19-09-2020, 09:40 AM
(Modification du message : 19-09-2020, 10:23 AM par laurentdu51100.)
CHAPITRE 184 (397) (Paris) (Samedi matin) (Chez les Novack) (Le petit frère chéri)
C’est le soleil entrant par la fenêtre de la chambre qui réveille les triplées, celles-ci ouvrant les yeux avec un ensemble parfait qui tenterait à démontrer que leurs horloges internes sont parfaitement accordées à l’image de leur physique gémellaire.
D’aucun dirait en les voyant que ce sont des filles magnifiques, d’une beauté rare avec leurs cheveux roux en crêtes de coq surplombants un visage rond tout en finesse et un corps de rêve pour la gent masculine qui reste souvent en pâmoison devant le spectacle dès qu’elles apparaissent en public.
Autant Josiane et sa sœur Joëlle en rajoutent surtout quand le ou les garçons leur plaisent, autant cela énerve Joanne qui n’a pas envers le sexe masculin le même engouement que ses sœurs et à part pour un seul d’entre eux, cultive même une indifférence certaine pour eux.
Joanne ne regardant pour sa part que les beautés de son propre sexe, qui lui amènent souvent des bouffées de chaleur rien qu’à la vue d’une belle poitrine ou d’un joli minois.
Les triplées toujours aussi raccords, se lèvent d’un commun accord pour le seul plaisir qui depuis maintenant de longues années leur donnent l’envie de se lever le matin et qui fait de cette journée comme de toutes les précédentes avant celle-ci, la plus radieuse qui soit.
Les filles en effet n’ont qu’une seule et unique chose dans la vie qui compte plus encore que ce qu’elles ressentent pour leur trio gémellaire, cette chose qui va vers ses dix-huit ans s’appelle ....Jonas.
D’un an et demi plus jeune que ses trois sœurs, mais d’une ressemblance si frappante qu’on aurait pu croire à des quadruplés s’il n’y avait eu cet écart d’âge quand même visible entre eux.
Le seul garçon trouvant grâce auprès de Joanne qui éprouve envers lui comme d’ailleurs ses deux autres sœurs à n’en point douter, un amour fraternel si fort que parfois il en devient étouffant pour Jonas qui ce matin-là encore les entend arriver pour venir le cueillir au lit comme chaque matin depuis qu’il en a le souvenir mais surtout depuis quelques années avec une particularité encore plus intéressante pour le jeune ado qu’il est encore.
Il s’allonge alors sur le dos les jambes écartées en fermant les yeux, sachant que c’est au tour de Joëlle d’officier ce matin sur sa bandaison alors que Josiane lui dévorera avec gourmandise son petit trou et que Joanne s’occupera de ses lèvres et de ses tétons à grands coups de langues et de bisous qui le mettra en érections pour le faire geindre comme un animal au bord de l’extase et ce jusqu’à ce que son jus parte en longues fusées napper la gorge gourmande qui le reçoit.
Chacune son tour comme chaque matin depuis que ses sœurs l’ont surpris à l’âge où les garçons commencent à découvrir leur corps et que tenant entre deux doigts son sexe tout raide, elles l’ont vu émerveillées se raidir de tout son corps dans un gémissement d’orgasme et ont décidé que ce serait désormais à elles d’amener Jonas à l’extase suprême, chose qui maintenant est réglé comme un métronome chaque matin de cette façon toujours la même qui est celle qui plait le plus au jeune garçon et chaque soir avant de s’endormir où c’est lui qui vient dans leur chambre pour cette fois participer à leurs plaisirs mutuels.
Ce matin-là donc ne dérogeant pas des autres, Jonas ferme les yeux avec un soupir de satisfaction en n’attendant plus que son corps soit l’objet de toutes les intentions bienveillantes de ses sœurs.
La porte qui s’ouvre doucement et se referme tout aussi discrètement, des pas légers qui s’avancent vers lui en le raidissant encore plus qu’il ne l’est déjà et la couette qui doucement glisse au pied du lit, le laissant nu au regard de convoitise qu’il imagine bien.
Les lèvres douces qui se posent sur son gland pour recueillir le pré-cum qui déjà suinte abondamment et dévoile par la même qu’il n’est plus aussi endormi qu’il n’y paraît.
Une seconde bouche qui a son tour vient prendre ses lèvres dans un doux baiser, alors que le troisième, délice suprême pour Jonas, glisse sa langue humide vers sa corolle palpitante d’envie.
Toutes ces attentions font vite grimper le jeune rouquin dans un plaisir des chairs fulgurant, l’orgasme le clouant une fois de plus tel un tsunami en le faisant déverser sa gourme en longs jets qui viennent tapisser la gorge accueillante qui n’en laisse pas perdre une goutte.
- Ahhrrr !!!
Jonas ouvre enfin les yeux pour capter ceux émerveillés de ses sœurs posés sur lui, l’adoration qu’il peut y lire lui amène un sourire radieux qui les récompense plus que n’importe quelle parole qu’il aurait pu prononcer.
Bien sûr ce qu’il vit depuis quelques années lui a donné une précocité sur les mystères du sexe que ses copains lui envieraient si seulement ils savaient, déjà que certains d’entre eux aimeraient bien qu’il fasse l’entremetteur pour qu’il leur présente ses frangines.
Seulement Jonas a dans son cœur un secret qui le travaille de plus en plus souvent, ses expériences féminines restant néanmoins plutôt soft puisqu’il ne s’agit que de masturbation et que bien sûr il ne lui viendrait jamais à l’idée d’aller plus loin avec ses sœurs que ses doigts et sa bouche pour leur retourner le plaisir qu’il reçoit d’elles.
Pour revenir au secret qui le tenaille, il faut savoir que Jonas a été amoureux et que son cœur s’est retrouvé brisé quand le garçon parce que c’est bien d’un garçon qu’il s’agit, ne s’intéressant pas à lui ne pensait qu’à un autre de ses camarades qui ne semblait d’ailleurs pas comprendre ce qu’il lui voulait.
C’est sûr que « JB » était alors plus mature et certainement plus intéressant à regarder que lui qui faisait encore enfant à cette époque, sa puberté s’étant déclenché bien plus tard que beaucoup de ses camarades.
Un an et demi s’était passé depuis qui l’ont métamorphosé en un jeune homme à croquer au dire de ses sœurs et qui d’ailleurs ne s’en privent pas depuis lors, ces dix-huit mois lui avaient fait oublier quelque peu son intérêt premier pour les garçons.
C’était du moins vrai jusqu’à cette publicité où il a retrouvé non pas Damien son amour secret, mais le fameux « JB » accompagné de garçons tous aussi magnifiques les uns que les autres et qui lui a remis depuis l’image de son « Dami » en tête.
CHAPITRE 185 (398) (Paris) (Samedi soir) (Chez les Novack) (L’aveu)
C’est son père qui sans le savoir mit le feu aux poudres ce soir-là, une exclamation de sa part marquée autant de surprise que de colère fit que toute la famille vint vers lui pour comprendre ce qu’il se passe et c’est en voyant les dernières images de la fameuse publicité, que Jonas comprit que son père avait un lien avec ce groupe de garçons dont « JB » fait partie.
- (Jonas) Pourquoi tu t’énerves comme ça papa ?
- C’est cette pub qui m’a mis les nerfs !!
Jonas vient s’asseoir près de son père sur le canapé en posant avec douceur sa tête sur son épaule, geste qui bien sûr a le don de ramollir Victor au point qu’il en fait sourire le reste de la famille qui connaissent très bien l’amour immense du père envers son fils et réciproquement.
Amour encore plus fort s’il ne pouvait qu’avec le reste de la famille et qui quand le jeune garçon comme en ce moment précis est en plein câlin, le met dans une béatitude qui donne à son visage une douceur d’expression rêveuse bien loin de son apparence virile habituelle
Jonas ronronne quelques secondes quand la grosse main de Victor lui caresse sa chevelure dressée à l’iroquoise identique à celle de ses sœurs, puis revient sur la réponse de son père qui lui amène la curiosité de savoir ce qui a bien pu dans cette pub pourtant super cool amené ce genre de réflexion à son paternel
- Tu sais que je connais un des garçons de cette pub p’pa ?
- Tiens donc ?? Un copain à toi ??
- Pas vraiment, non !! Disons plutôt que c’était le copain d’un gars que je voulais avoir comme ….ami !!
Victor a bien perçu l’instant d’hésitation qu’a eu son fils en terminant sa phrase, connaissant l’histoire de Florian et surtout le lien qu’elle a avec sa famille, il commence à se poser des questions sur le fait qu’il n’a peut-être pas assez pris toute l’histoire au sérieux du fait que Maurice n’a fait allusion qu’aux triplées.
Ce qui bien sûr a eu de quoi sur le coup rassurer Victor, connaissant les appétences de Florian uniquement dirigées vers la gent masculine.
Il avait juste oublié Jonas dans l’affaire et que celui-ci justement connaisse un des garçons de la bande, pique autant sa curiosité sur la sexualité véritable de son fils que de connaître de quel garçon il s’agit.
- De quel garçon parles-tu ??
- Celui de la pub ou l’autre ?
- Commence par celui de la pub, dis-moi où tu l’as connu ??
- « JB » était dans le même lycée que moi depuis la première où il est arrivé en milieu de cycle, jusqu'en terminale.
- Et l’autre garçon, celui avec qui tu voulais être ….ami ??
- Qui ça ?? Damien ?? Bah !! Il ne m’a jamais percuté de toute façon, je n’étais visiblement pas son style à cette époque-là et puis ça fait un an qu’il n’est plus là alors c’est un peu de l’histoire ancienne tu sais ?
- Tu n’aurais pas quelque chose sur le cœur mon grand ? À la façon dont tu en parles de ce Damien, on aurait juré que tu tenais vraiment à être son…. Ami !!
Jonas se pelotonne dans les bras de son père comme un jeune chat en manque de caresse, celui-ci sourit encore plus attendri par cette marque de tendresse et de sa main libre fait signe au reste de la famille de les laisser seuls.
Une fois chose faite, son regard se reporte dans celui de son fiston qui semble attendre de lui la question qui enfin le libérera de ce secret qui lui hante le cœur.
- Tu aimais ce garçon plus qu’un ami n’est-ce pas ?
Victor ressent alors l’énorme soulagement venant de son fils que ce soit lui qui pose la question, les yeux de Jonas toujours fixés dans les siens commencent à libérer les larmes qu’il retenait depuis bien trop longtemps.
C’est d’une voix presque imperceptible qu’il répond.
- Tu ne m’en veux pas d’être comme ça ?
Victor serre son fils très fort contre sa poitrine, ses yeux brillants d’humidité.
- Comment en vouloir au soleil de briller !! Comment en vouloir au ciel d’être bleu au printemps !! Comment en vouloir à la personne qu’on aime le plus au monde d’être ce qu’elle est !! Bien sûr que je ne t’en veux pas !! Tu es mon soleil !! Mon ciel bleu !! Le fils que j’aime le plus au monde !!
- (Jonas sourit) Faut dire aussi que je suis un peu le seul Hi ! Hi !
Victor l’embrasse sur le front en reniflant d’émotion.
- Tu m’as très bien compris, nigaud !!
Un silence se fait entre le père et le fils qui profitent l’un comme l’autre de ces minutes précieuses de tendresse, en sachant très bien que les occasions se feront tout naturellement de plus en plus rares et que chacun les gardera précieusement dans son cœur pour le reste de son existence.
C’est Victor qui reprend la parole.
- Tu penses toujours à ce Damien ??
- Je croyais l’avoir oublié tu sais !! Mais cette pub m’a tout remis en mémoire, tu aurais connu « Dami » !! Je… Je…. Enfin !! De toute façon je n’ai jamais pu lui adresser la parole et je ne sais même pas ce qu’il devient depuis le temps, alors….
- Je connais très bien ses parents !!
Jonas en a les yeux qui s’élargissent en soucoupes de surprise quand il entend les paroles de son père.
- De quoi !!!!!
CHAPITRE 186 (399) (Paris) (Samedi soir) (Chez les Novack) (La promesse)
Victor sourit, content de l’effet qu’a eu son annonce et il s’installe confortablement en serrant toujours son fiston contre lui afin de poursuivre la discussion.
- Tu m’as très bien entendu, je connais la famille Viala et j’ai entendu parler de leurs trois fils, qui sont d’ailleurs impliqués eux aussi dans l’affaire qui m’occupe actuellement.
- Une affaire ? Quelle affaire ?
- Oh !! Rien de bien important, juste que disons…. Ils nous aident à la protection d’un des garçons que tu as vus dans la pub, c’est d’ailleurs ce qui m’a surpris et mis de mauvaise humeur quand je les ai reconnus, cette pub n’aurait jamais dû paraître justement à cause de cette ….protection. Tu comprendras bien que je ne peux t’en dire plus puisque ça concerne mon travail, juste te préciser pour te rassurer qu’ils n’ont tous autant qu’ils sont rien à se reprocher.
Un silence suit ses paroles, Victor voit bien l’ombre de tristesse figer un instant le visage de Jonas.
- Je dois rendre visite aux Viala, peut-être voudras-tu m’accompagner ??
Victor n’a pas fini sa phrase que déjà son fils le couvre de bisous, décidément ce soir-là son cœur de père est mis à rude épreuve pense-t-il en souriant.
- Hé !! Fiston !! Du calme !!
- Je t’aime trop papa, tu le sais ça ??
- Figure toi que je m’en doutais un peu Hi ! Hi ! Bien, alors c’est dit !! Lundi nous irons chez les Viala, je vais les prévenir de ma démarche auprès d’eux afin d’être sûr qu’ils pourront me recevoir.
- Tu….Tu…..ne vas pas leur dire ce que je t’ai dit quand même ?
- Bien sûr que non, allons !! Je te donne juste l’occasion de rencontrer leurs enfants, après ça ce n’est plus mon affaire.
- Et pour maman et les filles ??
- Je pense qu’elles aussi apprécieront un câlin Hi ! Hi ! Tu t’inquiètes pour rien tu sais, nous t’aimons tous très fort et je suis certain que tout se passera bien, surtout si tu es honnête avec elles comme tu l’as été avec moi.
- S’te plait p’pa !!
En disant ça, Jonas donne des petits coups de reins nerveux sur le flanc de son père qui en a les yeux qui brillent d’amusement de le voir agir ainsi, comme du temps où il était encore enfant et qu’il voulait obtenir son aide sur quelque chose qu’il n’osait pas demander à sa mère.
- Allons !! Tu n’es plus un gamin quand même ??
- Siii !!! P’pa !! S’te plait !!
Un mouvement qu’il perçoit du coin de l’œil fait sourire Victor.
- Je ne pense pas que mon intervention soit bien nécessaire, n’est-ce pas mesdames les curieuses qui écoutent aux portes ??
La mère et ses filles sortent alors du couloir où elles s’étaient entassées pour écouter la conversation, trop curieuses de savoir ce que Jonas allait répondre à la question de son père juste avant que celui-ci leur demande de les laisser seuls entre hommes.
Il va de soi que l’annonce même si elle a été dite en sous-entendu, les a stupéfiées autant pour la mère que pour les triplées et encore certainement plus pour les trois sœurs depuis qu’elles s’occupent activement de l’éducation de la sexualité de leur cadet.
Jonas quitte alors les bras de son père pour rejoindre le temps d’un bref câlin de quelques secondes ceux de sa mère pour ensuite aller se précipiter sur ses sœurs qui le rassurent en l’emmenant avec elles comme une garde rapprochée dans leur chambre.
- Je ne l’ai pas vu venir celle-là !!
- (Victor) Et moi donc ?? Pourtant j’aurais dû !!
- A cause de cette affaire pour ton travail ?
Victor hésite quelques secondes, soupire un bon coup et fait signe à son épouse de venir le rejoindre sur le canapé.
- Tu devras garder tout ce que je vais te dire pour toi, ça va te paraître incroyable mais sache avant que je commence que tout ce que tu vas entendre est l’exacte vérité.
- Pourquoi veux-tu m’en parler ?
- Parce que ça concerne aussi notre famille, je pensais jusque-là que le fait que les triplées soient des filles nous mettrait en dehors de cette affaire !! C’était en oubliant Jonas, je viens juste d’en prendre conscience !! Alors écoute moi bien, tu me poseras toutes tes questions quand j’en aurai fini et pas avant, c’est bien compris ?
- Je t’écoute !!
Victor reprend alors tout ce qu’il a appris depuis le début, le temps passe sans aucune interruption de la part de sa femme qui l’écoute on s’en doute bien avec les yeux ronds de surprise et ce n’est qu’une fois qu’elle a compris que son mari avait fini, qu’elle lui prend les mains en disant.
-Il faut vraiment que je croie tout ce que tu viens de dire ??
- J’ai eu cette réaction-là moi aussi quand mon patron m’a confié cette mission, je sais que c’est dur à avaler mais je te jure que c’est l’exacte vérité.
- Et tu comptais nous le présenter quand ton petit génie ??
Victor sourit car il sait parfaitement ce qu’il se passera quand Florian entrera pour la première fois chez lui et qu’il le présentera à sa famille.
- Maintenant que tu es au courant, à la première occasion je te le promets !! En attendant tu pourras le voir autant que tu le voudras en regardant cette pub sur les maillots de bains, c’est le jeune rouquin qu’on voit juste à la fin du clip Hi ! Hi !
- Pourquoi ris-tu de la sorte ? Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle !!
- Regarde cette pub et tu comprendras vite Hi ! Hi !
C’est le soleil entrant par la fenêtre de la chambre qui réveille les triplées, celles-ci ouvrant les yeux avec un ensemble parfait qui tenterait à démontrer que leurs horloges internes sont parfaitement accordées à l’image de leur physique gémellaire.
D’aucun dirait en les voyant que ce sont des filles magnifiques, d’une beauté rare avec leurs cheveux roux en crêtes de coq surplombants un visage rond tout en finesse et un corps de rêve pour la gent masculine qui reste souvent en pâmoison devant le spectacle dès qu’elles apparaissent en public.
Autant Josiane et sa sœur Joëlle en rajoutent surtout quand le ou les garçons leur plaisent, autant cela énerve Joanne qui n’a pas envers le sexe masculin le même engouement que ses sœurs et à part pour un seul d’entre eux, cultive même une indifférence certaine pour eux.
Joanne ne regardant pour sa part que les beautés de son propre sexe, qui lui amènent souvent des bouffées de chaleur rien qu’à la vue d’une belle poitrine ou d’un joli minois.
Les triplées toujours aussi raccords, se lèvent d’un commun accord pour le seul plaisir qui depuis maintenant de longues années leur donnent l’envie de se lever le matin et qui fait de cette journée comme de toutes les précédentes avant celle-ci, la plus radieuse qui soit.
Les filles en effet n’ont qu’une seule et unique chose dans la vie qui compte plus encore que ce qu’elles ressentent pour leur trio gémellaire, cette chose qui va vers ses dix-huit ans s’appelle ....Jonas.
D’un an et demi plus jeune que ses trois sœurs, mais d’une ressemblance si frappante qu’on aurait pu croire à des quadruplés s’il n’y avait eu cet écart d’âge quand même visible entre eux.
Le seul garçon trouvant grâce auprès de Joanne qui éprouve envers lui comme d’ailleurs ses deux autres sœurs à n’en point douter, un amour fraternel si fort que parfois il en devient étouffant pour Jonas qui ce matin-là encore les entend arriver pour venir le cueillir au lit comme chaque matin depuis qu’il en a le souvenir mais surtout depuis quelques années avec une particularité encore plus intéressante pour le jeune ado qu’il est encore.
Il s’allonge alors sur le dos les jambes écartées en fermant les yeux, sachant que c’est au tour de Joëlle d’officier ce matin sur sa bandaison alors que Josiane lui dévorera avec gourmandise son petit trou et que Joanne s’occupera de ses lèvres et de ses tétons à grands coups de langues et de bisous qui le mettra en érections pour le faire geindre comme un animal au bord de l’extase et ce jusqu’à ce que son jus parte en longues fusées napper la gorge gourmande qui le reçoit.
Chacune son tour comme chaque matin depuis que ses sœurs l’ont surpris à l’âge où les garçons commencent à découvrir leur corps et que tenant entre deux doigts son sexe tout raide, elles l’ont vu émerveillées se raidir de tout son corps dans un gémissement d’orgasme et ont décidé que ce serait désormais à elles d’amener Jonas à l’extase suprême, chose qui maintenant est réglé comme un métronome chaque matin de cette façon toujours la même qui est celle qui plait le plus au jeune garçon et chaque soir avant de s’endormir où c’est lui qui vient dans leur chambre pour cette fois participer à leurs plaisirs mutuels.
Ce matin-là donc ne dérogeant pas des autres, Jonas ferme les yeux avec un soupir de satisfaction en n’attendant plus que son corps soit l’objet de toutes les intentions bienveillantes de ses sœurs.
La porte qui s’ouvre doucement et se referme tout aussi discrètement, des pas légers qui s’avancent vers lui en le raidissant encore plus qu’il ne l’est déjà et la couette qui doucement glisse au pied du lit, le laissant nu au regard de convoitise qu’il imagine bien.
Les lèvres douces qui se posent sur son gland pour recueillir le pré-cum qui déjà suinte abondamment et dévoile par la même qu’il n’est plus aussi endormi qu’il n’y paraît.
Une seconde bouche qui a son tour vient prendre ses lèvres dans un doux baiser, alors que le troisième, délice suprême pour Jonas, glisse sa langue humide vers sa corolle palpitante d’envie.
Toutes ces attentions font vite grimper le jeune rouquin dans un plaisir des chairs fulgurant, l’orgasme le clouant une fois de plus tel un tsunami en le faisant déverser sa gourme en longs jets qui viennent tapisser la gorge accueillante qui n’en laisse pas perdre une goutte.
- Ahhrrr !!!
Jonas ouvre enfin les yeux pour capter ceux émerveillés de ses sœurs posés sur lui, l’adoration qu’il peut y lire lui amène un sourire radieux qui les récompense plus que n’importe quelle parole qu’il aurait pu prononcer.
Bien sûr ce qu’il vit depuis quelques années lui a donné une précocité sur les mystères du sexe que ses copains lui envieraient si seulement ils savaient, déjà que certains d’entre eux aimeraient bien qu’il fasse l’entremetteur pour qu’il leur présente ses frangines.
Seulement Jonas a dans son cœur un secret qui le travaille de plus en plus souvent, ses expériences féminines restant néanmoins plutôt soft puisqu’il ne s’agit que de masturbation et que bien sûr il ne lui viendrait jamais à l’idée d’aller plus loin avec ses sœurs que ses doigts et sa bouche pour leur retourner le plaisir qu’il reçoit d’elles.
Pour revenir au secret qui le tenaille, il faut savoir que Jonas a été amoureux et que son cœur s’est retrouvé brisé quand le garçon parce que c’est bien d’un garçon qu’il s’agit, ne s’intéressant pas à lui ne pensait qu’à un autre de ses camarades qui ne semblait d’ailleurs pas comprendre ce qu’il lui voulait.
C’est sûr que « JB » était alors plus mature et certainement plus intéressant à regarder que lui qui faisait encore enfant à cette époque, sa puberté s’étant déclenché bien plus tard que beaucoup de ses camarades.
Un an et demi s’était passé depuis qui l’ont métamorphosé en un jeune homme à croquer au dire de ses sœurs et qui d’ailleurs ne s’en privent pas depuis lors, ces dix-huit mois lui avaient fait oublier quelque peu son intérêt premier pour les garçons.
C’était du moins vrai jusqu’à cette publicité où il a retrouvé non pas Damien son amour secret, mais le fameux « JB » accompagné de garçons tous aussi magnifiques les uns que les autres et qui lui a remis depuis l’image de son « Dami » en tête.
CHAPITRE 185 (398) (Paris) (Samedi soir) (Chez les Novack) (L’aveu)
C’est son père qui sans le savoir mit le feu aux poudres ce soir-là, une exclamation de sa part marquée autant de surprise que de colère fit que toute la famille vint vers lui pour comprendre ce qu’il se passe et c’est en voyant les dernières images de la fameuse publicité, que Jonas comprit que son père avait un lien avec ce groupe de garçons dont « JB » fait partie.
- (Jonas) Pourquoi tu t’énerves comme ça papa ?
- C’est cette pub qui m’a mis les nerfs !!
Jonas vient s’asseoir près de son père sur le canapé en posant avec douceur sa tête sur son épaule, geste qui bien sûr a le don de ramollir Victor au point qu’il en fait sourire le reste de la famille qui connaissent très bien l’amour immense du père envers son fils et réciproquement.
Amour encore plus fort s’il ne pouvait qu’avec le reste de la famille et qui quand le jeune garçon comme en ce moment précis est en plein câlin, le met dans une béatitude qui donne à son visage une douceur d’expression rêveuse bien loin de son apparence virile habituelle
Jonas ronronne quelques secondes quand la grosse main de Victor lui caresse sa chevelure dressée à l’iroquoise identique à celle de ses sœurs, puis revient sur la réponse de son père qui lui amène la curiosité de savoir ce qui a bien pu dans cette pub pourtant super cool amené ce genre de réflexion à son paternel
- Tu sais que je connais un des garçons de cette pub p’pa ?
- Tiens donc ?? Un copain à toi ??
- Pas vraiment, non !! Disons plutôt que c’était le copain d’un gars que je voulais avoir comme ….ami !!
Victor a bien perçu l’instant d’hésitation qu’a eu son fils en terminant sa phrase, connaissant l’histoire de Florian et surtout le lien qu’elle a avec sa famille, il commence à se poser des questions sur le fait qu’il n’a peut-être pas assez pris toute l’histoire au sérieux du fait que Maurice n’a fait allusion qu’aux triplées.
Ce qui bien sûr a eu de quoi sur le coup rassurer Victor, connaissant les appétences de Florian uniquement dirigées vers la gent masculine.
Il avait juste oublié Jonas dans l’affaire et que celui-ci justement connaisse un des garçons de la bande, pique autant sa curiosité sur la sexualité véritable de son fils que de connaître de quel garçon il s’agit.
- De quel garçon parles-tu ??
- Celui de la pub ou l’autre ?
- Commence par celui de la pub, dis-moi où tu l’as connu ??
- « JB » était dans le même lycée que moi depuis la première où il est arrivé en milieu de cycle, jusqu'en terminale.
- Et l’autre garçon, celui avec qui tu voulais être ….ami ??
- Qui ça ?? Damien ?? Bah !! Il ne m’a jamais percuté de toute façon, je n’étais visiblement pas son style à cette époque-là et puis ça fait un an qu’il n’est plus là alors c’est un peu de l’histoire ancienne tu sais ?
- Tu n’aurais pas quelque chose sur le cœur mon grand ? À la façon dont tu en parles de ce Damien, on aurait juré que tu tenais vraiment à être son…. Ami !!
Jonas se pelotonne dans les bras de son père comme un jeune chat en manque de caresse, celui-ci sourit encore plus attendri par cette marque de tendresse et de sa main libre fait signe au reste de la famille de les laisser seuls.
Une fois chose faite, son regard se reporte dans celui de son fiston qui semble attendre de lui la question qui enfin le libérera de ce secret qui lui hante le cœur.
- Tu aimais ce garçon plus qu’un ami n’est-ce pas ?
Victor ressent alors l’énorme soulagement venant de son fils que ce soit lui qui pose la question, les yeux de Jonas toujours fixés dans les siens commencent à libérer les larmes qu’il retenait depuis bien trop longtemps.
C’est d’une voix presque imperceptible qu’il répond.
- Tu ne m’en veux pas d’être comme ça ?
Victor serre son fils très fort contre sa poitrine, ses yeux brillants d’humidité.
- Comment en vouloir au soleil de briller !! Comment en vouloir au ciel d’être bleu au printemps !! Comment en vouloir à la personne qu’on aime le plus au monde d’être ce qu’elle est !! Bien sûr que je ne t’en veux pas !! Tu es mon soleil !! Mon ciel bleu !! Le fils que j’aime le plus au monde !!
- (Jonas sourit) Faut dire aussi que je suis un peu le seul Hi ! Hi !
Victor l’embrasse sur le front en reniflant d’émotion.
- Tu m’as très bien compris, nigaud !!
Un silence se fait entre le père et le fils qui profitent l’un comme l’autre de ces minutes précieuses de tendresse, en sachant très bien que les occasions se feront tout naturellement de plus en plus rares et que chacun les gardera précieusement dans son cœur pour le reste de son existence.
C’est Victor qui reprend la parole.
- Tu penses toujours à ce Damien ??
- Je croyais l’avoir oublié tu sais !! Mais cette pub m’a tout remis en mémoire, tu aurais connu « Dami » !! Je… Je…. Enfin !! De toute façon je n’ai jamais pu lui adresser la parole et je ne sais même pas ce qu’il devient depuis le temps, alors….
- Je connais très bien ses parents !!
Jonas en a les yeux qui s’élargissent en soucoupes de surprise quand il entend les paroles de son père.
- De quoi !!!!!
CHAPITRE 186 (399) (Paris) (Samedi soir) (Chez les Novack) (La promesse)
Victor sourit, content de l’effet qu’a eu son annonce et il s’installe confortablement en serrant toujours son fiston contre lui afin de poursuivre la discussion.
- Tu m’as très bien entendu, je connais la famille Viala et j’ai entendu parler de leurs trois fils, qui sont d’ailleurs impliqués eux aussi dans l’affaire qui m’occupe actuellement.
- Une affaire ? Quelle affaire ?
- Oh !! Rien de bien important, juste que disons…. Ils nous aident à la protection d’un des garçons que tu as vus dans la pub, c’est d’ailleurs ce qui m’a surpris et mis de mauvaise humeur quand je les ai reconnus, cette pub n’aurait jamais dû paraître justement à cause de cette ….protection. Tu comprendras bien que je ne peux t’en dire plus puisque ça concerne mon travail, juste te préciser pour te rassurer qu’ils n’ont tous autant qu’ils sont rien à se reprocher.
Un silence suit ses paroles, Victor voit bien l’ombre de tristesse figer un instant le visage de Jonas.
- Je dois rendre visite aux Viala, peut-être voudras-tu m’accompagner ??
Victor n’a pas fini sa phrase que déjà son fils le couvre de bisous, décidément ce soir-là son cœur de père est mis à rude épreuve pense-t-il en souriant.
- Hé !! Fiston !! Du calme !!
- Je t’aime trop papa, tu le sais ça ??
- Figure toi que je m’en doutais un peu Hi ! Hi ! Bien, alors c’est dit !! Lundi nous irons chez les Viala, je vais les prévenir de ma démarche auprès d’eux afin d’être sûr qu’ils pourront me recevoir.
- Tu….Tu…..ne vas pas leur dire ce que je t’ai dit quand même ?
- Bien sûr que non, allons !! Je te donne juste l’occasion de rencontrer leurs enfants, après ça ce n’est plus mon affaire.
- Et pour maman et les filles ??
- Je pense qu’elles aussi apprécieront un câlin Hi ! Hi ! Tu t’inquiètes pour rien tu sais, nous t’aimons tous très fort et je suis certain que tout se passera bien, surtout si tu es honnête avec elles comme tu l’as été avec moi.
- S’te plait p’pa !!
En disant ça, Jonas donne des petits coups de reins nerveux sur le flanc de son père qui en a les yeux qui brillent d’amusement de le voir agir ainsi, comme du temps où il était encore enfant et qu’il voulait obtenir son aide sur quelque chose qu’il n’osait pas demander à sa mère.
- Allons !! Tu n’es plus un gamin quand même ??
- Siii !!! P’pa !! S’te plait !!
Un mouvement qu’il perçoit du coin de l’œil fait sourire Victor.
- Je ne pense pas que mon intervention soit bien nécessaire, n’est-ce pas mesdames les curieuses qui écoutent aux portes ??
La mère et ses filles sortent alors du couloir où elles s’étaient entassées pour écouter la conversation, trop curieuses de savoir ce que Jonas allait répondre à la question de son père juste avant que celui-ci leur demande de les laisser seuls entre hommes.
Il va de soi que l’annonce même si elle a été dite en sous-entendu, les a stupéfiées autant pour la mère que pour les triplées et encore certainement plus pour les trois sœurs depuis qu’elles s’occupent activement de l’éducation de la sexualité de leur cadet.
Jonas quitte alors les bras de son père pour rejoindre le temps d’un bref câlin de quelques secondes ceux de sa mère pour ensuite aller se précipiter sur ses sœurs qui le rassurent en l’emmenant avec elles comme une garde rapprochée dans leur chambre.
- Je ne l’ai pas vu venir celle-là !!
- (Victor) Et moi donc ?? Pourtant j’aurais dû !!
- A cause de cette affaire pour ton travail ?
Victor hésite quelques secondes, soupire un bon coup et fait signe à son épouse de venir le rejoindre sur le canapé.
- Tu devras garder tout ce que je vais te dire pour toi, ça va te paraître incroyable mais sache avant que je commence que tout ce que tu vas entendre est l’exacte vérité.
- Pourquoi veux-tu m’en parler ?
- Parce que ça concerne aussi notre famille, je pensais jusque-là que le fait que les triplées soient des filles nous mettrait en dehors de cette affaire !! C’était en oubliant Jonas, je viens juste d’en prendre conscience !! Alors écoute moi bien, tu me poseras toutes tes questions quand j’en aurai fini et pas avant, c’est bien compris ?
- Je t’écoute !!
Victor reprend alors tout ce qu’il a appris depuis le début, le temps passe sans aucune interruption de la part de sa femme qui l’écoute on s’en doute bien avec les yeux ronds de surprise et ce n’est qu’une fois qu’elle a compris que son mari avait fini, qu’elle lui prend les mains en disant.
-Il faut vraiment que je croie tout ce que tu viens de dire ??
- J’ai eu cette réaction-là moi aussi quand mon patron m’a confié cette mission, je sais que c’est dur à avaler mais je te jure que c’est l’exacte vérité.
- Et tu comptais nous le présenter quand ton petit génie ??
Victor sourit car il sait parfaitement ce qu’il se passera quand Florian entrera pour la première fois chez lui et qu’il le présentera à sa famille.
- Maintenant que tu es au courant, à la première occasion je te le promets !! En attendant tu pourras le voir autant que tu le voudras en regardant cette pub sur les maillots de bains, c’est le jeune rouquin qu’on voit juste à la fin du clip Hi ! Hi !
- Pourquoi ris-tu de la sorte ? Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle !!
- Regarde cette pub et tu comprendras vite Hi ! Hi !
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li