(29-09-2020, 03:28 PM)emmanolife link a écrit :On ne sait pas si Roberto était homosexuel en plus d'être un braqueur de banque. L'auteur, on le savait déjà, et le narrateur, c'est probable aussi, encore que ce n'est pas tellement parce qu'il se branle, les hétéros le font aussi, mais plutôt parce qu'il est excité de voir, ou d'entendre, Pietro se branler.
Ah, les slip blancs, toute une époque. Et puis les slips à poches qui laissaient parfois passer des bouts de bite ; ou alors les élastiques un peu détendus autour des cuisses qui laissaient descendre un morceau de couille... tous spectacles offerts dans les vestiaires aux mateurs chevronnés, suffisamment habiles pour ne pas se faire pincer.
Les slips actuels sont bien étanches, et le spectacle se trouve maintenant sur internet avec toutes les photos de mecs nus, optionnellement en érection, et tous les films de boule disponibles en ligne. L'excitation est un peu différente. Dans le temps il y avait aussi un peu de peur de se faire prendre, et aussi la frustration de mater sans pouvoir rien toucher ; maintenant ce n'est plus que sexuel, un prélude à la branlette devant l'ordi : c'est sûrement plus serein, il y a la culpabilité en moins. Encore que.
Merci, L'Ange.
Merci [member=67]emmanolife[/member].
Je dis souvent que les grands esprits se rencontrent car ce sont exactement les deux thèmes que je voulais aborder à la suite de ce premier portrait : les garçons que j’ai pu mater dans des vestiaires, douches ou dortoirs d’une part, et je voulais aussi comparer avec les photos sur internet d’autre part.
Cela m’encourage donc à continuer à raconter d’autres anecdotes. Et finalement ces anecdotes me donnent quelques indications sur ma sexualité à cette époque. Une différence est que quelqu’un qui se branle devant l’ordi fait un choix parmi les images proposées, s’il regarde majoritairement des personnes du même sexe que lui, va comprendre qu’il est homosexuel, alors qu’à cette époque je n’avais pas le choix, je ne me trouvais qu’avec des hommes, donc je pensais que je matais des hommes à cause des circonstances tout en me disant que je pourrais avoir des relations avec des femmes plus tard lorsque l’occasion se présenterait.
Je ne me rappelle plus du tout à quoi je pensais lorsque je me masturbais quand j’étais jeune, en particulier cette nuit-là dans le wagon-couchettes, mais il est probable que le fait d’imaginer mes camarades avec le sexe bandé tout près de moi m’excitait. Je ne me souviens pas d’un sentiment de culpabilité, c’était une fonction corporelle normale après la puberté, cela restait cependant un jardin secret. N’étant pas catholique, je n’ai jamais dû le confesser.
Je ne voulais pas écrire mon autobiographie, nous en avions parlé, mais je donne quand même beaucoup d’informations au fil des récits et discussions.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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