16-10-2020, 07:21 PM
Chapitre 2 - L’exposé de Koen (2)
Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald
La directrice préféra sortir et s’excusa, elle devait encore corriger des copies. Aucun étudiant ne manifesta de l’intérêt pour répondre à la demande de Koen. Frédéric allait se porter volontaire lorsque l’apprenti cuisinier, Stefan, qui était assis au premier rang, leva timidement la main en disant :
— Je pourrais aussi participer, Monsieur ? Je ne suis pas un élève de l’école.
— Bien sûr, fit Koen, avec plaisir, la seule condition est d’avoir des organes génitaux masculins.
Stefan se leva et monta sur l’estrade sur laquelle se trouvait Koen, l’assemblée applaudit pour l’encourager. Il n’était pas très grand, il avait les cheveux bruns foncé, presque noirs, en frange sur le front, il était vêtu de sa veste blanche de cuisinier et de pantalons gris. Frédéric remarqua que ses initiales SK étaient brodées sur la poche.
— Afin d’avoir une vision complète d’une population donnée, expliqua Koen, j’aimerais établir une fiche pour chacun d’entre vous. Je pourrais vous rencontrer séparément, dans un endroit plus discret que cette salle. Je vais vous monter comment pourrait se dérouler cette rencontre afin de vous motiver. Frédéric sera mon assistant. Comment vous appelez-vous, Monsieur ?
— Stefan Kaiser.
— Votre date de naissance ?
— Le 12 mars 1946.
— Ce sera plus pratique d’enlever votre veste, Frédéric la prendra pour la mettre sur une chaise.
Stefan obéit, il avait mis un tee-shirt gris sous sa veste.
— Dois-je aussi enlever mes pantalons ? demanda-t-il.
— Vous pouvez seulement les baisser. Lors d’examens ultérieurs je préférerais la nudité, mais je ne veux pas vous brusquer car vous n’avez pas l’habitude d’être à poil comme les élèves de l’école.
L’apprenti cuisinier avait un slip blanc classique. Il le baissa aussi spontanément jusqu’aux mollets, déclenchant quelques rires dans la salle. Ses organes génitaux n’étaient pas très gros, mais bien proportionnés avec le reste du corps. Son pénis semblait déjà un peu tendu, le gland était découvert. Les testicules pendaient. Il remonta son tee-shirt, dégageant son nombril et son ventre svelte.
— Vous n’avez pas une toison pubienne très fournie, observa Koen. Vous rasez-vous ?
— Oui, en été il fait chaud dans les cuisines, je trouve plus agréable et hygiénique.
— Tu notes tout ? demanda Koen en se tournant vers son ami.
— Ja, Herr Professor.
Frédéric pensa que Koen le prenait pour son larbin.
— Vous le faites avec un rasoir ? continua Koen.
— C’est mon frère qui s’en charge, il est apprenti coiffeur.
Koen voulut demander à Stefan s’il se branlait avec son frère, mais il se retint. Le professeur n’aurait pas trouvé cette question pertinente pour une étude scientifique. Il prit le pénis dans sa main et examina le gland.
— Je vois que vous êtes circoncis. C’était pour quelle raison ?
— C’est plus hygiénique, j’habite dans une ferme qui n’a pas de salle de bain. On ne se lave pas tous les jours et c’est dans une bassine à la cuisine.
Frédéric repensa à la ferme d’alpage où ils s’étaient lavés dans la fontaine et à Peter qui fabriquait du fromage et qui chantait. Les apprentis de cette région étaient décidément très charmants.
— Puis-je vous demander si vous avez déjà eu des éjaculations ? questionna Koen.
— Ça m’arrive, oui, répondit Stefan en riant. Les fils de paysans de montagne ne sont pas complètement demeurés, on sait comment on fait des enfants très tôt.
Koen n’osa pas lui demander s’il était puceau, cela aurait été gênant de l’avouer en public. Il expliqua à nouveau où se trouvaient les différentes parties du pénis en les montrant, puis il sortit un mètre de couturière de sa poche et mesura la longueur et la circonférence du membre.
— Quelles dimensions ? demanda Torsten, provoquant quelques rires.
— Je préfère garder cette information pour moi, répondit Koen. Avez-vous d’autres questions ?
— On peut aussi le voir bander ? ajouta Torsten, provoquant encore plus de rires.
Franz intervint pour rétablir le calme.
— Je rappelle que Monsieur Kaiser n’est pas un élève et qu’il ne doit pas effectuer les exercices masturbatoires vespéraux. Ce sera seulement s’il le désire, sinon Monsieur Torsten le remplacera.
Stefan prit les devants, caressa sa hampe et banda rapidement, l’assistance applaudit à nouveau. Koen en profita pour mesurer le membre dressé, il sortit un préservatif de sa poche et montra comment le dérouler en rappelant l’importance de se protéger et d’éviter des grossesses indésirables. Koen aurait encore voulu demander à Stefan quelle orientation sexuelle il avait et bien sûr évaluer l’intensité de son orgasme. Il renonça, il ne voulait pas humilier davantage l’apprenti cuisinier qui ne semblait pourtant pas trop gêné de s’exhiber. Koen se dit qu’il devait y avoir pas mal de promiscuité dans la ferme où il vivait, pas étonnant si tout le monde se lavait à la cuisine.
— Je vous remercie, dit Koen à Stefan, ce sera tout pour moi, à moins que quelqu’un ait encore des questions.
Koen enleva le préservatif et le tendit à Frédéric. Le professeur Latte se leva et vint sur l’estrade.
— L’exposé de Herr Grotelul était remarquable, je lui prédis un brillant avenir.
— Merci beaucoup, Herr Prof. Dr. Latte.
— Je vais maintenant encore vous expliquer comment on doit tâter les testicules pour détecter des néoplasies, autrement dit des excroissances que pourrait provoquer une grave maladie. Faites-le au moins une fois par mois.
Le professeur mit des gants de latex, demanda à Stefan de soulever son pénis qui débanda. Il tâta les testicules sans ménagement en expliquant comment le faire. Koen demanda :
— Désirez-vous encore lui examiner la prostate, Herr Prof. Dr. Latte ?
— Ce n’est pas nécessaire à votre âge, mais si ça vous fait plaisir et si Herr Kaiser est d’accord.
— Ce n’est pas pour le plaisir, je voudrais juste voir votre méthode, je pourrais ainsi m’entraîner.
— Avez-vous un sujet pour vous entraîner ?
— Mon ami Frédéric.
Stefan indiqua qu’il était d’accord, il était un peu hypocondriaque et voulait s’assurer qu’il n’eût pas de maladie. Le professeur lui demanda de se pencher en avant, les mains sur une chaise et les fesses face au public, puis mis son doigt dans le rectum après l’avoir enduit de gel lubrifiant. Koen trouva que c’était trop rapide.
Frédéric pensa que le Dr. Latte avait prévu à l’avance de faire cette démonstration puisqu’il avait pris du matériel. Il eut pitié de Stefan qui avait pris sa place et lui avait évité d’exhiber son fondement.
— Très bien, dit le professeur en enlevant ses gants et en les tendant à Frédéric, vous pouvez vous rhabiller. Vous êtes en parfaire santé Herr Kaiser, je vous demanderais de rester un moment vers moi, je dois vous parler.
Stefan se demanda ce que le professeur allait lui dire. Il était rassuré d’être en bonne santé. Le Dr. Latte s’adressa aux autres élèves :
— Maintenant je vous prie de monter sur l’estrade l’un après l’autre et de tâter vos testicules, je vais regarder si vous le faites correctement. Comme je l’ai dit, c’est très important pour détecter toute anomalie.
Jeudi 23 juillet 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald
La directrice préféra sortir et s’excusa, elle devait encore corriger des copies. Aucun étudiant ne manifesta de l’intérêt pour répondre à la demande de Koen. Frédéric allait se porter volontaire lorsque l’apprenti cuisinier, Stefan, qui était assis au premier rang, leva timidement la main en disant :
— Je pourrais aussi participer, Monsieur ? Je ne suis pas un élève de l’école.
— Bien sûr, fit Koen, avec plaisir, la seule condition est d’avoir des organes génitaux masculins.
Stefan se leva et monta sur l’estrade sur laquelle se trouvait Koen, l’assemblée applaudit pour l’encourager. Il n’était pas très grand, il avait les cheveux bruns foncé, presque noirs, en frange sur le front, il était vêtu de sa veste blanche de cuisinier et de pantalons gris. Frédéric remarqua que ses initiales SK étaient brodées sur la poche.
— Afin d’avoir une vision complète d’une population donnée, expliqua Koen, j’aimerais établir une fiche pour chacun d’entre vous. Je pourrais vous rencontrer séparément, dans un endroit plus discret que cette salle. Je vais vous monter comment pourrait se dérouler cette rencontre afin de vous motiver. Frédéric sera mon assistant. Comment vous appelez-vous, Monsieur ?
— Stefan Kaiser.
— Votre date de naissance ?
— Le 12 mars 1946.
— Ce sera plus pratique d’enlever votre veste, Frédéric la prendra pour la mettre sur une chaise.
Stefan obéit, il avait mis un tee-shirt gris sous sa veste.
— Dois-je aussi enlever mes pantalons ? demanda-t-il.
— Vous pouvez seulement les baisser. Lors d’examens ultérieurs je préférerais la nudité, mais je ne veux pas vous brusquer car vous n’avez pas l’habitude d’être à poil comme les élèves de l’école.
L’apprenti cuisinier avait un slip blanc classique. Il le baissa aussi spontanément jusqu’aux mollets, déclenchant quelques rires dans la salle. Ses organes génitaux n’étaient pas très gros, mais bien proportionnés avec le reste du corps. Son pénis semblait déjà un peu tendu, le gland était découvert. Les testicules pendaient. Il remonta son tee-shirt, dégageant son nombril et son ventre svelte.
— Vous n’avez pas une toison pubienne très fournie, observa Koen. Vous rasez-vous ?
— Oui, en été il fait chaud dans les cuisines, je trouve plus agréable et hygiénique.
— Tu notes tout ? demanda Koen en se tournant vers son ami.
— Ja, Herr Professor.
Frédéric pensa que Koen le prenait pour son larbin.
— Vous le faites avec un rasoir ? continua Koen.
— C’est mon frère qui s’en charge, il est apprenti coiffeur.
Koen voulut demander à Stefan s’il se branlait avec son frère, mais il se retint. Le professeur n’aurait pas trouvé cette question pertinente pour une étude scientifique. Il prit le pénis dans sa main et examina le gland.
— Je vois que vous êtes circoncis. C’était pour quelle raison ?
— C’est plus hygiénique, j’habite dans une ferme qui n’a pas de salle de bain. On ne se lave pas tous les jours et c’est dans une bassine à la cuisine.
Frédéric repensa à la ferme d’alpage où ils s’étaient lavés dans la fontaine et à Peter qui fabriquait du fromage et qui chantait. Les apprentis de cette région étaient décidément très charmants.
— Puis-je vous demander si vous avez déjà eu des éjaculations ? questionna Koen.
— Ça m’arrive, oui, répondit Stefan en riant. Les fils de paysans de montagne ne sont pas complètement demeurés, on sait comment on fait des enfants très tôt.
Koen n’osa pas lui demander s’il était puceau, cela aurait été gênant de l’avouer en public. Il expliqua à nouveau où se trouvaient les différentes parties du pénis en les montrant, puis il sortit un mètre de couturière de sa poche et mesura la longueur et la circonférence du membre.
— Quelles dimensions ? demanda Torsten, provoquant quelques rires.
— Je préfère garder cette information pour moi, répondit Koen. Avez-vous d’autres questions ?
— On peut aussi le voir bander ? ajouta Torsten, provoquant encore plus de rires.
Franz intervint pour rétablir le calme.
— Je rappelle que Monsieur Kaiser n’est pas un élève et qu’il ne doit pas effectuer les exercices masturbatoires vespéraux. Ce sera seulement s’il le désire, sinon Monsieur Torsten le remplacera.
Stefan prit les devants, caressa sa hampe et banda rapidement, l’assistance applaudit à nouveau. Koen en profita pour mesurer le membre dressé, il sortit un préservatif de sa poche et montra comment le dérouler en rappelant l’importance de se protéger et d’éviter des grossesses indésirables. Koen aurait encore voulu demander à Stefan quelle orientation sexuelle il avait et bien sûr évaluer l’intensité de son orgasme. Il renonça, il ne voulait pas humilier davantage l’apprenti cuisinier qui ne semblait pourtant pas trop gêné de s’exhiber. Koen se dit qu’il devait y avoir pas mal de promiscuité dans la ferme où il vivait, pas étonnant si tout le monde se lavait à la cuisine.
— Je vous remercie, dit Koen à Stefan, ce sera tout pour moi, à moins que quelqu’un ait encore des questions.
Koen enleva le préservatif et le tendit à Frédéric. Le professeur Latte se leva et vint sur l’estrade.
— L’exposé de Herr Grotelul était remarquable, je lui prédis un brillant avenir.
— Merci beaucoup, Herr Prof. Dr. Latte.
— Je vais maintenant encore vous expliquer comment on doit tâter les testicules pour détecter des néoplasies, autrement dit des excroissances que pourrait provoquer une grave maladie. Faites-le au moins une fois par mois.
Le professeur mit des gants de latex, demanda à Stefan de soulever son pénis qui débanda. Il tâta les testicules sans ménagement en expliquant comment le faire. Koen demanda :
— Désirez-vous encore lui examiner la prostate, Herr Prof. Dr. Latte ?
— Ce n’est pas nécessaire à votre âge, mais si ça vous fait plaisir et si Herr Kaiser est d’accord.
— Ce n’est pas pour le plaisir, je voudrais juste voir votre méthode, je pourrais ainsi m’entraîner.
— Avez-vous un sujet pour vous entraîner ?
— Mon ami Frédéric.
Stefan indiqua qu’il était d’accord, il était un peu hypocondriaque et voulait s’assurer qu’il n’eût pas de maladie. Le professeur lui demanda de se pencher en avant, les mains sur une chaise et les fesses face au public, puis mis son doigt dans le rectum après l’avoir enduit de gel lubrifiant. Koen trouva que c’était trop rapide.
Frédéric pensa que le Dr. Latte avait prévu à l’avance de faire cette démonstration puisqu’il avait pris du matériel. Il eut pitié de Stefan qui avait pris sa place et lui avait évité d’exhiber son fondement.
— Très bien, dit le professeur en enlevant ses gants et en les tendant à Frédéric, vous pouvez vous rhabiller. Vous êtes en parfaire santé Herr Kaiser, je vous demanderais de rester un moment vers moi, je dois vous parler.
Stefan se demanda ce que le professeur allait lui dire. Il était rassuré d’être en bonne santé. Le Dr. Latte s’adressa aux autres élèves :
— Maintenant je vous prie de monter sur l’estrade l’un après l’autre et de tâter vos testicules, je vais regarder si vous le faites correctement. Comme je l’ai dit, c’est très important pour détecter toute anomalie.
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