25-09-2020, 11:06 AM
Suite.
Julien s’était placé de façon à présenter son postérieur vers moi. J’avais pris un peu de gel pour préparer l’entrée de sa grotte accueillante. J’avais introduit un doigt et puis à force de massages anal, le second doigt passait. Je savais que c’était bien suffisant, n’ayant pas non plus une bite très large. J’enfilais alors le préservatif sur mon sexe. Puis doucement j’avançais mon boute joie vers l’entrée de la cavité préparée à m’accueillir. Mon gland butait sur la corolle anale de Julien, puis doucement mon vit entra peu à peu pour arriver à la garde, mes bourses étaient posées contres ses fesses. J’entrepris alors de donner du plaisir à mon amour de Julien. De vas et vient tantôt lents et puis rapides, j’accentuais par moment la pression. Juju de son côté lâchait quelques râles de bonheur. Sa respiration était plus rapide. De mon côté je me contrôlais au maximum pour retarder le plus tard possible l’éjaculation. Mes couilles frappaient sans cesse les deux fesses de mon amour. Mais ce qui m’importais le plus c’était la joie et les sensations ainsi prodiguées à mon ami. Pour moi, il fallait qu’il se souvienne de cette soirée si prometteuse. Julien râlait de plus en plus fort, il criait presque, c’était comme de petits cris étouffés qu’il faisait entendre. Je savais que les filles allaient entendre les bruits émanant de notre chambre et ainsi savoir ce que nous faisions, mais je n’en avais cure ; elles en avaient déjà assez entendu lors d’autres séances aussi sonores, elles pouvaient bien une nouvelle fois entendre que nous étions en pleins ébats et bien sûr que nous nous aimions. Puis au fur et à mesure de mon pilonnage, je sentais que ma sève allait monter, que j’allais déverser ma semence, je ralentissais donc l’allure des mouvements dans cette antre bien chaude. Puis, étant arrivé au point de non-retour, j’avais laissé passer six jets de sperme qui étaient venus s’écraser au fond de la capote, et ce dans un râle émis par une jouissance bien ressentie. Julien lui aussi était aux anges. Nous nous séparions pour nous affaler sur le lit, heureux de ce rapport tant attendu.
Nous étions restés un bon moment ainsi, reprenant notre souffle. J’étais heureux d’être avec mon ami Julien. Cela faisait quelques jours que j’attendais de pouvoir l’aimer, de pouvoir prendre possession de son intimité, de sa caverne d’amour. Lui de son côté souriait aussi, il avait bien apprécié ce moment partagé. Puis nous nous étions une nouvelle fois embrassé à pleine bouche. Nous étions heureux. Nous nous caressions et comme de bien entendu, nos sexes avaient repris vigueur. C’est alors que Julien m’avait fait un clin d’œil, pas besoin de parler pour savoir qu’il voulait lui aussi m’aimer, me prendre par derrière, envahir ma caverne et me procurer du plaisir et pour lui c’était enfin le moment de jouir et d’apprécier cette sodomie tant attendue.
Julien avait pris le gel lubrifiant et m’enduisait l’anus, il me préparait à recevoir son vit dressé, à me montrer son amour, à me posséder. Il avait pris de l’assurance et avait même introduit trois doigts dans mon anus. J’étais bien préparé à le recevoir, à recevoir tout son amour, à être aimé ! Une fois le préservatif placé sur son vit gorgé de sang, mon amour, mon Juju avait avancé son sexe vers l’entrée de mes entrailles. Son gland était positionné à l’entrée de l’antre. Il n’avait pas fallu attendre longtemps pour sentir que la barre de chair était entrée dans son écrin, dans son réceptacle. Julien n’avait pas attendu et me pilonnait en rythme tout en alternant la cadence. Il savait y faire le bougre, il avait décidément fait beaucoup de progrès. Je sentais cette énergie distillée tout au long de cet acte d’amour. Je ne pouvais pas retenir les râles de bonheur ; parfois c’étaient des petits cris de jouissance que je laissais passer, j’étais aux anges, j’étais heureux de m’offrir à mon ami, à mon amour. Je sentais que son sexe était encore plus gros que d’habitude, je sentais que Julien prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner, à m’aimer. Je sentais que c’était une des premières fois que je ressentais autant de plaisir à me faire défoncer de la sorte. Puis la respiration de Julien s’était accélérée, je sentais qu’il allait arriver à l’apothéose, à la jouissance extrême. Puis dans un cri non retenu, mon amour de Juju avait laissé jaillir sept jets de sperme tandis que je criais aussi de ressentir tant de belles choses dans mon corps entièrement donné et ouvert à l’amour.
Julien s’était alors affalé à côté de moi. Nous étions tous les deux en transpiration, nous avions connu le nirvana. Jamais je ne n’avais tant apprécié ce moment de communion entre nous. C’était semble-t-il la même chose pour Julien. Bien qu’étant exténué par sa chevauchée fantastique, il affichait un sourire béat, montrant le plaisir qu’il venait d’éprouver.
Il nous avait fallu un bon quart d’heure pour redescendre sur terre.
Julien s’était placé de façon à présenter son postérieur vers moi. J’avais pris un peu de gel pour préparer l’entrée de sa grotte accueillante. J’avais introduit un doigt et puis à force de massages anal, le second doigt passait. Je savais que c’était bien suffisant, n’ayant pas non plus une bite très large. J’enfilais alors le préservatif sur mon sexe. Puis doucement j’avançais mon boute joie vers l’entrée de la cavité préparée à m’accueillir. Mon gland butait sur la corolle anale de Julien, puis doucement mon vit entra peu à peu pour arriver à la garde, mes bourses étaient posées contres ses fesses. J’entrepris alors de donner du plaisir à mon amour de Julien. De vas et vient tantôt lents et puis rapides, j’accentuais par moment la pression. Juju de son côté lâchait quelques râles de bonheur. Sa respiration était plus rapide. De mon côté je me contrôlais au maximum pour retarder le plus tard possible l’éjaculation. Mes couilles frappaient sans cesse les deux fesses de mon amour. Mais ce qui m’importais le plus c’était la joie et les sensations ainsi prodiguées à mon ami. Pour moi, il fallait qu’il se souvienne de cette soirée si prometteuse. Julien râlait de plus en plus fort, il criait presque, c’était comme de petits cris étouffés qu’il faisait entendre. Je savais que les filles allaient entendre les bruits émanant de notre chambre et ainsi savoir ce que nous faisions, mais je n’en avais cure ; elles en avaient déjà assez entendu lors d’autres séances aussi sonores, elles pouvaient bien une nouvelle fois entendre que nous étions en pleins ébats et bien sûr que nous nous aimions. Puis au fur et à mesure de mon pilonnage, je sentais que ma sève allait monter, que j’allais déverser ma semence, je ralentissais donc l’allure des mouvements dans cette antre bien chaude. Puis, étant arrivé au point de non-retour, j’avais laissé passer six jets de sperme qui étaient venus s’écraser au fond de la capote, et ce dans un râle émis par une jouissance bien ressentie. Julien lui aussi était aux anges. Nous nous séparions pour nous affaler sur le lit, heureux de ce rapport tant attendu.
Nous étions restés un bon moment ainsi, reprenant notre souffle. J’étais heureux d’être avec mon ami Julien. Cela faisait quelques jours que j’attendais de pouvoir l’aimer, de pouvoir prendre possession de son intimité, de sa caverne d’amour. Lui de son côté souriait aussi, il avait bien apprécié ce moment partagé. Puis nous nous étions une nouvelle fois embrassé à pleine bouche. Nous étions heureux. Nous nous caressions et comme de bien entendu, nos sexes avaient repris vigueur. C’est alors que Julien m’avait fait un clin d’œil, pas besoin de parler pour savoir qu’il voulait lui aussi m’aimer, me prendre par derrière, envahir ma caverne et me procurer du plaisir et pour lui c’était enfin le moment de jouir et d’apprécier cette sodomie tant attendue.
Julien avait pris le gel lubrifiant et m’enduisait l’anus, il me préparait à recevoir son vit dressé, à me montrer son amour, à me posséder. Il avait pris de l’assurance et avait même introduit trois doigts dans mon anus. J’étais bien préparé à le recevoir, à recevoir tout son amour, à être aimé ! Une fois le préservatif placé sur son vit gorgé de sang, mon amour, mon Juju avait avancé son sexe vers l’entrée de mes entrailles. Son gland était positionné à l’entrée de l’antre. Il n’avait pas fallu attendre longtemps pour sentir que la barre de chair était entrée dans son écrin, dans son réceptacle. Julien n’avait pas attendu et me pilonnait en rythme tout en alternant la cadence. Il savait y faire le bougre, il avait décidément fait beaucoup de progrès. Je sentais cette énergie distillée tout au long de cet acte d’amour. Je ne pouvais pas retenir les râles de bonheur ; parfois c’étaient des petits cris de jouissance que je laissais passer, j’étais aux anges, j’étais heureux de m’offrir à mon ami, à mon amour. Je sentais que son sexe était encore plus gros que d’habitude, je sentais que Julien prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner, à m’aimer. Je sentais que c’était une des premières fois que je ressentais autant de plaisir à me faire défoncer de la sorte. Puis la respiration de Julien s’était accélérée, je sentais qu’il allait arriver à l’apothéose, à la jouissance extrême. Puis dans un cri non retenu, mon amour de Juju avait laissé jaillir sept jets de sperme tandis que je criais aussi de ressentir tant de belles choses dans mon corps entièrement donné et ouvert à l’amour.
Julien s’était alors affalé à côté de moi. Nous étions tous les deux en transpiration, nous avions connu le nirvana. Jamais je ne n’avais tant apprécié ce moment de communion entre nous. C’était semble-t-il la même chose pour Julien. Bien qu’étant exténué par sa chevauchée fantastique, il affichait un sourire béat, montrant le plaisir qu’il venait d’éprouver.
Il nous avait fallu un bon quart d’heure pour redescendre sur terre.