Béatrice va devoir laver les draps du lit de Julien.
Une fois remis de nos ébats, nous prenons une bonne douche bien méritée. Habillés, nous descendons pour prendre notre petit déjeuner en famille. Il faut bien "se lester" pour tenir jusqu’au repas de midi afin de ne pas avoir un creux vers onze heures. Nous sommes donc d’attaque pour cette seconde séance de conduite.
Nous prenons le bus et, comme d’habitude, nous avons droit à notre cher chauffeur, Marcel. Dès notre entrée dans le bus, nous le saluons par un « bonjour Marcel » fort et amical et de son côté il nous répond en nous disant : « Bonjour Phil, bonjour Julien, alors les cours de conduite, ça va ? ». Ensemble nous disons un « oui » bien franc.
La seconde matinée se passe très bien. D’abord le rappel de ce qui a été vu la veille. Puis d’office départ du parking de l’auto-école pour circuler en milieu urbain, incluant les feux de circulation ainsi que les priorités de droite, etc.
Comme la veille cette matinée se passe au mieux. Nous reprenons le bus pour rentrer à la maison. C’est donc chez moi que nous arrivons pour douze heures cinquante.
Maman est dans la cuisine. Elle est seule dans la maison. Je lui propose de lui donner un coup de main pour le repas, mais elle me dit que c’est inutile. Nous pourrons passer à table dans une demi-heure. Ayant donc un peu de temps, nous nous déshabillons pour plonger, nus, dans la piscine.
Après avoir dîné, nous avons le plaisir de voir Jacques avec Dimitri arriver. En effet Jacques voulait nous revoir avec son ami pour annoncer une très bonne nouvelle. Le papa de Dimitri reste en Belgique et Jacques reste lui aussi vivre à Bruxelles dans la famille de son petit-ami Dimitri.
J’ai pu voir dans le regard de Jacques comme des étincelles de bonheur lorsqu’il a fait cette annonce. Dimitri lui aussi sourit en voyant son ami si heureux. Julien félicite alors les deux visiteurs et leur souhaite d’être heureux ensemble. Moi aussi je leur fais un câlin partagé.
Moi : « Bon les gars, je propose qu’on fasse un tour en forêt jusqu’à l’heure du goûter. Ensuite, on verra bien, je pense que « piscine » est un mot magique pour poursuivre cet après-midi.
Jac : Oui, c’est super. On fait comme ça ?
Dim : Oui, c’est sympa et puis ça changera.
Moi : OK, adopté. Je propose qu’on se mette en route. GO. »
Nous voilà tous partis à pied vers ce poumon vert de la capitale. Nous prenons les drèves déjà bien connues de tous, sauf peut-être de Dimitri. Il est heureux de découvrir une autre facette de ce coin de verdure. Nous sommes même allés jusqu’à l’étang des Enfants Noyés ! Ensuite nous sommes revenus. Tout au long du trajet, nous parlons de l’avenir ; des études que nous allons entamer, des projets de futures sorties, de notre cercle d’amis qui s’est enrichi de la présence de Dimitri. Pour ma part je découvre ce gars très sympathique et assez jovial. Il est très souriant et semble s’être intégré très facilement à notre groupe. Je suis très heureux que Jacques soit tombé amoureux de ce super garçon.
De retour à la maison, c’est le goûter qui nous attend. Nous avons assez faim, cette balade nous a mis en appétit. Maman avait préparé un sorbet aux framboises accompagné d’un cake et nous avons bu du thé glacé pour nous rafraîchir. Il faisait déjà très chaud. Je propose alors d’aller piquer une tête dans la piscine. Ni une, ni deux, nous nous retrouvons nus comme des vers et nous sautons dans l’eau qui est d’ailleurs à bonne température.
Nous nous amusons à nous couler les uns les autres. Nous sommes de vrais gamins. Puis c’est un concours d’apnée en vue de savoir qui restera le plus longtemps sous l’eau avant de reprendre sa respiration. Nous sommes dans la piscine depuis plus d’une heure quand maman vient nous interrompre. Elle a un air grave. Je pense que quelque chose s’est passé, mais quoi. Elle se met accroupi et demande gentiment à Julien de venir près d’elle. Puis elle lui dit :
Mam : « Julien, ta maman vient de téléphoner. Elle demande que tu rentres à la maison dès que possible. Il semble qu’il y a un décès dans l’entourage de la famille.
Jul : Ah bon, je ne vois pas qui cela pourrait être. Maman n’a pas dit qui c’est ?
Mam : Oui Julien, elle me l’a dit, mais si tu veux, tu lui demanderas lorsque tu seras rentré, ou alors je te le dis !
Jul : Je préfère le savoir maintenant.
Mam : Voilà Julien, c’est ton parrain qui est décédé.
Jul : Oh, parrain. (Un moment en suspens) Il y a deux ans ou trois que je ne l’ai plus revu.
Moi : Ça va Juju ? Tu veux que je vienne chez toi ?
Jul : Non Phil, ça va aller. En fait mon parrain c’est un ami d’enfance de maman. Nous ne nous voyions plus trop, mais c’est difficile à expliquer et je ne souhaite rien en dire aujourd’hui.
Moi : OK Juju, tu fais comme tu veux. Tu sais que je suis là pour toi alors n’hésite pas si tu veux que je sois auprès de toi.
Jul : Merci Phil, je sais que tu seras là pour moi, je t’en remercie.
Mam : Tu veux que je te raccompagne chez toi ?
Jul : Oui c’est très gentil. Bon je vais me sécher et j’arrive. »
Jacques et Dimitri sont restés sans rien dire. Le charme de cet après-midi est rompu. On sent que Julien est triste, mais il ne pleure pas. Qu’y a-t-il de spécial pour qu’il dise qu’il n’a plus vu son parrain depuis plus de deux ans, je me pose un tas de questions. Nous sortons aussi hors de l’eau, nous n’avons plus le cœur à jouer.
Au moment où Julien s’apprête à quitter la maison, je l’embrasse sur la bouche, sans exagérer. Puis je lui dis de me tenir au courant, qu’il me téléphone au soir. Il monte dans la voiture de maman et me fait un signe de la main. Jacques et Dimitri lui disent eux aussi au revoir. Comme il commence à se faire tard, nos deux amis quittent aussi la maison. Je les salue et je les remercie de leur visite.
Cours de conduite, mauvaise nouvelle, ….
Bzzz, bzzz, bzzz, c’est le réveil. Il est déjà huit heures pétantes. Nous allons prendre notre premier cours de conduite aujourd’hui. Nous avons rendez-vous à dix heures. Nous passons à la salle de bain ; une bonne douche pour bien se réveiller et être en forme. Habillage et ensuite petit-déjeuner. C’est important de manger un bout le matin, c’est un apport d’énergie qui est nécessaire pour passer une bonne matinée sans avoir la dalle vers dix – onze heures. Je ne comprends pas comment certains ados puissent faire l’impasse sur ce moment important. Bon, pour Julien et moi, c’est tartines à la confiture de fraise, chocolat chaud ou café, ainsi qu’un fruit ou un yaourt.
Nous attendons le bus pour nous rendre à notre premier cours de conduite. C’est toujours la même auto-école où nous nous rendons. Voilà le bus. Nous montons et nous présentons nos abonnements au chauffeur. Mais c’est le même chauffeur qui nous véhiculait pour les cours théoriques sur le permis de conduire. Nous le saluons avec un très grand sourire. Lui aussi nous répond par un énorme sourire et il nous dit :
Cha : Alors les petits gars, comment ça va les vacances ?
Moi : Oui très bien merci. Et vous monsieur, pas trop de travail pour le moment ?
Cha : Non, ce sont les vacances, alors il y a moins de monde dans le bus et aussi, ce que j’aime, il y a moins de circulation, ce qui fait que je suis toujours à l’heure aux arrêts !
Jul : Mais c’est bien, c’est vrai que cela change de la cohue habituelle durant l’année.
Cha : Très juste. Au fait, moi c’est Marcel et vous pouvez me tutoyer !
Moi : Très bien, heu Marcel, moi c’est Philippe, mais c’est plus simple de dire Phil.
Jul : Moi c’est Julien.
Cha : Très bien les jeunes. Bon je vous laisse vous asseoir, il est temps de quitter l’arrêt.
Moi et Jul : Merci Marcel. »
Nous nous installons juste derrière le poste de conduite. C’est devenu une habitude avec Marcel comme chauffeur. Il est vrai qu’avant de le connaître, c’était presque toujours sur la banquette arrière que les jeunes se plaçaient, nous aussi. Je sais que Marcel nous apprécie et nous nous arrangeons pour ne pas trop le perturber. J’ai déjà pu constater que c’est un très bon chauffeur, presque pas de secousses lors du démarrage, une conduite très souple et un freinage préventif pour ne pas bousculer les passagers.
Nous voilà arrivés à destination. Nous saluons Marcel en lui souhaitant une très bonne journée. Nous pouvons voir un très large sourire illuminer son visage. Il est vraiment très chouette notre chauffeur.
Nous entrons dans le hall d’accueil, il est neuf heures cinquante. Nous nous présentons à la secrétaire de l’établissement. Elle nous remercie d’être à l’heure car cela facilite les devoirs administratifs qu’elle doit accomplir avant que nous puissions monter dans une voiture pour apprendre à conduire. C’est la bonne vérification du document de réussite du cours sur le code de la route, de notre nom, du prénom, de notre date de naissance ainsi que de notre adresse de domicile. Il ne peut y avoir de faute dans toutes les données administratives au risque de devoir faire des rectifications laborieuses, mais aussi sans voir l’erreur éventuelle qui pourrait ralentir la délivrance de la licence d’apprentissage, étape avant l’obtention du permis de conduire définitif.
Il est dix heures. Nous attendons nos moniteurs. En fait nous avons chacun un moniteur et un véhicule adapté pour l’apprentissage de la conduite. Puis deux jeunes hommes d’environ vingt-cinq à trente ans se présentent. Le premier, un grand blond aux yeux clairs et habillé d’un tee-shirt et d’un jeans délavé se présente et il nous dit qu’il se prénomme Xavier. L’autre est plus petit, châtain clair, yeux marron, chemise blanche sans manche et pantalon de toile beige. Il s’appelle Didier nous dit-il. Ils ont chacun un porte documents en main. Xavier regarde le nom inscrit sur la première page et il interroge « Philippe » ? Je m’avance vers lui et je lui serre la main. Didier dit alors à Julien à le suivre.
Nous suivons notre instructeur. Xavier me présente le véhicule qui est mis à ma disposition pour l’apprentissage. C’est une fiat 123. Je vois que Juju a un véhicule identique au mien. Voilà, plus moyen de reculer, "alea jacta est" : nous allons apprendre à conduire.
Premiers pas, non premiers tours de roues avec une voiture. Bien entendu, c’est d’abord le placement du siège à bonne distance du volant, réglage des rétroviseurs, la mise de la ceinture de sécurité. Une fois installé, c’est au tour du maniement de la boîte de vitesse, l’apprentissage de la position des pédales, l’accélérateur, le frein et l’embrayage. Puis il ne faut pas oublier le frein à main, les leviers pour les clignotants, les feux, les essuie-glaces, etc. Bon, il a bien fallu un quart d’heure pour assimiler l’emplacement des manettes et des pédales permettant de faire fonctionner une voiture dans la circulation.
Puis, enfin, c’est le moment tant attendu, la mise en route du moteur. Xavier me met à l’aise et il me prodigue toutes les informations et astuces utiles pour la conduite. Il ne reste plus qu’à apprendre le maniement du volant, le dosage de l’accélérateur ainsi que de l’embrayage, c’est ce qu’il y a de plus délicat, car il ne faut pas oublier les autres véhicules dans la circulation, la mise en fonctionnement des clignotants, etc.
Les deux premières heures ont passés à une vitesse incroyable. Bien entendu que Xavier m’a fortement aidé avec la seconde commande du véhicule qui prime sur celle de l’élève-conducteur. Julien est lui aussi très content d’apprendre la conduite d’une voiture avec son moniteur Didier. Pour lui aussi, tout s’est très bien déroulé.
Le reste de l’après-midi s’est, bien entendu passé sous les meilleurs auspices. Repas à la maison chez Julien, balade en forêt et ensuite séance de bronzage « in naturalibus » dans le jardin avant de songer au souper.
Soirée amusante avec les deux filles et les parents de Julien. Une nuit bien calme, hormis des caresses et des baisers assez chauds entre nous.
Julien me caresse les cheveux et le visage. Il est déjà huit heures dix. J’ai passé une excellente nuit. C’est notre second cours de conduite. A ce rythme-là, dans quinze jours, nous saurons conduire une voiture.
J’ai la gaule du matin, Julien l’a bien vu car il dépose sa main droite sur mon vit dressé. Il est bien entendu que Julien lui aussi présente une déformation sous la toison pubienne. J’explore alors cet endroit déjà parcouru maintes fois. Nous nous caressons de plus en plus ouvertement. Nos doigts se positionnent le long de cette colonne de chair déjà très chaude. Puis les yeux dans les yeux, nous nous masturbons mutuellement. Nos doigts appliquent des mouvements tout le long de cette tige d’amour. Les mouvements se font tantôt lents et ensuite plus rapides. Mon prépuce dévoile et recouvre mon gland alternativement en fonction des mouvements donnés par Julien. Puis pour finir mon gland est à l’air libre, déjà tout humide de précum. C’est la même chose pour Julien. J’en profite pour lui caresser le périnée. Puis je laisse un doigt titiller la collerette de son anus. Julien pousse de petits cris. Il s’applique lui aussi à me faire connaître quelques sensations au niveau de mon orifice anal. Puis je sens qu’il enfonce un doigt qu’il avait préalablement enduit de mon précum. Quelle merveille, et de suite je m’engage dans cette même voie, je touche son gland pour y prélever avec mon doigt un peu de ce liquide translucide pour ensuite le présenter à l’entrée de sa grotte. Nous nous doigtons, tout en nous masturbant mutuellement. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant de jouir. Nous répandons notre sperme sur les doigts de notre amour ainsi que sur les draps. Puis nous retirons notre doigt de l’antre anal de notre partenaire. Je pense que Béatrice va devoir laver les draps du lit de Julien.
Une fois remis de nos ébats, nous prenons une bonne douche bien méritée. Habillés, nous descendons pour prendre notre petit déjeuner en famille. Il faut bien "se lester" pour tenir jusqu’au repas de midi afin de ne pas avoir un creux vers onze heures. Nous sommes donc d’attaque pour cette seconde séance de conduite.
Nous prenons le bus et, comme d’habitude, nous avons droit à notre cher chauffeur, Marcel. Dès notre entrée dans le bus, nous le saluons par un « bonjour Marcel » fort et amical et de son côté il nous répond en nous disant : « Bonjour Phil, bonjour Julien, alors les cours de conduite, ça va ? ». Ensemble nous disons un « oui » bien franc.
La seconde matinée se passe très bien. D’abord le rappel de ce qui a été vu la veille. Puis d’office départ du parking de l’auto-école pour circuler en milieu urbain, incluant les feux de circulation ainsi que les priorités de droite, etc.
Comme la veille cette matinée se passe au mieux. Nous reprenons le bus pour rentrer à la maison. C’est donc chez moi que nous arrivons pour douze heures cinquante.
Maman est dans la cuisine. Elle est seule dans la maison. Je lui propose de lui donner un coup de main pour le repas, mais elle me dit que c’est inutile. Nous pourrons passer à table dans une demi-heure. Ayant donc un peu de temps, nous nous déshabillons pour plonger, nus, dans la piscine.
Après avoir dîné, nous avons le plaisir de voir Jacques avec Dimitri arriver. En effet Jacques voulait nous revoir avec son ami pour annoncer une très bonne nouvelle. Le papa de Dimitri reste en Belgique et Jacques reste lui aussi vivre à Bruxelles dans la famille de son petit-ami Dimitri.
J’ai pu voir dans le regard de Jacques comme des étincelles de bonheur lorsqu’il a fait cette annonce. Dimitri lui aussi sourit en voyant son ami si heureux. Julien félicite alors les deux visiteurs et leur souhaite d’être heureux ensemble. Moi aussi je leur fais un câlin partagé.
Moi : « Bon les gars, je propose qu’on fasse un tour en forêt jusqu’à l’heure du goûter. Ensuite, on verra bien, je pense que « piscine » est un mot magique pour poursuivre cet après-midi.
Jac : Oui, c’est super. On fait comme ça ?
Dim : Oui, c’est sympa et puis ça changera.
Moi : OK, adopté. Je propose qu’on se mette en route. GO. »
Nous voilà tous partis à pied vers ce poumon vert de la capitale. Nous prenons les drèves déjà bien connues de tous, sauf peut-être de Dimitri. Il est heureux de découvrir une autre facette de ce coin de verdure. Nous sommes même allés jusqu’à l’étang des Enfants Noyés ! Ensuite nous sommes revenus. Tout au long du trajet, nous parlons de l’avenir ; des études que nous allons entamer, des projets de futures sorties, de notre cercle d’amis qui s’est enrichi de la présence de Dimitri. Pour ma part je découvre ce gars très sympathique et assez jovial. Il est très souriant et semble s’être intégré très facilement à notre groupe. Je suis très heureux que Jacques soit tombé amoureux de ce super garçon.
De retour à la maison, c’est le goûter qui nous attend. Nous avons assez faim, cette balade nous a mis en appétit. Maman avait préparé un sorbet aux framboises accompagné d’un cake et nous avons bu du thé glacé pour nous rafraîchir. Il faisait déjà très chaud. Je propose alors d’aller piquer une tête dans la piscine. Ni une, ni deux, nous nous retrouvons nus comme des vers et nous sautons dans l’eau qui est d’ailleurs à bonne température.
Nous nous amusons à nous couler les uns les autres. Nous sommes de vrais gamins. Puis c’est un concours d’apnée en vue de savoir qui restera le plus longtemps sous l’eau avant de reprendre sa respiration. Nous sommes dans la piscine depuis plus d’une heure quand maman vient nous interrompre. Elle a un air grave. Je pense que quelque chose s’est passé, mais quoi. Elle se met accroupi et demande gentiment à Julien de venir près d’elle. Puis elle lui dit :
Mam : « Julien, ta maman vient de téléphoner. Elle demande que tu rentres à la maison dès que possible. Il semble qu’il y a un décès dans l’entourage de la famille.
Jul : Ah bon, je ne vois pas qui cela pourrait être. Maman n’a pas dit qui c’est ?
Mam : Oui Julien, elle me l’a dit, mais si tu veux, tu lui demanderas lorsque tu seras rentré, ou alors je te le dis !
Jul : Je préfère le savoir maintenant.
Mam : Voilà Julien, c’est ton parrain qui est décédé.
Jul : Oh, parrain. (Un moment en suspens) Il y a deux ans ou trois que je ne l’ai plus revu.
Moi : Ça va Juju ? Tu veux que je vienne chez toi ?
Jul : Non Phil, ça va aller. En fait mon parrain c’est un ami d’enfance de maman. Nous ne nous voyions plus trop, mais c’est difficile à expliquer et je ne souhaite rien en dire aujourd’hui.
Moi : OK Juju, tu fais comme tu veux. Tu sais que je suis là pour toi alors n’hésite pas si tu veux que je sois auprès de toi.
Jul : Merci Phil, je sais que tu seras là pour moi, je t’en remercie.
Mam : Tu veux que je te raccompagne chez toi ?
Jul : Oui c’est très gentil. Bon je vais me sécher et j’arrive. »
Jacques et Dimitri sont restés sans rien dire. Le charme de cet après-midi est rompu. On sent que Julien est triste, mais il ne pleure pas. Qu’y a-t-il de spécial pour qu’il dise qu’il n’a plus vu son parrain depuis plus de deux ans, je me pose un tas de questions. Nous sortons aussi hors de l’eau, nous n’avons plus le cœur à jouer.
Au moment où Julien s’apprête à quitter la maison, je l’embrasse sur la bouche, sans exagérer. Puis je lui dis de me tenir au courant, qu’il me téléphone au soir. Il monte dans la voiture de maman et me fait un signe de la main. Jacques et Dimitri lui disent eux aussi au revoir. Comme il commence à se faire tard, nos deux amis quittent aussi la maison. Je les salue et je les remercie de leur visite.