CHAPITRE XIX
Le jour pointe à travers les vasistas de l’écurie. Les chevaux pour majorité se sont levés et attendent impatiemment la poignée de granulés matinale. Je donne une petite tape amicale à « Voie-Lactée ».
- Prends bien soin d’Alice. Aujourd’hui, je voudrais vraiment que vous gagniez toutes les deux. C’est possible pour toi « Voie-Lactée » ?
La jument donne un léger coup de tête que j’interprète comme un acquiescement.
Je rejoins discrètement la chambre ou Alice dort encore. Sans bruit, je la contemple étendue sur le lit, le drap juste posé sur ses fesses. Son visage émerge de ses cheveux châtains. Les yeux clos et apaisés lui donne un air puéril, presque enfantin. Sa respiration est régulière, silencieuse. Ses épaules dénudées sont magnifiques. J’ai envie de les caresser, de les embrasser. Sa colonne vertébrale sépare à merveille ses omoplates légèrement saillantes. Je suis tenté de suivre sous le drap cette ligne magistrale qui mène sans détours à ses fesses que je sais nues, somptueuses et désirables à souhait à travers le tissu.
Dans son méta-sommeil, Alice sourit.
- Je sais que tu es là, chuchote t’elle d’une voix ensommeillée.
- Ça fait un petit moment que je te regarde. Tu es trop mimi ma puce.
- Merci mon cœur. J’ai bien dormi même si quand tu es parti, il y avait comme un grand vide dans le lit.
Je pose mes lèvres sur l’une de ses épaules. La chaleur de son corps m’enivre instantanément. J’ai envie de croquer cette peau si chaude et si fragile mais je n’en ferais rien, conscient qu’Alice doit maintenant concentrer toute son énergie sur sa compétition.
Dans la chambre d’à côté, ça s’agite aussi. J’entends une voix masculine, celle de Richard. Le lit grince, la cadence est régulière.
- C’est Clémence avec Richard ?
- Je crois que oui ma puce.
- Décidément, il faut qu’elle saute sur tout ce qui bouge. Je m’en méfierais comme de la peste.
- C’est le sentiment qu’elle me donne aussi.
- Allez à la douche et au petit déjeuner.
- Je me sens bien, reposée. Je suis contente que tu sois là.
J’occupe la salle de bain le premier. Dans la baignoire transformée en douche pour l’occasion, je me savonne debout.
- Tu peux sortir ? J’ai envie d’aller aux toilettes.
- Heu ! Je suis plein de savon ma puce. C’est pour faire pipi ?
- Oui, dépêche, ça devient pressant.
- Déjà, tu ne feras pas dans ta culotte puisqu’elle a passé la nuit au-dessus de l’armoire.
- Ouste, vite. Je te dis.
- Ben ma puce, tu peux faire pipi. Ce n’est pas un souci.
- je n’aime pas que tu me regardes, ça me gêne.
- Pas de chance. Moi j’ai justement envie de te regarder.
- Non. Tourne-toi s’il te plaît mon chéri.
Devant tant d’insistance, je pivote contre la céramique. J’imagine ma petite chérie chevaucher debout les toilettes et j’entends le jet puissant atterrir au fond de la cuvette. Ça manque de discrétion et probablement que la posture de mon amoureuse n’est pas des plus glorieuses. Quelques feuilles de papier toilette sont arrachées du rouleau pour aller caresser le sexe humide de ma chérie. Toutes ces images virtuelles produisent un effet inattendu, enfin presque inattendu, sur mon sexe qui féru de haute voltige envisage avec un enthousiaste démesuré l’ascension du mont de Vénus. Le bruit de la chasse d’eau me libère et je me retourne fièrement.
- Tu n’es qu’un gros cochon pervers. Ceinture pour toi ce matin. On verra plus tard, si tu es méritant.
- Ma puce, si je t’avais regardée cela aurai été probablement beaucoup moins excitant.
Alice me rejoint dans la baignoire et ce n’est pas pour calmer mes ardeurs. J’en profite pour la savonner, faire passer le jet de la douche à la lisière de sa chevelure dorée lorsqu’elle a la tête renversée en arrière. Elle se laisse caresser par mes mains savonneuses. Elle pivote de temps en temps en un lent mouvement circulaire pour m’offrir toutes les parcelles de son corps. Je ne cherche pas à l’exciter, juste à lui donner du bien-être, un peu comme un massage délicat et sensuel. En revanche pour moi, trop tard, je suis au top de ma forme.
- Je ne vais tout de même pas te laisser dans cet état ?
Alice s’agenouille dans la baignoire. Elle prend mon sexe en bouche en me massant les fesses. Je ferme les yeux pour me laisser envahir par ses lèvres très douces qui avancent et qui reculent lentement puis de plus en plus vite. Sa langue divine vient se mêler à cette danse indécente sans aucune modération. Je n’ai pas envie de résister, juste de me laisser aller et j’ai encore en mémoire la magnifique fellation de la veille. Le plaisir monte. Le point de non-retour est franchi. Je gémis de plaisir. Mon sexe est tendu au maximum. Alice se décale légèrement pour éviter la salve spumescente et me regarde jouir avec ravissement. Elle contemple son œuvre avec malice, me reprend en bouche tout en douceur pour mieux me relâcher, nettement moins hardi.
- Ça devrait aller beaucoup mieux maintenant, mon chéri. Allez, on se dépêche.
A côté, ça gémit, ça crie aussi. L’orgasme est tout proche. On entend Richard essayer de calmer les ardeurs vocales de sa partenaire mais rien n’y fait. A croire qu’elle trouve un malin plaisir à faire résonner sa jouissance dans les couloirs de l'hôtel.
J’enfile rapidement mes vêtements et je sors sur le palier. Je croise Julie.
- Bonjour Pascal. Ne me dis pas que vous avez encore remis le couvert ce matin ?
- Euh non, ce n’est pas nous. On est plus discret. Je crois que ça vient plutôt de la chambre d’à côté.
- Ah c'est Clémence, alors !!!
Le jour pointe à travers les vasistas de l’écurie. Les chevaux pour majorité se sont levés et attendent impatiemment la poignée de granulés matinale. Je donne une petite tape amicale à « Voie-Lactée ».
- Prends bien soin d’Alice. Aujourd’hui, je voudrais vraiment que vous gagniez toutes les deux. C’est possible pour toi « Voie-Lactée » ?
La jument donne un léger coup de tête que j’interprète comme un acquiescement.
Je rejoins discrètement la chambre ou Alice dort encore. Sans bruit, je la contemple étendue sur le lit, le drap juste posé sur ses fesses. Son visage émerge de ses cheveux châtains. Les yeux clos et apaisés lui donne un air puéril, presque enfantin. Sa respiration est régulière, silencieuse. Ses épaules dénudées sont magnifiques. J’ai envie de les caresser, de les embrasser. Sa colonne vertébrale sépare à merveille ses omoplates légèrement saillantes. Je suis tenté de suivre sous le drap cette ligne magistrale qui mène sans détours à ses fesses que je sais nues, somptueuses et désirables à souhait à travers le tissu.
Dans son méta-sommeil, Alice sourit.
- Je sais que tu es là, chuchote t’elle d’une voix ensommeillée.
- Ça fait un petit moment que je te regarde. Tu es trop mimi ma puce.
- Merci mon cœur. J’ai bien dormi même si quand tu es parti, il y avait comme un grand vide dans le lit.
Je pose mes lèvres sur l’une de ses épaules. La chaleur de son corps m’enivre instantanément. J’ai envie de croquer cette peau si chaude et si fragile mais je n’en ferais rien, conscient qu’Alice doit maintenant concentrer toute son énergie sur sa compétition.
Dans la chambre d’à côté, ça s’agite aussi. J’entends une voix masculine, celle de Richard. Le lit grince, la cadence est régulière.
- C’est Clémence avec Richard ?
- Je crois que oui ma puce.
- Décidément, il faut qu’elle saute sur tout ce qui bouge. Je m’en méfierais comme de la peste.
- C’est le sentiment qu’elle me donne aussi.
- Allez à la douche et au petit déjeuner.
- Je me sens bien, reposée. Je suis contente que tu sois là.
J’occupe la salle de bain le premier. Dans la baignoire transformée en douche pour l’occasion, je me savonne debout.
- Tu peux sortir ? J’ai envie d’aller aux toilettes.
- Heu ! Je suis plein de savon ma puce. C’est pour faire pipi ?
- Oui, dépêche, ça devient pressant.
- Déjà, tu ne feras pas dans ta culotte puisqu’elle a passé la nuit au-dessus de l’armoire.
- Ouste, vite. Je te dis.
- Ben ma puce, tu peux faire pipi. Ce n’est pas un souci.
- je n’aime pas que tu me regardes, ça me gêne.
- Pas de chance. Moi j’ai justement envie de te regarder.
- Non. Tourne-toi s’il te plaît mon chéri.
Devant tant d’insistance, je pivote contre la céramique. J’imagine ma petite chérie chevaucher debout les toilettes et j’entends le jet puissant atterrir au fond de la cuvette. Ça manque de discrétion et probablement que la posture de mon amoureuse n’est pas des plus glorieuses. Quelques feuilles de papier toilette sont arrachées du rouleau pour aller caresser le sexe humide de ma chérie. Toutes ces images virtuelles produisent un effet inattendu, enfin presque inattendu, sur mon sexe qui féru de haute voltige envisage avec un enthousiaste démesuré l’ascension du mont de Vénus. Le bruit de la chasse d’eau me libère et je me retourne fièrement.
- Tu n’es qu’un gros cochon pervers. Ceinture pour toi ce matin. On verra plus tard, si tu es méritant.
- Ma puce, si je t’avais regardée cela aurai été probablement beaucoup moins excitant.
Alice me rejoint dans la baignoire et ce n’est pas pour calmer mes ardeurs. J’en profite pour la savonner, faire passer le jet de la douche à la lisière de sa chevelure dorée lorsqu’elle a la tête renversée en arrière. Elle se laisse caresser par mes mains savonneuses. Elle pivote de temps en temps en un lent mouvement circulaire pour m’offrir toutes les parcelles de son corps. Je ne cherche pas à l’exciter, juste à lui donner du bien-être, un peu comme un massage délicat et sensuel. En revanche pour moi, trop tard, je suis au top de ma forme.
- Je ne vais tout de même pas te laisser dans cet état ?
Alice s’agenouille dans la baignoire. Elle prend mon sexe en bouche en me massant les fesses. Je ferme les yeux pour me laisser envahir par ses lèvres très douces qui avancent et qui reculent lentement puis de plus en plus vite. Sa langue divine vient se mêler à cette danse indécente sans aucune modération. Je n’ai pas envie de résister, juste de me laisser aller et j’ai encore en mémoire la magnifique fellation de la veille. Le plaisir monte. Le point de non-retour est franchi. Je gémis de plaisir. Mon sexe est tendu au maximum. Alice se décale légèrement pour éviter la salve spumescente et me regarde jouir avec ravissement. Elle contemple son œuvre avec malice, me reprend en bouche tout en douceur pour mieux me relâcher, nettement moins hardi.
- Ça devrait aller beaucoup mieux maintenant, mon chéri. Allez, on se dépêche.
A côté, ça gémit, ça crie aussi. L’orgasme est tout proche. On entend Richard essayer de calmer les ardeurs vocales de sa partenaire mais rien n’y fait. A croire qu’elle trouve un malin plaisir à faire résonner sa jouissance dans les couloirs de l'hôtel.
J’enfile rapidement mes vêtements et je sors sur le palier. Je croise Julie.
- Bonjour Pascal. Ne me dis pas que vous avez encore remis le couvert ce matin ?
- Euh non, ce n’est pas nous. On est plus discret. Je crois que ça vient plutôt de la chambre d’à côté.
- Ah c'est Clémence, alors !!!
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