13-11-2020, 09:49 PM
Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (2)
Vendredi 24 juillet 1964, en voiture entre le col du Brünig et Kesswil
Koen se retourna pour voir ce qu’il se passait à l’arrière.
— Ça t’intéresse ? lui demanda Frédéric, je pensais que tu avais des discussions académiques sérieuses avec Monsieur le professeur, pardon avec Friedrich Wilhelm.
— Je… Nous avons tout le week-end pour discuter.
— Oui, rien ne presse, ajouta le professeur, racontez-moi plutôt ce qu’ils font.
— Bah, pour le moment ils ne font rien.
Frédéric, Stefan et Peter se regardaient en souriant, attendant que l’un des trois fasse le premier pas.
— Ils sont trop timides, dit Koen à Frédéric, aide-les.
Frédéric s’attaqua aux braguettes des deux apprentis. ll décrocha les ceintures et les boutons, d’une seule main, puis posa celle-ci sur les slips blancs pour évaluer leur contenu.
— C’est qui qui a la plus grosse ? s’enquit Koen.
— Tu dois le savoir mieux que moi.
— D’après mes statistiques celle de Peter a un demi-centimètre de plus que celle de Stefan.
Frédéric parcourut toute la longueur des hampes déjà dures, toujours sur l’étoffe.
— Je pense que tu as raison, mais le gland de Stefan est plus gros et humide.
— Elles sont de toute façon plus grosses que celles des citadins, fit Peter, c’est l’air sain de la montagne et le bon lait frais des vaches.
— Et une utilisation intensive, ajouta Stefan, nous n’avons pas autant de distractions qu’en ville.
— Je me branle pourtant une fois par jour, dit Frédéric.
— Seulement ? s’étonna Peter. On va regarder.
Il décrocha la ceinture de Frédéric, ouvrit la braguette en baissant la fermeture éclair. Peter l’aida à extirper le pénis bandé.
— Ouais, dit Peter, ça va encore comme longueur, j’ai vu pire que ça.
— Où as-tu vu pire ? demanda Stefan.
— Pendant un voyage d’étude avec l’école professionnelle. Mais toi aussi tu dois en voir pas mal de bites dans ton école. Franz m’a dit qu’ils conseillaient le naturisme.
— Non, j’ai peu de contact avec les étudiants.
— Tu pourrais faire la gymnastique matinale avec nous, dit Koen.
— Et qui préparerais ton petit déjeuner ?
Frédéric avait aussi dégagé les pénis des apprentis pendant qu’ils discutaient et commencé à les caresser légèrement.
— On fait un concours ? proposa Peter, le premier qui jute a gagné ?
— Non, dit le professeur, la route est encore longue. Prenez votre temps.
— Alors le premier qui jute a perdu.
Peter et Stefan se dirent quelque chose en dialecte bernois que Frédéric ne comprit pas, il réalisa cependant qu’ils avaient décidé de le faire perdre et ils avaient l’avantage d’être deux à s’occuper de sa queue et de ses couilles. Frédéric resta serein, il n’accéléra pas ses mouvements pendant que les deux apprentis continuaient à dialoguer en dialecte.
— Puis-je te demander quelque chose d’indiscret ? fit Peter.
— Oui, tu peux me demander tout ce que tu veux. Je crains qu’on ne puisse rien cacher au professeur et à son acolyte d’ici la fin du week-end.
— Ça te dérange ?
— Franz m’a prévenu. Et il m’a aussi dit qu’il y avait surtout des homos aux soirées des deux architectes.
— Moi c’est mon patron qui m’a averti, il est l’ami de Franz et c’est par son intermédiaire qu’ils m’ont invité pour chanter.
Koen les interrompit :
— Pourriez-vous parler en bon allemand ? On aimerait bien comprendre.
— Tu es curieux ? fit Peter en riant. Bon, on va faire un effort puisque le professeur nous véhicule. Je voulais demander à Stefan s’il était toujours puceau.
— Oui, répondit l’apprenti cuisinier. À part quelques branlettes avec mon frère je n’ai jamais couché avec personne, ni fille, ni garçon. Et toi ?
— Mon maître d’apprentissage m’a donné quelques leçons qui allaient au-delà de la fabrication du fromage, mais je te rassure, c’était librement consenti et j’avais l’âge légal.
Les deux apprentis s’acharnaient toujours sur le pénis de leur voisin du milieu. Ils semblaient effectivement déjà avoir une longue expérience de la masturbation, Frédéric ne put se retenir bien longtemps et éjacula sur son polo.
— Perdu ! s’exclama Koen qui devait bientôt avoir un torticolis à force de regarder ce qui se passait sur le siège arrière.
Peter et Stefan prirent leurs précautions, ils décrochèrent les boutons de leur chemise alors que Frédéric continuait des mouvements de va-et-vient très doux.
— Préfères-tu les garçons ? demanda Stefan à Peter.
— Je le pense. Je n’en ai pas parlé dans ma famille, même s’ils savent qu’il n’y a pas beaucoup de filles sur les alpages. Ils se doutent peut-être de quelque chose. Je ne vais jamais aux bals le samedi soir. Et toi ?
— Ça ne me dérange pas que ce soit un garçon qui me branle en ce moment, mais je suis comme toi, je n’en ai jamais parlé à personne jusqu’à présent.
— Vous pourrez discuter de cela en toute confiance lors de ce week-end, intervint le professeur, c’est l’idée de notre cercle, conseiller les jeunes hommes qui ont peur d’affirmer leur homosexualité. C’est aussi pour cela que mes amis Graf & de Bruson en invitent, pas seulement à cause de leur jeunesse ou de leur beauté.
Frédéric se demandait qui allait jouir en premier. Il accéléra et varia les mouvements. Stefan était à sa droite, c’était plus facile que pour Peter avec la main gauche, et ce fut effectivement Stefan qui éjacula en premier, suivi de peu par Peter.
— J’aurais plutôt parié sur Peter, expliqua Koen, car Stefan est circoncis et il devrait être moins sensible.
— Vous savez, dit le professeur, il y a beaucoup d’autres paramètres qui jouent un rôle, c’est ce que nous essayons d’expliquer dans nos études. Il ne faut pas négliger non plus l’aspect affectif. Les résultats auraient peut-être été différents si Peter et Stefan s’étaient masturbés mutuellement.
— Vous pensez qu’ils sont déjà amoureux l’un de l’autre, alors qu’ils ne se connaissaient pas ?
— Ce n’est pas à moi de le dire, mais il ne faut pas non plus négliger les phénomènes irrationnels, comme le coup de foudre.
— Ne pas négliger non plus les entremetteurs, ajouta Frédéric.
— Que veux-tu dire ? demanda Koen.
— Eh bien, Franz avait de bonnes raisons de mettre en contact nos deux amis.
Peter regardait Stefan et pensait que celui-ci ne serait probablement plus vierge à la fin du week-end, mais ils se garda bien de le lui dire pour ne pas l’effaroucher.
Stefan regardait Peter et se disait qu’il ne serait probablement plus vierge à la fin du week-end, il espérait bien que ce serait avec Peter qu’il allait perdre son pucelage.
Koen méditait sur la notion du coup de foudre, il devait absolument avoir une approche plus humaine de la vie et ne plus considérer le sexe uniquement comme un objet d’étude.
Frédéric nettoyait son polo et son gland avec un mouchoir.
Le professeur conduisait en regrettant de ne pas être assez riche pour avoir un chauffeur privé. Les universités ne payaient pas assez les enseignants. Il espérait que Frédéric les inviterait à souper, c’était bientôt l’heure se s’arrêter.
Vendredi 24 juillet 1964, en voiture entre le col du Brünig et Kesswil
Koen se retourna pour voir ce qu’il se passait à l’arrière.
— Ça t’intéresse ? lui demanda Frédéric, je pensais que tu avais des discussions académiques sérieuses avec Monsieur le professeur, pardon avec Friedrich Wilhelm.
— Je… Nous avons tout le week-end pour discuter.
— Oui, rien ne presse, ajouta le professeur, racontez-moi plutôt ce qu’ils font.
— Bah, pour le moment ils ne font rien.
Frédéric, Stefan et Peter se regardaient en souriant, attendant que l’un des trois fasse le premier pas.
— Ils sont trop timides, dit Koen à Frédéric, aide-les.
Frédéric s’attaqua aux braguettes des deux apprentis. ll décrocha les ceintures et les boutons, d’une seule main, puis posa celle-ci sur les slips blancs pour évaluer leur contenu.
— C’est qui qui a la plus grosse ? s’enquit Koen.
— Tu dois le savoir mieux que moi.
— D’après mes statistiques celle de Peter a un demi-centimètre de plus que celle de Stefan.
Frédéric parcourut toute la longueur des hampes déjà dures, toujours sur l’étoffe.
— Je pense que tu as raison, mais le gland de Stefan est plus gros et humide.
— Elles sont de toute façon plus grosses que celles des citadins, fit Peter, c’est l’air sain de la montagne et le bon lait frais des vaches.
— Et une utilisation intensive, ajouta Stefan, nous n’avons pas autant de distractions qu’en ville.
— Je me branle pourtant une fois par jour, dit Frédéric.
— Seulement ? s’étonna Peter. On va regarder.
Il décrocha la ceinture de Frédéric, ouvrit la braguette en baissant la fermeture éclair. Peter l’aida à extirper le pénis bandé.
— Ouais, dit Peter, ça va encore comme longueur, j’ai vu pire que ça.
— Où as-tu vu pire ? demanda Stefan.
— Pendant un voyage d’étude avec l’école professionnelle. Mais toi aussi tu dois en voir pas mal de bites dans ton école. Franz m’a dit qu’ils conseillaient le naturisme.
— Non, j’ai peu de contact avec les étudiants.
— Tu pourrais faire la gymnastique matinale avec nous, dit Koen.
— Et qui préparerais ton petit déjeuner ?
Frédéric avait aussi dégagé les pénis des apprentis pendant qu’ils discutaient et commencé à les caresser légèrement.
— On fait un concours ? proposa Peter, le premier qui jute a gagné ?
— Non, dit le professeur, la route est encore longue. Prenez votre temps.
— Alors le premier qui jute a perdu.
Peter et Stefan se dirent quelque chose en dialecte bernois que Frédéric ne comprit pas, il réalisa cependant qu’ils avaient décidé de le faire perdre et ils avaient l’avantage d’être deux à s’occuper de sa queue et de ses couilles. Frédéric resta serein, il n’accéléra pas ses mouvements pendant que les deux apprentis continuaient à dialoguer en dialecte.
— Puis-je te demander quelque chose d’indiscret ? fit Peter.
— Oui, tu peux me demander tout ce que tu veux. Je crains qu’on ne puisse rien cacher au professeur et à son acolyte d’ici la fin du week-end.
— Ça te dérange ?
— Franz m’a prévenu. Et il m’a aussi dit qu’il y avait surtout des homos aux soirées des deux architectes.
— Moi c’est mon patron qui m’a averti, il est l’ami de Franz et c’est par son intermédiaire qu’ils m’ont invité pour chanter.
Koen les interrompit :
— Pourriez-vous parler en bon allemand ? On aimerait bien comprendre.
— Tu es curieux ? fit Peter en riant. Bon, on va faire un effort puisque le professeur nous véhicule. Je voulais demander à Stefan s’il était toujours puceau.
— Oui, répondit l’apprenti cuisinier. À part quelques branlettes avec mon frère je n’ai jamais couché avec personne, ni fille, ni garçon. Et toi ?
— Mon maître d’apprentissage m’a donné quelques leçons qui allaient au-delà de la fabrication du fromage, mais je te rassure, c’était librement consenti et j’avais l’âge légal.
Les deux apprentis s’acharnaient toujours sur le pénis de leur voisin du milieu. Ils semblaient effectivement déjà avoir une longue expérience de la masturbation, Frédéric ne put se retenir bien longtemps et éjacula sur son polo.
— Perdu ! s’exclama Koen qui devait bientôt avoir un torticolis à force de regarder ce qui se passait sur le siège arrière.
Peter et Stefan prirent leurs précautions, ils décrochèrent les boutons de leur chemise alors que Frédéric continuait des mouvements de va-et-vient très doux.
— Préfères-tu les garçons ? demanda Stefan à Peter.
— Je le pense. Je n’en ai pas parlé dans ma famille, même s’ils savent qu’il n’y a pas beaucoup de filles sur les alpages. Ils se doutent peut-être de quelque chose. Je ne vais jamais aux bals le samedi soir. Et toi ?
— Ça ne me dérange pas que ce soit un garçon qui me branle en ce moment, mais je suis comme toi, je n’en ai jamais parlé à personne jusqu’à présent.
— Vous pourrez discuter de cela en toute confiance lors de ce week-end, intervint le professeur, c’est l’idée de notre cercle, conseiller les jeunes hommes qui ont peur d’affirmer leur homosexualité. C’est aussi pour cela que mes amis Graf & de Bruson en invitent, pas seulement à cause de leur jeunesse ou de leur beauté.
Frédéric se demandait qui allait jouir en premier. Il accéléra et varia les mouvements. Stefan était à sa droite, c’était plus facile que pour Peter avec la main gauche, et ce fut effectivement Stefan qui éjacula en premier, suivi de peu par Peter.
— J’aurais plutôt parié sur Peter, expliqua Koen, car Stefan est circoncis et il devrait être moins sensible.
— Vous savez, dit le professeur, il y a beaucoup d’autres paramètres qui jouent un rôle, c’est ce que nous essayons d’expliquer dans nos études. Il ne faut pas négliger non plus l’aspect affectif. Les résultats auraient peut-être été différents si Peter et Stefan s’étaient masturbés mutuellement.
— Vous pensez qu’ils sont déjà amoureux l’un de l’autre, alors qu’ils ne se connaissaient pas ?
— Ce n’est pas à moi de le dire, mais il ne faut pas non plus négliger les phénomènes irrationnels, comme le coup de foudre.
— Ne pas négliger non plus les entremetteurs, ajouta Frédéric.
— Que veux-tu dire ? demanda Koen.
— Eh bien, Franz avait de bonnes raisons de mettre en contact nos deux amis.
Peter regardait Stefan et pensait que celui-ci ne serait probablement plus vierge à la fin du week-end, mais ils se garda bien de le lui dire pour ne pas l’effaroucher.
Stefan regardait Peter et se disait qu’il ne serait probablement plus vierge à la fin du week-end, il espérait bien que ce serait avec Peter qu’il allait perdre son pucelage.
Koen méditait sur la notion du coup de foudre, il devait absolument avoir une approche plus humaine de la vie et ne plus considérer le sexe uniquement comme un objet d’étude.
Frédéric nettoyait son polo et son gland avec un mouchoir.
Le professeur conduisait en regrettant de ne pas être assez riche pour avoir un chauffeur privé. Les universités ne payaient pas assez les enseignants. Il espérait que Frédéric les inviterait à souper, c’était bientôt l’heure se s’arrêter.
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