27-11-2020, 10:26 AM
Je reviens sur la terrasse et tous les regards sont tournés vers moi. Je viens m’asseoir à côté de Julien. Puis voyant que toute la famille attend que je dise quelque chose, je me lance :
Moi : « Bon, Jacques est rentré hier soir. Il demande s’il peut passer me voir. J’ai accepté et je l’ai invité pour souper aussi.
Mam : Pas de problème pour nous, nous ferons donc un barbecue. Mais avait-il l’air soucieux quand il te parlait ?
Moi : Non maman, il avait l’air tout à fait normal, peut-être un peu enjoué à ce que je peux retenir de l’impression qu’il m’a donnée.
Mam : Tant mieux. Bon, il a donné l’heure de son arrivée ?
Moi : Oui Maman, il sera là vers quinze heures.
Mam : Très bien. Tu me diras qui sera là pour souper, car je dois encore aller faire les courses pour être certaine d’avoir assez pour manger.
Moi : Oui maman, c’est simple, il y aura les deux filles, Olivier et Julie, Amandine et Joseph, Julien, moi bien entendu et vous deux si vous souhaitez rester avec nous…Ah j’oubliais Jacques !
Mam : Très bien Phil. Ton père et moi nous en avons discuté et nous ne serons pas là, on vous laisse entre jeunes.
Moi : Mais cela ne me dérange pas que vous soyez là.
Papa : Non Phil, vous allez vous retrouver entre jeunes et je crois qu’on serait de trop.
Moi : Merci Maman, merci Papa, je vous adore !
Papa : Merci mon fils, nous t’aimons aussi ainsi que tous ceux qui sont autour de cette table !
Moi : Heu, je ne sais pas quoi ajouter.
Mam : Rien Phil, vous nous rendez heureux, c’est le principal.
Nous sommes près des larmes, mais nous nous retenons. Des sourires s’affichent sur les visages enjoués de notre famille « élargie ». Nous sommes tous convaincus que l’amour familial est très fort.
Moi : Je compte bien, Maman, nous serons neuf pour le barbecue de ce soir.
Mam : C’est ce que j’ai compté. Je vais tabler sur dix personnes, on ne sait jamais si quelqu’un se rajoute.
Moi : Super. Merci.
Del : Phil tu veux que je fasse un dessert, je ne sais pas moi, un gâteau léger aux fruits des bois ?
Moi : Tu es extra ma grande sœur, c’est super gentil, oui je veux bien.
Del : Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour son petit frère adoré !
Moi : Oui c’est ça, tu me chambres encore.
Del : Bien sûr Phil, qui aime bien châtie bien, mon frère « lubrique ».
Moi : Ah non, ce n’est pas un peu fini !
Del : Ça ne fait que commencer !
Moi : Je crois que cela va durer toute la journée. Pufff »
Delphine se lève et viens me donner un bisou sur la joue. Elle me glisse à l’oreille : « Non Phil, je vais arrêter mon petit frère si craquant ! » Je le sais, ma sœur m’aime tel que je suis, elle a toujours été là pour moi. Puis Stéphanie elle aussi est super. Julien est adorable lui aussi. C’est assez particulier de savoir que ma sœur aime la sœur de mon amoureux. Maman, sans même entendre les paroles, sait très bien que c’est du positif. Elle arbore alors un très beau sourire. Cela me conforte encore plus dans le fait que ma famille nous soutient du mieux qu’elle peut.
J’embrasse alors Julien à pleine bouche, Delphine et Stéphanie font de même, ensuite Oliver et Julie s’embrassent eux aussi. Mes parents se sont éclipsés pour nous laisser tranquille. J’aurai voulu être une petite souris pour voir ça dans son ensemble !
Il a bien fallu revenir un peu sur Terre et envisager de préparer le barbecue de la soirée, soit tout remettre en ordre.
J’ai vérifié s’il y avait encore du charbon de bois dans la réserve. Papa est descendu avec Julien à la cave pour remonter des bouteilles de vin, du rouge et du rosé. Julien met le rosé au frigo et le rouge est rangé à l’abri du soleil et de la chaleur ambiante. Les filles s’activent pour faire la liste des achats pour le repas. Olivier s’occupe avec Julie de replacer les tables sur la terrasse. Tout le monde est concentré sur le travail en cours pour que cette soirée se passe au mieux.
Je prends le téléphone et je sonne à Amandine. Je l’invite à venir à la maison vers quinze heures, peut-être un peu avant en lui expliquant que Jacques serait présent vers quinze heures. Amandine me signale que Joseph est auprès d’elle et qu’elle lui passe le message. Je la remercie et je lui demande de ne pas être en retard. Je ne sais pas, mais je me demande bien ce que Jacques veut me dire.
Maman revient avec les deux filles et les courses, elles ont acheté tout ce qu’il fallait, elles ont même pensé aux amuse-bouches pour l’apéro, ainsi qu’aux softs. Tout me semble en bonne ligne pour que nous puissions passer une excellente soirée. Les deux filles s’attellent à la préparation du gâteau. Il est déjà midi moins le quart. Papa a préparé des croquemonsieurs pour ne pas rester le ventre vide. Il est toujours au taquet Papa, je ne sais pas ce que je ferai sans lui et sans Maman surtout.
Tout est en place, Amandine vient juste d’arriver en compagnie de Joseph. Il est quatorze heures quarante. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens stressé, pourtant il n’y a pas de quoi, Julien, ma famille et mes amis sont là auprès de moi. Bon je bois un verre d’eau fraîche pour me désaltérer. Ça va, ça passe un peu. Mes parents sont partis depuis une bonne demi-heure pour nous laisser entre jeunes. Julien vient près de moi et me dit que tout va très bien se passer. Il le faut.
Quinze heures moins deux, on sonne à la porte d’entrée. Comme convenu c’est Delphine qui va ouvrir. Nous sommes assis sur la terrasse, l’air de rien, en train de parler de choses et d’autres. Delphine introduit Jacques sur la terrasse. Je le regarde, il affiche un large sourire. Juste derrière lui je peux voir un garçon du même âge, châtain très clair, avec des reflets roux, mi-longs, aux yeux verts, un mètre quatre-vingts, vêtu d’un short beige et d’un tee-shirt blanc. Je me lève pour aller vers Jacques, tous les yeux sont tournés vers Jacques et le garçon qui le suit. Je salue mon ami Jacques :
Moi : « Bonjour Jacques, heureux de te revoir.
Jac : Moi aussi Phil, cela me fait plaisir. Au fait je te présente Dimitri.
Moi : Bonjour Dimitri.
Dim : Bonjour Phil, Jacques m’a beaucoup parlé de toi.
Moi : Merci. Je vous présente Julien, je crois que Jacques en a entendu parler !
Jac : Oui Phil, c’est ton ami, ton amoureux. Tu sais Dimi est le mien, c’est lui mon amoureux. C’est de ça que je voulais te parler !
Moi : Je suis heureux pour toi. Bon, voici Olivier, mon grand frère et Julie sa compagne, Delphine c’est ma sœur, et Stéphanie c’est son amie, enfin sa compagne. Puis nos amis Amandine et Joseph, ils sont amoureux l’un de l’autre.
Dim : Merci Phil. Comme ça je sais qui est qui.
Jac : Je vois que tu sembles plus souriant qu’il y a quelques minutes Phil.
Moi : Oui Jacques, je ne vais pas te cacher que j’étais un peu stressé de te revoir. Je me demandais si tu savais que Julien était mon ami depuis que nous nous sommes quittés.
Jac : Oui Phil, nous en avons parlé lors de nos échanges téléphoniques ou par lettres. Je sais que notre histoire n’a pas duré longtemps, mais il ne faut pas avoir de regret.
Moi : Merci Jacques, on peut se faire un câlin, ça n’engage à rien. »
Jacques et moi nous nous faisons un câlin, un câlin entre ami. Sans un mot. Puis une fois cette étreinte terminée, Julien vient vers moi et serre la main à Jacques. Dimitri vient faire de même avec moi et Julien. C’est Olivier qui prend alors la parole :
Oli : « Très bien les gars, je propose que nous buvions un verre pour fêter ces retrouvailles.
Moi : Tu as raison frérot, buvons à notre santé à tous !
Dim : Merci de m’accepter parmi vous.
Jul : Pas de problème l’ami.
Un grand éclat de rire fuse, c’est Amandine.
Ama : Alors là les mecs, vous vous êtes vus. Vous aviez tous les deux peurs de vous revoir, ayant chacun trouvé le cœur à prendre. Allez venez dans mes bras mes deux copains de classe. »
Nous avons fait un énorme câlin auquel Joseph s’est joint. Nous étions heureux de nous revoir. Nous avons chacun un verre à la main. Nous allons trinquer à l’amitié, mais je pense alors à Jean, oui Jean qui nous a quitté trop tôt. Il était notre ami, notre ami à tous les quatre. Je prends alors la parole :
Moi : « Je voudrai que nous portions un toast à la mémoire de Jean. C’était notre ami et il reste dans nos cœurs.
Ama : Tu as raison Phil. A Jean, notre ami de toujours !
Nous levons nos verres en sa mémoire.
Jul : Maintenant je propose que nous buvions à l’amitié.
Jac : Oui, à l’amitié. Puissions-nous rester amis pour la vie ! »
Une seconde fois nous levons nos verres et buvons à l’amitié. C’est une chose importante et de plus elle est une sorte de lien entre le passé et le futur pour ceux qui sont amis de longue date. Puis nous revenons à nos occupations, soit de nous raconter l’un l’autre ce que nous avons vécu chacun de notre côté. Je suis convaincu que nous allons passer un très bel après-midi et une bonne soirée ensemble. Plus de crainte, rien que du bonheur !
Moi : « Bon, Jacques est rentré hier soir. Il demande s’il peut passer me voir. J’ai accepté et je l’ai invité pour souper aussi.
Mam : Pas de problème pour nous, nous ferons donc un barbecue. Mais avait-il l’air soucieux quand il te parlait ?
Moi : Non maman, il avait l’air tout à fait normal, peut-être un peu enjoué à ce que je peux retenir de l’impression qu’il m’a donnée.
Mam : Tant mieux. Bon, il a donné l’heure de son arrivée ?
Moi : Oui Maman, il sera là vers quinze heures.
Mam : Très bien. Tu me diras qui sera là pour souper, car je dois encore aller faire les courses pour être certaine d’avoir assez pour manger.
Moi : Oui maman, c’est simple, il y aura les deux filles, Olivier et Julie, Amandine et Joseph, Julien, moi bien entendu et vous deux si vous souhaitez rester avec nous…Ah j’oubliais Jacques !
Mam : Très bien Phil. Ton père et moi nous en avons discuté et nous ne serons pas là, on vous laisse entre jeunes.
Moi : Mais cela ne me dérange pas que vous soyez là.
Papa : Non Phil, vous allez vous retrouver entre jeunes et je crois qu’on serait de trop.
Moi : Merci Maman, merci Papa, je vous adore !
Papa : Merci mon fils, nous t’aimons aussi ainsi que tous ceux qui sont autour de cette table !
Moi : Heu, je ne sais pas quoi ajouter.
Mam : Rien Phil, vous nous rendez heureux, c’est le principal.
Nous sommes près des larmes, mais nous nous retenons. Des sourires s’affichent sur les visages enjoués de notre famille « élargie ». Nous sommes tous convaincus que l’amour familial est très fort.
Moi : Je compte bien, Maman, nous serons neuf pour le barbecue de ce soir.
Mam : C’est ce que j’ai compté. Je vais tabler sur dix personnes, on ne sait jamais si quelqu’un se rajoute.
Moi : Super. Merci.
Del : Phil tu veux que je fasse un dessert, je ne sais pas moi, un gâteau léger aux fruits des bois ?
Moi : Tu es extra ma grande sœur, c’est super gentil, oui je veux bien.
Del : Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour son petit frère adoré !
Moi : Oui c’est ça, tu me chambres encore.
Del : Bien sûr Phil, qui aime bien châtie bien, mon frère « lubrique ».
Moi : Ah non, ce n’est pas un peu fini !
Del : Ça ne fait que commencer !
Moi : Je crois que cela va durer toute la journée. Pufff »
Delphine se lève et viens me donner un bisou sur la joue. Elle me glisse à l’oreille : « Non Phil, je vais arrêter mon petit frère si craquant ! » Je le sais, ma sœur m’aime tel que je suis, elle a toujours été là pour moi. Puis Stéphanie elle aussi est super. Julien est adorable lui aussi. C’est assez particulier de savoir que ma sœur aime la sœur de mon amoureux. Maman, sans même entendre les paroles, sait très bien que c’est du positif. Elle arbore alors un très beau sourire. Cela me conforte encore plus dans le fait que ma famille nous soutient du mieux qu’elle peut.
J’embrasse alors Julien à pleine bouche, Delphine et Stéphanie font de même, ensuite Oliver et Julie s’embrassent eux aussi. Mes parents se sont éclipsés pour nous laisser tranquille. J’aurai voulu être une petite souris pour voir ça dans son ensemble !
Il a bien fallu revenir un peu sur Terre et envisager de préparer le barbecue de la soirée, soit tout remettre en ordre.
J’ai vérifié s’il y avait encore du charbon de bois dans la réserve. Papa est descendu avec Julien à la cave pour remonter des bouteilles de vin, du rouge et du rosé. Julien met le rosé au frigo et le rouge est rangé à l’abri du soleil et de la chaleur ambiante. Les filles s’activent pour faire la liste des achats pour le repas. Olivier s’occupe avec Julie de replacer les tables sur la terrasse. Tout le monde est concentré sur le travail en cours pour que cette soirée se passe au mieux.
Je prends le téléphone et je sonne à Amandine. Je l’invite à venir à la maison vers quinze heures, peut-être un peu avant en lui expliquant que Jacques serait présent vers quinze heures. Amandine me signale que Joseph est auprès d’elle et qu’elle lui passe le message. Je la remercie et je lui demande de ne pas être en retard. Je ne sais pas, mais je me demande bien ce que Jacques veut me dire.
Maman revient avec les deux filles et les courses, elles ont acheté tout ce qu’il fallait, elles ont même pensé aux amuse-bouches pour l’apéro, ainsi qu’aux softs. Tout me semble en bonne ligne pour que nous puissions passer une excellente soirée. Les deux filles s’attellent à la préparation du gâteau. Il est déjà midi moins le quart. Papa a préparé des croquemonsieurs pour ne pas rester le ventre vide. Il est toujours au taquet Papa, je ne sais pas ce que je ferai sans lui et sans Maman surtout.
Tout est en place, Amandine vient juste d’arriver en compagnie de Joseph. Il est quatorze heures quarante. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens stressé, pourtant il n’y a pas de quoi, Julien, ma famille et mes amis sont là auprès de moi. Bon je bois un verre d’eau fraîche pour me désaltérer. Ça va, ça passe un peu. Mes parents sont partis depuis une bonne demi-heure pour nous laisser entre jeunes. Julien vient près de moi et me dit que tout va très bien se passer. Il le faut.
Quinze heures moins deux, on sonne à la porte d’entrée. Comme convenu c’est Delphine qui va ouvrir. Nous sommes assis sur la terrasse, l’air de rien, en train de parler de choses et d’autres. Delphine introduit Jacques sur la terrasse. Je le regarde, il affiche un large sourire. Juste derrière lui je peux voir un garçon du même âge, châtain très clair, avec des reflets roux, mi-longs, aux yeux verts, un mètre quatre-vingts, vêtu d’un short beige et d’un tee-shirt blanc. Je me lève pour aller vers Jacques, tous les yeux sont tournés vers Jacques et le garçon qui le suit. Je salue mon ami Jacques :
Moi : « Bonjour Jacques, heureux de te revoir.
Jac : Moi aussi Phil, cela me fait plaisir. Au fait je te présente Dimitri.
Moi : Bonjour Dimitri.
Dim : Bonjour Phil, Jacques m’a beaucoup parlé de toi.
Moi : Merci. Je vous présente Julien, je crois que Jacques en a entendu parler !
Jac : Oui Phil, c’est ton ami, ton amoureux. Tu sais Dimi est le mien, c’est lui mon amoureux. C’est de ça que je voulais te parler !
Moi : Je suis heureux pour toi. Bon, voici Olivier, mon grand frère et Julie sa compagne, Delphine c’est ma sœur, et Stéphanie c’est son amie, enfin sa compagne. Puis nos amis Amandine et Joseph, ils sont amoureux l’un de l’autre.
Dim : Merci Phil. Comme ça je sais qui est qui.
Jac : Je vois que tu sembles plus souriant qu’il y a quelques minutes Phil.
Moi : Oui Jacques, je ne vais pas te cacher que j’étais un peu stressé de te revoir. Je me demandais si tu savais que Julien était mon ami depuis que nous nous sommes quittés.
Jac : Oui Phil, nous en avons parlé lors de nos échanges téléphoniques ou par lettres. Je sais que notre histoire n’a pas duré longtemps, mais il ne faut pas avoir de regret.
Moi : Merci Jacques, on peut se faire un câlin, ça n’engage à rien. »
Jacques et moi nous nous faisons un câlin, un câlin entre ami. Sans un mot. Puis une fois cette étreinte terminée, Julien vient vers moi et serre la main à Jacques. Dimitri vient faire de même avec moi et Julien. C’est Olivier qui prend alors la parole :
Oli : « Très bien les gars, je propose que nous buvions un verre pour fêter ces retrouvailles.
Moi : Tu as raison frérot, buvons à notre santé à tous !
Dim : Merci de m’accepter parmi vous.
Jul : Pas de problème l’ami.
Un grand éclat de rire fuse, c’est Amandine.
Ama : Alors là les mecs, vous vous êtes vus. Vous aviez tous les deux peurs de vous revoir, ayant chacun trouvé le cœur à prendre. Allez venez dans mes bras mes deux copains de classe. »
Nous avons fait un énorme câlin auquel Joseph s’est joint. Nous étions heureux de nous revoir. Nous avons chacun un verre à la main. Nous allons trinquer à l’amitié, mais je pense alors à Jean, oui Jean qui nous a quitté trop tôt. Il était notre ami, notre ami à tous les quatre. Je prends alors la parole :
Moi : « Je voudrai que nous portions un toast à la mémoire de Jean. C’était notre ami et il reste dans nos cœurs.
Ama : Tu as raison Phil. A Jean, notre ami de toujours !
Nous levons nos verres en sa mémoire.
Jul : Maintenant je propose que nous buvions à l’amitié.
Jac : Oui, à l’amitié. Puissions-nous rester amis pour la vie ! »
Une seconde fois nous levons nos verres et buvons à l’amitié. C’est une chose importante et de plus elle est une sorte de lien entre le passé et le futur pour ceux qui sont amis de longue date. Puis nous revenons à nos occupations, soit de nous raconter l’un l’autre ce que nous avons vécu chacun de notre côté. Je suis convaincu que nous allons passer un très bel après-midi et une bonne soirée ensemble. Plus de crainte, rien que du bonheur !