23-09-2020, 08:41 AM
Une fois rentré à l’appartement, nous étions allés prendre une bonne douche. Les deux filles étaient passées par la salle de bain en premier. Julien et moi nous avions regardé la fin d’un film à la télévision avant d’aller nous doucher. Nous étions ensemble dans la douche qui était un peu petite, mais bon, cela nous permettait de nous frôler, de nous toucher. J’avais lavé le dos ainsi que les fesses de mon Julien. Quand il s’était retourné, je voyais bien que son sexe avait pris de l’ampleur, le mien lui aussi par ailleurs. Puis c’était Julien qui avait lavé mon dos et les fesses. Nous rigolions à la suite des chatouilles que nous nous faisions. Une fois séchés, nous nous étions rendus dans notre chambre pour dormir. Enfin dormir c’était peut-être prématuré !
Une fois au lit j’avais dit à Julien :
Moi : "Que penses-tu des parents de Lucas ?
Jul : Écoute, ils sont sympas, mais je ne sais pas s’ils sont homophobes ou pas. Dans le doute, il faut s’abstenir de toute démonstration devant eux !
Moi : Je pense que tu as raison. Ils sont très sympas, le père offre à boire et il a payé les entrées du spectacle de ce soir. Pour le reste je me méfie. Et que penses-tu de Maxime ?
Jul : Honnêtement je ne sais pas. Il était plus détendu ce soir, mais je n’ai aucune idée s’il est homophobe ou pas. Lucas dit que Maxime ne dirait rien, mais j’attends de voir.
Moi : Je penses que tu as raison. Lucas semble dire que Maxime sait ne rien dire et qu’il sait garder un secret. Comme toi, je ne sais pas me prononcer. Il faut qu’on fasse aussi attention devant Maxime.
Jul : Un gars que j’apprécie, c’est Mathieu, il est discret et il sait se tenir. Il a fallu du temps ce midi avant qu’ils n’osent s’embrasser nos deux compères !
Moi : Oui, tu penses bien que Mathieu voulait être certain de ne pas avoir à faire à des homophobes. Il a vite compris d’ailleurs. Je crois que Lucas aime Mathieu et que c’est réciproque. Je trouve qu’ils vont bien ensemble.
Jul : Oui, ils sont chou tous les deux. »
Je m’étais alors approché de mon amour, de mon Juju.
Je lui avais fait quelques bisous sur les lèvres puis sur le cou pour ensuite m’attarder au niveau de ses tétons. Julien lui de son côté n’était pas resté en rade, il avait entamé des caresses au niveau de ma chevelure et il s’attardait au niveau de mes épaules et de mon cou. Je m’étais enhardi et j’avais poursuivi la descente de son corps pour arriver au niveau de son nombril. Je pouvais déjà sentir que le sexe de mon amoureux avait déjà pris du volume. Je poursuivais mes caresses buccales pour enfin atteindre l’objet de mes convoitises, soit la hampe dressée de mon Julien d’amour. Son gland sécrétait déjà du précum. J’avais alors léchouillé son gland avec ma langue. Julien laissait déjà échapper des râles de plaisir contenus. J’avais alors accentué mes caresses buccales et j’avais englouti dans ma bouche son sexe dressé. Ma langue parcourait donc cette hampe gorgée de sang. Julien gémissait de plus belle. Puis je sentais que mon amour allait arriver assez vite au point de non-retour. J’avais alors adouci cette belle fellation. Mais mouvements se faisaient plus lascifs. Je continuais à pomper mon Juju, je sentais qu’il appréciait le traitement que je lui imposais. Puis j’avais ensuite poursuivi par une masturbation de son dard dressé jusqu’à ce qu’il éjacule sur son ventre.
Une fois couché à ses côtés, Julien m’avait fait rouler sur lui. Il avait entrepris une masturbation de mon appendice pénien avec ses mains et sa bouche. La langue remontait ainsi mon sexe bandé pour léchouiller le gland et le frein. Ses doigts allaient le long de ma protubérance avec douceur et application. Je lâchais des râles de bonheur, des râles de plaisir. Julien me faisait monter en puissance, il me procurait de sublimes sensations. Je sentais que ma sève allait bientôt monter, c’était après dix minutes de ce délicieux traitement. Voyant que j’arrivais à l’extase, mon amour de Juju m’avait laissé jouir sur son torse et sur son menton. J’avais laissé échapper six jets de sperme sur mon amant. Puis sans vergogne Julien avait pris de ma semence sur son index pour le porter à sa bouche et ainsi gouter à mon élixir d’amour.
Nous nous étions ensuite embrassés avec tendresse. J’aimais cette façon qu’avait Julien de me faire sentir qu’il m’aimait. Moi aussi j’étais follement amoureux de mon Julien. Nous nous entendions très bien tous les deux.
Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre pour une nuit réparatrice. Nous allions encore pouvoir connaitre une nouvelle journée à la mer, ensemble avec nos sœurs et nos deux amis. Puis il y aurait Maxime, dont nous ignorions presque tout. Pour ma part je sentais que le frère de Lucas ne serait peut-être pas un obstacle lors de cette journée. Il est vrai que nous souhaitions tous pouvoir être en couple et savourer le plus possible le fait d’être ensemble, à deux pour se câliner.
Au matin nous étions allés prendre une bonne douche avant d’aller prendre notre petit-déjeuner en tenue d’Adam. Les filles elles aussi étaient nues. C’était devenu une habitude entre nous de nous balader à poil dans la maison ou dans l’appartement. Ce n’est qu’une fois sur le point de sortir que nous nous étions habillés. Nous avions rendez-vous avec les trois autres au pied de l’horloge de la digue de mer vers dix heures.
Nous avions pris nos vélos et c’est avec une petite appréhension que nous avions rejoints les trois garçons. Maxime était heureux de pouvoir faire quelque chose avec nous. Nous avions décidé de faire un tour à vélo à l’intérieur des terres car le vent était un peu fort sur la digue de mer.
Nous allions souvent deux par deux et c’est Maxime qui lui allait de groupe en groupe. Puis j’avais remarqué qu’il venait souvent à nos côtés, à Julien et moi. Il appréciait semble-t-il notre compagnie. Nous nous étions arrêtés un moment près du moulin à vent. Maxime me posait quelques questions du genre :
Max : « Dis Phil, cela ne fait pas longtemps que tu es ami avec mon frère, pourtant vous êtes dans la même classe.
Moi : Tu sais Max, ce n’est pas évident d’être ami avec tous les élèves de la classe. Il faut dire que nous n’avons jamais fait plus connaissance que ça.
Max : Et ton ami Julien, tu le connais depuis longtemps ?
Moi : Je connais Julien depuis l’été dernier, c’est grâce à ma sœur et sa sœur que nous avons fait connaissance.
Max : Vous avez l’air de bien vous entendre.
Moi : Oui, mais que veux-tu dire par là !
Max : Tu sais, Phil, ne sois pas fâché, mais je crois que c’est plus que de l’amitié. Ce que je veux dire c’est que c’est comme mon frère et Mathieu !
Moi, un peu rouge : Oui, mais bon, je ne… tu veux dire que tu crois que nous sommes, enfin…ensemble !
Max : Oui Phil, vous êtes amoureux, ça se voit !
J’étais éberlué par les propos de Maxime. Julien qui parlait avec les filles et les deux garçons n’avait rien entendu. Il vit pourtant que j’étais embarrassé. J’étais rouge comme une pivoine. Maxime avait tout deviné. Je ne savais plus que dire.
Moi : Bon, tu sais Maxime, ce n’est pas facile. Enfin tu vois, comment dire, je suis, enfin tu sais, j’aime les garçons !
Max : Je m’en doutais !
Moi : Et toi Maxime, tu aimes les filles ou les garçons ?
Max : Je ne sais pas, je suis mal dans ma peau car je n’en sais rien. Je suis attiré par les deux et de plus je suis toujours puceau. Je veux dire puceau pour les deux !
Moi : Ah, mais tu as encore le temps de savoir ce que tu es, ce que tu aimes. Tu ne dois pas aller trop vite.
Julien s’était approché de nous et il avait plus ou moins compris à la suite de ma dernière phrase prononcée à l’égard de Maxime. C’est Julien qui prenait alors le relais :
Jul : Dis Maxime, je crois savoir ce que vous vous êtes dit. J’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons ensemble Phil et moi !
Max : Mais non Julien, je trouve même ça très bien. C’est un peu comme si je pouvais voir ce que cela donnerait dans quelques mois pour mon frère et son ami Mathieu.
Jul : Et bien ça alors, je suis étonné de ce que tu dis. Si j’ai bien compris tu ne sais pas où tu en es.
Max : Oui, c’est bien ça.
Moi : Ton frère sait quoi pour tes doutes !
Max : Non, je n’ose pas lui en parler.
Moi : Tu veux qu’on lui dise !
Max : Non, pas maintenant Phil, je veux encore attendre !
Moi : C’est comme tu veux. Tu sais que je serai toujours là pour toi s’il le faut !
Max : Merci Phil.
Jul : Et tu pourras aussi compter sur moi Maxime !»
Max : Merci à toi aussi. »
Nous reprenions nos vélos afin de poursuivre notre balade. Nous allions au grès de notre humeur dans différents quartiers bâtis de belles villas. Il faisait assez bon, le vent n’était pas trop fort. Nous venions de passer près du golf miniature et nous entendions le paon faire son cri. Nous nous étions arrêtés pour pouvoir l’admirer. Puis d’un coup il s’était mis à faire la roue et tournait sur lui-même. Il nous faisait sa danse nuptiale !
Nous avions poursuivi la balade pour aller manger un bout. Nous avions décidé d’aller manger un paquet de frites avec une viande à la friterie se situant le long de la route Royale. Nous avions pris une grande table, nous étions quand même sept. Le repas s’était déroulé à la bonne franquette. Nous étions tous ravis d’être ensemble à partager un simple repas.
Une fois le repas de midi avalé, nous avions poursuivi notre randonnée jusqu’à Furnes. Nous voulions aller voir les maisons typiques flamandes ! Nous étions tous emballés de faire cette visite de Furnes.
Vers seize heures nous avions remarqué que le temps changeait. Il était temps de revenir. Nous avions repris le chemin de Koksijde. Un peu avant d’arrivé à la route Royale, la pluie s’était mise à tomber. A peine le temps de traverser cette route que la pluie avait redoublé d’intensité. Nous n’étions plus qu’à un petit kilomètre de l’appartement, mais complètement trempés ! Nous nous étions dépêchés pour arriver le plus vite possible. Lucas savait que notre appartement était beaucoup plus proche que celui loué par ses parents, les autres s’en doutaient eux aussi.
Une fois arrivé, nous étions montés à l’étage de notre logement. Nous étions tous dégoulinant ! Une fois rentré, j’avais dit qu’il valait mieux se changer pour ne pas attraper la crève. Les filles étaient allées dans leur chambre. Nous les garçons nous avions commencé à nous déshabiller. Nous étions en slip. Puis regardant Julien, nous nous sommes mis nus. J’avais alors dit :
Moi : « Bon les gars, on ne va se faire de politesses, allez tous à poil et ceux qui veulent prendre une douche, je vous apporte des draps de bain et de quoi vous rhabiller. Ça te va Julien, nous avons de quoi leur prêter des fringues.
Jul : Pour moi pas de problème.
Luc : OK, c’est bon. Je crois que je vais aller prendre une douche. Tu viens avec moi Mathieu ?
Mat : Oui, c’est OK pour moi aussi.
Lucas et Mathieu s’étaient eux aussi mis à poil et ils s’étaient rendus à la salle de bain. Maxime était là, toujours vêtu de son slip. Je lui avais demandé :
Moi : Il te faut quelque chose Maxime ?
Max : Heu, non, ça va.
Moi : C’est comme tu veux.
Je voyais qu’une bosse s’était formée sur le devant du slip de Maxime. Il commençait à bander. J’avais laissé Maxime dans le salon pendant que je cherchais des affaires de rechange pour Lucas et Mathieu. J’avais alors apporté deux draps de bain à la salle de bain. La porte n’était pas complètement fermée et en entrant j’avais vu que les deux lascars se masturbaient mutuellement. J’ai fait « oups ». J’avais laissé nos deux compères à leurs petites affaires. J’étais alors revenu près de Julien et de Maxime.
Maxime ne pouvait plus cacher son état, il bandait fortement. Je m’étais alors adressé à Maxime :
Moi : Dis Maxime, c’est moi ou Julien, ou même nous deux qui te font tant d’effet ?
Max : Heu…
Moi : Ne t’inquiète pas si tu savais ce que j’ai vu dans la salle de bain, ils étaient eux aussi très excités.
Jul : Tu sais Maxime, j’ai compris que tu te cherchais, c’est normal à ton âge. Tu as seize ans et tu ne sais pas si tu es homo ou hétéro.
Max : Oui, je ne sais pas, mais quand je vous vois comme ça, à poil, vous me faites de l’effet.
Moi : Mais, tu n’as jamais rien eu comme aventure avec un gars ou une fille.
Max : Non, juste une fois une branlette avec un copain, mais chacun sa teub.
Jul : Ah bon.
Julien me regardait et me fit un clin d’œil. Je savais ce qu’il avait derrière la tête. Je me doutais qu’il allait proposer à Maxime de venir toucher un pénis. Je le laissais alors faire.
Jul : Tu veux toucher un pénis ? Si tu veux, tu peux venir près de moi !
Max : Je ne sais pas si j’oserai
Moi : Tu sais Maxime, Julien te le propose, mais si tu préfères, je suis là aussi si tu veux !
Max : OK, j’ai tellement mal tellement je bande. Et puis ce sera une première pour moi ! "
Max avait alors ôté son slip. Il avait un sexe d’environ 14 centimètres, deux belles couilles à peine poilues et un beau duvet roux qui couronnait son service trois pièces ! Nous nous étions assis dans le divan, Maxime entre nous. Nous bandions aussi en pensant à cette séance de branlette qui allait semble-t-il démarrer. Maxime avait d’abord pris mon sexe dans sa main et il commençait un va et vient. Il savait s’y prendre pour un gars qui n’avait jamais eu que sa queue entre les mains. Julien nous regardait et puis il prit l’autre main de Maxime et la posa sur son sexe dressé. Maxime avait alors un pénis dans chaque main. Voyant qu’il s’occupait de nous et que lui restait la queue dressée sans que personne ne s’en occupe, j’avais pris ce sexe qui ne demandait qu’une chose, c'est-à-dire qu’on s’occupe de lui. Je masturbais notre Maxime qui n’attendait que ça visiblement. Parfois je laissais la place à Julien pour qu’il puisse lui aussi donner du plaisir à Maxime. Il savait s’y prendre le cochon. De notre côté nous nous occupions bien de lui. Maxime commençait à râler de bonheur. Puis c’est au moment où Maxime éjaculait que Lucas et Mathieu entraient dans la pièce. Cela ne changeait rien, Maxime était aux anges. Nous avions fini par éjaculer sous les caresses de Maxime dans les trente secondes qui suivaient.
Luc : « Alors là mes salauds. Vous faites ça à trois !
Moi : Tu sais Lucas, ça s’est fait comme ça.
Max : Écoute Lucas, je ne sais pas si j’aime les garçons ou pas, mais je peux te dire que j’avais envie de savoir ce que c’est que de se branler mutuellement et puis je peux te dire que je préfère avoir une autre main que la mienne pour me donner du plaisir.
Luc : Tu sais mon frérot, je ne te fais aucun reproche. Mathieu et moi nous nous sommes aussi branlés ensemble sous la douche. Puis si c’est toi qui voulait connaître ce genre de chose, et bien je te dis que tu as eu parfaitement raison.
Del : Eh bien les gars, on ne s’embête pas dans cet appartement !
Sté : Oh là, oui je vois que ça a été le feu d’artifice.
Effectivement nous avions du sperme sur nos ventres. Lucas était venu près de son frère Maxime et lui avait donné bisous sur le front, en disant :
Luc : Si tu savais comme je suis content pour toi. C’est à toi de savoir si tu préfères les garçons ou les filles.
Max : Tu sais Lucas, j’avais peur de t’en parler. Je me suis confié à Phil ce matin et il est au courant de tout me concernant. Mes doutes et sous-entendu mes désirs !
Luc : Je m’en doutais Max, et puis je sais que Phil est super comme copain de classe, je dirai même plus, comme ami.
Max : Puis tu sais Lucas, tu es homo et tu aimes Mathieu, alors je te dis que je suis content pour toi, ça ne change rien pour moi que tu sois homo.
Luc : Merci Max, merci de ta franchise. Tu sais pour moi c’est la même chose, que tu sois hétéro ou homo, je t’aime mon p’tit frère.
Moi : Après ces belles paroles, si nous allions nous rafraîchir les gars. Hop à la salle de bain. »
Une fois la douche terminée, nous nous étions rhabillés. Nos trois amis portaient une partie de nos vêtements en prêt. C’était même assez cocasse. Nous avions ensuite manger un bout en regardant la télévision. A l’issue du film de l’après-midi, nous avions remarqué qu’il pleuvait encore, mais nettement moins fort qu’en début d’après-midi.
Une fois au lit j’avais dit à Julien :
Moi : "Que penses-tu des parents de Lucas ?
Jul : Écoute, ils sont sympas, mais je ne sais pas s’ils sont homophobes ou pas. Dans le doute, il faut s’abstenir de toute démonstration devant eux !
Moi : Je pense que tu as raison. Ils sont très sympas, le père offre à boire et il a payé les entrées du spectacle de ce soir. Pour le reste je me méfie. Et que penses-tu de Maxime ?
Jul : Honnêtement je ne sais pas. Il était plus détendu ce soir, mais je n’ai aucune idée s’il est homophobe ou pas. Lucas dit que Maxime ne dirait rien, mais j’attends de voir.
Moi : Je penses que tu as raison. Lucas semble dire que Maxime sait ne rien dire et qu’il sait garder un secret. Comme toi, je ne sais pas me prononcer. Il faut qu’on fasse aussi attention devant Maxime.
Jul : Un gars que j’apprécie, c’est Mathieu, il est discret et il sait se tenir. Il a fallu du temps ce midi avant qu’ils n’osent s’embrasser nos deux compères !
Moi : Oui, tu penses bien que Mathieu voulait être certain de ne pas avoir à faire à des homophobes. Il a vite compris d’ailleurs. Je crois que Lucas aime Mathieu et que c’est réciproque. Je trouve qu’ils vont bien ensemble.
Jul : Oui, ils sont chou tous les deux. »
Je m’étais alors approché de mon amour, de mon Juju.
Je lui avais fait quelques bisous sur les lèvres puis sur le cou pour ensuite m’attarder au niveau de ses tétons. Julien lui de son côté n’était pas resté en rade, il avait entamé des caresses au niveau de ma chevelure et il s’attardait au niveau de mes épaules et de mon cou. Je m’étais enhardi et j’avais poursuivi la descente de son corps pour arriver au niveau de son nombril. Je pouvais déjà sentir que le sexe de mon amoureux avait déjà pris du volume. Je poursuivais mes caresses buccales pour enfin atteindre l’objet de mes convoitises, soit la hampe dressée de mon Julien d’amour. Son gland sécrétait déjà du précum. J’avais alors léchouillé son gland avec ma langue. Julien laissait déjà échapper des râles de plaisir contenus. J’avais alors accentué mes caresses buccales et j’avais englouti dans ma bouche son sexe dressé. Ma langue parcourait donc cette hampe gorgée de sang. Julien gémissait de plus belle. Puis je sentais que mon amour allait arriver assez vite au point de non-retour. J’avais alors adouci cette belle fellation. Mais mouvements se faisaient plus lascifs. Je continuais à pomper mon Juju, je sentais qu’il appréciait le traitement que je lui imposais. Puis j’avais ensuite poursuivi par une masturbation de son dard dressé jusqu’à ce qu’il éjacule sur son ventre.
Une fois couché à ses côtés, Julien m’avait fait rouler sur lui. Il avait entrepris une masturbation de mon appendice pénien avec ses mains et sa bouche. La langue remontait ainsi mon sexe bandé pour léchouiller le gland et le frein. Ses doigts allaient le long de ma protubérance avec douceur et application. Je lâchais des râles de bonheur, des râles de plaisir. Julien me faisait monter en puissance, il me procurait de sublimes sensations. Je sentais que ma sève allait bientôt monter, c’était après dix minutes de ce délicieux traitement. Voyant que j’arrivais à l’extase, mon amour de Juju m’avait laissé jouir sur son torse et sur son menton. J’avais laissé échapper six jets de sperme sur mon amant. Puis sans vergogne Julien avait pris de ma semence sur son index pour le porter à sa bouche et ainsi gouter à mon élixir d’amour.
Nous nous étions ensuite embrassés avec tendresse. J’aimais cette façon qu’avait Julien de me faire sentir qu’il m’aimait. Moi aussi j’étais follement amoureux de mon Julien. Nous nous entendions très bien tous les deux.
Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre pour une nuit réparatrice. Nous allions encore pouvoir connaitre une nouvelle journée à la mer, ensemble avec nos sœurs et nos deux amis. Puis il y aurait Maxime, dont nous ignorions presque tout. Pour ma part je sentais que le frère de Lucas ne serait peut-être pas un obstacle lors de cette journée. Il est vrai que nous souhaitions tous pouvoir être en couple et savourer le plus possible le fait d’être ensemble, à deux pour se câliner.
Au matin nous étions allés prendre une bonne douche avant d’aller prendre notre petit-déjeuner en tenue d’Adam. Les filles elles aussi étaient nues. C’était devenu une habitude entre nous de nous balader à poil dans la maison ou dans l’appartement. Ce n’est qu’une fois sur le point de sortir que nous nous étions habillés. Nous avions rendez-vous avec les trois autres au pied de l’horloge de la digue de mer vers dix heures.
Nous avions pris nos vélos et c’est avec une petite appréhension que nous avions rejoints les trois garçons. Maxime était heureux de pouvoir faire quelque chose avec nous. Nous avions décidé de faire un tour à vélo à l’intérieur des terres car le vent était un peu fort sur la digue de mer.
Nous allions souvent deux par deux et c’est Maxime qui lui allait de groupe en groupe. Puis j’avais remarqué qu’il venait souvent à nos côtés, à Julien et moi. Il appréciait semble-t-il notre compagnie. Nous nous étions arrêtés un moment près du moulin à vent. Maxime me posait quelques questions du genre :
Max : « Dis Phil, cela ne fait pas longtemps que tu es ami avec mon frère, pourtant vous êtes dans la même classe.
Moi : Tu sais Max, ce n’est pas évident d’être ami avec tous les élèves de la classe. Il faut dire que nous n’avons jamais fait plus connaissance que ça.
Max : Et ton ami Julien, tu le connais depuis longtemps ?
Moi : Je connais Julien depuis l’été dernier, c’est grâce à ma sœur et sa sœur que nous avons fait connaissance.
Max : Vous avez l’air de bien vous entendre.
Moi : Oui, mais que veux-tu dire par là !
Max : Tu sais, Phil, ne sois pas fâché, mais je crois que c’est plus que de l’amitié. Ce que je veux dire c’est que c’est comme mon frère et Mathieu !
Moi, un peu rouge : Oui, mais bon, je ne… tu veux dire que tu crois que nous sommes, enfin…ensemble !
Max : Oui Phil, vous êtes amoureux, ça se voit !
J’étais éberlué par les propos de Maxime. Julien qui parlait avec les filles et les deux garçons n’avait rien entendu. Il vit pourtant que j’étais embarrassé. J’étais rouge comme une pivoine. Maxime avait tout deviné. Je ne savais plus que dire.
Moi : Bon, tu sais Maxime, ce n’est pas facile. Enfin tu vois, comment dire, je suis, enfin tu sais, j’aime les garçons !
Max : Je m’en doutais !
Moi : Et toi Maxime, tu aimes les filles ou les garçons ?
Max : Je ne sais pas, je suis mal dans ma peau car je n’en sais rien. Je suis attiré par les deux et de plus je suis toujours puceau. Je veux dire puceau pour les deux !
Moi : Ah, mais tu as encore le temps de savoir ce que tu es, ce que tu aimes. Tu ne dois pas aller trop vite.
Julien s’était approché de nous et il avait plus ou moins compris à la suite de ma dernière phrase prononcée à l’égard de Maxime. C’est Julien qui prenait alors le relais :
Jul : Dis Maxime, je crois savoir ce que vous vous êtes dit. J’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons ensemble Phil et moi !
Max : Mais non Julien, je trouve même ça très bien. C’est un peu comme si je pouvais voir ce que cela donnerait dans quelques mois pour mon frère et son ami Mathieu.
Jul : Et bien ça alors, je suis étonné de ce que tu dis. Si j’ai bien compris tu ne sais pas où tu en es.
Max : Oui, c’est bien ça.
Moi : Ton frère sait quoi pour tes doutes !
Max : Non, je n’ose pas lui en parler.
Moi : Tu veux qu’on lui dise !
Max : Non, pas maintenant Phil, je veux encore attendre !
Moi : C’est comme tu veux. Tu sais que je serai toujours là pour toi s’il le faut !
Max : Merci Phil.
Jul : Et tu pourras aussi compter sur moi Maxime !»
Max : Merci à toi aussi. »
Nous reprenions nos vélos afin de poursuivre notre balade. Nous allions au grès de notre humeur dans différents quartiers bâtis de belles villas. Il faisait assez bon, le vent n’était pas trop fort. Nous venions de passer près du golf miniature et nous entendions le paon faire son cri. Nous nous étions arrêtés pour pouvoir l’admirer. Puis d’un coup il s’était mis à faire la roue et tournait sur lui-même. Il nous faisait sa danse nuptiale !
Nous avions poursuivi la balade pour aller manger un bout. Nous avions décidé d’aller manger un paquet de frites avec une viande à la friterie se situant le long de la route Royale. Nous avions pris une grande table, nous étions quand même sept. Le repas s’était déroulé à la bonne franquette. Nous étions tous ravis d’être ensemble à partager un simple repas.
Une fois le repas de midi avalé, nous avions poursuivi notre randonnée jusqu’à Furnes. Nous voulions aller voir les maisons typiques flamandes ! Nous étions tous emballés de faire cette visite de Furnes.
Vers seize heures nous avions remarqué que le temps changeait. Il était temps de revenir. Nous avions repris le chemin de Koksijde. Un peu avant d’arrivé à la route Royale, la pluie s’était mise à tomber. A peine le temps de traverser cette route que la pluie avait redoublé d’intensité. Nous n’étions plus qu’à un petit kilomètre de l’appartement, mais complètement trempés ! Nous nous étions dépêchés pour arriver le plus vite possible. Lucas savait que notre appartement était beaucoup plus proche que celui loué par ses parents, les autres s’en doutaient eux aussi.
Une fois arrivé, nous étions montés à l’étage de notre logement. Nous étions tous dégoulinant ! Une fois rentré, j’avais dit qu’il valait mieux se changer pour ne pas attraper la crève. Les filles étaient allées dans leur chambre. Nous les garçons nous avions commencé à nous déshabiller. Nous étions en slip. Puis regardant Julien, nous nous sommes mis nus. J’avais alors dit :
Moi : « Bon les gars, on ne va se faire de politesses, allez tous à poil et ceux qui veulent prendre une douche, je vous apporte des draps de bain et de quoi vous rhabiller. Ça te va Julien, nous avons de quoi leur prêter des fringues.
Jul : Pour moi pas de problème.
Luc : OK, c’est bon. Je crois que je vais aller prendre une douche. Tu viens avec moi Mathieu ?
Mat : Oui, c’est OK pour moi aussi.
Lucas et Mathieu s’étaient eux aussi mis à poil et ils s’étaient rendus à la salle de bain. Maxime était là, toujours vêtu de son slip. Je lui avais demandé :
Moi : Il te faut quelque chose Maxime ?
Max : Heu, non, ça va.
Moi : C’est comme tu veux.
Je voyais qu’une bosse s’était formée sur le devant du slip de Maxime. Il commençait à bander. J’avais laissé Maxime dans le salon pendant que je cherchais des affaires de rechange pour Lucas et Mathieu. J’avais alors apporté deux draps de bain à la salle de bain. La porte n’était pas complètement fermée et en entrant j’avais vu que les deux lascars se masturbaient mutuellement. J’ai fait « oups ». J’avais laissé nos deux compères à leurs petites affaires. J’étais alors revenu près de Julien et de Maxime.
Maxime ne pouvait plus cacher son état, il bandait fortement. Je m’étais alors adressé à Maxime :
Moi : Dis Maxime, c’est moi ou Julien, ou même nous deux qui te font tant d’effet ?
Max : Heu…
Moi : Ne t’inquiète pas si tu savais ce que j’ai vu dans la salle de bain, ils étaient eux aussi très excités.
Jul : Tu sais Maxime, j’ai compris que tu te cherchais, c’est normal à ton âge. Tu as seize ans et tu ne sais pas si tu es homo ou hétéro.
Max : Oui, je ne sais pas, mais quand je vous vois comme ça, à poil, vous me faites de l’effet.
Moi : Mais, tu n’as jamais rien eu comme aventure avec un gars ou une fille.
Max : Non, juste une fois une branlette avec un copain, mais chacun sa teub.
Jul : Ah bon.
Julien me regardait et me fit un clin d’œil. Je savais ce qu’il avait derrière la tête. Je me doutais qu’il allait proposer à Maxime de venir toucher un pénis. Je le laissais alors faire.
Jul : Tu veux toucher un pénis ? Si tu veux, tu peux venir près de moi !
Max : Je ne sais pas si j’oserai
Moi : Tu sais Maxime, Julien te le propose, mais si tu préfères, je suis là aussi si tu veux !
Max : OK, j’ai tellement mal tellement je bande. Et puis ce sera une première pour moi ! "
Max avait alors ôté son slip. Il avait un sexe d’environ 14 centimètres, deux belles couilles à peine poilues et un beau duvet roux qui couronnait son service trois pièces ! Nous nous étions assis dans le divan, Maxime entre nous. Nous bandions aussi en pensant à cette séance de branlette qui allait semble-t-il démarrer. Maxime avait d’abord pris mon sexe dans sa main et il commençait un va et vient. Il savait s’y prendre pour un gars qui n’avait jamais eu que sa queue entre les mains. Julien nous regardait et puis il prit l’autre main de Maxime et la posa sur son sexe dressé. Maxime avait alors un pénis dans chaque main. Voyant qu’il s’occupait de nous et que lui restait la queue dressée sans que personne ne s’en occupe, j’avais pris ce sexe qui ne demandait qu’une chose, c'est-à-dire qu’on s’occupe de lui. Je masturbais notre Maxime qui n’attendait que ça visiblement. Parfois je laissais la place à Julien pour qu’il puisse lui aussi donner du plaisir à Maxime. Il savait s’y prendre le cochon. De notre côté nous nous occupions bien de lui. Maxime commençait à râler de bonheur. Puis c’est au moment où Maxime éjaculait que Lucas et Mathieu entraient dans la pièce. Cela ne changeait rien, Maxime était aux anges. Nous avions fini par éjaculer sous les caresses de Maxime dans les trente secondes qui suivaient.
Luc : « Alors là mes salauds. Vous faites ça à trois !
Moi : Tu sais Lucas, ça s’est fait comme ça.
Max : Écoute Lucas, je ne sais pas si j’aime les garçons ou pas, mais je peux te dire que j’avais envie de savoir ce que c’est que de se branler mutuellement et puis je peux te dire que je préfère avoir une autre main que la mienne pour me donner du plaisir.
Luc : Tu sais mon frérot, je ne te fais aucun reproche. Mathieu et moi nous nous sommes aussi branlés ensemble sous la douche. Puis si c’est toi qui voulait connaître ce genre de chose, et bien je te dis que tu as eu parfaitement raison.
Del : Eh bien les gars, on ne s’embête pas dans cet appartement !
Sté : Oh là, oui je vois que ça a été le feu d’artifice.
Effectivement nous avions du sperme sur nos ventres. Lucas était venu près de son frère Maxime et lui avait donné bisous sur le front, en disant :
Luc : Si tu savais comme je suis content pour toi. C’est à toi de savoir si tu préfères les garçons ou les filles.
Max : Tu sais Lucas, j’avais peur de t’en parler. Je me suis confié à Phil ce matin et il est au courant de tout me concernant. Mes doutes et sous-entendu mes désirs !
Luc : Je m’en doutais Max, et puis je sais que Phil est super comme copain de classe, je dirai même plus, comme ami.
Max : Puis tu sais Lucas, tu es homo et tu aimes Mathieu, alors je te dis que je suis content pour toi, ça ne change rien pour moi que tu sois homo.
Luc : Merci Max, merci de ta franchise. Tu sais pour moi c’est la même chose, que tu sois hétéro ou homo, je t’aime mon p’tit frère.
Moi : Après ces belles paroles, si nous allions nous rafraîchir les gars. Hop à la salle de bain. »
Une fois la douche terminée, nous nous étions rhabillés. Nos trois amis portaient une partie de nos vêtements en prêt. C’était même assez cocasse. Nous avions ensuite manger un bout en regardant la télévision. A l’issue du film de l’après-midi, nous avions remarqué qu’il pleuvait encore, mais nettement moins fort qu’en début d’après-midi.