(17-09-2020, 03:34 PM)emmanolife link a écrit :L'absence totale de pudeur de Michèle est assez dérangeante, de même que son attitude très détachée vis-à-vis des choses du sexe. Elle parle à son copain comme un médecin le ferait à un patient : ça semble manquer un peu de sentiment. Est-ce ta marque de fabrique ? Ou bien le sentiment est-il sous-jacent ? J'ai quand même l'impression qu'il doit y avoir une certaine appréhension avant une première fois pour une fille, et qu'il faut une forte envie ou un fort sentiment amoureux pour la dominer.
La pilule a été autorisée en France en 1967, mais elle existait bien avant : aux Etats-Unis, 1959, et en Suisse je ne sais pas. Vu les moyens financiers conséquents de la famille, les filles auraient sûrement pu s'en procurer en 1964.
Merci L'ange !
Merci [member=67]emmanolife[/member].
C’est certainement ma marque de fabrique. Je ressemble à Koen qui ne voit les être humains que comme des sujets d’étude et mes textes sont un révélateur, Louklouk me l’avait déjà dit lorsque j’ai décrit la « première fois » entre Adelin et Patrice dans le récit « Immunité ». Je ne peux pas te dire pourquoi j’écris comme cela et pas autrement. Devrais-je changer ma manière d’écrire ? Je ne le pense pas, c’est le privilège de l’auto-édition : écrire comme on le sent sans formater son récit pour plaire à plus de lecteurs.
Si l’on reste dans le domaine de la fiction, sans tenir compte de l’auteur du récit, cela pourrait être l’éducation qu’ont reçue les sœurs qui expliquerait leur comportement. Je décris toujours des êtres uniques qui ne sont pas représentatifs de la majorité.
Ce que j’écris n’est pas non plus forcément la vérité, si les sœurs disent qu’elles ont perdu leur hymen en jouant entre elles, cela pourrait être un mensonge, elle pourraient l’avoir perdu avec le fils du jardinier et n’être plus vierges, mais elles n’osent pas l’avouer à leurs petits amis.
J’avais effectivement écrit dans la première partie que la mère des sœurs les avait envoyées chez un gynécologue, l’utilisation du préservatif était surtout pour que Koen puisse demander aux deux petits amis quelle était la longueur de leur pénis sans en avoir l'air. Ou alors c’est mon côté « vieux con qui se sent obligé de donner des conseils aux plus jeunes » qui a pris le dessus.
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