22-10-2020, 12:14 PM
Le vent soufflait avec violence, la neige tombait, il faisait un froid glacial et comme j'habitais non loin, que j'habitais seul dans un très grand appartement, il était logique qu'il vienne chez moi, ce qui se fit sans que nous ayons besoin d'échanger un mot.
Nous nous sommes débarrassés de nos manteaux, nous nous trouvions dans cet immense salon épatant pour de grandes réunions mais où je me suis très vite senti perdu, raison pour laquelle j'avais sacrifié une chambre pour en faire mon "petit salon", très intimiste et meublé de manière à se sentir à l'aise. C'est là que j'ai entrainé Romain et, à vrai dire, nous sommes tous les deux un peu empruntés : Romain est mon meilleur ami, il est notoirement hétérosexuel, même si j'ai un tout petit doute, et je sais car il me l'a avoué, il ne serait pas contre, par pure curiosité bien entendu, de tenter une expérience homo, probablement, je pense, avec moi. Moi, j'ai depuis un certain temps envie de le connaître plus intimément, mais je suis toujours, et Romain le sait, bloqué par le souvenir de Benjamin. Notre gêne se poursuivant, la situation en devient comique aussi nous éclatons de rire tous les deux, nos regards se recroisent comme lorsque nous dansions ensemble, et je lis dans nos yeux qu'il a envie de moi, et que j'ai envie de lui.
Qui osera faire le premier pas, le premier geste, celui qui déclenchera la réalisation de notre envie réciproque ? Ce ne fut ni lui, ni moi mais la conséquence d'une certaine ivresse qui me fit trébucher vers lui, il voulut me rattraper mais son état n'étant guère meilleur que le mien ne le lui permit pas de sorte que nous nous sommes retrouvés tous les deux par terre, sur le tapis, à moitié l'un sur l'autre mais nos deux bouches quasiment l'une sur l'autre. Le rapprochement se fit pratiquement hors de notre volonté, c'était bon, c'était la première fois, il fallait une deuxième fois pour être certain que nous ne rêvions pas. Non, c'était du réel, nos langues exploraient notre cavité buccale, elles commencèrent à entamer une danse de moins en moins chaste, de plus en plus folle et enflammée. Soudain, tout se calma, il y eut comme un silence qui se fit, nous avions commencé une recherche d'intimité véritable, nos deux mains, d'abord timidement, se promenaient voluptueusement sur le devant de notre pantalon, sentant le relief de nos sexes, leur vitalité, leur envie de plus, de mieux. Un nouvel échange de regards, nos mains se consacrèrent à la descente du zip de nos braguettes, à l'ouverture du bouton supérieur qui permit de découvrir nos slips, gonflés par notre envie, le sien noir, le mien bleu pâle, je réalisais brièvement que c'était l'un des sous-vêtements que Benjamin avait oublié, cela me fit plaisir, de cette manière il participait à la découverte de nos corps à Romain et moi. Il devait y avoir un long moment déjà que nos bites étaient excitées car sur le devant de notre ultime vêtement, nous étions depuis un bon moment torse nu, on pouvait voir, admirer avais-je envie de dire, une large tache d'humidité qui, chez mon ami, ressemblait étrangement au vestige d'une éjaculation, ce qui serait possible car, lorsque nous dansions, il m'avait semblé ressentir chez lui comme un tressaillement de tout son corps. Nous nous délectâmes de ces attouchements qui jouaient avec le relief de nos membres, qui les faisaient s'agiter et, chez moi, qui me provoquaient une jouissance que je ne connaissais pas vraiment. Rapidement, ces derniers remparts de tissu allaient se retrouver hors service
- Flo / S'il te plait, j'aimerais être le premier à t'enlever le slip, j'aimerais découvrir d'abord seul ton sexe que je devine très beau, très tentant, très… tout ce que tu veux.
Il était d'accord, il l'avait encore même si l'énorme bosse soulevait le tissu sur les bords laissant apercevoir ses testicules, je me délectais de ce spectacle. Je n'ai pas pu m'en empêcher, je me suis penché et j'ai déposé un baiser, très chaste, sur le gland qui se dessinait sous l'étoffe. Mais surtout, j'ai alors humé une odeur envoutante de musc, d'émanation de glandes corporelles, j'adorais cette senteur, c'était celle d'un homme, d'un adolescent comme moi, qui sentait bon le mâle, une senteur qui ressemblait à la mienne lorsque je me branlais. Cela m'a quasiment fait perdre la raison, c'était comme une ivresse envoyée par les dieux grecs, d'un seul geste j'arrachais son slip et son sceptre jaillit comme libéré de sa prison, un sceptre brillant de liquide éjaculatoire, encore entaché du sperme qu'il avait lâché plus tôt. Je n'hésitais pas une seconde, je savais aux contractions qui l'agitaient qu'il était d'accord, qu'il le voulait même, je pris ce morceau de chair en bouche, c'était la première fois, je retrouvais en plus fort la même odeur. C'était vivant, mouillé, ma langue jouait avec son engin, enrobant le gland de caresses circulaires de plus en plus rapides, de plus en plus efficaces d'autant que mes mains malaxaient avec avidité ses merveilleuses testicules avec, par moment, une timide extension dans sa raie. Romain ne gémissait plus, il criait, il hurlait sa jouissance, son plaisir, il devenait fou, il voulait, oui il voulait et soudain, je sentis dans ma bouche un raidissement brutal, ma langue qui jouait avec son méat fut comme repoussée par un premier jet de sa substance intime, surpris je me retirais pour voir encore la suite de son éjaculation qui n'en finissait pas de s'étaler sur ma figure et ma poitrine. Je léchais une bonne partie de sa semence et, alors que je l'embrassais, je n'avais pas réalisé que j'étais cul nu également, qu'une de ses mains s'activait sur mon organe alors que l'autre venait de pénétrer dans mon petit trou, très superficiellement mais cela m'a suffi, jamais personne n'y avait touché, cette intrusion déclencha la plus formidable éjaculation que j'avais jamais ressentie et un orgasme qui se prolongea au-delà de l'imaginable.
Nous étions fourbus, exténués, trempés de sueur, couverts de nos spermes qui se mélangeaient en dégoulinant sur nos cuisses, nos odeurs et nos émanations corporelles se confondaient, nous avions encore des gouttes de sperme qui achevaient leurs sorties. Mais nous étions heureux, conscients que nous avions vécu un moment exceptionnel et privilégié tout en ne sachant pas ce que nous réservait l'avenir, un avenir qui pour l'instant ne nous intéressait absolument pas, nous voulions seulement profiter du moment présent, de ce moment où nous étions tous les deux nus sur le tapis, enlacés l'un à l'autre et bénéficiant des caresses voluptueuses que nous nous accordions sur nos corps, dans tous les coins et recoins. Oui, ce grand bal annuel était vraiment une réussite !
Nous avons dormi ensemble jusque vers onze heures, blottis l'un contre l'autre, mais il était grand temps que Romain regagne sa famille pour l'habituel repas du dimanche, une véritable institution qu'il était mal vu de rater, surtout si ce n'était pas préalablement annoncé et dûment accepté.
Une fois Romain partit, Florentin se remit au lit et il sombra rapidement dans une somnolence qui ne l'empêcha pas de réfléchir à tout ce qu'il avait vécu au cours de ces dernières heures. En fait, il se surprenait lui-même, d'abord sur son attitude lors de la danse des garçons : qu'est-ce qui lui avait prit de s'exposer comme il l'avait fait, c'était tellement contraire à tout ce qui avait été sa ligne de conduite jusqu'à ce jour. La nuit, rentré chez lui avec Romain, était encore moins compréhensible, il s'était vautré dans la turpitude, il avait voulu du sexe et il en avait eu à profusion, il avait franchement honte de ce qu'il avait vécu mais, en même temps, c'était un sentiment tellement extraordinaire de plaisir, de jouissance partagée qu'il n'avait qu'une envie, celle de revivre de tel moment.
Et puis, il y avait cette mauvaise conscience vis-à-vis de Benjamin, ce garçon qu'il aimait toujours par-dessus tout mais qu'il mettait de côté dans ces moments où il atteignait le nirvana, ces moments où le sexe prenait le dessus, où le corps de l'autre avec ses émois, ses tremblements, son sperme qui giclait des profondeurs les plus intimes et se répandait sur les corps…
Oui, se demandait Florentin, où est mon ami, celui qui est un autre moi-même, que fait-il ? C'est vrai, ces réflexions dérangeaient un peu notre Florentin mais rapidement il arriva à la conclusion qu'il n'était pas pensable que son ami respecte à la lettre leur engagement, Benjamin, finalement, était un garçon comme tous les garçons dont les hormones devaient demander, exiger même, qu'on les satisfasse, qu'on s'occupe d'elles. L'image d'un Benjamin entrain de dormir avec un garçon et de se donner du plaisir se superposait avec son propre plaisir. Au fond, ce n'était pas un mal, bien au contraire car lorsqu'ils se retrouveront, ils seront tous deux à égalité, ce ne sera plus le petit naïf des montagnes qui sera à la traîne mais un garçon affermi, sûr de lui qui pourra, qui sait, en remontrer à celui qui finalement lui a fait connaître cet océan de plaisir alors qu'il était ignorant de tout. Si je suis aujourd'hui ce que je suis, c'est grâce à Benjamin, peut-être à cause de lui. La conclusion du jeune garçon, dès lors bien émancipé, continuons à découvrir la vie et à profiter de tout ce qu'elle nous offre.
Par contre il y avait une chose sur laquelle Florentin serait intransigeant, il était hors de question que son petit cul soit pris par une bite autre que celle de Benjamin, l'acte de pénétration représentait l'intimité maximum qui ne pouvait qu'être réservée à l'homme de sa vie, et Benjamin restait, quoiqu'il arrive, cet homme-là.
Nous nous sommes débarrassés de nos manteaux, nous nous trouvions dans cet immense salon épatant pour de grandes réunions mais où je me suis très vite senti perdu, raison pour laquelle j'avais sacrifié une chambre pour en faire mon "petit salon", très intimiste et meublé de manière à se sentir à l'aise. C'est là que j'ai entrainé Romain et, à vrai dire, nous sommes tous les deux un peu empruntés : Romain est mon meilleur ami, il est notoirement hétérosexuel, même si j'ai un tout petit doute, et je sais car il me l'a avoué, il ne serait pas contre, par pure curiosité bien entendu, de tenter une expérience homo, probablement, je pense, avec moi. Moi, j'ai depuis un certain temps envie de le connaître plus intimément, mais je suis toujours, et Romain le sait, bloqué par le souvenir de Benjamin. Notre gêne se poursuivant, la situation en devient comique aussi nous éclatons de rire tous les deux, nos regards se recroisent comme lorsque nous dansions ensemble, et je lis dans nos yeux qu'il a envie de moi, et que j'ai envie de lui.
Qui osera faire le premier pas, le premier geste, celui qui déclenchera la réalisation de notre envie réciproque ? Ce ne fut ni lui, ni moi mais la conséquence d'une certaine ivresse qui me fit trébucher vers lui, il voulut me rattraper mais son état n'étant guère meilleur que le mien ne le lui permit pas de sorte que nous nous sommes retrouvés tous les deux par terre, sur le tapis, à moitié l'un sur l'autre mais nos deux bouches quasiment l'une sur l'autre. Le rapprochement se fit pratiquement hors de notre volonté, c'était bon, c'était la première fois, il fallait une deuxième fois pour être certain que nous ne rêvions pas. Non, c'était du réel, nos langues exploraient notre cavité buccale, elles commencèrent à entamer une danse de moins en moins chaste, de plus en plus folle et enflammée. Soudain, tout se calma, il y eut comme un silence qui se fit, nous avions commencé une recherche d'intimité véritable, nos deux mains, d'abord timidement, se promenaient voluptueusement sur le devant de notre pantalon, sentant le relief de nos sexes, leur vitalité, leur envie de plus, de mieux. Un nouvel échange de regards, nos mains se consacrèrent à la descente du zip de nos braguettes, à l'ouverture du bouton supérieur qui permit de découvrir nos slips, gonflés par notre envie, le sien noir, le mien bleu pâle, je réalisais brièvement que c'était l'un des sous-vêtements que Benjamin avait oublié, cela me fit plaisir, de cette manière il participait à la découverte de nos corps à Romain et moi. Il devait y avoir un long moment déjà que nos bites étaient excitées car sur le devant de notre ultime vêtement, nous étions depuis un bon moment torse nu, on pouvait voir, admirer avais-je envie de dire, une large tache d'humidité qui, chez mon ami, ressemblait étrangement au vestige d'une éjaculation, ce qui serait possible car, lorsque nous dansions, il m'avait semblé ressentir chez lui comme un tressaillement de tout son corps. Nous nous délectâmes de ces attouchements qui jouaient avec le relief de nos membres, qui les faisaient s'agiter et, chez moi, qui me provoquaient une jouissance que je ne connaissais pas vraiment. Rapidement, ces derniers remparts de tissu allaient se retrouver hors service
- Flo / S'il te plait, j'aimerais être le premier à t'enlever le slip, j'aimerais découvrir d'abord seul ton sexe que je devine très beau, très tentant, très… tout ce que tu veux.
Il était d'accord, il l'avait encore même si l'énorme bosse soulevait le tissu sur les bords laissant apercevoir ses testicules, je me délectais de ce spectacle. Je n'ai pas pu m'en empêcher, je me suis penché et j'ai déposé un baiser, très chaste, sur le gland qui se dessinait sous l'étoffe. Mais surtout, j'ai alors humé une odeur envoutante de musc, d'émanation de glandes corporelles, j'adorais cette senteur, c'était celle d'un homme, d'un adolescent comme moi, qui sentait bon le mâle, une senteur qui ressemblait à la mienne lorsque je me branlais. Cela m'a quasiment fait perdre la raison, c'était comme une ivresse envoyée par les dieux grecs, d'un seul geste j'arrachais son slip et son sceptre jaillit comme libéré de sa prison, un sceptre brillant de liquide éjaculatoire, encore entaché du sperme qu'il avait lâché plus tôt. Je n'hésitais pas une seconde, je savais aux contractions qui l'agitaient qu'il était d'accord, qu'il le voulait même, je pris ce morceau de chair en bouche, c'était la première fois, je retrouvais en plus fort la même odeur. C'était vivant, mouillé, ma langue jouait avec son engin, enrobant le gland de caresses circulaires de plus en plus rapides, de plus en plus efficaces d'autant que mes mains malaxaient avec avidité ses merveilleuses testicules avec, par moment, une timide extension dans sa raie. Romain ne gémissait plus, il criait, il hurlait sa jouissance, son plaisir, il devenait fou, il voulait, oui il voulait et soudain, je sentis dans ma bouche un raidissement brutal, ma langue qui jouait avec son méat fut comme repoussée par un premier jet de sa substance intime, surpris je me retirais pour voir encore la suite de son éjaculation qui n'en finissait pas de s'étaler sur ma figure et ma poitrine. Je léchais une bonne partie de sa semence et, alors que je l'embrassais, je n'avais pas réalisé que j'étais cul nu également, qu'une de ses mains s'activait sur mon organe alors que l'autre venait de pénétrer dans mon petit trou, très superficiellement mais cela m'a suffi, jamais personne n'y avait touché, cette intrusion déclencha la plus formidable éjaculation que j'avais jamais ressentie et un orgasme qui se prolongea au-delà de l'imaginable.
Nous étions fourbus, exténués, trempés de sueur, couverts de nos spermes qui se mélangeaient en dégoulinant sur nos cuisses, nos odeurs et nos émanations corporelles se confondaient, nous avions encore des gouttes de sperme qui achevaient leurs sorties. Mais nous étions heureux, conscients que nous avions vécu un moment exceptionnel et privilégié tout en ne sachant pas ce que nous réservait l'avenir, un avenir qui pour l'instant ne nous intéressait absolument pas, nous voulions seulement profiter du moment présent, de ce moment où nous étions tous les deux nus sur le tapis, enlacés l'un à l'autre et bénéficiant des caresses voluptueuses que nous nous accordions sur nos corps, dans tous les coins et recoins. Oui, ce grand bal annuel était vraiment une réussite !
Nous avons dormi ensemble jusque vers onze heures, blottis l'un contre l'autre, mais il était grand temps que Romain regagne sa famille pour l'habituel repas du dimanche, une véritable institution qu'il était mal vu de rater, surtout si ce n'était pas préalablement annoncé et dûment accepté.
Une fois Romain partit, Florentin se remit au lit et il sombra rapidement dans une somnolence qui ne l'empêcha pas de réfléchir à tout ce qu'il avait vécu au cours de ces dernières heures. En fait, il se surprenait lui-même, d'abord sur son attitude lors de la danse des garçons : qu'est-ce qui lui avait prit de s'exposer comme il l'avait fait, c'était tellement contraire à tout ce qui avait été sa ligne de conduite jusqu'à ce jour. La nuit, rentré chez lui avec Romain, était encore moins compréhensible, il s'était vautré dans la turpitude, il avait voulu du sexe et il en avait eu à profusion, il avait franchement honte de ce qu'il avait vécu mais, en même temps, c'était un sentiment tellement extraordinaire de plaisir, de jouissance partagée qu'il n'avait qu'une envie, celle de revivre de tel moment.
Et puis, il y avait cette mauvaise conscience vis-à-vis de Benjamin, ce garçon qu'il aimait toujours par-dessus tout mais qu'il mettait de côté dans ces moments où il atteignait le nirvana, ces moments où le sexe prenait le dessus, où le corps de l'autre avec ses émois, ses tremblements, son sperme qui giclait des profondeurs les plus intimes et se répandait sur les corps…
Oui, se demandait Florentin, où est mon ami, celui qui est un autre moi-même, que fait-il ? C'est vrai, ces réflexions dérangeaient un peu notre Florentin mais rapidement il arriva à la conclusion qu'il n'était pas pensable que son ami respecte à la lettre leur engagement, Benjamin, finalement, était un garçon comme tous les garçons dont les hormones devaient demander, exiger même, qu'on les satisfasse, qu'on s'occupe d'elles. L'image d'un Benjamin entrain de dormir avec un garçon et de se donner du plaisir se superposait avec son propre plaisir. Au fond, ce n'était pas un mal, bien au contraire car lorsqu'ils se retrouveront, ils seront tous deux à égalité, ce ne sera plus le petit naïf des montagnes qui sera à la traîne mais un garçon affermi, sûr de lui qui pourra, qui sait, en remontrer à celui qui finalement lui a fait connaître cet océan de plaisir alors qu'il était ignorant de tout. Si je suis aujourd'hui ce que je suis, c'est grâce à Benjamin, peut-être à cause de lui. La conclusion du jeune garçon, dès lors bien émancipé, continuons à découvrir la vie et à profiter de tout ce qu'elle nous offre.
Par contre il y avait une chose sur laquelle Florentin serait intransigeant, il était hors de question que son petit cul soit pris par une bite autre que celle de Benjamin, l'acte de pénétration représentait l'intimité maximum qui ne pouvait qu'être réservée à l'homme de sa vie, et Benjamin restait, quoiqu'il arrive, cet homme-là.