23-11-2020, 09:01 PM
Une énième scène de douches, me direz-vous, l’auteur vieillit et radote. Ce n’est pas la première dans ce récit et probablement pas la dernière, mais si j’avais seulement écrit « Ils se douchèrent avant de se coucher et de s’endormir rapidement » vous auriez été déçus.
Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (4)
Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil
— Moi ? Si je suis pudique ? s’étonna le professeur. Pourquoi me posez-vous cette question ?
— Je me demandais si vous prendriez votre douche avec nous, fit Stefan.
— En Allemagne nous avons l’habitude du FKK, je vais donc prendre ma douche avec vous, cela ne me dérange pas. (NDA FKK : Freikörperkultur, littéralement culture du corps libre, naturisme.)
— Vous n’avez pas peur de perdre votre autorité en vous montrant nu devant nous ? s’inquiéta Koen.
— Je ne le ferais pas devant mes étudiants, mais ici je suis en vacances. Je n’ai aucune autorité sur vous, sinon celle que vous m’attribuez. Je crois savoir que Franz se déshabille devant vous sans qu’il perde son autorité.
— Oui, mais lui est un ancien roi de la lutte, ça aide, dit Frédéric en riant.
Koen ne fut pas convaincu, s’il avait été à la place du professeur il aurait préféré dormir seul dans une chambre plutôt que dans un dortoir. À moins que le professeur ne désirât observer ce qui se passerait dans le dortoir, ce pouvait être une raison valable de perdre son autorité.
Le professeur enleva sa chemise blanche et son pantalon de velours côtelé brun. Il avait mis un caleçon ample et informe fort peu érotique. Il l’ôta. Les jeunes gens baissèrent aussi leur slip, Martin regarda leurs sexes discrètement, il aurait l’occasion de les revoir en détail pendant les massages. Koen observa celui du professeur, il le trouva banal et trop petit.
— Je devrais pisser avant, dit Stefan.
— Vous pourrez le faire sous la douche, dit le masseur, je sais bien que tout le monde le fait et cela ne me dérange pas. Suivez-moi, je vous montrerai quand même où se trouvent les toilettes.
— Franz ne veux pas qu’on pisse dans les douches, dit Koen.
— C’est normal, il doit vous apprendre les bonnes manières.
Le local était rectangulaire, dans un style très classique, catelles blanches, éclairage assez fort. Quatre douches de chaque côté, des savons jaunes fixés sur des supports contre la paroi. Il n’y avait ni cabines individuelles, ni rideaux. Frédéric s’étonna :
— Cela me rappelle les douches de l’école et cela contraste avec l’atmosphère plus chaleureuse du reste du bâtiment.
— C’est voulu, expliqua Martin, Graf & de Bruson ne laissent jamais rien au hasard. C’est pour rappeler leurs propres souvenirs, c’est une reproduction des douches de l’internat où ils se sont connus. Il y a cependant des robinets pour chaque pommeau ici, afin d’économiser l’eau chaude. Par contre, la deuxième douchette à la hauteur de la taille est conforme à l’original, très efficace pour nettoyer la zone anale. Je vous laisse essayer.
Sans se concerter, les quatre jeunes hommes s’alignèrent sur le côté gauche tandis que le professeur se mit sur la droite.
— On pourrait d’abord voir qui pisse le plus loin, proposa Koen.
— Tu n’as pas perdu ton âme d’enfant, dit Frédéric. Vous voulez aussi participer, Friedrich Wilhelm ?
— Euh, non, je crois que j’ai passé l’âge.
— Déjà des soucis avec la prostate ? s’inquiéta Koen.
— Non, pas encore, heureusement. Je pourrais faire l’arbitre et déclarer le vainqueur.
— Bonne idée.
— Ceux qui ne sont pas circoncis se décalottent pour être à égalité avec Stefan.
Martin, qui était resté à l’extérieur, entra dans le local afin de mieux voir. Le professeur se retira vers l’entrée pour ne pas être dans l’axes des jets. Les jeunes gens pissèrent les quatre ensemble dans la direction du mur opposé. Deux réussirent à l’atteindre à différentes hauteurs.
— Pas mal, dit le professeur, je pense que c’est Koen qui a gagné.
— Merci, dit celui-ci, je gagne toujours à ce jeu. Avez-vous aussi fait des études à ce sujet ?
— Non, je dois soumettre mes projets à une commission et j’ai déjà assez de peine à justifier mes études sur l’orgasme. J’ai cependant vu ceci lors de bizutages, un peu différent puisque les bizuts devaient ingurgiter une mass de bière avant.
— On pourrait faire la même chose avec le sperme, proposa Koen, regarder qui gicle le plus loin.
— Pas ce soir, dit Frédéric, on serait désavantagés puisqu’on s’est branlés dans la voiture. Mais si tu veux nous faire une démonstration, on regarde volontiers.
Koen hésita, puis renonça, ce n’était pas l’envie qui lui manquait, mais il ne voulait pas être le seul à s’exhiber devant le professeur et le masseur.
Ils se douchèrent, découvrirent avec amusement la douchette dont on pouvait régler le débit, jet assez fort pour l’arrière, très doux pour le devant.
— Tu me savonnes le dos ? demanda Koen à Frédéric.
— La douche ne t’a pas suffi ?
— C’est juste parce que nous avons l’habitude de le faire.
— À tes ordres.
Les deux apprentis regardèrent avec intérêt Frédéric qui ne s’arrêta pas au coccyx, il passa un doigt sur l’anus de manière appuyée avant de l’enfoncer. Koen avait une demi-molle.
— Tu me savonnes aussi le derrière ? demanda Peter à Stefan.
— Moi, te savonner le… ?
— Ben oui, tu as peur de te salir ?
— Non, je… Bon, j’y vais.
Stefan enduisit sa main de savon avant de la glisser prudemment entre les fesses. Il finit par introduire aussi son doigt en écartant les sphincters. Peter gémit.
— Je te fais mal ? demanda Stefan.
— Pas du tout, j’aime bien.
— Le savon est un mauvais lubrifiant, dit le masseur. Je vous en donnerai un autre si vous voulez continuer.
— Vous avez raison, fit Peter, on va finir de se doucher.
Ce fut au tour de Peter de laver la rondelle de Stefan, et Frédéric celle de Koen. Les deux apprentis bandaient. Personne ne s’intéressa au fondement du professeur.
Ils remarquèrent soudain deux nouveaux venus qui étaient sur le pas de porte et qui regardaient avec amusement ce qui se passait à l’intérieur depuis quelques minutes.
— Elles vous plaisent, nos douches ? demanda l’un d’entre eux.
Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (4)
Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil
— Moi ? Si je suis pudique ? s’étonna le professeur. Pourquoi me posez-vous cette question ?
— Je me demandais si vous prendriez votre douche avec nous, fit Stefan.
— En Allemagne nous avons l’habitude du FKK, je vais donc prendre ma douche avec vous, cela ne me dérange pas. (NDA FKK : Freikörperkultur, littéralement culture du corps libre, naturisme.)
— Vous n’avez pas peur de perdre votre autorité en vous montrant nu devant nous ? s’inquiéta Koen.
— Je ne le ferais pas devant mes étudiants, mais ici je suis en vacances. Je n’ai aucune autorité sur vous, sinon celle que vous m’attribuez. Je crois savoir que Franz se déshabille devant vous sans qu’il perde son autorité.
— Oui, mais lui est un ancien roi de la lutte, ça aide, dit Frédéric en riant.
Koen ne fut pas convaincu, s’il avait été à la place du professeur il aurait préféré dormir seul dans une chambre plutôt que dans un dortoir. À moins que le professeur ne désirât observer ce qui se passerait dans le dortoir, ce pouvait être une raison valable de perdre son autorité.
Le professeur enleva sa chemise blanche et son pantalon de velours côtelé brun. Il avait mis un caleçon ample et informe fort peu érotique. Il l’ôta. Les jeunes gens baissèrent aussi leur slip, Martin regarda leurs sexes discrètement, il aurait l’occasion de les revoir en détail pendant les massages. Koen observa celui du professeur, il le trouva banal et trop petit.
— Je devrais pisser avant, dit Stefan.
— Vous pourrez le faire sous la douche, dit le masseur, je sais bien que tout le monde le fait et cela ne me dérange pas. Suivez-moi, je vous montrerai quand même où se trouvent les toilettes.
— Franz ne veux pas qu’on pisse dans les douches, dit Koen.
— C’est normal, il doit vous apprendre les bonnes manières.
Le local était rectangulaire, dans un style très classique, catelles blanches, éclairage assez fort. Quatre douches de chaque côté, des savons jaunes fixés sur des supports contre la paroi. Il n’y avait ni cabines individuelles, ni rideaux. Frédéric s’étonna :
— Cela me rappelle les douches de l’école et cela contraste avec l’atmosphère plus chaleureuse du reste du bâtiment.
— C’est voulu, expliqua Martin, Graf & de Bruson ne laissent jamais rien au hasard. C’est pour rappeler leurs propres souvenirs, c’est une reproduction des douches de l’internat où ils se sont connus. Il y a cependant des robinets pour chaque pommeau ici, afin d’économiser l’eau chaude. Par contre, la deuxième douchette à la hauteur de la taille est conforme à l’original, très efficace pour nettoyer la zone anale. Je vous laisse essayer.
Sans se concerter, les quatre jeunes hommes s’alignèrent sur le côté gauche tandis que le professeur se mit sur la droite.
— On pourrait d’abord voir qui pisse le plus loin, proposa Koen.
— Tu n’as pas perdu ton âme d’enfant, dit Frédéric. Vous voulez aussi participer, Friedrich Wilhelm ?
— Euh, non, je crois que j’ai passé l’âge.
— Déjà des soucis avec la prostate ? s’inquiéta Koen.
— Non, pas encore, heureusement. Je pourrais faire l’arbitre et déclarer le vainqueur.
— Bonne idée.
— Ceux qui ne sont pas circoncis se décalottent pour être à égalité avec Stefan.
Martin, qui était resté à l’extérieur, entra dans le local afin de mieux voir. Le professeur se retira vers l’entrée pour ne pas être dans l’axes des jets. Les jeunes gens pissèrent les quatre ensemble dans la direction du mur opposé. Deux réussirent à l’atteindre à différentes hauteurs.
— Pas mal, dit le professeur, je pense que c’est Koen qui a gagné.
— Merci, dit celui-ci, je gagne toujours à ce jeu. Avez-vous aussi fait des études à ce sujet ?
— Non, je dois soumettre mes projets à une commission et j’ai déjà assez de peine à justifier mes études sur l’orgasme. J’ai cependant vu ceci lors de bizutages, un peu différent puisque les bizuts devaient ingurgiter une mass de bière avant.
— On pourrait faire la même chose avec le sperme, proposa Koen, regarder qui gicle le plus loin.
— Pas ce soir, dit Frédéric, on serait désavantagés puisqu’on s’est branlés dans la voiture. Mais si tu veux nous faire une démonstration, on regarde volontiers.
Koen hésita, puis renonça, ce n’était pas l’envie qui lui manquait, mais il ne voulait pas être le seul à s’exhiber devant le professeur et le masseur.
Ils se douchèrent, découvrirent avec amusement la douchette dont on pouvait régler le débit, jet assez fort pour l’arrière, très doux pour le devant.
— Tu me savonnes le dos ? demanda Koen à Frédéric.
— La douche ne t’a pas suffi ?
— C’est juste parce que nous avons l’habitude de le faire.
— À tes ordres.
Les deux apprentis regardèrent avec intérêt Frédéric qui ne s’arrêta pas au coccyx, il passa un doigt sur l’anus de manière appuyée avant de l’enfoncer. Koen avait une demi-molle.
— Tu me savonnes aussi le derrière ? demanda Peter à Stefan.
— Moi, te savonner le… ?
— Ben oui, tu as peur de te salir ?
— Non, je… Bon, j’y vais.
Stefan enduisit sa main de savon avant de la glisser prudemment entre les fesses. Il finit par introduire aussi son doigt en écartant les sphincters. Peter gémit.
— Je te fais mal ? demanda Stefan.
— Pas du tout, j’aime bien.
— Le savon est un mauvais lubrifiant, dit le masseur. Je vous en donnerai un autre si vous voulez continuer.
— Vous avez raison, fit Peter, on va finir de se doucher.
Ce fut au tour de Peter de laver la rondelle de Stefan, et Frédéric celle de Koen. Les deux apprentis bandaient. Personne ne s’intéressa au fondement du professeur.
Ils remarquèrent soudain deux nouveaux venus qui étaient sur le pas de porte et qui regardaient avec amusement ce qui se passait à l’intérieur depuis quelques minutes.
— Elles vous plaisent, nos douches ? demanda l’un d’entre eux.
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