23-10-2020, 09:27 AM
C’est vers dix heures du soir que maman nous avait demandé de sortir de l’eau en vue de songer à rentrer, d’une part car la fraîcheur commençait à tomber mais d’autre part pour ne plus faire de bruit pour le voisinage. Nous avions directement pris nos draps de bain pour nous essuyer avant de rentrer à l’intérieur. Nous avions passé toute la soirée dans le plus simple appareil. C’était devenu naturel pour nos deux amis Lucas et Math. Nous avions ensuite pris la peine de saluer maman et papa avant de gagner nos chambres. Lucas et Math allaient dans la chambre d’amis.
Une fois dans ma chambre avec Julien, je m’étais posé la question de savoir si Lucas et Math avaient ce qu’il fallait s’ils voulaient s’aimer. J’avais alors pris des préservatifs et du gel lubrifiant dans ma table de nuit. Julien avait tout de suite compris ce que j’allais faire. J’avais donc apporté le tout à Lucas et Math ; ils étaient très heureux de voir ce que je leur apportais. Lucas m’avait glissé dans le creux de l’oreille, « un grand merci » car il n’avait rien avec lui. J’avais vu des étoiles dans leurs yeux. Ce n’était que du bonheur pour mes deux amis.
Ayant refermé la porte de ma chambre, je m’étais rué sur mon lit pour embrasser avec fougue mon amour de Juju. Nos bouches enfin se retrouvaient, elles s’ouvraient pour laisser place à nos langues d’entrer dans la danse. Elles en avaient l’habitude et elles n’attendaient que ça. Nous savions Julien et moi que nous devions éviter de faire ça en public et donc nous gardions ces moments d’intimité uniquement en famille ou lorsque nous étions à nous deux.
La chambre d’amis était à côté de la mienne. J’avais pu entendre comme un gémissement en sortir, il faut dire que le mur n’était pas fort épais. Julien lui aussi avait entendu quelque chose. Il m’avait alors dit à l’oreille :
Jul : « Je pense que les deux loustics se font plaisir !
Moi : Je crois que tu as raison Juju.
Jul : Tu veux que je te prenne ou alors que je te suce ?
Moi : Je vais y réfléchir mon amour !
Jul : Oui mais ne tarde pas trop.
Je plaisantais, je laissais place au suspens, je laissais languir Julien car j’avais vu que son appendice pénien était bien développé, mon amoureux bandait ! Je faisais semblant de chercher ce qui me ferait plaisir. Puis j’étais allé prendre une capote dans mon tiroir de la table de nuit et le gel lubrifiant. J’avais placé le tout dans la main droite ; de la main gauche je mimais une masturbation et de mes lèvres je mimais une fellation !
Jul : Tu es comique Phil, c’est donc à moi à prendre la décision.
Moi : Oui, je sais Juju. Alors je pense que comme j’aime tout, c’est que tu vas devoir me faire plaisir trois fois !
Jul : Oui c’est ça, alors tu décides quoi mon Philou !
Moi : Tu sais Juju, je pense qu’une bonne fellation serait la bienvenue.
Jul : OK, je suis partant, mais se sera en même temps.
Moi : Oui Juju, ensemble. Tu sais que je t’aime mon Juju.
Jul : Oh Phil, moi aussi je t’aime. »
Nous nous étions alors embrassés avec passion. Nos langues s’étaient mises en fonction « maximum de plaisir » et elles nous donnaient beaucoup de joie. Puis nos mains étaient entrées dans la danse, elles caressaient nos corps avec délicatesse et sensualité. Puis enfin nos sexes bandés n’attendaient plus qu’on s’occupe d’eux. Nos mains s’étaient alors posées sur nos protubérances tendues. Elles allaient le long de la colonne de chair en n’oubliant pas les bourses. Puis sans dire un mot, nous nous étions placé têtes bêches pour enfin pouvoir goûter au bâton d’amour de l’être tant aimé.
Nous nous étions lancés dans une séance de sucette mutuelle. J’avais pris le gland de Julien entre mes lèvres et du bout de la langue je léchais le méat. Julien de son côté léchait ma bite depuis la base jusqu’au gland. Nous nous donnions du plaisir. Mes lèvres commençaient à varier la pression en vue de donner de plus en plus de sensation à mon amour, en allant de haut en bas et de bas en haut. De son côté Julien, avait changé de méthode et il avait aussi mes bourses dans sa bouche en les léchant avec la langue, puis il revenait à ma hampe dressée. Enfin nous laissions échapper des râles de bonheur. Nous nous appliquions à donner un maximum de plaisir à notre partenaire. Puis Julien avait commencé à introduire un doigt dans mon anus. Je ne m’y attendais pas, mais c’était très agréable. Il arrivait à titiller ma prostate pour me donner plus de sensations. De mon côté j’avais accentué la pression au niveau de son membre dressé. Julien laissait lui aussi échapper des râles de bonheur de plus en plus sonores. La pression commençait à monter de part et d’autre. Je savais qu’à ce rythme-là nous allions tous les deux arriver à la jouissance. J’avais ralenti les mouvements et diminué la pression au niveau du pénis de Julien. De son côté il avait compris et avait fait la même chose. Il fallait que nous ralentissions la montée de nos sèves pour profiter un plus longtemps de ce moment magique qui nous vivions ensemble en pleine communion. Sentant que nous avions assez ralenti, nous avions repris notre fellation mutuelle. La pression remontait pour chacun de nous. Nos râles se faisaient une nouvelle fois entendre, ils étaient de plus en plus fort. Je savais que nous allions bientôt arriver au point de non-retour, au point où nous allions pouvoir jouir, pouvoir décharger et rependre notre semence au fond de la gorge de notre amoureux. Puis j’avais senti que Julien se cabrait, il était sur le point de jouir. Il laissait, dans un grand râle de bonheur, échapper six jets de sperme au fond de ma gorge. J’avais avalé une partie, j’adorais son sperme car je trouvais qu’il avait bon goût. Puis je sentais que moi aussi j’allais arriver à l’orgasme, mon corps s’était alors cabré et dans un râle de jouissance, j’avais laissé cinq jets de sperme s’étaler au fond de la gorge de Julien.
Nous nous étions alors couchés l’un à côté de l’autre pour enfin nous embrasser et échanger nos semences dans un baiser fougueux. Nous étions heureux, heureux d’être ensemble, heureux de nous être donnés tant de plaisir.
J’avais dit au creux de l’oreille de Julien que je l’aimais. De son côté il avait fait de même en me disant qu’il m’aimait et qu’il souhaitait que notre amour grandisse encore plus. Nous nous étions finalement endormis dans les bras l’un de l’autre, fatigués par nos ébats.
C’est vers neuf heures trente que j’avais entendu frapper à la porte de la chambre. Je me demandais qui pouvait ainsi venir nous réveiller. J’avais dit d’entrer. C’était Lucas qui entrait. Il était seulement vêtu d’un caleçon. Il me demandait où il pourrait trouver des serviettes de bain car il voulait prendre une douche, de même que Mathieu. Je me suis levé et dans le plus simple appareil j’ai été dans l’armoire du hall de nuit prendre deux serviettes de bain pour les deux amis. En donnant les serviettes à Lucas, je lui avais demandé :
Moi : « Dis Lucas, ça a été hier soir. Je vous ai entendu gémir.
Luc : Oh oui Phil. Math et moi nous nous sommes enfin aimés. Merci encore pour ce que tu nous as apporté.
Moi : Waouh. Je suis très content pour vous.
Luc : Merci Phil. Merci d’être un super copain comme tu l’es et aussi Julien qui aussi très sympa. Vous êtes deux véritables amis pour moi et Math.
Moi : Tu sais Lucas, je vous apprécie moi aussi, tous les deux.
Luc : Bon on va aller prendre une bonne douche. Au fait, tu es souvent à poil dans la maison ?
Moi : Oui Lucas, c’est une habitude. Puis tu sais à la piscine, c’est toujours nu qu’on se baigne, comme tu l’as remarqué hier.
Luc : OK, je pense que je vais m’y faire ainsi que Math.
Moi : Au fait, je ne sais pas si mes parents ont entendu quelque chose hier soir à la suite de ce que vous avez fait !
Luc : On verra ce qu’ils diront au petit déjeuner. "
Je laissais Lucas rejoindre Math dans la salle de bain. J’étais revenu auprès de Julien. Je lui caressais les cheveux pour le réveiller tout en lui donnant des petits bisous sur les joues. Enfin il ouvrait les yeux. Il était étonné de l’heure qu’il était. Nous avions effectivement bien dormi. Nous nous étions finalement levés. Nous avions gagné la salle de bain d’où sortaient nos deux amis. Ils étaient nus, tout comme nous. J’avais alors dit :
Moi : « Bonjour les amis, tu vois Lucas, on est quand même bien mieux à poil au matin, ça évite de mettre un vêtement pour ensuite l’enlever pour se doucher et puis encore le remettre pour aller s’habiller dans sa chambre !
Luc : Oui tu as raison.
Math : Tu sais Phil, je crois que je vais faire comme ça chez moi aussi. Je sais que maman ne dira rien.
Luc : Tu sais Phil mes parents sortent parfois nus de leur chambre, alors je suis certain aussi qu’ils ne diront rien.
Jul : C’est une très belle idée les gars. Bon on va prendre notre douche Phil.
Moi : OK Juju. On se retrouve pour le petit déjeuner, on peut descendre ensemble si vous voulez.
Luc : Oui Phil. Merci. »
Julien et moi nous entrions sous la douche italienne. Il y avait assez de place pour deux, sans problème. Nous nous lavions, lorsque Julien m’avait demandé s’il devait faire mon dos, j’avais de suite accepté. Julien me savonnait le dos puis il était descendu au niveau de mes fesses qu’il savonnait bien volontiers. J’avais le sexe qui commençait à prendre de l’ampleur, je commençais à bander. Je sentais aussi la queue de Julien qui touchait de temps à autre mes fesses. Puis, comme je m’y attendais les mains de Julien s’étaient positionnées sur le devant de mon ventre pour descendre au niveau de mon bâton d’amour. Je m’étais retourné pour d’une part poser mes mains sur le sexe bandé de Julien et d’autre part pour l’embrasser. Nous nous roulions une de ses pelles tout en nous masturbant mutuellement. Il n’avait pas fallu longtemps pour jouir, j’avais laissé six jets de sperme s’étaler sur la main de Juju et son ventre. Quelques secondes plus tard c’est Juju qui éjaculait six jets de semences dans ma main sur mon torse. Nous avions alors séparé nos bouches qui étaient restées soudées depuis le début.
Des étoiles brillaient dans les yeux de Julien. Il semblait très heureux. Moi aussi j’étais heureux, heureux d’être avec mon Julien d’amour. Nous n’avions pas besoin de parler, les mots n’auraient servi à rien. Nos regards en disaient déjà assez long. Nous nous étions une nouvelles fois savonnés pour enlever les traces de spermes sur nos corps. Une fois séchés, nous avions rejoint ma chambre pour nous habiller. J’avais par ailleurs passé un de mes slips à Julien, il n’avait pas prévu de rechange. Une fois habillés, nous avions rejoint Lucas et Math dans le hall de nuit pour descendre, ensemble, dans la salle à manger pour le petit déjeuner.
Une fois dans ma chambre avec Julien, je m’étais posé la question de savoir si Lucas et Math avaient ce qu’il fallait s’ils voulaient s’aimer. J’avais alors pris des préservatifs et du gel lubrifiant dans ma table de nuit. Julien avait tout de suite compris ce que j’allais faire. J’avais donc apporté le tout à Lucas et Math ; ils étaient très heureux de voir ce que je leur apportais. Lucas m’avait glissé dans le creux de l’oreille, « un grand merci » car il n’avait rien avec lui. J’avais vu des étoiles dans leurs yeux. Ce n’était que du bonheur pour mes deux amis.
Ayant refermé la porte de ma chambre, je m’étais rué sur mon lit pour embrasser avec fougue mon amour de Juju. Nos bouches enfin se retrouvaient, elles s’ouvraient pour laisser place à nos langues d’entrer dans la danse. Elles en avaient l’habitude et elles n’attendaient que ça. Nous savions Julien et moi que nous devions éviter de faire ça en public et donc nous gardions ces moments d’intimité uniquement en famille ou lorsque nous étions à nous deux.
La chambre d’amis était à côté de la mienne. J’avais pu entendre comme un gémissement en sortir, il faut dire que le mur n’était pas fort épais. Julien lui aussi avait entendu quelque chose. Il m’avait alors dit à l’oreille :
Jul : « Je pense que les deux loustics se font plaisir !
Moi : Je crois que tu as raison Juju.
Jul : Tu veux que je te prenne ou alors que je te suce ?
Moi : Je vais y réfléchir mon amour !
Jul : Oui mais ne tarde pas trop.
Je plaisantais, je laissais place au suspens, je laissais languir Julien car j’avais vu que son appendice pénien était bien développé, mon amoureux bandait ! Je faisais semblant de chercher ce qui me ferait plaisir. Puis j’étais allé prendre une capote dans mon tiroir de la table de nuit et le gel lubrifiant. J’avais placé le tout dans la main droite ; de la main gauche je mimais une masturbation et de mes lèvres je mimais une fellation !
Jul : Tu es comique Phil, c’est donc à moi à prendre la décision.
Moi : Oui, je sais Juju. Alors je pense que comme j’aime tout, c’est que tu vas devoir me faire plaisir trois fois !
Jul : Oui c’est ça, alors tu décides quoi mon Philou !
Moi : Tu sais Juju, je pense qu’une bonne fellation serait la bienvenue.
Jul : OK, je suis partant, mais se sera en même temps.
Moi : Oui Juju, ensemble. Tu sais que je t’aime mon Juju.
Jul : Oh Phil, moi aussi je t’aime. »
Nous nous étions alors embrassés avec passion. Nos langues s’étaient mises en fonction « maximum de plaisir » et elles nous donnaient beaucoup de joie. Puis nos mains étaient entrées dans la danse, elles caressaient nos corps avec délicatesse et sensualité. Puis enfin nos sexes bandés n’attendaient plus qu’on s’occupe d’eux. Nos mains s’étaient alors posées sur nos protubérances tendues. Elles allaient le long de la colonne de chair en n’oubliant pas les bourses. Puis sans dire un mot, nous nous étions placé têtes bêches pour enfin pouvoir goûter au bâton d’amour de l’être tant aimé.
Nous nous étions lancés dans une séance de sucette mutuelle. J’avais pris le gland de Julien entre mes lèvres et du bout de la langue je léchais le méat. Julien de son côté léchait ma bite depuis la base jusqu’au gland. Nous nous donnions du plaisir. Mes lèvres commençaient à varier la pression en vue de donner de plus en plus de sensation à mon amour, en allant de haut en bas et de bas en haut. De son côté Julien, avait changé de méthode et il avait aussi mes bourses dans sa bouche en les léchant avec la langue, puis il revenait à ma hampe dressée. Enfin nous laissions échapper des râles de bonheur. Nous nous appliquions à donner un maximum de plaisir à notre partenaire. Puis Julien avait commencé à introduire un doigt dans mon anus. Je ne m’y attendais pas, mais c’était très agréable. Il arrivait à titiller ma prostate pour me donner plus de sensations. De mon côté j’avais accentué la pression au niveau de son membre dressé. Julien laissait lui aussi échapper des râles de bonheur de plus en plus sonores. La pression commençait à monter de part et d’autre. Je savais qu’à ce rythme-là nous allions tous les deux arriver à la jouissance. J’avais ralenti les mouvements et diminué la pression au niveau du pénis de Julien. De son côté il avait compris et avait fait la même chose. Il fallait que nous ralentissions la montée de nos sèves pour profiter un plus longtemps de ce moment magique qui nous vivions ensemble en pleine communion. Sentant que nous avions assez ralenti, nous avions repris notre fellation mutuelle. La pression remontait pour chacun de nous. Nos râles se faisaient une nouvelle fois entendre, ils étaient de plus en plus fort. Je savais que nous allions bientôt arriver au point de non-retour, au point où nous allions pouvoir jouir, pouvoir décharger et rependre notre semence au fond de la gorge de notre amoureux. Puis j’avais senti que Julien se cabrait, il était sur le point de jouir. Il laissait, dans un grand râle de bonheur, échapper six jets de sperme au fond de ma gorge. J’avais avalé une partie, j’adorais son sperme car je trouvais qu’il avait bon goût. Puis je sentais que moi aussi j’allais arriver à l’orgasme, mon corps s’était alors cabré et dans un râle de jouissance, j’avais laissé cinq jets de sperme s’étaler au fond de la gorge de Julien.
Nous nous étions alors couchés l’un à côté de l’autre pour enfin nous embrasser et échanger nos semences dans un baiser fougueux. Nous étions heureux, heureux d’être ensemble, heureux de nous être donnés tant de plaisir.
J’avais dit au creux de l’oreille de Julien que je l’aimais. De son côté il avait fait de même en me disant qu’il m’aimait et qu’il souhaitait que notre amour grandisse encore plus. Nous nous étions finalement endormis dans les bras l’un de l’autre, fatigués par nos ébats.
C’est vers neuf heures trente que j’avais entendu frapper à la porte de la chambre. Je me demandais qui pouvait ainsi venir nous réveiller. J’avais dit d’entrer. C’était Lucas qui entrait. Il était seulement vêtu d’un caleçon. Il me demandait où il pourrait trouver des serviettes de bain car il voulait prendre une douche, de même que Mathieu. Je me suis levé et dans le plus simple appareil j’ai été dans l’armoire du hall de nuit prendre deux serviettes de bain pour les deux amis. En donnant les serviettes à Lucas, je lui avais demandé :
Moi : « Dis Lucas, ça a été hier soir. Je vous ai entendu gémir.
Luc : Oh oui Phil. Math et moi nous nous sommes enfin aimés. Merci encore pour ce que tu nous as apporté.
Moi : Waouh. Je suis très content pour vous.
Luc : Merci Phil. Merci d’être un super copain comme tu l’es et aussi Julien qui aussi très sympa. Vous êtes deux véritables amis pour moi et Math.
Moi : Tu sais Lucas, je vous apprécie moi aussi, tous les deux.
Luc : Bon on va aller prendre une bonne douche. Au fait, tu es souvent à poil dans la maison ?
Moi : Oui Lucas, c’est une habitude. Puis tu sais à la piscine, c’est toujours nu qu’on se baigne, comme tu l’as remarqué hier.
Luc : OK, je pense que je vais m’y faire ainsi que Math.
Moi : Au fait, je ne sais pas si mes parents ont entendu quelque chose hier soir à la suite de ce que vous avez fait !
Luc : On verra ce qu’ils diront au petit déjeuner. "
Je laissais Lucas rejoindre Math dans la salle de bain. J’étais revenu auprès de Julien. Je lui caressais les cheveux pour le réveiller tout en lui donnant des petits bisous sur les joues. Enfin il ouvrait les yeux. Il était étonné de l’heure qu’il était. Nous avions effectivement bien dormi. Nous nous étions finalement levés. Nous avions gagné la salle de bain d’où sortaient nos deux amis. Ils étaient nus, tout comme nous. J’avais alors dit :
Moi : « Bonjour les amis, tu vois Lucas, on est quand même bien mieux à poil au matin, ça évite de mettre un vêtement pour ensuite l’enlever pour se doucher et puis encore le remettre pour aller s’habiller dans sa chambre !
Luc : Oui tu as raison.
Math : Tu sais Phil, je crois que je vais faire comme ça chez moi aussi. Je sais que maman ne dira rien.
Luc : Tu sais Phil mes parents sortent parfois nus de leur chambre, alors je suis certain aussi qu’ils ne diront rien.
Jul : C’est une très belle idée les gars. Bon on va prendre notre douche Phil.
Moi : OK Juju. On se retrouve pour le petit déjeuner, on peut descendre ensemble si vous voulez.
Luc : Oui Phil. Merci. »
Julien et moi nous entrions sous la douche italienne. Il y avait assez de place pour deux, sans problème. Nous nous lavions, lorsque Julien m’avait demandé s’il devait faire mon dos, j’avais de suite accepté. Julien me savonnait le dos puis il était descendu au niveau de mes fesses qu’il savonnait bien volontiers. J’avais le sexe qui commençait à prendre de l’ampleur, je commençais à bander. Je sentais aussi la queue de Julien qui touchait de temps à autre mes fesses. Puis, comme je m’y attendais les mains de Julien s’étaient positionnées sur le devant de mon ventre pour descendre au niveau de mon bâton d’amour. Je m’étais retourné pour d’une part poser mes mains sur le sexe bandé de Julien et d’autre part pour l’embrasser. Nous nous roulions une de ses pelles tout en nous masturbant mutuellement. Il n’avait pas fallu longtemps pour jouir, j’avais laissé six jets de sperme s’étaler sur la main de Juju et son ventre. Quelques secondes plus tard c’est Juju qui éjaculait six jets de semences dans ma main sur mon torse. Nous avions alors séparé nos bouches qui étaient restées soudées depuis le début.
Des étoiles brillaient dans les yeux de Julien. Il semblait très heureux. Moi aussi j’étais heureux, heureux d’être avec mon Julien d’amour. Nous n’avions pas besoin de parler, les mots n’auraient servi à rien. Nos regards en disaient déjà assez long. Nous nous étions une nouvelles fois savonnés pour enlever les traces de spermes sur nos corps. Une fois séchés, nous avions rejoint ma chambre pour nous habiller. J’avais par ailleurs passé un de mes slips à Julien, il n’avait pas prévu de rechange. Une fois habillés, nous avions rejoint Lucas et Math dans le hall de nuit pour descendre, ensemble, dans la salle à manger pour le petit déjeuner.