CHAPITRE XXIV (Suite)
Dix-huit heures, je stationne ma voiture de location sur le parking de la mairie. Des appels de phares. Une portière qui s’ouvre et ma chérie qui accoure tout sourire. J’ai conscience que dans l’étreinte, il faudra veiller à ne pas effleurer ses seins. Nos lèvres trop heureuses de se retrouver décident de faire la fête. Impossible de les arrêter.
Ma chérie à un visage marqué, plus fatigué que d’ordinaire mais son sourire est toujours aussi somptueux.
- Tu as fait bonne route ma puce ?
- Oui, ça peut aller. Lorsque la route est bonne tout va bien. Ça tire un peu lorsqu’il y a des cahots mais dans l’ensemble, ça s’est plutôt bien passé. Prends tes bagages et laisse la voiture ici, on la restituera demain.
Le transfert effectué. Alice me laisse conduire. Je fais attention aux nids de poule. La route qui mène chez ses parents est goudronnée mais on n’y passe pas à deux de front. Elle serpente dans les bois pour prendre de l’altitude. Le paysage est impressionnant surtout lorsque les plaines verdoyantes chassent les arbres centenaires. La route grimpe tranquillement vers le sommet longeant des versants usés par le temps. Après une dizaine de kilomètres :
- C’est le petit chemin à droite Pascal.
Alice est excitée. Elle a les yeux brillants lorsque je m’engage dans l’allée caillouteuse. D’ici on ne voit que le toit d’un immense hangars avant de plonger sur les bâtiments de la ferme qui se découvrent au fur et à mesure que nous avançons. Je gare le véhicule dans la cour. Je sors de la voiture et je m’empresse d’aller ouvrir la portière d’Alice.
Mon amoureuse est radieuse. Elle me donne sa main.
- Je suis toute intimidée. Je n’ai même pas eut le réflexe de réfléchir à la façon dont j’allais te présenter mon chéri.
La porte de la maisonnette s’ouvre.
Dix-huit heures, je stationne ma voiture de location sur le parking de la mairie. Des appels de phares. Une portière qui s’ouvre et ma chérie qui accoure tout sourire. J’ai conscience que dans l’étreinte, il faudra veiller à ne pas effleurer ses seins. Nos lèvres trop heureuses de se retrouver décident de faire la fête. Impossible de les arrêter.
Ma chérie à un visage marqué, plus fatigué que d’ordinaire mais son sourire est toujours aussi somptueux.
- Tu as fait bonne route ma puce ?
- Oui, ça peut aller. Lorsque la route est bonne tout va bien. Ça tire un peu lorsqu’il y a des cahots mais dans l’ensemble, ça s’est plutôt bien passé. Prends tes bagages et laisse la voiture ici, on la restituera demain.
Le transfert effectué. Alice me laisse conduire. Je fais attention aux nids de poule. La route qui mène chez ses parents est goudronnée mais on n’y passe pas à deux de front. Elle serpente dans les bois pour prendre de l’altitude. Le paysage est impressionnant surtout lorsque les plaines verdoyantes chassent les arbres centenaires. La route grimpe tranquillement vers le sommet longeant des versants usés par le temps. Après une dizaine de kilomètres :
- C’est le petit chemin à droite Pascal.
Alice est excitée. Elle a les yeux brillants lorsque je m’engage dans l’allée caillouteuse. D’ici on ne voit que le toit d’un immense hangars avant de plonger sur les bâtiments de la ferme qui se découvrent au fur et à mesure que nous avançons. Je gare le véhicule dans la cour. Je sors de la voiture et je m’empresse d’aller ouvrir la portière d’Alice.
Mon amoureuse est radieuse. Elle me donne sa main.
- Je suis toute intimidée. Je n’ai même pas eut le réflexe de réfléchir à la façon dont j’allais te présenter mon chéri.
La porte de la maisonnette s’ouvre.
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