28-07-2020, 11:14 AM
J’étais heureux, j’avais entendu Julien. Il m’aimait toujours, il ne m’avait pas oublié, mon cœur battait la chamade.
Il fallait que je me calme, ne pas attirer l’attention, car mes parents n’étaient pour au courant de ma liaison avec Julien ni même de celle qu’entretenait ma sœur Delphine avec Stéphanie, la sœur de Julien.
Je m’étais mis en tête de mettre la table et d’aider maman pour préparer le dîner avec elle en attendant papa qui devait rentrer dans les 20 minutes qui venaient.
Une fois le dîner terminé, j’avais aidé maman à débarrasser la table. Puis elle me regarde et me dit : « Toi tu as quelque chose à demander. »
Je lui avais répondu : « Mais non, … mais si, …mais bon, si vous êtes d’accord toi et papa, pour le week-end prochain, Julien, le frère de Stéphanie, l’amie de Delphine, m’invite chez lui. Ses parents doivent confirmer par téléphone. »
Maman : « Pour moi, pas de problème, vas demander à ton père, il est au salon. »
Moi : « Merci maman. »
Je donnais un bisou à maman et je m’étais rendu au salon pour en parler à mon père.
Moi : « Papa, maman m’a dit de venir te voir, car je dois te demander si tu es d’accord pour que je puisse aller le week-end prochain chez Julien. Julien, c’est le frère de Stéphanie, Stéphanie est l’amie de Delphine. »
Papa : « Maman est d’accord ? »
Moi : « Oui, elle voulait avoir ton avis et ton accord. »
Papa : « Pour moi c’est bon, seulement si tu fais attention à bien étudier, n’oublie pas que tu es en dernière année ! »
Moi : « Papa, ne t’inquiète pas, je sais que c’est très important pour moi et mon avenir, alors je compte bien fini l’année sans échec tu sais ! »
Papa : « Ok mon grand, je te fais confiance. Aller, viens près de moi que je te fasse un gros câlin mon fils chéri »
Moi : « Oh, merci papa, je t’aime tu sais. »
Papa : « Et moi aussi mon gros béta. »
Maman n’était pas loin, elle était venue nous rejoindre en disant :
« Tu es bête Philippe, je t’aime aussi tu sais mon grand garnement. »
Moi : « Je vous aime tous les deux très fort, merci de votre amour. Et j’aime aussi mon frère Olivier et ma sœur Delphine bien sûr ! »
Nous avions tous les trois bien rit de bon cœur.
J’avais salué mes parents avant de monter pour aller dans ma chambre et y rester jusqu’au coucher.
Je passais par la salle de bain pour y prendre ma douche et me laver ensuite les dents. Une fois mes libations terminées, je regagnais, nu, ma chambre pour me mettre dans mon lit sous la couette. J’avais pris un livre et je m’étais mis à lire durant une bonne heure.
Pour je me remis une nouvelle fois à penser à Julien, aux propos échangés avec les copains. Puis l’image de Julien au bord de la piscine il y a déjà plusieurs jours de ça, avaient fait comme un élément déclencheur, mon anatomie s’était réveillée et je bandais comme jamais. Je voulais pouvoir être dans les bras de Julien et faire avec lui la bête à deux dos ! N’y tenant plus, j’avais mis ma main droite sur mon vis et je m’étais mis à me masturber d’une façon assez lascive, prenant le temps de bien passer sur le frein, de me caresser les bourses avec l’autre main, et de me procurer des sensations forts agréables. Je titillais ma rondelle, je laissais mon doigt pénétrer mon anus et le pistonner avec des mouvements de va et vient. Puis n’y tenant plus, j’avais accéléré les mouvements masturbatoires sur mon pénis pour laisser jaillir 5 jets puissants de sperme qui vinrent s’écraser sur mon torse et mon ventre. Avec mon index je prenais mon nectar pour le porter à ma bouche. J’en pris le plus possible. J’avais pris au préalable soin d’avoir à portée de main un mouchoir pour essuyer le reste du sperme. Je ne voulais pas salir les nouveaux draps propres !
Le lendemain matin j’avais quitté la maison pour me rendre à l’école. En arrivant au bahut j’avais vu que Joseph et Jacques étaient déjà là. Ils parlaient avec Amandine, une de mes copines également. Nous nous fîmes la bise.
Puis amandine me regardait et elle m’avait dit : « Ah, voilà le Philippe que j’ai toujours connu, tu as l’air d’aller bien mieux ce matin si je ne me trompe ! »
Moi : « Oui Amandine, merci de faire attention à moi, mais c’est vrai je vais beaucoup mieux depuis hier soir que ces derniers jours. »
Jac : « Oui, Philippe, tu as l’air d’être plus relax. »
Jos : « Oui tu as raison Jacques, Philippe tu sembles aller beaucoup mieux. »
Jac : « Je pense que tu as passé une très bonne nuit et donc que les nouvelles sont bonnes ! » Jacques avait un petit rictus aux lèvres.
Moi : « Oui, c’est ça, aller les mecs, lâchez-moi la grappe ! » (Je pense que je piquais un phare à la suite des paroles de Jacques.)
Aman : « Mais t’inquiètes mon Philou, on t’aime comme tu es. »
Je me demandais bien ce qu’Amandine voulait bien dire. Se doutait-elle de quelque chose, savait-elle que j’avais une liaison avec un garçon. Je me posais de nouveau plein de questions.
Voilà Jean qui arrive. A peine le temps de la saluer que nous devions nous dépêcher pour rejoindre la salle de cours, la cloche sonnait.
La matinée s’était déroulée dans une bonne ambiance. Pour une fois les profs n’étaient pas trop sur notre dos, j’avais eu une bonne remarque relative à un devoir corrigé, bref que demander de mieux. A midi cantine et la même tablée avec Jacques, Joseph, Jean et Amandine qui pour une fois avait laissé ses copines en plan ! Nous parlions de chose et d’autre et je m’efforçais de ne pas trop regarder Jacques. Jacques est un très bon copain que je connais depuis des années, de plus c’est un beau gosse, mais je ne veux pas qu’on sache que j’aime les mecs. Puis j’ai Julien que je vais revoir le week-end. En regardant Jacques, je me disais que je préfère le garder comme très bon copain que de venir semer le trouble au sein de notre amitié.
Amandine, une nouvelle fois me regarde et me dit : « Je vois que tu es encore une fois dans la lune mon Philou, serait-ce l’amour ! »
Les autres se mettaient à rire et moi, comme un gosse pris la main dans le sac, je commençais à rougir en disant : « Mais non Amandine, que vas-tu chercher là. Et puis de qui veux-tu que je tombe amoureux si ce n’est de toi ! » Encore une fois nous nous étions mis à rire de bon cœur.
Le repas terminé nous nous retrouvions dans la cour de récré où nous nous étions installés sur un muret pour discuter de comment refaire le monde, etc. Nous attendions la sonnerie pour la reprise des cours de l’après-midi.
Contrairement à la matinée, l’après-midi était interminable. Le temps paraissait très long. Je pensais sans arrêt que ce soir j’aurai un appel téléphonique de Julien confirmant l’invitation du week-end. Nous n’étions que le jeudi après-midi. Le cours de français avait été suivi par celui de chimie. Enfin la sonnerie signalant la fin des cours avait retenti ! Il était temps, je ne tenais plus en place.
Jacques m’avait accompagné jusqu’à l’arrêt de bus. Nous bavardions ensemble quand Jacques me demanda : « Alors tu as eu des nouvelles de ton ami ? »
Moi : « Oui, j’ai pu l’avoir au téléphone, nous avons parlé et j’ai son numéro, je suis content. »
Jac : « Oui, je l’ai bien vu au matin. Amandine l’a directement remarqué. »
Moi : « Penses-tu qu’elle soit au courant de mon orientation sexuelle ? »
Jac : « Phil, je n’en sais rien et de toute façon ce n’est pas moi qui dirais quelque chose, s’il faut qu’elle soit au courant ce sera par toi ! »
Moi : « Merci Jacques, tu es un super copain, je dirais même plus, un ami ! »
Jac : « Ca va arrêtes, tu sais que je serai toujours à tes côtés ! »
Moi : « Oui Jacques, et moi c’est la même chose, si un jour tu as besoin de moi, n’hésite pas ! »
Jac : « Phil, je n’en doute pas, j’ai toujours su que tu étais pour moi plus qu’un copain, on est comme des frères ! »
Moi : « Jacques, tu vas me faire pleurer. » (Sur le ton de l’humour.)
Jac : « Bon et ton ami, je ne connais même pas son nom ! »
Moi : « C’est Julien, et tu sais quoi, on se verra tout le week-end, j’ai été invité chez lui ! »
Jac : « C’est super, je suis content pour toi ! »
Moi : « Voilà mon bus. A demain mon ami ! »
Nous nous fîmes la bise.
En entrant dans le bus, je m’étais retourné et j’ai vu que Jacques avait sorti un mouchoir de sa poche et qu’il avait essuyé ses yeux. Jacques pleurait, mais pourquoi. Je n’avais rien dit de particulier. J’avais été heureux de pouvoir parler avec lui ouvertement de notre amitié, il était content pour moi de ma relation avec Julien. Mais pourquoi pleurait-il !
Durant tout le trajet, je ne pensais qu’à Jacques. Puis en arrivant à l’arrêt de bus près de la maison j’ai pensé à l’appel téléphonique que je devais avoir de Julien.
J’étais rentré et j’avais été voir s’il n’y avait pas de message sur le répondeur. Rien, aucun message.
Il fallait que je me calme, ne pas attirer l’attention, car mes parents n’étaient pour au courant de ma liaison avec Julien ni même de celle qu’entretenait ma sœur Delphine avec Stéphanie, la sœur de Julien.
Je m’étais mis en tête de mettre la table et d’aider maman pour préparer le dîner avec elle en attendant papa qui devait rentrer dans les 20 minutes qui venaient.
Une fois le dîner terminé, j’avais aidé maman à débarrasser la table. Puis elle me regarde et me dit : « Toi tu as quelque chose à demander. »
Je lui avais répondu : « Mais non, … mais si, …mais bon, si vous êtes d’accord toi et papa, pour le week-end prochain, Julien, le frère de Stéphanie, l’amie de Delphine, m’invite chez lui. Ses parents doivent confirmer par téléphone. »
Maman : « Pour moi, pas de problème, vas demander à ton père, il est au salon. »
Moi : « Merci maman. »
Je donnais un bisou à maman et je m’étais rendu au salon pour en parler à mon père.
Moi : « Papa, maman m’a dit de venir te voir, car je dois te demander si tu es d’accord pour que je puisse aller le week-end prochain chez Julien. Julien, c’est le frère de Stéphanie, Stéphanie est l’amie de Delphine. »
Papa : « Maman est d’accord ? »
Moi : « Oui, elle voulait avoir ton avis et ton accord. »
Papa : « Pour moi c’est bon, seulement si tu fais attention à bien étudier, n’oublie pas que tu es en dernière année ! »
Moi : « Papa, ne t’inquiète pas, je sais que c’est très important pour moi et mon avenir, alors je compte bien fini l’année sans échec tu sais ! »
Papa : « Ok mon grand, je te fais confiance. Aller, viens près de moi que je te fasse un gros câlin mon fils chéri »
Moi : « Oh, merci papa, je t’aime tu sais. »
Papa : « Et moi aussi mon gros béta. »
Maman n’était pas loin, elle était venue nous rejoindre en disant :
« Tu es bête Philippe, je t’aime aussi tu sais mon grand garnement. »
Moi : « Je vous aime tous les deux très fort, merci de votre amour. Et j’aime aussi mon frère Olivier et ma sœur Delphine bien sûr ! »
Nous avions tous les trois bien rit de bon cœur.
J’avais salué mes parents avant de monter pour aller dans ma chambre et y rester jusqu’au coucher.
Je passais par la salle de bain pour y prendre ma douche et me laver ensuite les dents. Une fois mes libations terminées, je regagnais, nu, ma chambre pour me mettre dans mon lit sous la couette. J’avais pris un livre et je m’étais mis à lire durant une bonne heure.
Pour je me remis une nouvelle fois à penser à Julien, aux propos échangés avec les copains. Puis l’image de Julien au bord de la piscine il y a déjà plusieurs jours de ça, avaient fait comme un élément déclencheur, mon anatomie s’était réveillée et je bandais comme jamais. Je voulais pouvoir être dans les bras de Julien et faire avec lui la bête à deux dos ! N’y tenant plus, j’avais mis ma main droite sur mon vis et je m’étais mis à me masturber d’une façon assez lascive, prenant le temps de bien passer sur le frein, de me caresser les bourses avec l’autre main, et de me procurer des sensations forts agréables. Je titillais ma rondelle, je laissais mon doigt pénétrer mon anus et le pistonner avec des mouvements de va et vient. Puis n’y tenant plus, j’avais accéléré les mouvements masturbatoires sur mon pénis pour laisser jaillir 5 jets puissants de sperme qui vinrent s’écraser sur mon torse et mon ventre. Avec mon index je prenais mon nectar pour le porter à ma bouche. J’en pris le plus possible. J’avais pris au préalable soin d’avoir à portée de main un mouchoir pour essuyer le reste du sperme. Je ne voulais pas salir les nouveaux draps propres !
Le lendemain matin j’avais quitté la maison pour me rendre à l’école. En arrivant au bahut j’avais vu que Joseph et Jacques étaient déjà là. Ils parlaient avec Amandine, une de mes copines également. Nous nous fîmes la bise.
Puis amandine me regardait et elle m’avait dit : « Ah, voilà le Philippe que j’ai toujours connu, tu as l’air d’aller bien mieux ce matin si je ne me trompe ! »
Moi : « Oui Amandine, merci de faire attention à moi, mais c’est vrai je vais beaucoup mieux depuis hier soir que ces derniers jours. »
Jac : « Oui, Philippe, tu as l’air d’être plus relax. »
Jos : « Oui tu as raison Jacques, Philippe tu sembles aller beaucoup mieux. »
Jac : « Je pense que tu as passé une très bonne nuit et donc que les nouvelles sont bonnes ! » Jacques avait un petit rictus aux lèvres.
Moi : « Oui, c’est ça, aller les mecs, lâchez-moi la grappe ! » (Je pense que je piquais un phare à la suite des paroles de Jacques.)
Aman : « Mais t’inquiètes mon Philou, on t’aime comme tu es. »
Je me demandais bien ce qu’Amandine voulait bien dire. Se doutait-elle de quelque chose, savait-elle que j’avais une liaison avec un garçon. Je me posais de nouveau plein de questions.
Voilà Jean qui arrive. A peine le temps de la saluer que nous devions nous dépêcher pour rejoindre la salle de cours, la cloche sonnait.
La matinée s’était déroulée dans une bonne ambiance. Pour une fois les profs n’étaient pas trop sur notre dos, j’avais eu une bonne remarque relative à un devoir corrigé, bref que demander de mieux. A midi cantine et la même tablée avec Jacques, Joseph, Jean et Amandine qui pour une fois avait laissé ses copines en plan ! Nous parlions de chose et d’autre et je m’efforçais de ne pas trop regarder Jacques. Jacques est un très bon copain que je connais depuis des années, de plus c’est un beau gosse, mais je ne veux pas qu’on sache que j’aime les mecs. Puis j’ai Julien que je vais revoir le week-end. En regardant Jacques, je me disais que je préfère le garder comme très bon copain que de venir semer le trouble au sein de notre amitié.
Amandine, une nouvelle fois me regarde et me dit : « Je vois que tu es encore une fois dans la lune mon Philou, serait-ce l’amour ! »
Les autres se mettaient à rire et moi, comme un gosse pris la main dans le sac, je commençais à rougir en disant : « Mais non Amandine, que vas-tu chercher là. Et puis de qui veux-tu que je tombe amoureux si ce n’est de toi ! » Encore une fois nous nous étions mis à rire de bon cœur.
Le repas terminé nous nous retrouvions dans la cour de récré où nous nous étions installés sur un muret pour discuter de comment refaire le monde, etc. Nous attendions la sonnerie pour la reprise des cours de l’après-midi.
Contrairement à la matinée, l’après-midi était interminable. Le temps paraissait très long. Je pensais sans arrêt que ce soir j’aurai un appel téléphonique de Julien confirmant l’invitation du week-end. Nous n’étions que le jeudi après-midi. Le cours de français avait été suivi par celui de chimie. Enfin la sonnerie signalant la fin des cours avait retenti ! Il était temps, je ne tenais plus en place.
Jacques m’avait accompagné jusqu’à l’arrêt de bus. Nous bavardions ensemble quand Jacques me demanda : « Alors tu as eu des nouvelles de ton ami ? »
Moi : « Oui, j’ai pu l’avoir au téléphone, nous avons parlé et j’ai son numéro, je suis content. »
Jac : « Oui, je l’ai bien vu au matin. Amandine l’a directement remarqué. »
Moi : « Penses-tu qu’elle soit au courant de mon orientation sexuelle ? »
Jac : « Phil, je n’en sais rien et de toute façon ce n’est pas moi qui dirais quelque chose, s’il faut qu’elle soit au courant ce sera par toi ! »
Moi : « Merci Jacques, tu es un super copain, je dirais même plus, un ami ! »
Jac : « Ca va arrêtes, tu sais que je serai toujours à tes côtés ! »
Moi : « Oui Jacques, et moi c’est la même chose, si un jour tu as besoin de moi, n’hésite pas ! »
Jac : « Phil, je n’en doute pas, j’ai toujours su que tu étais pour moi plus qu’un copain, on est comme des frères ! »
Moi : « Jacques, tu vas me faire pleurer. » (Sur le ton de l’humour.)
Jac : « Bon et ton ami, je ne connais même pas son nom ! »
Moi : « C’est Julien, et tu sais quoi, on se verra tout le week-end, j’ai été invité chez lui ! »
Jac : « C’est super, je suis content pour toi ! »
Moi : « Voilà mon bus. A demain mon ami ! »
Nous nous fîmes la bise.
En entrant dans le bus, je m’étais retourné et j’ai vu que Jacques avait sorti un mouchoir de sa poche et qu’il avait essuyé ses yeux. Jacques pleurait, mais pourquoi. Je n’avais rien dit de particulier. J’avais été heureux de pouvoir parler avec lui ouvertement de notre amitié, il était content pour moi de ma relation avec Julien. Mais pourquoi pleurait-il !
Durant tout le trajet, je ne pensais qu’à Jacques. Puis en arrivant à l’arrêt de bus près de la maison j’ai pensé à l’appel téléphonique que je devais avoir de Julien.
J’étais rentré et j’avais été voir s’il n’y avait pas de message sur le répondeur. Rien, aucun message.