Chapitre XXIII (suite)
La soirée avec Manon a bien débuté. On a pris l’apéritif sur la terrasse, en regardant le coucher de soleil. Manon est enthousiaste. Elle parle de tout et de rien. Elle a plein d'humour. Et le premier verre de whisky, ne lui fait même pas peur. J’avais sorti des alcools doux mais elle a préféré mon whisky tourbé, trente ans d'‘âge. Le deuxième verre est avalé sans même sourciller en attendant la pizza qui se fait désirer. Le troisième verre fut engloutit avec la même conviction. Peut-être le verre de trop mais elle a tellement insisté que je me suis laisser convaincre.
Avec la fraîcheur de la soirée, on s’est retranchés tous les deux dans le salon. Manon a faillit trébucher en se levant mais elle s’est bien rattrapée. On a fait qu’une bouchée de la pizza et la bouteille de rosé qui l’accompagnait n’a pas résisté. Manon a exigée un trou chtimi de circonstance et par chance, il me restait un fond de Genièvre. Je suis éberlué devant cette jeune femme qui me défie par alcool interposé.
- Tu peux m'aider à m’asseoir sur le canapé, s’il te plaît Pascal. Je crois que j’ai un peu trop bu.
Je viens soutenir Manon qui s’affale sur le canapé. Elle n’a même plus la force de croiser les jambes et j’ai une vue magnifique sur sa petite culotte blanche, toute en dentelle à peine voilée par sa mini jupe.
- Je crois qu’on voit ma culotte mais je m’en fous et d’ailleurs, je vais la retirer comme ça, on ne la verra plus dit-elle euphorique.
Et mêlant le geste à la parole, Manon lève difficilement ses fesses du canapé et tente de retirer sa petite culotte.
- Même ça, je n’y arrive plus. Je suis faite. Je suis bourrée comme un coing.
Le spectacle est autant gênant qu'improbable. Manon hilare, à moitié avachie sur le canapé, sa petite culotte descendue à mi-cuisse qui découvre un sexe à la pilosité abondante. Si Alice voyait ça... je n’ose à peine imaginer.
- Je crois que je vais rentrer chez moi. Oulala, ça tourne.
- Tu vas rester dormir ici, Manon. Tu n’es pas en état de reprendre la route.
- Tu crois ?
- Oui. Allonge toi, je vais te préparer ton lit.
Dans la chambre, sous le regard de Camille interloquée, je change les draps, j’ouvre la couette et je pars récupérer Manon sur le canapé.
- Pipi, pipi, vite. Je vais faire dans ma culotte.
- Y a pas trop de risque, elle est déjà à moitié descendue lui dis-je en riant.
- Oui mais, je vais faire par terre. Vite ! Vite ! Vite !
Je retire le petite bout de tissu et je soutiens péniblement Manon jusqu’au toilette. Je la fais asseoir sur la cuvette où elle se soulage à grand bruit.
- Il faut essuyer mon minou.
- Tiens voilà une feuille de papier toilette.
Manon essaye et la feuille s’échappe dans le fond de la cuvette.
- J’y arrive même pas. Tu peux m'aider s’il te plaît ?
Je prends un nouvelle feuille et je lui essuie le minou. Le papier tout mouillé se déchire et mes doigts sont en contact direct avec sa chatte trempée. J’essaye de contenir l’érection naissante dans mon boxer mais peine perdue. La situation est si excitante que je me surprends à avoir envie de caresser cette chatte insolente. Une autre feuille subit le même sort.
- Oh, c’est bon. Continue encore.
Manon, c’est avancée sur le bord de la cuvette, son corps jeté en arrière et ses jambes écartées.
- Viens me lécher. Vite, ne me laisse pas comme ça. S’il te plaît. J’ai envie.
Son sexe est luisant à travers ses poils bruns collés à son minou. J’ai envie de me mettre à genou, d’écarter les poils et de goûter la liqueur de ce sexe offert. Mon cœur bat à cent à l’heure. Je sens mon pouls sur mes temples, sur mon sexe. Manon caresse la bosse qui s’est formée dans mon pantalon. Elle commence à déboutonner ma braguette. Je sais que si elle sort mon sexe, elle le prendra en bouche et il sera trop tard, je n’arriverai plus à résister. Sa main s’est faufilée dans mon slip, un doigt remonte jusqu’à mon gland.
- Manon ! Arrête. On n’est pas dans nos états normaux. On va regretter tous deux.
- Tu as raison Pascal. C’est plus sage même si j’avais une de ces envies. Tu as vue mon minou alors est-ce que je peux voir ton sexe, juste pour savoir ce que j’ai raté ? et après je ne t’embête plus.
j’acquiesce de la tête. Manon dégrafe ma ceinture, baisse mon pantalon. Elle regarde presque émerveillée la forme tonique à travers mon boxer. Elle saisi les bords et elle baisse lentement le tissu jusqu’à ce que mon sexe se retrouve entièrement libre.
- Waouh ! Je peux lui faire un bisou ?
- Non Manon. On a dit qu’on s’arrêtait là.
- Mon copain en a une toute petite. Avec une comme la tienne j’ose même pas imager le pied que je pourrais prendre.
Je remonte slip et pantalon. J’aide Manon à se relever et je l’emmène dans ma chambre. Je l’aide à la déshabiller.
- Mon soutien-gorge aussi s’il te plaît. Je dors toujours nue sauf quand j’ai mes règles.
Je dégrafe son soutien-gorge. Manon est dans son plus simple appareil. Elle est absolument ravissante. Je l’allonge sur le lit et je recouvre son joli corps avec la couette toute douce.
- Tu ne dors pas avec moi ?
- Non, je te laisse ici. Je vais me reposer dans la pièce à côté.
- Sans regret ?
- Sans regret Manon. Dors bien et à demain.
- Merci toi aussi Pascal.
Trois minutes après, Manon s'est mise à ronfler. Je m’étends sur le canapé dans le salon, un plaid jeté sur mes épaules, en pensant à ma petite chérie seule dans sa chambre médicalisée et je me suis endormi comme un bébé, emportant son joli sourire partout dans mes rêves.
La soirée avec Manon a bien débuté. On a pris l’apéritif sur la terrasse, en regardant le coucher de soleil. Manon est enthousiaste. Elle parle de tout et de rien. Elle a plein d'humour. Et le premier verre de whisky, ne lui fait même pas peur. J’avais sorti des alcools doux mais elle a préféré mon whisky tourbé, trente ans d'‘âge. Le deuxième verre est avalé sans même sourciller en attendant la pizza qui se fait désirer. Le troisième verre fut engloutit avec la même conviction. Peut-être le verre de trop mais elle a tellement insisté que je me suis laisser convaincre.
Avec la fraîcheur de la soirée, on s’est retranchés tous les deux dans le salon. Manon a faillit trébucher en se levant mais elle s’est bien rattrapée. On a fait qu’une bouchée de la pizza et la bouteille de rosé qui l’accompagnait n’a pas résisté. Manon a exigée un trou chtimi de circonstance et par chance, il me restait un fond de Genièvre. Je suis éberlué devant cette jeune femme qui me défie par alcool interposé.
- Tu peux m'aider à m’asseoir sur le canapé, s’il te plaît Pascal. Je crois que j’ai un peu trop bu.
Je viens soutenir Manon qui s’affale sur le canapé. Elle n’a même plus la force de croiser les jambes et j’ai une vue magnifique sur sa petite culotte blanche, toute en dentelle à peine voilée par sa mini jupe.
- Je crois qu’on voit ma culotte mais je m’en fous et d’ailleurs, je vais la retirer comme ça, on ne la verra plus dit-elle euphorique.
Et mêlant le geste à la parole, Manon lève difficilement ses fesses du canapé et tente de retirer sa petite culotte.
- Même ça, je n’y arrive plus. Je suis faite. Je suis bourrée comme un coing.
Le spectacle est autant gênant qu'improbable. Manon hilare, à moitié avachie sur le canapé, sa petite culotte descendue à mi-cuisse qui découvre un sexe à la pilosité abondante. Si Alice voyait ça... je n’ose à peine imaginer.
- Je crois que je vais rentrer chez moi. Oulala, ça tourne.
- Tu vas rester dormir ici, Manon. Tu n’es pas en état de reprendre la route.
- Tu crois ?
- Oui. Allonge toi, je vais te préparer ton lit.
Dans la chambre, sous le regard de Camille interloquée, je change les draps, j’ouvre la couette et je pars récupérer Manon sur le canapé.
- Pipi, pipi, vite. Je vais faire dans ma culotte.
- Y a pas trop de risque, elle est déjà à moitié descendue lui dis-je en riant.
- Oui mais, je vais faire par terre. Vite ! Vite ! Vite !
Je retire le petite bout de tissu et je soutiens péniblement Manon jusqu’au toilette. Je la fais asseoir sur la cuvette où elle se soulage à grand bruit.
- Il faut essuyer mon minou.
- Tiens voilà une feuille de papier toilette.
Manon essaye et la feuille s’échappe dans le fond de la cuvette.
- J’y arrive même pas. Tu peux m'aider s’il te plaît ?
Je prends un nouvelle feuille et je lui essuie le minou. Le papier tout mouillé se déchire et mes doigts sont en contact direct avec sa chatte trempée. J’essaye de contenir l’érection naissante dans mon boxer mais peine perdue. La situation est si excitante que je me surprends à avoir envie de caresser cette chatte insolente. Une autre feuille subit le même sort.
- Oh, c’est bon. Continue encore.
Manon, c’est avancée sur le bord de la cuvette, son corps jeté en arrière et ses jambes écartées.
- Viens me lécher. Vite, ne me laisse pas comme ça. S’il te plaît. J’ai envie.
Son sexe est luisant à travers ses poils bruns collés à son minou. J’ai envie de me mettre à genou, d’écarter les poils et de goûter la liqueur de ce sexe offert. Mon cœur bat à cent à l’heure. Je sens mon pouls sur mes temples, sur mon sexe. Manon caresse la bosse qui s’est formée dans mon pantalon. Elle commence à déboutonner ma braguette. Je sais que si elle sort mon sexe, elle le prendra en bouche et il sera trop tard, je n’arriverai plus à résister. Sa main s’est faufilée dans mon slip, un doigt remonte jusqu’à mon gland.
- Manon ! Arrête. On n’est pas dans nos états normaux. On va regretter tous deux.
- Tu as raison Pascal. C’est plus sage même si j’avais une de ces envies. Tu as vue mon minou alors est-ce que je peux voir ton sexe, juste pour savoir ce que j’ai raté ? et après je ne t’embête plus.
j’acquiesce de la tête. Manon dégrafe ma ceinture, baisse mon pantalon. Elle regarde presque émerveillée la forme tonique à travers mon boxer. Elle saisi les bords et elle baisse lentement le tissu jusqu’à ce que mon sexe se retrouve entièrement libre.
- Waouh ! Je peux lui faire un bisou ?
- Non Manon. On a dit qu’on s’arrêtait là.
- Mon copain en a une toute petite. Avec une comme la tienne j’ose même pas imager le pied que je pourrais prendre.
Je remonte slip et pantalon. J’aide Manon à se relever et je l’emmène dans ma chambre. Je l’aide à la déshabiller.
- Mon soutien-gorge aussi s’il te plaît. Je dors toujours nue sauf quand j’ai mes règles.
Je dégrafe son soutien-gorge. Manon est dans son plus simple appareil. Elle est absolument ravissante. Je l’allonge sur le lit et je recouvre son joli corps avec la couette toute douce.
- Tu ne dors pas avec moi ?
- Non, je te laisse ici. Je vais me reposer dans la pièce à côté.
- Sans regret ?
- Sans regret Manon. Dors bien et à demain.
- Merci toi aussi Pascal.
Trois minutes après, Manon s'est mise à ronfler. Je m’étends sur le canapé dans le salon, un plaid jeté sur mes épaules, en pensant à ma petite chérie seule dans sa chambre médicalisée et je me suis endormi comme un bébé, emportant son joli sourire partout dans mes rêves.
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