14-10-2020, 09:36 AM
La semaine s’était achevée. J’allais passer le week-end chez Julien et j’avais pris avec moi mes cours pour réviser, les examens étaient proches. Julien lui aussi devait réviser, nous allions donc étudier. C’est plus facile à plusieurs que seul chez soi. Puis j’étais certain que Béatrice ainsi que Pierre seraient attentifs pour que nous puissions travailler sans être dérangé.
J’avais salué les parents de mon amoureux. J’avais embrassé Julien et je lui avais roulé une pelle, cela faisait une semaine que nous ne nous étions plus vus. Le repas était comme à chaque fois très bon. Béatrice avait préparé du poisson en papillotes accompagné de pommes de terre nouvelles. Pierre avait sorti une très bonne bouteille de vin blanc de Vendée, du « Fiefs Vendéens ». Puis nous avions décidés Julien et moi de s’y mettre pour organiser notre fête d’anniversaire. Nous étions donc montés dans sa chambre.
Julien pensait faire activité du style rencontre amicale au hall omnisports où nous pourrions faire du mini-foot, du basket, de volley ou autre sport. Il avait ensuite pensé faire un barbecue dans le jardin chez lui. En suite pour la nuit, des tentes serviraient de lieu de couchage. J’étais moi aussi assez emballé par cette idée. J’avais moi de mon côté proposé de faire une grande balade à vélo, chose que nous aimions tous faire, ensuite un plongeon dans la piscine de la maison et évidemment le repas style grand spaghetti ou barbecue. J’avoue que je n’avais pas pensé que certains auraient pu rester dormir.
Nous avions alors réfléchi à ce que nous pourrions faire, en mélangeant les deux idées. J’avais alors pensé que nous aurions tous pu nous retrouver chez Julien pour y laisser les sacs. Il faut dire que son jardin était plus spacieux que celui de mes parents. Puis de chez Julien nous serions tous partis à vélo vers le hall omnisports pour y jouer aux différents sports. Ensuite nous serions passés à la maison pour piquer une tête dans la piscine. Puis nous aurions rejoint la maison de Julien pour y faire un barbecue.
Julien semblait emballé par la proposition faite. Il avait ajouté qu’il serait sympa de prendre l’apéro au bord de la piscine avant d’aller chez lui. J’avais trouvé ça très bien. Puis j’avais pensé que si nous devions prendre les vélos après l’apéro que ce ne serait pas une bonne idée. C’était faire preuve d’immaturité, nous ne pouvions pas aller à vélo après avoir bu ne fusse qu’une boisson alcoolisée. Julien m’approuvait. Nous allions voir ce que nous pourrions trouver pour résoudre le problème.
Il ne nous restait plus qu’à peaufiner la liste des invités. Il me paraissait évident d’inviter nos familles, nos parents comptaient très fort pour nous, ils étaient tous les quatre si prévenants et toujours prêts à nous aider. Puis évidemment nos sœurs et mon frère Olivier et sa copine Julie. Puis il restait à ajouter des amis et autres connaissances. J’avais pensé à Amandine et Joseph, ensuite il y avait Lucas et Mathieu auxquels il fallait ajouter Maxime. Julien voulait aussi inviter deux gars de sa classe avec qui il avait de très bons contacts et qui le soutenait, Adrien et Christian. Il à ses cousins Aymeric et Brieuc. J’avais aussi pensé à mon cousin David avec qui j’avais déjà passé de très bonnes vacances. Nous avions apparemment fait le tour de nos connaissances dans lesquelles nous pouvions avoir confiance. Nous avions donc réécrit tous les noms sur une feuille de papier, sur deux colonnes, une pour chacun.
Pour Julien :
Ses parents Béatrice et Pierre,
Stéphanie sa sœur,
Aymeric et Brieuc, ses deux cousins
Adrien et Christian, ses deux camarades de classe.
Pour Phil :
Mes parents Fanny et Alain,
Delphine ma sœur
Olivier et Julie, mon frère et sa copine,
David mon cousin.
Amandine et Joseph, mes deux amis de classe.
Puis il restait encore Lucas, mon nouveau copain de classe et notre ami depuis les vacances de Pâques et bien entendu Mathieu, son petit ami et le frère de Math, Maxime.
Il y avait dix-huit invités pour notre anniversaire commun et nous, cela faisait deux en plus. Nous allions devoir soumettre cette proposition à nos parents. Mais il nous fallait quand même voir ce que l’utilisation du hall omnisports allait coûter. Pour nous deux le but était de bien s’amuser ensemble mais de rester dans une certaine limite à ne pas dépasser tant pécuniairement que pour les trajets que cela allait amener à faire.
Heureux de nous être entendus sur le programme, nous nous étions embrassés avec fougue. Mes mains parcouraient le dos de Julien au travers de son polo. Puis elles avaient glissé sous le tissu. Julien avait lui aussi entrepris de me caresser. Nos bouches étaient soudées, nos langues dansaient la farandole, elles s’appréciaient. Nos mains poursuivaient elles aussi leurs caresses, puis j’avais soulevé le polo de Julien pour l’enlever ; Julien faisait de même avec ma blouse. Puis nous nous étions mis à nous déshabiller mutuellement pour enfin nous retrouver nus. Nos corps s’étaient rapprochés pour venir se blottir l’un contre l’autre, pour se frôler, s’éloigner et ensuite se reprocher pour mieux se sentir et se blottir une nouvelle fois, ensemble, unis. Nos membres étaient semi-bandés. Nos bouches s’étaient retrouvées et nos mains caressaient nos peaux ainsi mises à nu. Cette sensation était très agréable, nos mains étaient descendues et s’étaient arrêtées au niveau de nos fesses rebondies. Puis Julien m’avait pris une main et il m’avait attiré vers le lit, vers son lit, vers notre nid d’amour. Nous allions nous aimer, nous donner l’un à l’autre. Déjà mon sexe avait pris de l’ampleur, celui de Julien n’était en reste non plus.
Julien avait alors ouvert le tiroir de sa table de nuit et y avait pris deux préservatifs ainsi que du gel. Il m’avait fait un clin d’œil auquel j’avais répondu également par un clin d’œil. Nous étions une nouvelle fois sur la même longueur d’onde, nous nous comprenions. Julien avait pris l’initiative, il voulait m’aimer et il avait commencé par embrasser mon ventre, puis mes tétons pour ensuite redescendre vers le nombril. Déjà son menton touchait mon pénis, puis enfin sa langue s’était arrêtée au niveau de mes deux noix d’amour. Ses mains continuaient à me donner des frissons au travers de ses caresses appuyées. Déjà je commençais à mouiller, je laissais échapper « que c’est bon, continue » et bien entendu Julien était venu lécher ma bite, gobant le gland très humide. Je laissais déjà entendre à mon amour des « hum » de satisfaction et enfin il avait englouti dans sa bouche mon phallus pour y appliquer des mouvements de va et vient en serrant ou desserrant les lèvres. Après deux minutes de ce traitement, il m’avait fait retourner. Il avait enduit mon anus avec du gel et il préparait minutieusement l’entrée de ma grotte. Il y allait mon Juju, un doigt et puis deux, et presque trois. Julien y allait délicatement, sans brusquerie. Mon sexe était toujours aussi bandé. Pendant que Julien me préparait pour l’assaut d’amour tant attendu, je caressais son membre bandé, je le préparais aussi pour qu’il soit en pleine forme pour m’aimer. J’y allais avec volupté, avec délicatesse et applications.
Une fois prêt, Julien avait placé l’enveloppe en latex le long de son membre dressé. Puis enfin, moi qui attendait ce moment depuis si longtemps, Juju avait alors placé son pénis à l’entrée de ma caverne. Son gland était déjà entré de quelques millimètres que j’étais déjà aux anges, puis je sentais sa barre d’amour entrer doucement, lentement et de plus en plus profondément dans mes entrailles son gland venant alors se frotter à ma prostate. Puis Juju avait commencé ces mouvements d’aller et retour dans mon antre de joie. Il me limait l’anus avec frénésie, je pouvais sentir le plaisir monter en moi et bien sûr celui de mon amour qui haletait. On pouvait alors entendre des « oh oui, vas-y » ou alors « que c’est bon, continue comme ça » ! Nous étions une nouvelle fois comme hors du temps. Je ne sais pas combien de temps Julien m’avait ainsi aimé, mais c’était divin. Puis le cul en feu, sentant que la queue de Julien était arrivée à une grosseur non encore ressentie en moi, mon amoureux s’était cabré et avait joui dans un râle extraordinaire. De mon côté j’avais sentis les derniers coups de butoir dans mon anatomie. Et au même moment j’avais éjaculé six jets de ma semence. C’était la première fois que j’avais ressenti autant de plaisir à me faire prendre pour mon amour.
Nous nous étions retrouvés affalés, côte à côte, toujours hors du temps. Nous venions de ressentir un très grand frisson. J’avais dit à Julien que je l’aimais et lui de son côté avait fait cette même déclaration. Finalement nous n’avions même pas besoin de parler, nous l’avions vécu ! Nous nous étions alors endormis, nus, couché sur le lit, ainsi jusqu’au petit matin. C’était lorsque la lueur du jour, celle du soleil levant, dont les rayons traversaient les persiennes donnant un aspect zébré au mur se situant en tête de lit, que j’avais ouvert les yeux et que j’avais vu mon Julien d’amour encore endormi. Délicatement je posais mes lèvres sur son front, sur ses lèvres et sur ses joues. Puis j’avais caressé son torse imberbe, sans comparaison avec le mien qui était déjà assez poilu. Puis à force de bisous et de caresses, mon Juju avait ouvert les yeux. Il avait alors plongé son regard dans le mien et de mon côté je fis de même. Un large sourire ornait alors son visage. Ses yeux étaient pétillants et sa tignasse s’étalait sur l’oreiller. Puis, toujours en me regardant avec son regard intense, Julien m’avait dit :
Jul : « Oh Phil, je t’aime. Merci pour hier soir, j’ai tellement aimé, je t’ai tellement aimé !
Moi : Je sais Juju, oui je sais, tu m’aimes et moi aussi je t’aime, tu ne peux pas savoir !
Jul : Je m’en doute. Merci.
Moi : C’est moi qui te remercie d’être à mes côtés !
Jul : Oh mon ami, tu bandes comme ce n’est pas permis, il faut arranger ça ! »
Julien avait alors posé sa main sur ma protubérance. Il y appliqua de subtiles caresses. L’autre main avait déjà empoigné le tube de gel et me le donna. J’avais alors entrepris la lubrification de l’entrée de la caverne d’amour mon Julien adoré. Déjà Julien avait son sexe qui prenait lui aussi de plus en plus d’ampleur. De mon côté je commençais à gémir de plaisir à la suite de cette masturbation lascive effectuée sur mon membre dressé. L’anus de mon amour était assez dilaté pour que j’y introduise au moins deux doigts. Julien était prêt, prêt à me recevoir, à recevoir mon boute joie dans sa caverne accueillante. C’est Julien qui m’avait enfilé le préservatif. Puis une fois en position au bord du lit, l’arrière-train ouvert et prêt à me recevoir, je m’étais positionné à genou, au pied du lit pour pouvoir ainsi prendre possession de cette anatomie anale qui n’attendait que la venue de mon sexe enflammé. J’avais positionné mon gland à l’entrée de l’anus, puis doucement j’avais à peine forcé l’entrée de cette orifice dilaté. J’entamais cette entrée doucement, centimètre par centimètre, sans brusquer les choses, le temps était une nouvelle fois suspendu. Nous étions de nouveau seuls Julien et moi dans cette chambre, sur cette terre, dans notre bulle ! Puis au fur et à mesure de la progression je sentais Julien se détendre, savourer la prise sensuelle de son intimité. Après avoir investi l’antre d’amour, j’avais débuté mes mouvements de va et vient. Mon Julien était lui aussi assez excité. Son membre viril était tendu à l’extrême, il haletait et gémissait en me disant « oh c’est bon, continue ». De mon côté j’étais heureux, heureux d’aimer mon ami. Nous calquions nos mouvements sur ceux de l’autre, Julien ondulait de son postérieur et moi je donnais des coups de rein en variant l’intensité. Je sentais que la sève montait, que la tension montait, de son côté Julien, gémissait de plus en plus. Je sentais que nous n’étions pas loin de l’orgasme, de la délivrance finale, de l’extase sexuel attendu. Puis Julien avait empoigné son sexe et se masturbait frénétiquement alors que je lui donnais de coups de buttoirs. Et, enfin, c’était l’explosion. J’avais déchargé au fond de la capote six jets de semence tandis que Julien jouissait en laissant cinq jets de sperme s’étaler sur son ventre. Nous étions toujours au septième ciel, heureux d’être ensemble et de s’aimer comme nous nous aimions.
Une fois séparés, nous nous étions embrassés, heureux de nous être aimés. Puis nous nous étions recouchés, hors d’haleine, couverts de sueur ! Il avait bien fallu un bon quart d’heure pour que nous puissions redescendre « sur terre ».
Nous nous étions ensuite dirigés vers la salle de bain en vue de prendre une bonne douche. Nous nous étions mis à deux dans la grande douche à l’italienne. Nous étions heureux d’être ensemble. Julien m’avait lavé le dos et profitant à un moment pour passer sur mes fesses. J’avais fait de même, j’avais lavé le dos et bien entendu les fesses de mon Julien adoré. Une fois séchés nous nous étions habillés en vue d’aller prendre le petit déjeuner.
J’avais salué les parents de mon amoureux. J’avais embrassé Julien et je lui avais roulé une pelle, cela faisait une semaine que nous ne nous étions plus vus. Le repas était comme à chaque fois très bon. Béatrice avait préparé du poisson en papillotes accompagné de pommes de terre nouvelles. Pierre avait sorti une très bonne bouteille de vin blanc de Vendée, du « Fiefs Vendéens ». Puis nous avions décidés Julien et moi de s’y mettre pour organiser notre fête d’anniversaire. Nous étions donc montés dans sa chambre.
Julien pensait faire activité du style rencontre amicale au hall omnisports où nous pourrions faire du mini-foot, du basket, de volley ou autre sport. Il avait ensuite pensé faire un barbecue dans le jardin chez lui. En suite pour la nuit, des tentes serviraient de lieu de couchage. J’étais moi aussi assez emballé par cette idée. J’avais moi de mon côté proposé de faire une grande balade à vélo, chose que nous aimions tous faire, ensuite un plongeon dans la piscine de la maison et évidemment le repas style grand spaghetti ou barbecue. J’avoue que je n’avais pas pensé que certains auraient pu rester dormir.
Nous avions alors réfléchi à ce que nous pourrions faire, en mélangeant les deux idées. J’avais alors pensé que nous aurions tous pu nous retrouver chez Julien pour y laisser les sacs. Il faut dire que son jardin était plus spacieux que celui de mes parents. Puis de chez Julien nous serions tous partis à vélo vers le hall omnisports pour y jouer aux différents sports. Ensuite nous serions passés à la maison pour piquer une tête dans la piscine. Puis nous aurions rejoint la maison de Julien pour y faire un barbecue.
Julien semblait emballé par la proposition faite. Il avait ajouté qu’il serait sympa de prendre l’apéro au bord de la piscine avant d’aller chez lui. J’avais trouvé ça très bien. Puis j’avais pensé que si nous devions prendre les vélos après l’apéro que ce ne serait pas une bonne idée. C’était faire preuve d’immaturité, nous ne pouvions pas aller à vélo après avoir bu ne fusse qu’une boisson alcoolisée. Julien m’approuvait. Nous allions voir ce que nous pourrions trouver pour résoudre le problème.
Il ne nous restait plus qu’à peaufiner la liste des invités. Il me paraissait évident d’inviter nos familles, nos parents comptaient très fort pour nous, ils étaient tous les quatre si prévenants et toujours prêts à nous aider. Puis évidemment nos sœurs et mon frère Olivier et sa copine Julie. Puis il restait à ajouter des amis et autres connaissances. J’avais pensé à Amandine et Joseph, ensuite il y avait Lucas et Mathieu auxquels il fallait ajouter Maxime. Julien voulait aussi inviter deux gars de sa classe avec qui il avait de très bons contacts et qui le soutenait, Adrien et Christian. Il à ses cousins Aymeric et Brieuc. J’avais aussi pensé à mon cousin David avec qui j’avais déjà passé de très bonnes vacances. Nous avions apparemment fait le tour de nos connaissances dans lesquelles nous pouvions avoir confiance. Nous avions donc réécrit tous les noms sur une feuille de papier, sur deux colonnes, une pour chacun.
Pour Julien :
Ses parents Béatrice et Pierre,
Stéphanie sa sœur,
Aymeric et Brieuc, ses deux cousins
Adrien et Christian, ses deux camarades de classe.
Pour Phil :
Mes parents Fanny et Alain,
Delphine ma sœur
Olivier et Julie, mon frère et sa copine,
David mon cousin.
Amandine et Joseph, mes deux amis de classe.
Puis il restait encore Lucas, mon nouveau copain de classe et notre ami depuis les vacances de Pâques et bien entendu Mathieu, son petit ami et le frère de Math, Maxime.
Il y avait dix-huit invités pour notre anniversaire commun et nous, cela faisait deux en plus. Nous allions devoir soumettre cette proposition à nos parents. Mais il nous fallait quand même voir ce que l’utilisation du hall omnisports allait coûter. Pour nous deux le but était de bien s’amuser ensemble mais de rester dans une certaine limite à ne pas dépasser tant pécuniairement que pour les trajets que cela allait amener à faire.
Heureux de nous être entendus sur le programme, nous nous étions embrassés avec fougue. Mes mains parcouraient le dos de Julien au travers de son polo. Puis elles avaient glissé sous le tissu. Julien avait lui aussi entrepris de me caresser. Nos bouches étaient soudées, nos langues dansaient la farandole, elles s’appréciaient. Nos mains poursuivaient elles aussi leurs caresses, puis j’avais soulevé le polo de Julien pour l’enlever ; Julien faisait de même avec ma blouse. Puis nous nous étions mis à nous déshabiller mutuellement pour enfin nous retrouver nus. Nos corps s’étaient rapprochés pour venir se blottir l’un contre l’autre, pour se frôler, s’éloigner et ensuite se reprocher pour mieux se sentir et se blottir une nouvelle fois, ensemble, unis. Nos membres étaient semi-bandés. Nos bouches s’étaient retrouvées et nos mains caressaient nos peaux ainsi mises à nu. Cette sensation était très agréable, nos mains étaient descendues et s’étaient arrêtées au niveau de nos fesses rebondies. Puis Julien m’avait pris une main et il m’avait attiré vers le lit, vers son lit, vers notre nid d’amour. Nous allions nous aimer, nous donner l’un à l’autre. Déjà mon sexe avait pris de l’ampleur, celui de Julien n’était en reste non plus.
Julien avait alors ouvert le tiroir de sa table de nuit et y avait pris deux préservatifs ainsi que du gel. Il m’avait fait un clin d’œil auquel j’avais répondu également par un clin d’œil. Nous étions une nouvelle fois sur la même longueur d’onde, nous nous comprenions. Julien avait pris l’initiative, il voulait m’aimer et il avait commencé par embrasser mon ventre, puis mes tétons pour ensuite redescendre vers le nombril. Déjà son menton touchait mon pénis, puis enfin sa langue s’était arrêtée au niveau de mes deux noix d’amour. Ses mains continuaient à me donner des frissons au travers de ses caresses appuyées. Déjà je commençais à mouiller, je laissais échapper « que c’est bon, continue » et bien entendu Julien était venu lécher ma bite, gobant le gland très humide. Je laissais déjà entendre à mon amour des « hum » de satisfaction et enfin il avait englouti dans sa bouche mon phallus pour y appliquer des mouvements de va et vient en serrant ou desserrant les lèvres. Après deux minutes de ce traitement, il m’avait fait retourner. Il avait enduit mon anus avec du gel et il préparait minutieusement l’entrée de ma grotte. Il y allait mon Juju, un doigt et puis deux, et presque trois. Julien y allait délicatement, sans brusquerie. Mon sexe était toujours aussi bandé. Pendant que Julien me préparait pour l’assaut d’amour tant attendu, je caressais son membre bandé, je le préparais aussi pour qu’il soit en pleine forme pour m’aimer. J’y allais avec volupté, avec délicatesse et applications.
Une fois prêt, Julien avait placé l’enveloppe en latex le long de son membre dressé. Puis enfin, moi qui attendait ce moment depuis si longtemps, Juju avait alors placé son pénis à l’entrée de ma caverne. Son gland était déjà entré de quelques millimètres que j’étais déjà aux anges, puis je sentais sa barre d’amour entrer doucement, lentement et de plus en plus profondément dans mes entrailles son gland venant alors se frotter à ma prostate. Puis Juju avait commencé ces mouvements d’aller et retour dans mon antre de joie. Il me limait l’anus avec frénésie, je pouvais sentir le plaisir monter en moi et bien sûr celui de mon amour qui haletait. On pouvait alors entendre des « oh oui, vas-y » ou alors « que c’est bon, continue comme ça » ! Nous étions une nouvelle fois comme hors du temps. Je ne sais pas combien de temps Julien m’avait ainsi aimé, mais c’était divin. Puis le cul en feu, sentant que la queue de Julien était arrivée à une grosseur non encore ressentie en moi, mon amoureux s’était cabré et avait joui dans un râle extraordinaire. De mon côté j’avais sentis les derniers coups de butoir dans mon anatomie. Et au même moment j’avais éjaculé six jets de ma semence. C’était la première fois que j’avais ressenti autant de plaisir à me faire prendre pour mon amour.
Nous nous étions retrouvés affalés, côte à côte, toujours hors du temps. Nous venions de ressentir un très grand frisson. J’avais dit à Julien que je l’aimais et lui de son côté avait fait cette même déclaration. Finalement nous n’avions même pas besoin de parler, nous l’avions vécu ! Nous nous étions alors endormis, nus, couché sur le lit, ainsi jusqu’au petit matin. C’était lorsque la lueur du jour, celle du soleil levant, dont les rayons traversaient les persiennes donnant un aspect zébré au mur se situant en tête de lit, que j’avais ouvert les yeux et que j’avais vu mon Julien d’amour encore endormi. Délicatement je posais mes lèvres sur son front, sur ses lèvres et sur ses joues. Puis j’avais caressé son torse imberbe, sans comparaison avec le mien qui était déjà assez poilu. Puis à force de bisous et de caresses, mon Juju avait ouvert les yeux. Il avait alors plongé son regard dans le mien et de mon côté je fis de même. Un large sourire ornait alors son visage. Ses yeux étaient pétillants et sa tignasse s’étalait sur l’oreiller. Puis, toujours en me regardant avec son regard intense, Julien m’avait dit :
Jul : « Oh Phil, je t’aime. Merci pour hier soir, j’ai tellement aimé, je t’ai tellement aimé !
Moi : Je sais Juju, oui je sais, tu m’aimes et moi aussi je t’aime, tu ne peux pas savoir !
Jul : Je m’en doute. Merci.
Moi : C’est moi qui te remercie d’être à mes côtés !
Jul : Oh mon ami, tu bandes comme ce n’est pas permis, il faut arranger ça ! »
Julien avait alors posé sa main sur ma protubérance. Il y appliqua de subtiles caresses. L’autre main avait déjà empoigné le tube de gel et me le donna. J’avais alors entrepris la lubrification de l’entrée de la caverne d’amour mon Julien adoré. Déjà Julien avait son sexe qui prenait lui aussi de plus en plus d’ampleur. De mon côté je commençais à gémir de plaisir à la suite de cette masturbation lascive effectuée sur mon membre dressé. L’anus de mon amour était assez dilaté pour que j’y introduise au moins deux doigts. Julien était prêt, prêt à me recevoir, à recevoir mon boute joie dans sa caverne accueillante. C’est Julien qui m’avait enfilé le préservatif. Puis une fois en position au bord du lit, l’arrière-train ouvert et prêt à me recevoir, je m’étais positionné à genou, au pied du lit pour pouvoir ainsi prendre possession de cette anatomie anale qui n’attendait que la venue de mon sexe enflammé. J’avais positionné mon gland à l’entrée de l’anus, puis doucement j’avais à peine forcé l’entrée de cette orifice dilaté. J’entamais cette entrée doucement, centimètre par centimètre, sans brusquer les choses, le temps était une nouvelle fois suspendu. Nous étions de nouveau seuls Julien et moi dans cette chambre, sur cette terre, dans notre bulle ! Puis au fur et à mesure de la progression je sentais Julien se détendre, savourer la prise sensuelle de son intimité. Après avoir investi l’antre d’amour, j’avais débuté mes mouvements de va et vient. Mon Julien était lui aussi assez excité. Son membre viril était tendu à l’extrême, il haletait et gémissait en me disant « oh c’est bon, continue ». De mon côté j’étais heureux, heureux d’aimer mon ami. Nous calquions nos mouvements sur ceux de l’autre, Julien ondulait de son postérieur et moi je donnais des coups de rein en variant l’intensité. Je sentais que la sève montait, que la tension montait, de son côté Julien, gémissait de plus en plus. Je sentais que nous n’étions pas loin de l’orgasme, de la délivrance finale, de l’extase sexuel attendu. Puis Julien avait empoigné son sexe et se masturbait frénétiquement alors que je lui donnais de coups de buttoirs. Et, enfin, c’était l’explosion. J’avais déchargé au fond de la capote six jets de semence tandis que Julien jouissait en laissant cinq jets de sperme s’étaler sur son ventre. Nous étions toujours au septième ciel, heureux d’être ensemble et de s’aimer comme nous nous aimions.
Une fois séparés, nous nous étions embrassés, heureux de nous être aimés. Puis nous nous étions recouchés, hors d’haleine, couverts de sueur ! Il avait bien fallu un bon quart d’heure pour que nous puissions redescendre « sur terre ».
Nous nous étions ensuite dirigés vers la salle de bain en vue de prendre une bonne douche. Nous nous étions mis à deux dans la grande douche à l’italienne. Nous étions heureux d’être ensemble. Julien m’avait lavé le dos et profitant à un moment pour passer sur mes fesses. J’avais fait de même, j’avais lavé le dos et bien entendu les fesses de mon Julien adoré. Une fois séchés nous nous étions habillés en vue d’aller prendre le petit déjeuner.