11-11-2020, 12:33 PM
Cette journée de remise en état s’était ponctuée par un grand plongeon dans la piscine pour ceux qui avaient participé au rangement. Finalement Julien et moi étions très contents de cette fête. Nous savions que nous devions encore recevoir nos résultats et notre diplôme de fin d’études secondaires supérieures. Julien restait à la maison pour loger, ainsi que mon cousin David, qui allait avoir la chambre d’ami. Les deux filles aussi allaient dormir ensemble dans la chambre de Delphine.
Mes parents s’étaient arrangés avec ceux de Julien pour reprendre les restes de viande et de légumes afin de faire un barbecue pour le souper. D’ailleurs ils avaient, eux aussi, été invités à ce repas. Nous avions tout installé sur la terrasse, étant toujours en tenue d’Eve et d’Adam, au sortir de la piscine. Nous nous étions seulement rhabillés pour passer à table.
Nos parents discutaient entre eux et nous, les jeunes, nous étions occupés à parler des prochaines vacances. Nous n’avions pas encore abordé ce thème, Julien et moi. Nous savions qu’il fallait nous inscrire pour les cours à l’auto-école et avant cela réussir l’examen du code de la route. Je pensais pouvoir faire cela dans les jours qui suivaient ! Je voulais sérieusement m’y mettre pour étudier ce code de la route que nous avions par ailleurs déjà survolé à l’école. Ce n’était pas le cas de Julien. J’avais envie de revoir ce code avec Juju et ainsi le réétudier avec lui. Puis nous ne savions même pas ce que nos parents respectifs avaient prévu pour les vacances ! Nous leur avions alors directement demandé.
Moi : « Maman, Papa, au fait vous aviez prévu quelque chose pour les vacances ?
Mam : Tu sais Phil, on se demandait, ton père et moi, si vous n’aviez pas envie de partir ensemble avec des amis quelques jours. Nous aurions pris en charge les frais bien entendu !
Moi : Je ne sais pas quoi vous dire. Puis il y a le permis de conduire, le code et ensuite la pratique !
Papa : Tu as bien raison de t’en préoccuper. Vous pouvez vous inscrire pour passer l’examen du code, après dix heures de théorie, c’est compris dans le forfait qui vous a été alloué, et ensuite il vous suffira de vous inscrire pour les cours de conduite.
Moi : Je vais m’en occuper demain, si tu es d’accord Papa.
Papa : Pas de soucis Phil, je suppose que Julien veut lui aussi suivre cette même formation avec toi. Je suppose que tu ne vois pas d’objection mon cher Pierre, à ce que je m’occupe avec eux de leurs inscriptions pour la théorie et l’examen qui en découle.
Pie : Pas de souci Alain, autant les inscrire ensemble. Je m’occuperai déjà de réserver deux places pour les cours pratiques en voiture.
Papa : Parfait Pierre, c’est une chose réglée.
Jul : Alors là, vous êtes au taquet. Merci à vous deux, c’est génial.
Moi : Oui c’est super génial. Merci !
Papa : Pour le reste, en fonction des dates des cours théoriques pour le code, vous trouverez bien une destination pour vos vacances. Ou alors vous viendrez avec nous, à moins que Pierre vous invite de son côté !
Pie : C’est à vous de voir. Je vous laisse réfléchir mais il faut, comme l’a dit Alain, que cela se goupille avec les cours du code.
Jul : Merci Papa. On va réfléchir à ça.
Moi : Très bonne idée les deux papas, on va y penser. »
Nos parents s’étaient mis à rire, ils étaient contents de voir que nous nous entendions si bien et que nous nous aimions. David nous regardait avec des étoiles dans les yeux. Il se rendait compte que nous étions faits pour nous aimer, il voyait notre connivence et notre façon d’appréhender la vie, ensemble mais en tenant compte de l’avis de l’être aimé, mais aussi de ceux qui nous ont élevés dans le respect de l’autre.
C’est alors que maman avait pris la parole :
Mam : « Phil et Julien, je pense que vous êtes assez matures pour savoir bien évaluer et bien définir chacun votre orientation pour les études supérieures, lesquelles seront très importantes pour votre avenir professionnel. Nous allons vous demander de vous concentrer sur vos études avant tout. Nous savons que vous vous aimez, c’est un fait, mais vous savez que la vie n’est pas un long fleuve tranquille et qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche !
Moi : Je le sais maman et je suis certain que Julien, lui aussi, en est pleinement conscient.
Jul : Bien entendu que je sais que notre avenir est là devant nous, et qu’il faut que nous soyons attentifs à avoir notre réussite comme objectif.
Béa : Je suis heureuse de voir que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’onde. Ce que nous voulons en tant que parents, c’est que soyez bien dans votre peau, que vous vous aimiez, mais aussi que vous preniez garde à bien réussir vos études, c’est aussi une chose très importante.
Jul : Mais bien sûr maman, nous ne sommes pas « tête en l’air » pour oublier que nous devons songer à notre avenir. Nous savons ce qu’il faut avoir un bon métier pour y parvenir, il faut étudier.
Pie : Tu as tout à fait raison Julien. Je vois aussi que Phil a assez de plomb dans la cervelle pour affronter, comme toi, des études supérieures. Au fait Julien, c’est toujours le droit que tu veux faire ?
Jul : Oui papa, je veux devenir avocat et sait-on jamais, peut-être magistrat !
Pie : C’est très bien. Et toi Phil ? Oh pardon Alain, je crois que c’est plutôt à toi qu’il revient de poser cette question !
Papa : Pas de souci Pierre, je sais que tu aimes Phil autant que nous. Alors Phil, tu veux faire ce que tu avais prévu, ou alors le plan « B ».
Moi : Non papa, pas le plan « B », mais bien le plan « A », je veux faire des études pour devenir chimiste !
Mam : Très bien Phil. Je sais que tu aimes les sciences, alors vas-y !
Moi : Merci. J’apprécie que nous soyons dans des cursus différents Julien et moi. Nous avons notre sensibilité et notre envie de poursuivre les études dans la voie que nous souhaitons, sans vouloir forcement tout faire ensemble. Nous en avions déjà discuté !
Béa : Je vous reconnais bien là. On peut lire en vous comme à livre ouvert. Je vous souhaite de rester comme ça, de pouvoir parler de tout, sans arrière-pensée. Je vous adore.
Mam : Je ne sais rien ajouter de plus que Béatrice, si ce n’est que je vous aime tous les deux. »
Je pouvais voir les deux papas se regarder et apprécier ce qu’ils venaient d’entendre. Nous étions deux ados, Julien et moi, mais des ados responsables. Nous savions que nos parents allaient nous soutenir pour nos études, pour nous faire grandir encore en sagesse et nous dire de faire attention à nous et à notre amour en train de grandir lui aussi, dans le respect l’un de l’autre. La vie s’offrait, à Julien et à moi, elle était là, devant nous, nous ouvrant les bras pour que nous puissions la cueillir et l’enlacer pour vivre confiants en l’avenir et l’embrasser à bras le corps !
Nous avons ensuite passé la soirée à la maison. Béatrice et Pierre étaient retournés chez eux. Maman et papa souriaient. Ils étaient contents de voir que nous étions heureux. Même David avait le sourire. Bon il se fait tard, je propose que nous allions nous coucher, a dit Papa.
Julien me pris par la main et nous sommes montés à l’étage, direction la salle de bain. Nous nous déshabillons en vue de prendre une bonne douche après cette journée de remise en ordre. Julien et moi sommes alors allés sous la douche lorsque j’entends frapper à la porte : je dis : « oui, tu peux entrer ! ». David entre donc et il nous demande :
Dav : « Je peux me joindre à vous ?
Moi : Pour moi c’est OK, et toi Juju ?
Jul : Mais bien sûr tu peux venir David.
Dav : Merci les gars. »
La douche était assez grande, elle pouvait accueillir trois personnes en se serrant, il y avait de toute façon deux pommeaux de douche. Nous nous lavons et parfois je sens les fesses de David qui se collent aux miennes. Julien a aussi remarqué que l’anatomie de David avait pris de la dureté, le bout de son gland sortant du prépuce.
Jul : « Ça va David, tu as l’air en forme !
Dav : Désolé, mais vous voir ensemble tous les deux ça me fait réagir.
Moi : Tu nous mattes ! Mon cousin aurait-il viré de bord ?
Dav : Oui c’est ça, à d’autres.
Jul : Tu ne dois pas avoir honte.
Dav : Je crois que je n’aurais pas dû venir en même temps que vous sous la douche.
Moi : Ne t’inquiète pas David, on te charrie !
Dav : Puis vous avez l’air en forme aussi vous deux !"
Effectivement Julien et moi commencions à avoir une bonne semi-gaule. Nous nous sommes mis à rire tous les trois. Finalement, nous nous lavons sans plus faire attention à nos zizis dressés. Une fois que la douche fut coupée, nous nous essuyons. J’ai mis les affaires sales de Julien avec les miennes dans le bac à linge, il arrivait que maman lave nos vêtements avec ceux de Julien. David prend les siens pour les mettre dans son sac a été déposé dans la chambre d’amis. Nous sommes sortis tous les trois, nus, de la salle de bain pour aller dans nos chambres, en croisant bien entendu les deux filles qui attendaient de pouvoir se doucher.
Une fois la porte de ma chambre fermée, j’ai déposé un bisou sur les lèvres de mon amour. Julien m’embrasse alors dans le cou, puis il continue sur mes pectoraux. Sa langue lèche ensuite mon nombril tout propre. Je bande déjà, j’ai vu que Julien aussi était dans le même état que moi. Je prends la main de mon ami pour l’emmener se coucher sur mon lit. J’embrasse alors une nouvelle fois à pleine bouche mon Julien d’amour. Nos langues dansent, et entrent dans une farandole endiablée, tout comme dans la piscine durant la journée. Nous avons les yeux fermés et nous profitons du moment présent, collés l’un à l’autre. J’ouvre les yeux pour tomber sur le regard de Julien qui lui aussi vient d’ouvrir les siens. Nous sommes alors tous les deux sur une autre planète, n’entendant que nos cœurs qui battent ! Mes mains partent à l’assaut du corps de Julien, elles le caressent, lui procurent des massages délicats et sensuels. Julien laisse lui aussi ses mains se poser sur moi, elles parcourent mon dos et mes flancs et m’offrent de tendres et sensibles sensations. Mon sexe est dur, il est tendu et il n’attend plus que Julien s’occupe de lui, elles s’approchent déjà de l’objet convoité. De mon côté je laisse ma main droite descendre vers la toison pubienne de mon amour, puis mon pouce se place sur le dessus de cette hampe dressée. Déjà le gland est tout humide et j’en profite pour commencer une lascive masturbation de ce bâton d’amour. Je sens que mon sexe est enserré entre les doigts de la main de mon Julien, qui lui aussi me donne de très belles sensations.
Avec mon autre main je parviens à attraper des préservatifs et du gel déjà posés sur la table de nuit : il faut dire que j’avais prévu le coup et j’avais donc anticipé en les plaçant sur ma table de nuit.
Julien a bien vu ce que je faisais, il sait donc où je veux en venir. Il me prend le gel des mains et se met à s’occuper de ma rondelle. Je le laisse faire, lui préparant le condom. Sans trop attendre Julien place le latex sur son pénis tendu et présente son appendice dressé devant mon orifice anal. Enfin, doucement, y allant petit à petit, son sexe entre dans mon fondement et il s’arrête lorsqu’il arrive à la garde. Ensuite Julien entame des va et vient et me donne des sensations jubilatoires. Je sens son sexe qui passe et repasse le long des parois de mon anus ainsi que son le souffle sur ma nuque. Des râles de bonheur se font alors entendre, sa respiration est de plus en plus saccadée et je me doute, après cinq bonnes minutes que mon amour va arriver à la jouissance. Son sexe a encore pris de l’ampleur dans mon organisme, et d’un coup, mon Julien laisse cinq jets de sperme tapisser le fond de la capote. Nous sommes tous les deux couverts de sueur. Julien se retire et se laisse rouler à côté de moi, fourbu d’avoir ainsi investi ma grotte d’amour. Nos lèvres se retrouvent et échangent de petits bisous.
Je laisse le temps à Julien pour qu’il puisse récupérer, il a retrouvé une respiration normale et non saccadée comme il y a deux minutes. Nous nous regardons les yeux dans les yeux et dans ceux-ci, je remarque tout l’amour que Julien me porte : il y a des étincelles de bonheur qui viennent frapper mon visage ! J’affiche alors un large sourire et je regarde mon amour avec tendresse. Nous sommes toujours sur ce nuage qui nous laisse flotter ainsi dans ma chambre, dans ma tanière d’amour.
Je prends à mon tour le gel et je commence à préparer l’anus de Julien. J’y vais doucement, délicatement. Je passe deux doigts sans problème, Julien est paré à me recevoir, à recevoir mon membre dressé. J’enfile le préservatif que j’enduis également de gel et enfin je présente mon glaive à l’entrée de l’antre accueillante qui n’attend que son arrivée. Une fois positionné, je pénètre doucement, tendrement, sensuellement l’orifice anal de mon partenaire. Julien émet déjà quelques soupirs, il se place de manière à me laisser toute la place pour que j’envahisse son corps déjà très chaud. Je suis arrivé au fond de cette cavité et je me mets à faire des va et vient tantôt lents et puis plus rapides. Je jauge le plaisir que je ressens mais aussi celui de mon Juju. Je lamine donc l’anus consciencieusement pour enfin sentir que ma sève va bientôt monter dans mon sexe, j’ai le ventre très chaud et je sais que je vais jouir dans les secondes qui arrivent. Julien s’en aperçoit lui aussi, il sait que je vais arriver à l’extase, que je vais éjaculer dans son anus. Puis, d’un coup, mes muscles se contractent et je libère cinq jets de ma semence au fond de la capote. Je suis exténué, je suis en sueur et celle-ci coule un peu sur le corps de Julien. Je me retire de la caverne d’amour de mon amant et je m’affale à côté de lui.
Il nous a fallu plus de cinq minutes pour reprendre notre respiration. Nous nous sommes alors embrassés doucement, laissant retomber l’excitation du moment que nous venions de vivre et ainsi revenir « sur terre », heureux, remplis de satisfaction et d’amour partagé.
Une fois notre baiser achevé, je me love dans les bras de Julien. Nous sommes collés l’un à l’autre, nos chaleurs passent de corps en corps. Finalement, calmement, nous nous endormons ainsi soudés.
Mes parents s’étaient arrangés avec ceux de Julien pour reprendre les restes de viande et de légumes afin de faire un barbecue pour le souper. D’ailleurs ils avaient, eux aussi, été invités à ce repas. Nous avions tout installé sur la terrasse, étant toujours en tenue d’Eve et d’Adam, au sortir de la piscine. Nous nous étions seulement rhabillés pour passer à table.
Nos parents discutaient entre eux et nous, les jeunes, nous étions occupés à parler des prochaines vacances. Nous n’avions pas encore abordé ce thème, Julien et moi. Nous savions qu’il fallait nous inscrire pour les cours à l’auto-école et avant cela réussir l’examen du code de la route. Je pensais pouvoir faire cela dans les jours qui suivaient ! Je voulais sérieusement m’y mettre pour étudier ce code de la route que nous avions par ailleurs déjà survolé à l’école. Ce n’était pas le cas de Julien. J’avais envie de revoir ce code avec Juju et ainsi le réétudier avec lui. Puis nous ne savions même pas ce que nos parents respectifs avaient prévu pour les vacances ! Nous leur avions alors directement demandé.
Moi : « Maman, Papa, au fait vous aviez prévu quelque chose pour les vacances ?
Mam : Tu sais Phil, on se demandait, ton père et moi, si vous n’aviez pas envie de partir ensemble avec des amis quelques jours. Nous aurions pris en charge les frais bien entendu !
Moi : Je ne sais pas quoi vous dire. Puis il y a le permis de conduire, le code et ensuite la pratique !
Papa : Tu as bien raison de t’en préoccuper. Vous pouvez vous inscrire pour passer l’examen du code, après dix heures de théorie, c’est compris dans le forfait qui vous a été alloué, et ensuite il vous suffira de vous inscrire pour les cours de conduite.
Moi : Je vais m’en occuper demain, si tu es d’accord Papa.
Papa : Pas de soucis Phil, je suppose que Julien veut lui aussi suivre cette même formation avec toi. Je suppose que tu ne vois pas d’objection mon cher Pierre, à ce que je m’occupe avec eux de leurs inscriptions pour la théorie et l’examen qui en découle.
Pie : Pas de souci Alain, autant les inscrire ensemble. Je m’occuperai déjà de réserver deux places pour les cours pratiques en voiture.
Papa : Parfait Pierre, c’est une chose réglée.
Jul : Alors là, vous êtes au taquet. Merci à vous deux, c’est génial.
Moi : Oui c’est super génial. Merci !
Papa : Pour le reste, en fonction des dates des cours théoriques pour le code, vous trouverez bien une destination pour vos vacances. Ou alors vous viendrez avec nous, à moins que Pierre vous invite de son côté !
Pie : C’est à vous de voir. Je vous laisse réfléchir mais il faut, comme l’a dit Alain, que cela se goupille avec les cours du code.
Jul : Merci Papa. On va réfléchir à ça.
Moi : Très bonne idée les deux papas, on va y penser. »
Nos parents s’étaient mis à rire, ils étaient contents de voir que nous nous entendions si bien et que nous nous aimions. David nous regardait avec des étoiles dans les yeux. Il se rendait compte que nous étions faits pour nous aimer, il voyait notre connivence et notre façon d’appréhender la vie, ensemble mais en tenant compte de l’avis de l’être aimé, mais aussi de ceux qui nous ont élevés dans le respect de l’autre.
C’est alors que maman avait pris la parole :
Mam : « Phil et Julien, je pense que vous êtes assez matures pour savoir bien évaluer et bien définir chacun votre orientation pour les études supérieures, lesquelles seront très importantes pour votre avenir professionnel. Nous allons vous demander de vous concentrer sur vos études avant tout. Nous savons que vous vous aimez, c’est un fait, mais vous savez que la vie n’est pas un long fleuve tranquille et qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche !
Moi : Je le sais maman et je suis certain que Julien, lui aussi, en est pleinement conscient.
Jul : Bien entendu que je sais que notre avenir est là devant nous, et qu’il faut que nous soyons attentifs à avoir notre réussite comme objectif.
Béa : Je suis heureuse de voir que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’onde. Ce que nous voulons en tant que parents, c’est que soyez bien dans votre peau, que vous vous aimiez, mais aussi que vous preniez garde à bien réussir vos études, c’est aussi une chose très importante.
Jul : Mais bien sûr maman, nous ne sommes pas « tête en l’air » pour oublier que nous devons songer à notre avenir. Nous savons ce qu’il faut avoir un bon métier pour y parvenir, il faut étudier.
Pie : Tu as tout à fait raison Julien. Je vois aussi que Phil a assez de plomb dans la cervelle pour affronter, comme toi, des études supérieures. Au fait Julien, c’est toujours le droit que tu veux faire ?
Jul : Oui papa, je veux devenir avocat et sait-on jamais, peut-être magistrat !
Pie : C’est très bien. Et toi Phil ? Oh pardon Alain, je crois que c’est plutôt à toi qu’il revient de poser cette question !
Papa : Pas de souci Pierre, je sais que tu aimes Phil autant que nous. Alors Phil, tu veux faire ce que tu avais prévu, ou alors le plan « B ».
Moi : Non papa, pas le plan « B », mais bien le plan « A », je veux faire des études pour devenir chimiste !
Mam : Très bien Phil. Je sais que tu aimes les sciences, alors vas-y !
Moi : Merci. J’apprécie que nous soyons dans des cursus différents Julien et moi. Nous avons notre sensibilité et notre envie de poursuivre les études dans la voie que nous souhaitons, sans vouloir forcement tout faire ensemble. Nous en avions déjà discuté !
Béa : Je vous reconnais bien là. On peut lire en vous comme à livre ouvert. Je vous souhaite de rester comme ça, de pouvoir parler de tout, sans arrière-pensée. Je vous adore.
Mam : Je ne sais rien ajouter de plus que Béatrice, si ce n’est que je vous aime tous les deux. »
Je pouvais voir les deux papas se regarder et apprécier ce qu’ils venaient d’entendre. Nous étions deux ados, Julien et moi, mais des ados responsables. Nous savions que nos parents allaient nous soutenir pour nos études, pour nous faire grandir encore en sagesse et nous dire de faire attention à nous et à notre amour en train de grandir lui aussi, dans le respect l’un de l’autre. La vie s’offrait, à Julien et à moi, elle était là, devant nous, nous ouvrant les bras pour que nous puissions la cueillir et l’enlacer pour vivre confiants en l’avenir et l’embrasser à bras le corps !
Nous avons ensuite passé la soirée à la maison. Béatrice et Pierre étaient retournés chez eux. Maman et papa souriaient. Ils étaient contents de voir que nous étions heureux. Même David avait le sourire. Bon il se fait tard, je propose que nous allions nous coucher, a dit Papa.
Julien me pris par la main et nous sommes montés à l’étage, direction la salle de bain. Nous nous déshabillons en vue de prendre une bonne douche après cette journée de remise en ordre. Julien et moi sommes alors allés sous la douche lorsque j’entends frapper à la porte : je dis : « oui, tu peux entrer ! ». David entre donc et il nous demande :
Dav : « Je peux me joindre à vous ?
Moi : Pour moi c’est OK, et toi Juju ?
Jul : Mais bien sûr tu peux venir David.
Dav : Merci les gars. »
La douche était assez grande, elle pouvait accueillir trois personnes en se serrant, il y avait de toute façon deux pommeaux de douche. Nous nous lavons et parfois je sens les fesses de David qui se collent aux miennes. Julien a aussi remarqué que l’anatomie de David avait pris de la dureté, le bout de son gland sortant du prépuce.
Jul : « Ça va David, tu as l’air en forme !
Dav : Désolé, mais vous voir ensemble tous les deux ça me fait réagir.
Moi : Tu nous mattes ! Mon cousin aurait-il viré de bord ?
Dav : Oui c’est ça, à d’autres.
Jul : Tu ne dois pas avoir honte.
Dav : Je crois que je n’aurais pas dû venir en même temps que vous sous la douche.
Moi : Ne t’inquiète pas David, on te charrie !
Dav : Puis vous avez l’air en forme aussi vous deux !"
Effectivement Julien et moi commencions à avoir une bonne semi-gaule. Nous nous sommes mis à rire tous les trois. Finalement, nous nous lavons sans plus faire attention à nos zizis dressés. Une fois que la douche fut coupée, nous nous essuyons. J’ai mis les affaires sales de Julien avec les miennes dans le bac à linge, il arrivait que maman lave nos vêtements avec ceux de Julien. David prend les siens pour les mettre dans son sac a été déposé dans la chambre d’amis. Nous sommes sortis tous les trois, nus, de la salle de bain pour aller dans nos chambres, en croisant bien entendu les deux filles qui attendaient de pouvoir se doucher.
Une fois la porte de ma chambre fermée, j’ai déposé un bisou sur les lèvres de mon amour. Julien m’embrasse alors dans le cou, puis il continue sur mes pectoraux. Sa langue lèche ensuite mon nombril tout propre. Je bande déjà, j’ai vu que Julien aussi était dans le même état que moi. Je prends la main de mon ami pour l’emmener se coucher sur mon lit. J’embrasse alors une nouvelle fois à pleine bouche mon Julien d’amour. Nos langues dansent, et entrent dans une farandole endiablée, tout comme dans la piscine durant la journée. Nous avons les yeux fermés et nous profitons du moment présent, collés l’un à l’autre. J’ouvre les yeux pour tomber sur le regard de Julien qui lui aussi vient d’ouvrir les siens. Nous sommes alors tous les deux sur une autre planète, n’entendant que nos cœurs qui battent ! Mes mains partent à l’assaut du corps de Julien, elles le caressent, lui procurent des massages délicats et sensuels. Julien laisse lui aussi ses mains se poser sur moi, elles parcourent mon dos et mes flancs et m’offrent de tendres et sensibles sensations. Mon sexe est dur, il est tendu et il n’attend plus que Julien s’occupe de lui, elles s’approchent déjà de l’objet convoité. De mon côté je laisse ma main droite descendre vers la toison pubienne de mon amour, puis mon pouce se place sur le dessus de cette hampe dressée. Déjà le gland est tout humide et j’en profite pour commencer une lascive masturbation de ce bâton d’amour. Je sens que mon sexe est enserré entre les doigts de la main de mon Julien, qui lui aussi me donne de très belles sensations.
Avec mon autre main je parviens à attraper des préservatifs et du gel déjà posés sur la table de nuit : il faut dire que j’avais prévu le coup et j’avais donc anticipé en les plaçant sur ma table de nuit.
Julien a bien vu ce que je faisais, il sait donc où je veux en venir. Il me prend le gel des mains et se met à s’occuper de ma rondelle. Je le laisse faire, lui préparant le condom. Sans trop attendre Julien place le latex sur son pénis tendu et présente son appendice dressé devant mon orifice anal. Enfin, doucement, y allant petit à petit, son sexe entre dans mon fondement et il s’arrête lorsqu’il arrive à la garde. Ensuite Julien entame des va et vient et me donne des sensations jubilatoires. Je sens son sexe qui passe et repasse le long des parois de mon anus ainsi que son le souffle sur ma nuque. Des râles de bonheur se font alors entendre, sa respiration est de plus en plus saccadée et je me doute, après cinq bonnes minutes que mon amour va arriver à la jouissance. Son sexe a encore pris de l’ampleur dans mon organisme, et d’un coup, mon Julien laisse cinq jets de sperme tapisser le fond de la capote. Nous sommes tous les deux couverts de sueur. Julien se retire et se laisse rouler à côté de moi, fourbu d’avoir ainsi investi ma grotte d’amour. Nos lèvres se retrouvent et échangent de petits bisous.
Je laisse le temps à Julien pour qu’il puisse récupérer, il a retrouvé une respiration normale et non saccadée comme il y a deux minutes. Nous nous regardons les yeux dans les yeux et dans ceux-ci, je remarque tout l’amour que Julien me porte : il y a des étincelles de bonheur qui viennent frapper mon visage ! J’affiche alors un large sourire et je regarde mon amour avec tendresse. Nous sommes toujours sur ce nuage qui nous laisse flotter ainsi dans ma chambre, dans ma tanière d’amour.
Je prends à mon tour le gel et je commence à préparer l’anus de Julien. J’y vais doucement, délicatement. Je passe deux doigts sans problème, Julien est paré à me recevoir, à recevoir mon membre dressé. J’enfile le préservatif que j’enduis également de gel et enfin je présente mon glaive à l’entrée de l’antre accueillante qui n’attend que son arrivée. Une fois positionné, je pénètre doucement, tendrement, sensuellement l’orifice anal de mon partenaire. Julien émet déjà quelques soupirs, il se place de manière à me laisser toute la place pour que j’envahisse son corps déjà très chaud. Je suis arrivé au fond de cette cavité et je me mets à faire des va et vient tantôt lents et puis plus rapides. Je jauge le plaisir que je ressens mais aussi celui de mon Juju. Je lamine donc l’anus consciencieusement pour enfin sentir que ma sève va bientôt monter dans mon sexe, j’ai le ventre très chaud et je sais que je vais jouir dans les secondes qui arrivent. Julien s’en aperçoit lui aussi, il sait que je vais arriver à l’extase, que je vais éjaculer dans son anus. Puis, d’un coup, mes muscles se contractent et je libère cinq jets de ma semence au fond de la capote. Je suis exténué, je suis en sueur et celle-ci coule un peu sur le corps de Julien. Je me retire de la caverne d’amour de mon amant et je m’affale à côté de lui.
Il nous a fallu plus de cinq minutes pour reprendre notre respiration. Nous nous sommes alors embrassés doucement, laissant retomber l’excitation du moment que nous venions de vivre et ainsi revenir « sur terre », heureux, remplis de satisfaction et d’amour partagé.
Une fois notre baiser achevé, je me love dans les bras de Julien. Nous sommes collés l’un à l’autre, nos chaleurs passent de corps en corps. Finalement, calmement, nous nous endormons ainsi soudés.