18-11-2020, 11:46 AM
La nuit fut tranquille, pas de cauchemar, j’ai uniquement fait de très beaux rêves avec mon amoureux. J’ouvre les yeux et je tombe sur le regard pétillant de Julien. Il est réveillé, il m’a regardé dormir depuis quelques minutes : il n’a pas voulu m’éveiller, juste me voir endormi, le visage serein. Mes yeux se sont mis à scintiller de bonheur. J’ai alors dit :
Moi : « Bonjour mon ange, bien dormi ?
Jul : Oui, et toi ?
Moi : Oh oui, super bien. J’ai rêvé de toi !
Jul : Merci, ça me fait plaisir. Tu sais moi aussi j’ai rêvé de toi, de ton corps, et de …enfin voilà !
Moi : Petit cochon ! Ça fait longtemps que tu me regardes ?
Jul : Peut-être dix bonnes minutes. Je ne me lasse pas de te regarder. Tu sais que…(Je dépose mon index sur ses lèvres.)
Moi : tu m’aimes. Moi aussi mon ange, je t’aime. »
Je retire mon doigt et je pose mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse, nous nous embrassons, nos regards sont de plus en plus pénétrants, nos langues dansent entre elles une sarabande bien connue et nos sens sont tous en alerte, nos mains parcourent nos corps et se mettent à faire des caresses très sensuelles, pleines de volupté et de tendresse. Nos pénis sont dressés et durs. Parfois nos doigts passent dessus et viennent frôler nos glands déjà décalottés. Nos regards sont de plus en plus pétillants et expriment tout l’amour ressenti. C’est un grand moment de communion, plus besoin de se parler, rien qu’un regard suffit à se faire comprendre.
Nos bouches se séparent, nous nous embrassons dans le cou, puis nous nous séparons afin de nous placer têtes bêches. Nous voulons gouter au « sucre d’orge » de notre amour ! C’est donc une nouvelle partie de plaisir qui vient de s’engager, ma bouche enserre le pénis de Julien, puis c’est ma langue qui monte le long de son mât de cocagne, allant des valseuses en remontant vers le frein et enfin à ce gland qui est déjà tout humide de pré-sperme. Julien de son côté me prodigue lui aussi de merveilleuses sensations avec ses lèvres qui tantôt enserrent fortement mon appendice dressé puis après l’entourent lascivement. Nos mains sont toujours occupées. Les miennes viennent s’attarder au niveau des deux petites pommes d’amour de mon chéri, il semble qu’il apprécie ce moment. Julien de son côté, vient de me mettre un doigt dans le fondement après avoir titillé ma rosette. Je gémis de bonheur. A mon tour, j’en profite pour caresser l’entrée de sa grotte. Finalement nous nous suçons tout en nous caressant l’anus. Julien émet de plus en plus de râles de satisfaction, tout comme moi d’ailleurs. Je sens que je ne suis pas loin du seuil de non-retour, je sens que ma sève va bientôt monter, Julien lui aussi commence à montrer des signes d’arrivée à la jouissance. Sans attendre, j’appuie mes caresses buccales pour que Julien puisse enfin jouir, je suis prêt à recevoir son sperme dans la bouche. C’est quinze secondes plus tard que Julien éjacule six jets de sa semence au fond de ma gorge. J’avale ce précieux liquide avec délectation. Je sens que je vais venir, que je vais à mon tour éjaculer, voilà, je sens ma sève monter, elle arrive, je me cambre et je lâche à mon tour mon sperme au fond de la gorge de mon Julien, de mon amour. Julien avale lui aussi ma semence. Nous nous séparons pour mieux nous réinstaller côte à côte. Nous nous embrassons en mélangeant un peu de nos spermes.
Moi : « Merci mon amour, je t’aime, je suis fou de toi !
Jul : Oh Phil, mon nounours, je t’aime aussi, tu ne peux pas savoir.
Moi : Je sais que tu m’aimes, que nous nous aimons.
Jul : Merci Phil, je suis si heureux avec toi ! »
Nous nous sommes fait un énorme câlin tout en nous disant des « je t’aime ».
Nous restons couchés, collés l’un à l’autre. Nous profitons de ce moment de répit pour revenir sur Terre. Nos corps sont encore humides à la suite de cette communion de corps. Nous nous levons dans le quart d’heure pour aller prendre une bonne douche. Nous nous glissons sous l’eau bien chaude et nous nous lavons mutuellement. Une fois séchés, nous nous habillons pour rejoindre mes parents qui sont sûrement en train de prendre le petit-déjeuner.
Moi : « Bonjour Maman, bonjour Papa.
Je donne un bisou à mes parents. Julien fait de même.
Jul : Bonjour Fanny, bonjour Alain.
Mam : Vous avez bien dormi les garçons ?
Moi et Jul : Oui, très bien, je te remercie.
Papa : Avant que vous ne montiez dans la chambre, hier soir vous avez oublié pas de ramasser vos vêtements !
Moi : Oh oui, désolé Papa, désolé Maman. Cela ne se reproduira plus.
Mam : C’est bon pour une fois.
Jul : C’est aussi ma faute, j’aurai dû moi aussi y penser.
Mam : Pas de souci les garçons, c’est juste pour que vous vous en souveniez une prochaine fois. Qui veut du café ?
Moi : Merci, bien volontiers. Merci Maman.
Jul : Merci Fanny.
Papa : Qu’avez-vous prévu aujourd’hui ?
Moi : Je pense que nous allons faire un tour à vélo du côté de la forêt de Soignes. S’il ne faut pas donner un coup de main à la maison.
Mam : Non Phil, pas de problème, tout est prévu pour le dîner. Tu restes pour manger Julien ?
Jul : Oui, c’est très gentil de me le proposer. Ce soir je vais manger à la maison, mes parents seront contents de m’avoir auprès d’eux.
Papa : Parfait les garçons, nous passerons à table vers treize heures. »
Nous mangeons de bon appétit. Il y a du pain, des croissants, des yaourts et du jus d’orange. Maman a mis du beurre salé et des confitures sur la table. Julien a pris une tasse de lait avec du chocolat après sa tasse de café. Nous débarrassons la table et faisons la vaisselle avant de tout remettre à sa place. Je peux voir le sourire de mes parents, ils sont contents de voir que leurs remarques ne sont pas restées lettres mortes. De toute façon c’est la moindre des choses que de donner un coup de main pour aider sa maman.
Nous avons ensuite enfourché nos vélos pour nous rendre en forêt de Soignes. Nous avons l’habitude de nous balader dans ce massif forestier, nous connaissons presque tous les chemins. Il fait très bon, le soleil est au rendez-vous. Le temps est idéal pour se balader. Nous poussons une pointe jusqu’à « l’étang des Noyers ». Nous croisons deux amis qui eux aussi sont à vélo. Nous bavardons un moment avant de prendre le chemin de retour. Nous arrivons à la maison vers midi.
Maman est occupée à préparer le repas. Nous l’aidons à laver la salade et à éplucher les pommes de terre. Le rôti est déjà au four et l’odeur de cette viande qui cuit nous ouvre déjà l’appétit. Il nous reste une demi-heure avant de passer à table. Je demande à maman si nous pouvons piquer une tête dans la piscine. Elle donne son accord, à la condition d’être à l’heure pour le repas.
Julien et moi nous nous mettons nus, nos vêtements placés sur les fauteuils de la terrasse et nous sautons dans l’eau. Nous nous amusons à nous éclabousser, à nous lancer une balle en mousse : nous sommes très heureux. Il est temps de sortir de l’eau, maman nous signale qu’il va être l’heure de dîner. Nous nous essuyons et remettons nos habits.
Nous donnons un coup de main à maman pour apporter les plats sur la table de la terrasse. C’est d’ailleurs là que nous allons manger. Je n’oublie pas de mettre les verres et d’apporter la carafe d’eau fraîche. Papa arrive et nous passons tous les quatre à table.
Julien salue mes parents après le repas, car il doit rentrer chez lui. Nous nous embrassons. Je reste durant toute l’après-midi à la maison, au bord de la piscine. J’étudie le code de la route Demain nous avons notre premier cours de formation théorique auprès de l’auto-école. Il est convenu que Béatrice vienne me prendre à la maison pour nous y conduire.
Vers seize heures trente les deux filles arrivent. Nous nous faisons la bise. Stéphanie m’apprend que Julien lui aussi relit le code de la route. Nous discutons des vacances prochaines, des soirées que nous pourrions passer avec nos amies et nos amis. Je me souviens aussi que je dois avoir des nouvelles de la part de Jacques, il devrait bientôt revenir en Belgique. Je suppose qu’il va téléphoner ou envoyer un courrier.
Maman m’appelle alors que j’allais me mettre nu pour rejoindre les filles dans la piscine. Elle me signale que j’ai de la visite. Je rentre dans le salon et je vois que c’est Amandine et Joseph qui sont là, occupés à m’attendre. Je leur dis bonjour. Je suis heureux de les voir. Nous discutons un moment lorsque Maman nous apporte de quoi goûter. Il est presque dix-sept heures. Je propose à mes deux amis d’aller sur la terrasse et d’aller dans l’eau avant de manger. Amandine et Joseph sont des habitués maintenant. Ils saluent les deux filles, ils se désapent et se jettent in naturalibus dans la piscine. Je les rejoins moi aussi après m’être débarrassé de mon short.
Une bonne demi-heure plus tard nous sortons de l’eau pour nous sécher au soleil. C’est à ce moment-là que nous goûtons enfin. Nous discutons de choses et d’autres. Je signale à Amandine que je vais suivre le premier cours théorique du code de la route demain avec Julien. Amandine me demande alors :
Ama : « Dis Phil comment va ton amoureux ?
Moi : Très bien, il est parti après le repas de midi. Stéphanie m’a dit que lui aussi étudie un peu le code de la route.
Ama : As-tu des nouvelles de Jacques ?
Moi : Non, je viens juste d’y penser avant votre arrivée.
Ama : Dès que tu sais quoi, préviens-moi.
Moi : Pas de souci Amandine. Tu sais, je souhaite vraiment que ça se passe bien.
Ama : Mais je ne vois pas pourquoi ça n’irait pas.
Moi : J’aime Julien et je ne veux pas que Jacques s’interpose entre nous. J’espère qu’il a compris que j’avais trouvé mon âme sœur !
Ama : Je pense qu’il le sait. Si besoin s’en fait sentir, je me charge de le lui rappeler.
Jos : Tu sais Phil, tu peux compter sur moi aussi. Tu es mon meilleur ami, en dehors de Julien, je sais ce n’est pas la même chose comme amitié, mais je suis là pour toi. Ne l’oublie jamais.
Moi : Merci Joseph, je sais que nous sommes très amis et que je peux compter sur toi. Puis tu es avec ma super amie Amandine !
Ama : Ça va les mecs ! Oui vous êtes mes amis tous les deux. Puis avec Joseph c’est l’amour.
Moi : Bien entendu ma chère : vous allez tellement bien ensemble.
Jos : Je sais, j’ai pris la plus belle !
Ama : Mais vous êtes fous !
Moi : Mais non, on ne dit que la vérité.
Jos : Oui, je t’aime ma Belle.
Del : Vous me faites rire. On voit que vous êtes de véritables amis.
Ama : Merci Delphine, oui je les aime mes deux amis. Puis j’aime aussi Julien, c’est lui aussi un très bon ami pour nous. Je sais qu’il t’aime Phil, et pas qu’un peu !
Moi : Merci. Viens que je te fasse un câlin ma chère Amandine. »
Nous sous sommes étreints tous les deux, puis Joseph s’est joint à nous. Stéphanie quant à elle nous observe, elle avait suivi cette conversation depuis le bord de la piscine et elle a le sourire aux lèvres et semble heureuse de nous voir comme ça. Delphine est toujours près de nous et nous observe, les yeux remplis d’étincelles. Elle sait que c’est une véritable amitié qui nous lie.
Après une bonne nuit de sommeil, je suis réveillé par une sonnerie. C’est mon foutu réveil qui sonne. Ah oui, je me souviens, il ne faut pas que je sois en retard pour mon premier cours théorique du code de la route. Je ne traîne pas dans mon lit. Je prends ma douche et je m’habille. Je rejoins les deux filles et maman qui sont déjà à table devant le petit-déjeuner. Je fais une bise à chacune des dames ! Je prends place et je déjeune. Une bonne tasse de café et deux tartines au chocolat. Nous parlons des prochaines vacances, les filles ne savent pas ce qu’elles vont faire. C’est souvent comme ça avec elles, elles décident au dernier moment.
Je suis prêt, je vais à l’arrêt de bus, il y a un bus dans dix minutes. Je monte dedans, il n’y a presque personne. Je reconnais le chauffeur, je le vois régulièrement lors des trajets vers l’école. Je me place derrière le siège du chauffeur. Nous discutons un peu. Il me demande ce que je fais de particulier en ce début de vacances. Je lui explique que je vais suivre les cours théoriques à l’auto-école pour passer le code et ensuite apprendre à conduire. Il me félicite et me souhaite bon courage. Je lui annonce que j’ai terminé mes humanités et que je n’aurai presque plus besoin de prendre le bus en septembre.
Après vingt minutes, j’arrive à destination. Il ne me reste que deux cents mètres à faire pour être devant les locaux de l’auto-école. Cinq voitures rouges sont garées devant l’immeuble. Sur la galerie de toit, une enseigne, aussi large que le véhicule, indique en grand « Auto-Ecole ». Je vois que Julien est arrivé, il m’attend dans le hall d’entrée. D’autres jeunes de notre âge attendent eux aussi d’entrer dans la salle de théorie. De grands tableaux avec des panneaux routiers sont accrochés aux murs. Une grande toile blanche est tendue sur le mur du fond, c’est ce qui sert d’écran, car je vois qu’il y a y un projecteur de diapositives et un rétroprojecteur sur la table centrale. Des deux côtés des bancs d’école sont installés, ce sont des bancs individuels. Il y a dix bancs à gauche et autant à droite, le tout est réparti sur cinq rangées.
Un homme d’une quarantaine d’années nous demande d’entrer dans la salle. Nous nous installons Julien et moi sur la première rangée à droite. Les autres jeunes s’installent eux aussi, avec beaucoup de bruit, c’est presque pire que lorsque j’étais en cours au bahut. L’homme tente de demander le calme, mais il lui faut plus de deux minutes pour obtenir un semblant de silence : ça promet !
Une fois installés et silencieux, les jeunes sont appelés par ordre alphabétique. Nous sommes dix-neuf. Nous recevons ensuite un livre, il s’agit bien entendu du « code de la route ». Nous disposons aussi d’un bloc de feuilles et d’un stylo à bille. Il est maintenant presque dix heures, nous allons donc pouvoir entamer cette première leçon. Il faut dire que les dix heures de théorie sont données en cinq jours.
Nous apprenons d’abord à reconnaitre les signaux routiers. Les divers tableaux servent donc à nous montrer ceux-ci. Nous étudions aussi les marquages au sol. A la fin de la matinée, nous recevons une feuille qui n’est autre qu’un formulaire de connaissance. Diverses questions sont posées sur la matière vue et nous devons y répondre sous forme d’un questionnaire à choix multiples.
Pour la correction, les formulaires sont échangés entre les élèves et c’est via le rétroprojecteur que les réponses sont données. Julien a fait un très beau dix-huit sur vingt, tandis que moi j’ai eu seize. L’instructeur nous donne rendez-vous pour le lendemain dix heures.
En sortant de la salle, je demande à Julien :
Moi : « Dis-moi Julien, tu viens à la maison pour dîner ?
Jul : Mais oui, pas de problème, mais j’accepte à condition que tu passes la soirée chez moi et que tu restes loger.
Moi : Mais j’accepte bien volontiers. »
Nous prenons alors le bus pour rentrer à la maison. En montant dedans, je vois qu’il est conduit par le même chauffeur qu’à l’allée. Je le salue. Il me demande alors :
Cha : « Comment s’est passée cette première leçon ?
Moi : C’était très bien. Nous avons déjà vu les panneaux routiers et les lignes de marquage au sol.
Cha : Très bien. Dis-moi, le jeune qui est avec toi, c’est ton ami ?
Moi : Oui, c’est Julien, nous suivons la même formation pour le code de la route.
Cha : Bien, il a l’air très sympa, c’est ton petit copain, c’est ça ?
Moi : Heu, oui ! (Je suis devenu rouge, mes joues sont en feu.)
Cha : Ne sois pas gêné, vous allez bien ensemble. Puis je sais que vous êtes, comment dire, « différents ». Ça ne me dérange nullement. C’est mon collègue, celui qui fait les trajets aux heures d’école, à qui j’avais posé la question et qui m’a confirmé ce que je pensais.
Moi : Heu, je ne sais pas quoi dire. Merci
Cha : Ne t’inquiète pas, ça reste entre nous ! »
Je vais m’asseoir à côté de Julien dans le fond du bus. Il me demande ce que le chauffeur a bien pu raconter. J’explique à Juju ce qu’il m’a dit. Il a commencé lui aussi à rougir. Dans le rétroviseur central du bus, nous avons pu voir que le gentil chauffeur nous fait un clin d’œil.
Moi : « Bonjour mon ange, bien dormi ?
Jul : Oui, et toi ?
Moi : Oh oui, super bien. J’ai rêvé de toi !
Jul : Merci, ça me fait plaisir. Tu sais moi aussi j’ai rêvé de toi, de ton corps, et de …enfin voilà !
Moi : Petit cochon ! Ça fait longtemps que tu me regardes ?
Jul : Peut-être dix bonnes minutes. Je ne me lasse pas de te regarder. Tu sais que…(Je dépose mon index sur ses lèvres.)
Moi : tu m’aimes. Moi aussi mon ange, je t’aime. »
Je retire mon doigt et je pose mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse, nous nous embrassons, nos regards sont de plus en plus pénétrants, nos langues dansent entre elles une sarabande bien connue et nos sens sont tous en alerte, nos mains parcourent nos corps et se mettent à faire des caresses très sensuelles, pleines de volupté et de tendresse. Nos pénis sont dressés et durs. Parfois nos doigts passent dessus et viennent frôler nos glands déjà décalottés. Nos regards sont de plus en plus pétillants et expriment tout l’amour ressenti. C’est un grand moment de communion, plus besoin de se parler, rien qu’un regard suffit à se faire comprendre.
Nos bouches se séparent, nous nous embrassons dans le cou, puis nous nous séparons afin de nous placer têtes bêches. Nous voulons gouter au « sucre d’orge » de notre amour ! C’est donc une nouvelle partie de plaisir qui vient de s’engager, ma bouche enserre le pénis de Julien, puis c’est ma langue qui monte le long de son mât de cocagne, allant des valseuses en remontant vers le frein et enfin à ce gland qui est déjà tout humide de pré-sperme. Julien de son côté me prodigue lui aussi de merveilleuses sensations avec ses lèvres qui tantôt enserrent fortement mon appendice dressé puis après l’entourent lascivement. Nos mains sont toujours occupées. Les miennes viennent s’attarder au niveau des deux petites pommes d’amour de mon chéri, il semble qu’il apprécie ce moment. Julien de son côté, vient de me mettre un doigt dans le fondement après avoir titillé ma rosette. Je gémis de bonheur. A mon tour, j’en profite pour caresser l’entrée de sa grotte. Finalement nous nous suçons tout en nous caressant l’anus. Julien émet de plus en plus de râles de satisfaction, tout comme moi d’ailleurs. Je sens que je ne suis pas loin du seuil de non-retour, je sens que ma sève va bientôt monter, Julien lui aussi commence à montrer des signes d’arrivée à la jouissance. Sans attendre, j’appuie mes caresses buccales pour que Julien puisse enfin jouir, je suis prêt à recevoir son sperme dans la bouche. C’est quinze secondes plus tard que Julien éjacule six jets de sa semence au fond de ma gorge. J’avale ce précieux liquide avec délectation. Je sens que je vais venir, que je vais à mon tour éjaculer, voilà, je sens ma sève monter, elle arrive, je me cambre et je lâche à mon tour mon sperme au fond de la gorge de mon Julien, de mon amour. Julien avale lui aussi ma semence. Nous nous séparons pour mieux nous réinstaller côte à côte. Nous nous embrassons en mélangeant un peu de nos spermes.
Moi : « Merci mon amour, je t’aime, je suis fou de toi !
Jul : Oh Phil, mon nounours, je t’aime aussi, tu ne peux pas savoir.
Moi : Je sais que tu m’aimes, que nous nous aimons.
Jul : Merci Phil, je suis si heureux avec toi ! »
Nous nous sommes fait un énorme câlin tout en nous disant des « je t’aime ».
Nous restons couchés, collés l’un à l’autre. Nous profitons de ce moment de répit pour revenir sur Terre. Nos corps sont encore humides à la suite de cette communion de corps. Nous nous levons dans le quart d’heure pour aller prendre une bonne douche. Nous nous glissons sous l’eau bien chaude et nous nous lavons mutuellement. Une fois séchés, nous nous habillons pour rejoindre mes parents qui sont sûrement en train de prendre le petit-déjeuner.
Moi : « Bonjour Maman, bonjour Papa.
Je donne un bisou à mes parents. Julien fait de même.
Jul : Bonjour Fanny, bonjour Alain.
Mam : Vous avez bien dormi les garçons ?
Moi et Jul : Oui, très bien, je te remercie.
Papa : Avant que vous ne montiez dans la chambre, hier soir vous avez oublié pas de ramasser vos vêtements !
Moi : Oh oui, désolé Papa, désolé Maman. Cela ne se reproduira plus.
Mam : C’est bon pour une fois.
Jul : C’est aussi ma faute, j’aurai dû moi aussi y penser.
Mam : Pas de souci les garçons, c’est juste pour que vous vous en souveniez une prochaine fois. Qui veut du café ?
Moi : Merci, bien volontiers. Merci Maman.
Jul : Merci Fanny.
Papa : Qu’avez-vous prévu aujourd’hui ?
Moi : Je pense que nous allons faire un tour à vélo du côté de la forêt de Soignes. S’il ne faut pas donner un coup de main à la maison.
Mam : Non Phil, pas de problème, tout est prévu pour le dîner. Tu restes pour manger Julien ?
Jul : Oui, c’est très gentil de me le proposer. Ce soir je vais manger à la maison, mes parents seront contents de m’avoir auprès d’eux.
Papa : Parfait les garçons, nous passerons à table vers treize heures. »
Nous mangeons de bon appétit. Il y a du pain, des croissants, des yaourts et du jus d’orange. Maman a mis du beurre salé et des confitures sur la table. Julien a pris une tasse de lait avec du chocolat après sa tasse de café. Nous débarrassons la table et faisons la vaisselle avant de tout remettre à sa place. Je peux voir le sourire de mes parents, ils sont contents de voir que leurs remarques ne sont pas restées lettres mortes. De toute façon c’est la moindre des choses que de donner un coup de main pour aider sa maman.
Nous avons ensuite enfourché nos vélos pour nous rendre en forêt de Soignes. Nous avons l’habitude de nous balader dans ce massif forestier, nous connaissons presque tous les chemins. Il fait très bon, le soleil est au rendez-vous. Le temps est idéal pour se balader. Nous poussons une pointe jusqu’à « l’étang des Noyers ». Nous croisons deux amis qui eux aussi sont à vélo. Nous bavardons un moment avant de prendre le chemin de retour. Nous arrivons à la maison vers midi.
Maman est occupée à préparer le repas. Nous l’aidons à laver la salade et à éplucher les pommes de terre. Le rôti est déjà au four et l’odeur de cette viande qui cuit nous ouvre déjà l’appétit. Il nous reste une demi-heure avant de passer à table. Je demande à maman si nous pouvons piquer une tête dans la piscine. Elle donne son accord, à la condition d’être à l’heure pour le repas.
Julien et moi nous nous mettons nus, nos vêtements placés sur les fauteuils de la terrasse et nous sautons dans l’eau. Nous nous amusons à nous éclabousser, à nous lancer une balle en mousse : nous sommes très heureux. Il est temps de sortir de l’eau, maman nous signale qu’il va être l’heure de dîner. Nous nous essuyons et remettons nos habits.
Nous donnons un coup de main à maman pour apporter les plats sur la table de la terrasse. C’est d’ailleurs là que nous allons manger. Je n’oublie pas de mettre les verres et d’apporter la carafe d’eau fraîche. Papa arrive et nous passons tous les quatre à table.
Julien salue mes parents après le repas, car il doit rentrer chez lui. Nous nous embrassons. Je reste durant toute l’après-midi à la maison, au bord de la piscine. J’étudie le code de la route Demain nous avons notre premier cours de formation théorique auprès de l’auto-école. Il est convenu que Béatrice vienne me prendre à la maison pour nous y conduire.
Vers seize heures trente les deux filles arrivent. Nous nous faisons la bise. Stéphanie m’apprend que Julien lui aussi relit le code de la route. Nous discutons des vacances prochaines, des soirées que nous pourrions passer avec nos amies et nos amis. Je me souviens aussi que je dois avoir des nouvelles de la part de Jacques, il devrait bientôt revenir en Belgique. Je suppose qu’il va téléphoner ou envoyer un courrier.
Maman m’appelle alors que j’allais me mettre nu pour rejoindre les filles dans la piscine. Elle me signale que j’ai de la visite. Je rentre dans le salon et je vois que c’est Amandine et Joseph qui sont là, occupés à m’attendre. Je leur dis bonjour. Je suis heureux de les voir. Nous discutons un moment lorsque Maman nous apporte de quoi goûter. Il est presque dix-sept heures. Je propose à mes deux amis d’aller sur la terrasse et d’aller dans l’eau avant de manger. Amandine et Joseph sont des habitués maintenant. Ils saluent les deux filles, ils se désapent et se jettent in naturalibus dans la piscine. Je les rejoins moi aussi après m’être débarrassé de mon short.
Une bonne demi-heure plus tard nous sortons de l’eau pour nous sécher au soleil. C’est à ce moment-là que nous goûtons enfin. Nous discutons de choses et d’autres. Je signale à Amandine que je vais suivre le premier cours théorique du code de la route demain avec Julien. Amandine me demande alors :
Ama : « Dis Phil comment va ton amoureux ?
Moi : Très bien, il est parti après le repas de midi. Stéphanie m’a dit que lui aussi étudie un peu le code de la route.
Ama : As-tu des nouvelles de Jacques ?
Moi : Non, je viens juste d’y penser avant votre arrivée.
Ama : Dès que tu sais quoi, préviens-moi.
Moi : Pas de souci Amandine. Tu sais, je souhaite vraiment que ça se passe bien.
Ama : Mais je ne vois pas pourquoi ça n’irait pas.
Moi : J’aime Julien et je ne veux pas que Jacques s’interpose entre nous. J’espère qu’il a compris que j’avais trouvé mon âme sœur !
Ama : Je pense qu’il le sait. Si besoin s’en fait sentir, je me charge de le lui rappeler.
Jos : Tu sais Phil, tu peux compter sur moi aussi. Tu es mon meilleur ami, en dehors de Julien, je sais ce n’est pas la même chose comme amitié, mais je suis là pour toi. Ne l’oublie jamais.
Moi : Merci Joseph, je sais que nous sommes très amis et que je peux compter sur toi. Puis tu es avec ma super amie Amandine !
Ama : Ça va les mecs ! Oui vous êtes mes amis tous les deux. Puis avec Joseph c’est l’amour.
Moi : Bien entendu ma chère : vous allez tellement bien ensemble.
Jos : Je sais, j’ai pris la plus belle !
Ama : Mais vous êtes fous !
Moi : Mais non, on ne dit que la vérité.
Jos : Oui, je t’aime ma Belle.
Del : Vous me faites rire. On voit que vous êtes de véritables amis.
Ama : Merci Delphine, oui je les aime mes deux amis. Puis j’aime aussi Julien, c’est lui aussi un très bon ami pour nous. Je sais qu’il t’aime Phil, et pas qu’un peu !
Moi : Merci. Viens que je te fasse un câlin ma chère Amandine. »
Nous sous sommes étreints tous les deux, puis Joseph s’est joint à nous. Stéphanie quant à elle nous observe, elle avait suivi cette conversation depuis le bord de la piscine et elle a le sourire aux lèvres et semble heureuse de nous voir comme ça. Delphine est toujours près de nous et nous observe, les yeux remplis d’étincelles. Elle sait que c’est une véritable amitié qui nous lie.
Après une bonne nuit de sommeil, je suis réveillé par une sonnerie. C’est mon foutu réveil qui sonne. Ah oui, je me souviens, il ne faut pas que je sois en retard pour mon premier cours théorique du code de la route. Je ne traîne pas dans mon lit. Je prends ma douche et je m’habille. Je rejoins les deux filles et maman qui sont déjà à table devant le petit-déjeuner. Je fais une bise à chacune des dames ! Je prends place et je déjeune. Une bonne tasse de café et deux tartines au chocolat. Nous parlons des prochaines vacances, les filles ne savent pas ce qu’elles vont faire. C’est souvent comme ça avec elles, elles décident au dernier moment.
Je suis prêt, je vais à l’arrêt de bus, il y a un bus dans dix minutes. Je monte dedans, il n’y a presque personne. Je reconnais le chauffeur, je le vois régulièrement lors des trajets vers l’école. Je me place derrière le siège du chauffeur. Nous discutons un peu. Il me demande ce que je fais de particulier en ce début de vacances. Je lui explique que je vais suivre les cours théoriques à l’auto-école pour passer le code et ensuite apprendre à conduire. Il me félicite et me souhaite bon courage. Je lui annonce que j’ai terminé mes humanités et que je n’aurai presque plus besoin de prendre le bus en septembre.
Après vingt minutes, j’arrive à destination. Il ne me reste que deux cents mètres à faire pour être devant les locaux de l’auto-école. Cinq voitures rouges sont garées devant l’immeuble. Sur la galerie de toit, une enseigne, aussi large que le véhicule, indique en grand « Auto-Ecole ». Je vois que Julien est arrivé, il m’attend dans le hall d’entrée. D’autres jeunes de notre âge attendent eux aussi d’entrer dans la salle de théorie. De grands tableaux avec des panneaux routiers sont accrochés aux murs. Une grande toile blanche est tendue sur le mur du fond, c’est ce qui sert d’écran, car je vois qu’il y a y un projecteur de diapositives et un rétroprojecteur sur la table centrale. Des deux côtés des bancs d’école sont installés, ce sont des bancs individuels. Il y a dix bancs à gauche et autant à droite, le tout est réparti sur cinq rangées.
Un homme d’une quarantaine d’années nous demande d’entrer dans la salle. Nous nous installons Julien et moi sur la première rangée à droite. Les autres jeunes s’installent eux aussi, avec beaucoup de bruit, c’est presque pire que lorsque j’étais en cours au bahut. L’homme tente de demander le calme, mais il lui faut plus de deux minutes pour obtenir un semblant de silence : ça promet !
Une fois installés et silencieux, les jeunes sont appelés par ordre alphabétique. Nous sommes dix-neuf. Nous recevons ensuite un livre, il s’agit bien entendu du « code de la route ». Nous disposons aussi d’un bloc de feuilles et d’un stylo à bille. Il est maintenant presque dix heures, nous allons donc pouvoir entamer cette première leçon. Il faut dire que les dix heures de théorie sont données en cinq jours.
Nous apprenons d’abord à reconnaitre les signaux routiers. Les divers tableaux servent donc à nous montrer ceux-ci. Nous étudions aussi les marquages au sol. A la fin de la matinée, nous recevons une feuille qui n’est autre qu’un formulaire de connaissance. Diverses questions sont posées sur la matière vue et nous devons y répondre sous forme d’un questionnaire à choix multiples.
Pour la correction, les formulaires sont échangés entre les élèves et c’est via le rétroprojecteur que les réponses sont données. Julien a fait un très beau dix-huit sur vingt, tandis que moi j’ai eu seize. L’instructeur nous donne rendez-vous pour le lendemain dix heures.
En sortant de la salle, je demande à Julien :
Moi : « Dis-moi Julien, tu viens à la maison pour dîner ?
Jul : Mais oui, pas de problème, mais j’accepte à condition que tu passes la soirée chez moi et que tu restes loger.
Moi : Mais j’accepte bien volontiers. »
Nous prenons alors le bus pour rentrer à la maison. En montant dedans, je vois qu’il est conduit par le même chauffeur qu’à l’allée. Je le salue. Il me demande alors :
Cha : « Comment s’est passée cette première leçon ?
Moi : C’était très bien. Nous avons déjà vu les panneaux routiers et les lignes de marquage au sol.
Cha : Très bien. Dis-moi, le jeune qui est avec toi, c’est ton ami ?
Moi : Oui, c’est Julien, nous suivons la même formation pour le code de la route.
Cha : Bien, il a l’air très sympa, c’est ton petit copain, c’est ça ?
Moi : Heu, oui ! (Je suis devenu rouge, mes joues sont en feu.)
Cha : Ne sois pas gêné, vous allez bien ensemble. Puis je sais que vous êtes, comment dire, « différents ». Ça ne me dérange nullement. C’est mon collègue, celui qui fait les trajets aux heures d’école, à qui j’avais posé la question et qui m’a confirmé ce que je pensais.
Moi : Heu, je ne sais pas quoi dire. Merci
Cha : Ne t’inquiète pas, ça reste entre nous ! »
Je vais m’asseoir à côté de Julien dans le fond du bus. Il me demande ce que le chauffeur a bien pu raconter. J’explique à Juju ce qu’il m’a dit. Il a commencé lui aussi à rougir. Dans le rétroviseur central du bus, nous avons pu voir que le gentil chauffeur nous fait un clin d’œil.