Chapitre XXIII (Suite)
Au petit matin, ça remue dans la chambre. Quelques minutes après, Manon apparaît, les cheveux en bataille, son chandail sur le dos et sa mini-jupe sur les fesses.
- Bonjour Pascal.
- Bonjour Manon, bien dormi ?
- J’ai un de ces mal de crâne, c’est horrible. Dis-moi, tu n’aurais pas vu ma culotte ? Impossible de remettre la main dessus.
- Regarde à côté du canapé, peut-être derrière.
- Ah oui, la voilà la coquine. Elle n’est plus très « clean » mais je ferai avec. Je peux prendre une douche ?
- Oui vas y je t’en prie, c’est par là. Tu trouveras une serviette propre dans le placard.
- Ok, merci
- Tu prendras du café ?
- Oui s’il te plaît.
Et Manon disparaît dans la salle de bain. Pendant ce temps, la cafetière crachote. Il faudra que je pense à la détartrer. Sur la table de cuisine, je prépare le petit déjeuner. Manon revient. Elle a repris son allure de jeune femme conquérante, ses cheveux bien tirés, son soutien-gorge sous son chandail, sa mini jupe et ses escarpins. Mis à part les cernes sous les yeux qui trahissent les excès de la veille, elle reste sublime.
- Un peu ouf comme soirée hier soir. Quand je bois, on ne me retient plus et parfois je peux être un peu chiante.
Je souris.
- Un peu ?
- J’espère que je n’ai pas trop abusé ?
- On a réussi à gérer Manon. C’est le principal.
- Bon allez, je file. Mon copain ne va pas comprendre s’il trouve porte close. Il commençait déjà par vider son appartement avant d’attaquer le mien. On se tient au courant pour le résultat du test. Et puis ce soir, on sera presque voisin. Merci pour tout et à lundi.
- Tchao Manon. Passe une bonne journée et à lundi, au moins au téléphone.
Dans la chambre, je remets des draps propres. Camille me nargue de son sourire narquois.
- Tu es malade Pascal ?
- Non Camille. Je vais très bien. Pourquoi tu me dis ça ?
- La nénette que tu as ramenée hier, tu ne l’as même pas sautée... C’est pas dans tes habitudes. Tu l’as déshabillée. Bon tu me diras, il n’y avait plus grand-chose à retirer, elle avait déjà le cul à l’air. Tu l'as couchée dans le lit et là je me suis dis que la sauterie allait commencer et que j’allais en prendre plein les yeux. Eh bien même pas. Tu l’as recouverte d’un drap, un bisou sur le front et tu es parti comme un voleur.
- Pff tu es incorrigible Camille. Je ne saute pas sur tout ce qui bouge et puis maintenant je te rappelle que je suis avec mon amoureuse.
- Ouais ! Mais hier j’ai bien cru que ton amoureuse était déjà loin. Ça a quand même été chaud, très chaud même. La petite n’avait pas froid au yeux et j’ai quand même bien cru que ça allait se terminer par une partie de jambes en l’air. Au fait, tu penses à mon copain ?
- Oui Camille, j’y pense. J’en ai bien vu un mais il avait une feuille de chêne.
- Beurk ! Pas de ça ici. Moi je veux du vrai, du beau, du dur. S’il n’y a rien a mater, c’est pas pour moi. Tant que j’y suis, la prochaine fois, amène-s’en une qui ne ronfle pas. J’aimerai bien passer une nuit tranquille et avec celle là, impossible de fermer l’œil.
- Alice ne va pas tarder à rentrer.
- Oui mais parfois, elle aussi elle ronfle.
- Bon tu as fini ?
Au petit matin, ça remue dans la chambre. Quelques minutes après, Manon apparaît, les cheveux en bataille, son chandail sur le dos et sa mini-jupe sur les fesses.
- Bonjour Pascal.
- Bonjour Manon, bien dormi ?
- J’ai un de ces mal de crâne, c’est horrible. Dis-moi, tu n’aurais pas vu ma culotte ? Impossible de remettre la main dessus.
- Regarde à côté du canapé, peut-être derrière.
- Ah oui, la voilà la coquine. Elle n’est plus très « clean » mais je ferai avec. Je peux prendre une douche ?
- Oui vas y je t’en prie, c’est par là. Tu trouveras une serviette propre dans le placard.
- Ok, merci
- Tu prendras du café ?
- Oui s’il te plaît.
Et Manon disparaît dans la salle de bain. Pendant ce temps, la cafetière crachote. Il faudra que je pense à la détartrer. Sur la table de cuisine, je prépare le petit déjeuner. Manon revient. Elle a repris son allure de jeune femme conquérante, ses cheveux bien tirés, son soutien-gorge sous son chandail, sa mini jupe et ses escarpins. Mis à part les cernes sous les yeux qui trahissent les excès de la veille, elle reste sublime.
- Un peu ouf comme soirée hier soir. Quand je bois, on ne me retient plus et parfois je peux être un peu chiante.
Je souris.
- Un peu ?
- J’espère que je n’ai pas trop abusé ?
- On a réussi à gérer Manon. C’est le principal.
- Bon allez, je file. Mon copain ne va pas comprendre s’il trouve porte close. Il commençait déjà par vider son appartement avant d’attaquer le mien. On se tient au courant pour le résultat du test. Et puis ce soir, on sera presque voisin. Merci pour tout et à lundi.
- Tchao Manon. Passe une bonne journée et à lundi, au moins au téléphone.
Dans la chambre, je remets des draps propres. Camille me nargue de son sourire narquois.
- Tu es malade Pascal ?
- Non Camille. Je vais très bien. Pourquoi tu me dis ça ?
- La nénette que tu as ramenée hier, tu ne l’as même pas sautée... C’est pas dans tes habitudes. Tu l’as déshabillée. Bon tu me diras, il n’y avait plus grand-chose à retirer, elle avait déjà le cul à l’air. Tu l'as couchée dans le lit et là je me suis dis que la sauterie allait commencer et que j’allais en prendre plein les yeux. Eh bien même pas. Tu l’as recouverte d’un drap, un bisou sur le front et tu es parti comme un voleur.
- Pff tu es incorrigible Camille. Je ne saute pas sur tout ce qui bouge et puis maintenant je te rappelle que je suis avec mon amoureuse.
- Ouais ! Mais hier j’ai bien cru que ton amoureuse était déjà loin. Ça a quand même été chaud, très chaud même. La petite n’avait pas froid au yeux et j’ai quand même bien cru que ça allait se terminer par une partie de jambes en l’air. Au fait, tu penses à mon copain ?
- Oui Camille, j’y pense. J’en ai bien vu un mais il avait une feuille de chêne.
- Beurk ! Pas de ça ici. Moi je veux du vrai, du beau, du dur. S’il n’y a rien a mater, c’est pas pour moi. Tant que j’y suis, la prochaine fois, amène-s’en une qui ne ronfle pas. J’aimerai bien passer une nuit tranquille et avec celle là, impossible de fermer l’œil.
- Alice ne va pas tarder à rentrer.
- Oui mais parfois, elle aussi elle ronfle.
- Bon tu as fini ?
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