28-09-2020, 09:00 AM
Après une bonne nuit de repos, nous nous étions réveillés vers les neuf heures. Nous étions Julien et moi enlacés, dans les bras l’un de l’autre. Nous avions donc passé la nuit collés l’un à l’autre. Comme bonjour j’avais eu droit un baiser de la part de Julien. Je lui avais rendu et ensuite nous nous étions embrassés. Une fois enfin levés nous étions allés nous doucher. Nous étions tous les deux bandés. Il n’avait pas fallu trente secondes pour que nos mains trouvent l’endroit sensible pour y appliquer la solution permettant de faire tomber la tension. J’avais pris la colonne de chair de Julien et je m’appliquais à lui donner les caresses attendues. Julien faisait de même avec mon membre viril. C’est donc de cette façon que nous nous étions cajolés sous l’eau qui coulait du pommeau de douche. Nous avions pratiquement laissé partir nos semences en même temps. Nos doigts en étaient éclaboussés. Nous nous étions alors embrassés avec fougue.
Ensuite nous nous étions savonnés l’un l’autre sans bien entendu oublier les attributs et les fesses. C’était en fait une nouvelle façon de nous laver lorsque nous étions à deux sous la douche.
Nous avions rejoint les filles pour prendre le petit-déjeuner. Nous étions comme d’habitude tous les quatre nus. C’est Delphine qui nous avait dit :
Del : « Alors les garçons, vous ne vous êtes pas embêtés hier soir !
Moi : Oui je sais frangine, mais tu sais c’est plus fort que nous. Tu sais bien que nous nous aimons et de ce fait nous sommes comme dans une bulle, comme hors du temps, alors les bruits, on n’y a pas pensé !
Sté : Les garçons, ce n’est pas grave. Je dois dire que j’aime vous entendre. Puis je sais que vous vous aimez et cela me fait chaud au cœur. Vous êtes des amours !
Jul : Merci les filles. On va essayer de faire attention la prochaine fois, mais ce n’est pas garanti.
Moi : Oui merci pour votre compréhension. On vous aime comme vous êtes, ne changez rien ! "
Éclats de rire. Nous étions tous heureux d’être ensemble entre frères et sœurs. Nous savions que nous pouvions compter les uns sur les autres. Il était temps de passer à table, nous avions une faim de loup, cela devait être l’air de la mer et l’iode qui avaient eus raison de nous.
Le repas étant terminé, nous nous étions préparés pour retrouver nos amis sur la digue de mer, au pied de l’horloge. Nous avions pris nos vélos et nous étions en route vers le point de rendez-vous. Nous trois amis étaient déjà là. Je pouvais voir qu’ils avaient l’air heureux. Lucas et Mathieu affichaient un large sourire. Nous nous étions salués. Puis j’avais pris Lucas par le bras pour lui demander la raison de cette bonne humeur !
Moi : « Oh Lucas, tu es bien joyeux ce matin !
Luc Oui Phil je suis très heureux, c’est la première fois que mes parents m’ont donné l’occasion de passer la nuit avec Mathieu dans le même lit !
Moi : Tu sais Lucas, je suis content pour vous deux. Tu sais tes parents sont formidables, ils ont très bien compris.
Luc : Mathieu et moi les avions remerciés ce matin pour cela.
Moi : Je te reconnais bien là.
J’en avais bien entendu déduit qu’ils avaient pu encore une fois se câliner l’un l’autre. Je ne souhaitais pas avoir de détails, mais j’étais content pour eux. J’avais aussi dit :
Moi : Allez les amoureux de tous poils, il est temps de faire quelque chose, ça vous dit d’aller vers Ostende pour voir le port.
Luc : Oh oui, c’est super.
Les filles, en cœur : C’est génial, OK, on est partantes.
Mat et Max : Oui, ça va être génial.
Moi : En piste alors, direction Ostende et son port ! »
C’est donc dans la bonne humeur que nous avions pris la direction d’Ostende en empruntant la piste cyclable qui longe la côte pour atteindre Ostende. Nous étions sur place vers les dix heures trente. Ce n’est pas souvent que nous avions l’occasion de voir le déchargement des bateaux de pêche à leur retour, après la pêche en mer. C’était un spectacle inhabituel. Nous pouvions les cagots remplis de poissons et les seaux pleins de crevettes. C’était formidable. Puis par la suite, c’était la vente au bord du quai. Évidemment en entendait parler flamand et parfois c’était même du patois régional.
Nous nous étions baladés dans les environs du port et nous avions pu monter sur le « Mercator », le voilier école de la marine nationale. Cette visite était assez intéressante. Nous avions même pu voir un scaphandre.
A midi nous étions allés manger des moules dans un petit restaurant proche du port. Nous étions très heureux à nous sept. Nous étions devenus des amis, une véritable amitié était née entre nous depuis trois jours. J’avais vraiment envie que nous puissions le rester. J’avais envie d’être en quelque sorte comme un « guide » pour Lucas, Mathieu et Maxime. Je voulais être là pour les aider en cas de besoin.
Le reste de la journée s’était très bien déroulée. Nous avions poursuivi notre balade à vélo pour revenir vers notre station balnéaire. Bien entendu nous nous étions une nouvelle fois arrêtés chez « Siska » pour y déguster une gaufre avec soit un café ou soit un chocolat chaud. La semaine de vacances se déroulait à merveille. Nous étions heureux d’être ensemble. Maxime lui de son côté s’était un peu plus ouvert, il avait pris de l’assurance ; c’était beau à voir. Comme quoi une amitié sincère peut changer un ado s’il est bien, accepté au sein d’un groupe !
Nous arrivions à la fin de notre séjour. Nous avions décidé de reprendre le train le samedi dans l’après-midi pour ne pas être dans la cohue du dimanche. Les parents de Lucas et de Maxime avaient eux aussi choisi de repartir le samedi après-midi. Pour la soirée du vendredi, soit la dernière soirée, Carine nous avait invité à prendre le souper dans leur location. Robert quant à lui nous invitait ensuite à prendre le verre de l’amitié dans notre taverne favorite. Nous avions accepté de très bon cœur.
Nous avions pris la journée de vendredi pour refaire les baguages et nettoyer quelque peu l’appartement. Puis cela laissait aussi un moment en famille pour nos amis. De toute façon nous allions nous retrouver en soirée. Nous avions chacun pris en main les tâches à exécuter pour remettre l’appartement en ordre. Puis nous avions décidé d’apporter un petit cadeau à Carine et à Robert pour leur gentillesse !
Nous étions en route vers l’appartement de Carine et Robert. Nous avions pris un paquet de babeluttes pour Carine et une bouteille de whisky pour Robert. Une fois sur place nous avions été accueillis très chaleureusement, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours. C’est Delphine qui avait offert les bonbons à Carine tandis que j’avais sollicité Julien pour qu’il remette la bouteille à Robert. Bien entendu, ils avaient dit qu’il ne fallait pas, etc., etc.
Nous avions pris l’apéro ensemble pour ensuite manger une paëlla royale. C’est délicieux. Nous étions heureux de nous retrouver. Les discussions allaient bon train. Nous nous étions échangés nos adresses et nos numéros de téléphone en vue de rester en contact. J’avais dit à Lucas de na pas hésiter en cas de problèmes rencontrés en math, que j’étais disposé à l’aider, d’autant plus que nous arrivions dans la dernière ligne droite de l’année scolaire. Carine et Robert étaient heureux d’entendre ça. Pour moi c’était le minimum que je pouvais faire pour aider mon nouvel ami.
Une fois le repas et la vaisselle terminés, nous nous étions rendus pour prendre ce verre de l’amitié à la taverne. Les serveuses commençaient à nous connaître. Elles étaient toujours aux petits soins pour nous servir. C’est Robert qui avait pris la parole :
Rob : « Bon les jeunes, je veux porter un toast pour célébrer cette belle amitié qui vous unis. Nous avons découvert, Carine et moi, quatre jeunes gens plein de vie mais surtout rempli d’amour et prêt à ouvrir leurs bras pour accueillir leurs nouveaux amis.
Moi : Merci Robert, mais tu sais je suis toujours très attentif aux autres, cela fait partie de moi, de ma façon d’être, de ma personnalité !
Car : Oui Phil, je l’avais remarqué. C’est d’ailleurs ce qui te rend important aux yeux des autres. C’est le cas pour mes deux garçons ainsi que pour Mathieu.
Rob : Nous en avons parlé ce matin ensemble lors de notre déjeuner. Vous quatre vous êtes comme des balaises d’espoir pour les autres. Merci de rester comme vous êtes, ne changer rien !
Moi : Merci, je ne sais que répondre.
Jul : Merci à vous de nous avoir accepté. Puis merci à Lucas, Maxime et Mathieu d’être devenu nos amis.
Luc : Vous savez que vous m’avez apporté beaucoup en quelques jours. Vous nous avez apporté votre bonne humeur, votre amitié et en plus votre cœur est ouvert aux autres. Je suis certain que nous resterons amis pour la vie.
Car : C’est tout ce que nous vous souhaitons, c’est de rester amis pour la vie.
Rob : Bon, après ces belles paroles, buvons ce verre de l’amitié. Santé et Bonheur !
Tous : Santé et Bonheur ! »
Nous avions bu ce verre avec délectation. Il représentait beaucoup. C’était comme nous venions tous les sept de signer une charte d’amitié « un pacte par le sang ». Nous avions presque tous les yeux humides, prêts à pleurer, mais pleurer de joie ! La soirée s’était achevée sur cette note positive. Nous allions avoir beaucoup de choses à raconter à nos parents respectifs à notre retour à Bruxelles.
Nous étions rentrés à l’appartement, heureux de cette soirée. Heureux de voir comment une simple rencontre dans les dunes avait pu changer le sort de sept jeunes. Un vent de fraîcheur, un vent d’amitié et de bonheur flottait dans l’air. Nous étions tous marqués par ce moment d’intense sensibilité et d’amour.
Ensuite nous nous étions savonnés l’un l’autre sans bien entendu oublier les attributs et les fesses. C’était en fait une nouvelle façon de nous laver lorsque nous étions à deux sous la douche.
Nous avions rejoint les filles pour prendre le petit-déjeuner. Nous étions comme d’habitude tous les quatre nus. C’est Delphine qui nous avait dit :
Del : « Alors les garçons, vous ne vous êtes pas embêtés hier soir !
Moi : Oui je sais frangine, mais tu sais c’est plus fort que nous. Tu sais bien que nous nous aimons et de ce fait nous sommes comme dans une bulle, comme hors du temps, alors les bruits, on n’y a pas pensé !
Sté : Les garçons, ce n’est pas grave. Je dois dire que j’aime vous entendre. Puis je sais que vous vous aimez et cela me fait chaud au cœur. Vous êtes des amours !
Jul : Merci les filles. On va essayer de faire attention la prochaine fois, mais ce n’est pas garanti.
Moi : Oui merci pour votre compréhension. On vous aime comme vous êtes, ne changez rien ! "
Éclats de rire. Nous étions tous heureux d’être ensemble entre frères et sœurs. Nous savions que nous pouvions compter les uns sur les autres. Il était temps de passer à table, nous avions une faim de loup, cela devait être l’air de la mer et l’iode qui avaient eus raison de nous.
Le repas étant terminé, nous nous étions préparés pour retrouver nos amis sur la digue de mer, au pied de l’horloge. Nous avions pris nos vélos et nous étions en route vers le point de rendez-vous. Nous trois amis étaient déjà là. Je pouvais voir qu’ils avaient l’air heureux. Lucas et Mathieu affichaient un large sourire. Nous nous étions salués. Puis j’avais pris Lucas par le bras pour lui demander la raison de cette bonne humeur !
Moi : « Oh Lucas, tu es bien joyeux ce matin !
Luc Oui Phil je suis très heureux, c’est la première fois que mes parents m’ont donné l’occasion de passer la nuit avec Mathieu dans le même lit !
Moi : Tu sais Lucas, je suis content pour vous deux. Tu sais tes parents sont formidables, ils ont très bien compris.
Luc : Mathieu et moi les avions remerciés ce matin pour cela.
Moi : Je te reconnais bien là.
J’en avais bien entendu déduit qu’ils avaient pu encore une fois se câliner l’un l’autre. Je ne souhaitais pas avoir de détails, mais j’étais content pour eux. J’avais aussi dit :
Moi : Allez les amoureux de tous poils, il est temps de faire quelque chose, ça vous dit d’aller vers Ostende pour voir le port.
Luc : Oh oui, c’est super.
Les filles, en cœur : C’est génial, OK, on est partantes.
Mat et Max : Oui, ça va être génial.
Moi : En piste alors, direction Ostende et son port ! »
C’est donc dans la bonne humeur que nous avions pris la direction d’Ostende en empruntant la piste cyclable qui longe la côte pour atteindre Ostende. Nous étions sur place vers les dix heures trente. Ce n’est pas souvent que nous avions l’occasion de voir le déchargement des bateaux de pêche à leur retour, après la pêche en mer. C’était un spectacle inhabituel. Nous pouvions les cagots remplis de poissons et les seaux pleins de crevettes. C’était formidable. Puis par la suite, c’était la vente au bord du quai. Évidemment en entendait parler flamand et parfois c’était même du patois régional.
Nous nous étions baladés dans les environs du port et nous avions pu monter sur le « Mercator », le voilier école de la marine nationale. Cette visite était assez intéressante. Nous avions même pu voir un scaphandre.
A midi nous étions allés manger des moules dans un petit restaurant proche du port. Nous étions très heureux à nous sept. Nous étions devenus des amis, une véritable amitié était née entre nous depuis trois jours. J’avais vraiment envie que nous puissions le rester. J’avais envie d’être en quelque sorte comme un « guide » pour Lucas, Mathieu et Maxime. Je voulais être là pour les aider en cas de besoin.
Le reste de la journée s’était très bien déroulée. Nous avions poursuivi notre balade à vélo pour revenir vers notre station balnéaire. Bien entendu nous nous étions une nouvelle fois arrêtés chez « Siska » pour y déguster une gaufre avec soit un café ou soit un chocolat chaud. La semaine de vacances se déroulait à merveille. Nous étions heureux d’être ensemble. Maxime lui de son côté s’était un peu plus ouvert, il avait pris de l’assurance ; c’était beau à voir. Comme quoi une amitié sincère peut changer un ado s’il est bien, accepté au sein d’un groupe !
Nous arrivions à la fin de notre séjour. Nous avions décidé de reprendre le train le samedi dans l’après-midi pour ne pas être dans la cohue du dimanche. Les parents de Lucas et de Maxime avaient eux aussi choisi de repartir le samedi après-midi. Pour la soirée du vendredi, soit la dernière soirée, Carine nous avait invité à prendre le souper dans leur location. Robert quant à lui nous invitait ensuite à prendre le verre de l’amitié dans notre taverne favorite. Nous avions accepté de très bon cœur.
Nous avions pris la journée de vendredi pour refaire les baguages et nettoyer quelque peu l’appartement. Puis cela laissait aussi un moment en famille pour nos amis. De toute façon nous allions nous retrouver en soirée. Nous avions chacun pris en main les tâches à exécuter pour remettre l’appartement en ordre. Puis nous avions décidé d’apporter un petit cadeau à Carine et à Robert pour leur gentillesse !
Nous étions en route vers l’appartement de Carine et Robert. Nous avions pris un paquet de babeluttes pour Carine et une bouteille de whisky pour Robert. Une fois sur place nous avions été accueillis très chaleureusement, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours. C’est Delphine qui avait offert les bonbons à Carine tandis que j’avais sollicité Julien pour qu’il remette la bouteille à Robert. Bien entendu, ils avaient dit qu’il ne fallait pas, etc., etc.
Nous avions pris l’apéro ensemble pour ensuite manger une paëlla royale. C’est délicieux. Nous étions heureux de nous retrouver. Les discussions allaient bon train. Nous nous étions échangés nos adresses et nos numéros de téléphone en vue de rester en contact. J’avais dit à Lucas de na pas hésiter en cas de problèmes rencontrés en math, que j’étais disposé à l’aider, d’autant plus que nous arrivions dans la dernière ligne droite de l’année scolaire. Carine et Robert étaient heureux d’entendre ça. Pour moi c’était le minimum que je pouvais faire pour aider mon nouvel ami.
Une fois le repas et la vaisselle terminés, nous nous étions rendus pour prendre ce verre de l’amitié à la taverne. Les serveuses commençaient à nous connaître. Elles étaient toujours aux petits soins pour nous servir. C’est Robert qui avait pris la parole :
Rob : « Bon les jeunes, je veux porter un toast pour célébrer cette belle amitié qui vous unis. Nous avons découvert, Carine et moi, quatre jeunes gens plein de vie mais surtout rempli d’amour et prêt à ouvrir leurs bras pour accueillir leurs nouveaux amis.
Moi : Merci Robert, mais tu sais je suis toujours très attentif aux autres, cela fait partie de moi, de ma façon d’être, de ma personnalité !
Car : Oui Phil, je l’avais remarqué. C’est d’ailleurs ce qui te rend important aux yeux des autres. C’est le cas pour mes deux garçons ainsi que pour Mathieu.
Rob : Nous en avons parlé ce matin ensemble lors de notre déjeuner. Vous quatre vous êtes comme des balaises d’espoir pour les autres. Merci de rester comme vous êtes, ne changer rien !
Moi : Merci, je ne sais que répondre.
Jul : Merci à vous de nous avoir accepté. Puis merci à Lucas, Maxime et Mathieu d’être devenu nos amis.
Luc : Vous savez que vous m’avez apporté beaucoup en quelques jours. Vous nous avez apporté votre bonne humeur, votre amitié et en plus votre cœur est ouvert aux autres. Je suis certain que nous resterons amis pour la vie.
Car : C’est tout ce que nous vous souhaitons, c’est de rester amis pour la vie.
Rob : Bon, après ces belles paroles, buvons ce verre de l’amitié. Santé et Bonheur !
Tous : Santé et Bonheur ! »
Nous avions bu ce verre avec délectation. Il représentait beaucoup. C’était comme nous venions tous les sept de signer une charte d’amitié « un pacte par le sang ». Nous avions presque tous les yeux humides, prêts à pleurer, mais pleurer de joie ! La soirée s’était achevée sur cette note positive. Nous allions avoir beaucoup de choses à raconter à nos parents respectifs à notre retour à Bruxelles.
Nous étions rentrés à l’appartement, heureux de cette soirée. Heureux de voir comment une simple rencontre dans les dunes avait pu changer le sort de sept jeunes. Un vent de fraîcheur, un vent d’amitié et de bonheur flottait dans l’air. Nous étions tous marqués par ce moment d’intense sensibilité et d’amour.