16-10-2020, 09:34 AM
Nous avions été accueillis par Béatrice et Pierre. Nous leur avions donné un bisou. Puis une fois installés devant une bonne tasse de café et des tartines au choco, c’est Béatrice qui avait demandé si nous avions passé une bonne nuit.
Béa : « Alors mes deux garçons, vous avez passé une bonne nuit ?
Jul : « Oui maman, nous avons bien dormi. »
Béa : Et toi Phil, tu as bien dormi ?
Moi : Oui Béatrice, j’ai très bien dormi. Et vous ?
Béa : Oui, nous avons bien dormi, c’est seulement ce matin que j’ai été réveillée un peu plus tôt !
Jul : Ah bon, tu as eu un réveil brutal ?
Béa : Non, c’est que j’avais été réveillée par des murmures et par des cris étouffés !
Jul : Désolé Maman, je crois que nous n’avons pas été discrets ce matin !
Béa : Tu sais Julien, ça fait partie des choses de la vie. Tu as aussi à ton âge besoin de satisfaire certains besoins avec ton ami Phil.
Moi : Merci Béatrice, je suis désolé d’avoir peut-être fait trop de bruit, mais nous étions comme hors du temps Julien et moi !
Béa : Ce n’est pas grave Phil, la seule chose qui m’importe c’est que vous vous aimiez et que vous puissiez vous aimer dans les meilleures conditions.
Moi : Merci, merci Béatrice.
Jul : Merci Maman. Tu sais on se protège !»
Béa : Je n’en doute pas mon fils. Je sais que vous êtes des jeunes bien conscients des risques à ne pas courir.
Jul : Merci Maman.
Pie : Vous savez Phil et Julien, vous êtes comme nos deux garçons et vos sœurs, comme nos filles ; c’est surement la même chose pour Fanny et Alain, tes parents Phil ; vous comptez énormément pour nous. Vous avez le droit d’être heureux, je dirais même plus, vous en avez le devoir !
Jul : Merci Papa. Je vous aime !
Moi : Merci Béatrice, merci Pierre, vous comptez aussi beaucoup pour moi. Merci de votre soutien.
Pie : Bon, je suppose que vous allez étudier. Vous savez que c’est la dernière ligne droite, c’est l’occasion de faire des étincelles !
Jul : Bien sûr Papa, nous allons nous y mettre. Tu sais c’est important que nous réussissions notre rhéto pour pouvoir accéder aux études supérieures. »
Nous avions quitté la table, heureux d’être soutenus par les parents de Julien. Nous avions décidé, avec leur accord de nous installer dans la salle à manger pour pouvoir utiliser la table pour mettre nos cours et nos livres. Nous nous étions tout de suite mis en route pour revoir nos cours.
C’est vers midi trente que Béatrice était venue nous dire que le dîner sera prêt vers treize heures. Béatrice avait préparé un repas simple et facile à digérer. C’était un plat froid composé de rosbif, salade, tomates, carottes rappées, betteraves rouge et pommes de terre froides. Bien entendu, pas de boisson alcoolisée, juste du jus de fruit ou de l’eau. Puis un fruit, une pêche, comme dessert. Nous avions repris nos révisions vers quatorze heures.
Vers seize heures trente nous avions fait une pause en allant taper la balle dans le jardin. Un bon verre de lait grenadine et hop, de nouveau au travail. Nous étions très concentrés. Nous étions dans un environnement propice pour étudier. Pas de bruit ! Et c’est donc comme cela que nous avions poursuivi nos révisions.
C’est vers dix-neuf heures que nous avions mis un terme à notre travail. Nous avions senti que le barbecue avait été mis en route. Julien et moi commencions à avoir faim. Nous nous étions rendus dans la cuisine où nous avions vu Béatrice occupée à préparer le repas en compagnie de Delphine et Stéphanie. Nous ne nous étions pas rendus compte qu’elles étaient arrivées.
Béatrice nous a demandé de mettre la table. Il y avait huit assiettes ! Nous n’étions pourtant que six avec les deux filles ! Julien avait demandé à sa maman :
Jul : « Maman, il y a huit assiettes, est-ce normal ?
Béa : Oui Julien, nous serons huit pour le souper.
Jul : Qui sont les deux autres ?
Béa : Tu es bien curieux mon fils !
Pie : Oui Julien tu es bien curieux. Tu n’as pas idée de qui cela peut être ?
Jul : Je ne vois pas !
Moi : Merci Pierre, je crois que ce sont mes parents !
Pie : Bien vu Phil, oui Fanny et Alain viennent souper avec nous !
Moi : Super, merci.
Jul : J’adore, j’aime bien des barbecues organisés à l’improviste, ou du moins quand tous les convives ne sont pas au courant !
Pie : J’aime bien ta remarque Julien. Moi aussi j’aime bien quand c’est spontané. Fanny avait téléphoné pour savoir comment ça se passait pour les révisions et sur ce je m’étais dit que ce serait bien de tous nous retrouver pour un barbecue.
Moi : C’est génial. Merci Pierre. Et aussi merci Béatrice.
Béa : Je te reconnais bien là Phil, toujours heureux quand les autres sont heureux eux aussi ! »
Béatrice était venue me faire une accolade. J’avais deux mamans et deux papas. Et pour Julien c’était la même chose, il était aussi très bien accueilli par mes parents. Puis il y avait les filles qui étaient dans la même situation. C’est vrai que c’était un peu particulier, mais pas exceptionnel. Julien et moi avions donc mis la table, assiettes, couverts, verres etc. Pierre avait demandé à Julien d’aller chercher à la cave deux bouteilles de vin.
Papa et Maman étaient arrivés vers vingt heures. Ils avaient l’air très heureux de venir nous rejoindre. Maman avait apporté un gros bouquet de fleurs pour Béatrice et Papa avait quant à lui apporté un magnum de vin de Bordeaux. Nous nous étions alors tous installés sur la terrasse pour l’apéro. Pierre avait préparé un cocktail mais nous deux, Julien et moi, avions opté pour un soft. C’est lors de l’apéro que Julien m’avait suggéré de montrer les listes pour notre anniversaire commun à nos parents. J’avais effectivement dit à Juju que c’était le moment idéal. Ni une ni deux, Julien était allé chercher dans sa chambre les deux listes préparées la veille au soir. Puis une fois les deux feuilles en main, Julien et moi nous nous étions placé côte à côte pour prendre la parole.
Jul : « Bon, désolé de vous interrompre, mais Phil et moi nous avons quelque chose d’important à vous soumettre.
Pie : Alors mon fils, nous allons vous écouter.
Jul : Bon, voilà hier soir nous avons fait la liste des activités que nous voudrions faire pour notre anniversaire commun.
Béa : Mais c’est une très bonne idée.
Jul : Voilà, en fait c’est un mélange de nos souhaits, une espèce de mix de ce que nous voulions faire. Alors nous avons réfléchi et nous avions pensé que nous aurions tous pu nous retrouver chez nous pour y laisser les sacs. (Il faut dire que le jardin était plus spacieux que celui de des parents de Phil.) Puis de la maison nous serions tous partis à vélo vers le hall omnisports pour y jouer aux différents sports. Ensuite nous serions passés à la maison de Phil pour piquer une tête dans la piscine. Puis nous serions revenus ici, à la maison pour y faire un barbecue.
Moi : La seule chose que nous chagrine, c’est que nous avions pensé qu’il serait sympa de prendre l’apéro au bord de la piscine avant d’aller chez Julien. Puis nous avions pensé que ce n’était très bien de prendre les vélos après l’apéro pour nous rendre chez vous Béatrice et Pierre. Nous attendions de voir ce que vous nous proposez pour résoudre le problème.
Papa : Alors là, je suis super content de voir comment vous avez préparé cette journée mais aussi de penser à la sécurité concernant le retour à vélo jusqu’ici. Vous faites tous les deux preuve d’une belle mentalité et d’une bonne maturité.
Pie : Tu m’as ôté les mots de la bouche Alain. Oui, je suis fier de vous !
Papa : Je pense que nous pourrions trouver une solution au problème de retour avec les vélos. J’ai une solution, il suffit de mettre les vélos dans la remorque et je les dépose ici et pendant ce temps-là vous venez ici à pied ; ou alors vous montez dans la voiture.
Moi : Mais c’est génial. Mais tu ne sauras pas mettre tous les vélos dans la remorque !
Pie : Tu sais Phil, Alain a une très bonne idée. De plus j’ai aussi une remorque, alors je viendrai aussi prendre des vélos et ceux qui veulent iront dans l’auto.
Jul : Alors là c’est super, je crois qu’on a trouvé la solution !
Béa : Et s’il faut, je viens aussi avec la deuxième voiture prendre ceux qui le souhaite.
Moi : Merci, vous êtes super les parents ! Oh pardon !
Béa : On sent que ça vient du cœur Phil, pas de souci !
Papa : Voilà qui est décidé, c’est un très beau projet.
Moi : Oui, merci. Mais il reste à savoir le coût de la location de la salle omnisports !
Papa : Tu sais Phil cela ne doit pas être si onéreux. Comme tu parles d’argent, sans vouloir intervenir plus que ça, je propose que nous partagions les frais en deux. Il y a le hall des sports et ensuite les boissons et le barbecue.
Pie : C’est une bonne idée Alain, je suis d’accord avec toi. Nous nous arrangerons bien entre nous. Pour moi c’est très bien et de plus je sais que vous avez fait attention !
Jul : Merci Papa. C’est génial.
Del : Alors si c’est comme ça les mecs, pour vous je vais faire un super gâteau d’anniversaire. Il suffit de savoir combien vous serez !
Sté : Je vais aider Delphine pour le gâteau et nous vous l’offrons !
Maman : Voilà qui est dit et bien dit. »
Nous nous étions tous mis à rire. Ce n’était que du bonheur ! Quelles familles, non, nous ne formions qu’une famille et il faut dire quelle famille au singulier ! J’étais si heureux de voir que nos deux familles s’entendaient si bien entre elles. Je voyais Julien qui lui aussi avait les yeux brillants. Il était lui aussi très heureux. Nous étions vraiment choyés par ceux qui nous aimaient.
Béa : « Alors mes deux garçons, vous avez passé une bonne nuit ?
Jul : « Oui maman, nous avons bien dormi. »
Béa : Et toi Phil, tu as bien dormi ?
Moi : Oui Béatrice, j’ai très bien dormi. Et vous ?
Béa : Oui, nous avons bien dormi, c’est seulement ce matin que j’ai été réveillée un peu plus tôt !
Jul : Ah bon, tu as eu un réveil brutal ?
Béa : Non, c’est que j’avais été réveillée par des murmures et par des cris étouffés !
Jul : Désolé Maman, je crois que nous n’avons pas été discrets ce matin !
Béa : Tu sais Julien, ça fait partie des choses de la vie. Tu as aussi à ton âge besoin de satisfaire certains besoins avec ton ami Phil.
Moi : Merci Béatrice, je suis désolé d’avoir peut-être fait trop de bruit, mais nous étions comme hors du temps Julien et moi !
Béa : Ce n’est pas grave Phil, la seule chose qui m’importe c’est que vous vous aimiez et que vous puissiez vous aimer dans les meilleures conditions.
Moi : Merci, merci Béatrice.
Jul : Merci Maman. Tu sais on se protège !»
Béa : Je n’en doute pas mon fils. Je sais que vous êtes des jeunes bien conscients des risques à ne pas courir.
Jul : Merci Maman.
Pie : Vous savez Phil et Julien, vous êtes comme nos deux garçons et vos sœurs, comme nos filles ; c’est surement la même chose pour Fanny et Alain, tes parents Phil ; vous comptez énormément pour nous. Vous avez le droit d’être heureux, je dirais même plus, vous en avez le devoir !
Jul : Merci Papa. Je vous aime !
Moi : Merci Béatrice, merci Pierre, vous comptez aussi beaucoup pour moi. Merci de votre soutien.
Pie : Bon, je suppose que vous allez étudier. Vous savez que c’est la dernière ligne droite, c’est l’occasion de faire des étincelles !
Jul : Bien sûr Papa, nous allons nous y mettre. Tu sais c’est important que nous réussissions notre rhéto pour pouvoir accéder aux études supérieures. »
Nous avions quitté la table, heureux d’être soutenus par les parents de Julien. Nous avions décidé, avec leur accord de nous installer dans la salle à manger pour pouvoir utiliser la table pour mettre nos cours et nos livres. Nous nous étions tout de suite mis en route pour revoir nos cours.
C’est vers midi trente que Béatrice était venue nous dire que le dîner sera prêt vers treize heures. Béatrice avait préparé un repas simple et facile à digérer. C’était un plat froid composé de rosbif, salade, tomates, carottes rappées, betteraves rouge et pommes de terre froides. Bien entendu, pas de boisson alcoolisée, juste du jus de fruit ou de l’eau. Puis un fruit, une pêche, comme dessert. Nous avions repris nos révisions vers quatorze heures.
Vers seize heures trente nous avions fait une pause en allant taper la balle dans le jardin. Un bon verre de lait grenadine et hop, de nouveau au travail. Nous étions très concentrés. Nous étions dans un environnement propice pour étudier. Pas de bruit ! Et c’est donc comme cela que nous avions poursuivi nos révisions.
C’est vers dix-neuf heures que nous avions mis un terme à notre travail. Nous avions senti que le barbecue avait été mis en route. Julien et moi commencions à avoir faim. Nous nous étions rendus dans la cuisine où nous avions vu Béatrice occupée à préparer le repas en compagnie de Delphine et Stéphanie. Nous ne nous étions pas rendus compte qu’elles étaient arrivées.
Béatrice nous a demandé de mettre la table. Il y avait huit assiettes ! Nous n’étions pourtant que six avec les deux filles ! Julien avait demandé à sa maman :
Jul : « Maman, il y a huit assiettes, est-ce normal ?
Béa : Oui Julien, nous serons huit pour le souper.
Jul : Qui sont les deux autres ?
Béa : Tu es bien curieux mon fils !
Pie : Oui Julien tu es bien curieux. Tu n’as pas idée de qui cela peut être ?
Jul : Je ne vois pas !
Moi : Merci Pierre, je crois que ce sont mes parents !
Pie : Bien vu Phil, oui Fanny et Alain viennent souper avec nous !
Moi : Super, merci.
Jul : J’adore, j’aime bien des barbecues organisés à l’improviste, ou du moins quand tous les convives ne sont pas au courant !
Pie : J’aime bien ta remarque Julien. Moi aussi j’aime bien quand c’est spontané. Fanny avait téléphoné pour savoir comment ça se passait pour les révisions et sur ce je m’étais dit que ce serait bien de tous nous retrouver pour un barbecue.
Moi : C’est génial. Merci Pierre. Et aussi merci Béatrice.
Béa : Je te reconnais bien là Phil, toujours heureux quand les autres sont heureux eux aussi ! »
Béatrice était venue me faire une accolade. J’avais deux mamans et deux papas. Et pour Julien c’était la même chose, il était aussi très bien accueilli par mes parents. Puis il y avait les filles qui étaient dans la même situation. C’est vrai que c’était un peu particulier, mais pas exceptionnel. Julien et moi avions donc mis la table, assiettes, couverts, verres etc. Pierre avait demandé à Julien d’aller chercher à la cave deux bouteilles de vin.
Papa et Maman étaient arrivés vers vingt heures. Ils avaient l’air très heureux de venir nous rejoindre. Maman avait apporté un gros bouquet de fleurs pour Béatrice et Papa avait quant à lui apporté un magnum de vin de Bordeaux. Nous nous étions alors tous installés sur la terrasse pour l’apéro. Pierre avait préparé un cocktail mais nous deux, Julien et moi, avions opté pour un soft. C’est lors de l’apéro que Julien m’avait suggéré de montrer les listes pour notre anniversaire commun à nos parents. J’avais effectivement dit à Juju que c’était le moment idéal. Ni une ni deux, Julien était allé chercher dans sa chambre les deux listes préparées la veille au soir. Puis une fois les deux feuilles en main, Julien et moi nous nous étions placé côte à côte pour prendre la parole.
Jul : « Bon, désolé de vous interrompre, mais Phil et moi nous avons quelque chose d’important à vous soumettre.
Pie : Alors mon fils, nous allons vous écouter.
Jul : Bon, voilà hier soir nous avons fait la liste des activités que nous voudrions faire pour notre anniversaire commun.
Béa : Mais c’est une très bonne idée.
Jul : Voilà, en fait c’est un mélange de nos souhaits, une espèce de mix de ce que nous voulions faire. Alors nous avons réfléchi et nous avions pensé que nous aurions tous pu nous retrouver chez nous pour y laisser les sacs. (Il faut dire que le jardin était plus spacieux que celui de des parents de Phil.) Puis de la maison nous serions tous partis à vélo vers le hall omnisports pour y jouer aux différents sports. Ensuite nous serions passés à la maison de Phil pour piquer une tête dans la piscine. Puis nous serions revenus ici, à la maison pour y faire un barbecue.
Moi : La seule chose que nous chagrine, c’est que nous avions pensé qu’il serait sympa de prendre l’apéro au bord de la piscine avant d’aller chez Julien. Puis nous avions pensé que ce n’était très bien de prendre les vélos après l’apéro pour nous rendre chez vous Béatrice et Pierre. Nous attendions de voir ce que vous nous proposez pour résoudre le problème.
Papa : Alors là, je suis super content de voir comment vous avez préparé cette journée mais aussi de penser à la sécurité concernant le retour à vélo jusqu’ici. Vous faites tous les deux preuve d’une belle mentalité et d’une bonne maturité.
Pie : Tu m’as ôté les mots de la bouche Alain. Oui, je suis fier de vous !
Papa : Je pense que nous pourrions trouver une solution au problème de retour avec les vélos. J’ai une solution, il suffit de mettre les vélos dans la remorque et je les dépose ici et pendant ce temps-là vous venez ici à pied ; ou alors vous montez dans la voiture.
Moi : Mais c’est génial. Mais tu ne sauras pas mettre tous les vélos dans la remorque !
Pie : Tu sais Phil, Alain a une très bonne idée. De plus j’ai aussi une remorque, alors je viendrai aussi prendre des vélos et ceux qui veulent iront dans l’auto.
Jul : Alors là c’est super, je crois qu’on a trouvé la solution !
Béa : Et s’il faut, je viens aussi avec la deuxième voiture prendre ceux qui le souhaite.
Moi : Merci, vous êtes super les parents ! Oh pardon !
Béa : On sent que ça vient du cœur Phil, pas de souci !
Papa : Voilà qui est décidé, c’est un très beau projet.
Moi : Oui, merci. Mais il reste à savoir le coût de la location de la salle omnisports !
Papa : Tu sais Phil cela ne doit pas être si onéreux. Comme tu parles d’argent, sans vouloir intervenir plus que ça, je propose que nous partagions les frais en deux. Il y a le hall des sports et ensuite les boissons et le barbecue.
Pie : C’est une bonne idée Alain, je suis d’accord avec toi. Nous nous arrangerons bien entre nous. Pour moi c’est très bien et de plus je sais que vous avez fait attention !
Jul : Merci Papa. C’est génial.
Del : Alors si c’est comme ça les mecs, pour vous je vais faire un super gâteau d’anniversaire. Il suffit de savoir combien vous serez !
Sté : Je vais aider Delphine pour le gâteau et nous vous l’offrons !
Maman : Voilà qui est dit et bien dit. »
Nous nous étions tous mis à rire. Ce n’était que du bonheur ! Quelles familles, non, nous ne formions qu’une famille et il faut dire quelle famille au singulier ! J’étais si heureux de voir que nos deux familles s’entendaient si bien entre elles. Je voyais Julien qui lui aussi avait les yeux brillants. Il était lui aussi très heureux. Nous étions vraiment choyés par ceux qui nous aimaient.