(19-09-2020, 03:33 PM)emmanolife link a écrit :En fait, ça donne aux frangines un petit côté extraterrestre, je ne sais pas si je vais m'habituer. Pour Koen, on avait compris, mais si tous les personnages sont pareils, cela devient une autre paire de manche.
L'hymen, ce n'est pas une grosse affaire (sauf chez les arabes). Chez certaines femmes, ça peut être douloureux de le perdre, chez d'autre c'est parfaitement indolore, d'après ce que j'ai compris. Mais cela fait partie des sujets dont on ne parle pas trop : à vrai dire, je n'en ai jamais discuté avec aucune femme... Je me demande ce que donnerait la conversation si je demandais à une amie : au fait, c'était comment quand tu as perdu ton hymen ? Je pense qu'elle répondraient plutôt sur leur premier mec (comment elles ont perdu leur virginité) ou alors elles ne répondraient pas du tout.
Merci L'Ange.
J’ai continué à réfléchir au sujet de ton avant-dernier commentaire, tu vois que ce n’était pas inutile que tu le fasses.
Ce manque de sentiment pourrait provenir du fait que je pense trop à l’humour en écrivant et essaie toujours de faire sourire mes lecteurs. L’humour peut aussi tomber à plat et ne faire rire que son auteur. Comme la littérature, ce n’est pas une science exacte.
J’ai relu les répliques de Marie, la plupart sont sarcastiques ou ironiques et c’est peut-être exagéré. Si son ami est sur la même longueur d’onde et comprend, cela peut passer, ou ce pourrait même un jeu entre eux. Par contre cela peut déranger un observateur externe.
Je vais essayer de me modérer, mais je ne vous garantis pas que j’y arriverais. J’ai déjà souvent pris des bonnes résolutions au sujet de ma façon d’écrire et je ne les ai pas tenues. Je ne parlerai des soeurs que de manière sporadique, on se retrouvera bientôt entre hommes.
Je crois que l’éducation sexuelle a été introduite au début des années 1970 dans le canton de Vaud où se déroule ce récit. En 1964, la plupart des jeunes hommes ne devaient même pas savoir ce qu’était un hymen et ils n’auraient pas remarqué son absence. Par contre, je pense que pour les jeunes filles c’était un acte assez fort de le perdre volontairement entre elles et c’est pour cela qu’elles en parlent. Ou c’était un conseil de leur mère pour que leur « première fois » soit moins douloureuse. L'homme n'a rien de comparable à l'hymen, est-ce pour cela que l'on fait des circoncisions rituelles à la place ?
L’éducation sexuelle pouvait être lacunaire. Je me rappelle avoir emprunté un livre dans une bibliothèque, on n’y parlait pas de masturbation et encore moins d’homosexualité. L’acte sexuel c’était quand un homme et une femme s’aiment très fort et qu’ils veulent faire un enfant. J’avais même pensé qu’on ne faisait l’amour que pour faire un enfant, donc pas très souvent…
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