CHAPITRE IV- Suite
Quand je vous disais que j’étais poursuivi par la guigne, vous vous êtes dit que ça vous arrive à vous aussi et qu’il n’y a rien d’extraordinaire. Mais là, avouez franchement que la poisse est avec moi.
Je rencontre une femme que tous les autres qualifieraient d’ordinaire.
Je tombe amoureux. Amoureux de son physique et même s’il n’est pas toujours à son avantage, je m’en fou. Amoureux de son mental - j’adore ses mimiques, ses expressions d’un naturel désarmant, sa façon à elle d’être ce qu’elle est, son humour, ses réactions, ses réparties, … Je serai capable de tomber amoureux de son tee short, de ses chaussettes, de sa petite culotte s’il le fallait.
Je ressens en retour une réciprocité sans équivoque.
Et à la toute première approche : le râteau !!!
Je suis dérouté mais j’ai conscience que c’est loin d’être un râteau. Tout compte fait, c’est bien tout le contraire et il faudrait être idiot pour ne pas s’en être aperçu ; elle ne m’a jamais repoussée, elle n’a jamais dit « Non », elle a simplement demandé un peu de temps.
Avant de partir Alice m’a toutefois fait promettre de venir la voir dimanche, comme si elle craignait que je puisse esquiver l’invitation.
Quand je vous disais que j’étais poursuivi par la guigne, vous vous êtes dit que ça vous arrive à vous aussi et qu’il n’y a rien d’extraordinaire. Mais là, avouez franchement que la poisse est avec moi.
Je rencontre une femme que tous les autres qualifieraient d’ordinaire.
Je tombe amoureux. Amoureux de son physique et même s’il n’est pas toujours à son avantage, je m’en fou. Amoureux de son mental - j’adore ses mimiques, ses expressions d’un naturel désarmant, sa façon à elle d’être ce qu’elle est, son humour, ses réactions, ses réparties, … Je serai capable de tomber amoureux de son tee short, de ses chaussettes, de sa petite culotte s’il le fallait.
Je ressens en retour une réciprocité sans équivoque.
Et à la toute première approche : le râteau !!!
Je suis dérouté mais j’ai conscience que c’est loin d’être un râteau. Tout compte fait, c’est bien tout le contraire et il faudrait être idiot pour ne pas s’en être aperçu ; elle ne m’a jamais repoussée, elle n’a jamais dit « Non », elle a simplement demandé un peu de temps.
Avant de partir Alice m’a toutefois fait promettre de venir la voir dimanche, comme si elle craignait que je puisse esquiver l’invitation.
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