CHAPITRE XVIII (Suite)
Deux dans une baignoire, pour avoir déjà testé, ce n’est pas le pied mais être avec Alice dans la baignoire, c’est une toute autre aventure. On se bagarre déjà pour savoir qui va pendre la place du dessous et, quand il faut un perdant…
Je m’étends dans l’eau juste chaude. Alice inquiète, debout les pieds dans l’eau, regarde monter le niveau dangereusement.
- Dis-moi mon Pascal. Va falloir que tu maigrisses un peu parce que là on a frôlé la catastrophe.
- Viens ma puce.
Alice prend place à son tour. Elle est belle, magnifiquement bien proportionnée, pas un poil de graisse, une peau laiteuse qu’elle a précédemment mouillée avec le jet et qui est subtilement mise en valeur sous le reflet des luminaires. Ses fesses dessinées à la perfection viennent s’agiter au contact de l’eau avant de se poser sur mon sexe au repos. Elle s’étend délicieusement, son dos sur mon ventre. Sa tête vient se caler tout contre ma tête, ses cheveux en bataille dans la baignoire flottent autour de nous. Je passe un bras autour de sa tête, un autre sur son sein. Elle me donne un tout petit baiser d’amour sur ma joue, un bisou merveilleux de douceur et elle ferme les yeux.
- Waouh, qu’est-ce qu’on est bien.
Alice ne bouge plus. Je saisi un verre en plastique à portée de main que je remplis et que je vide délicatement à la racine de ses cheveux en évitant d’en faire couler sur son visage. Les yeux fermés, elle sourit et je suis sous le charme. Je recommence sur l’un de ses seins, puis sur l’autre. Je lui offre pleins de papouilles, des papouilles d’amour, de tendresse, de délicatesse. On plane tous les deux, dans un état second. Parfois on ajoute un peu d’eau chaude juste pour faire durer le plaisir. Je savoure ce moment de béatitude sans autre forme de procès.
La fraîcheur de l’eau nous sort de notre torpeur. Ma chérie, les yeux mi-éveillés, m’embrasse tendrement.
- J’étais bien dans tes bras. Je me serais presque endormie.
- Moi aussi ma puce. Une quiétude gigantesque. Le bonheur qui tournait autour de nous comme un papillon silencieux qui n’avait de cesse de venir se poser tantôt sur toi, tantôt sur moi.
- Des moments comme cela, ça n’a pas de prix. C’est trop bon mon chéri. Si un jour on a une maison, j’aimerais bien avoir un spa.
On sort de la baignoire. Je sèche la peau d’Alice avec délectation, tant et si bien que mon sexe a un bref sursaut d’énergie aussitôt résorbé, faute de conviction.
- Il va falloir que je te retire les poils que tu as entre les fesses et sur ton sexe.
- Comment ça des poils ? Je me suis rasée il n’y a pas si longtemps que ça !
- Peut-être mais ils sont de retour.
- On verra ça une autre fois. On va se préparer pour le repas.
Deux dans une baignoire, pour avoir déjà testé, ce n’est pas le pied mais être avec Alice dans la baignoire, c’est une toute autre aventure. On se bagarre déjà pour savoir qui va pendre la place du dessous et, quand il faut un perdant…
Je m’étends dans l’eau juste chaude. Alice inquiète, debout les pieds dans l’eau, regarde monter le niveau dangereusement.
- Dis-moi mon Pascal. Va falloir que tu maigrisses un peu parce que là on a frôlé la catastrophe.
- Viens ma puce.
Alice prend place à son tour. Elle est belle, magnifiquement bien proportionnée, pas un poil de graisse, une peau laiteuse qu’elle a précédemment mouillée avec le jet et qui est subtilement mise en valeur sous le reflet des luminaires. Ses fesses dessinées à la perfection viennent s’agiter au contact de l’eau avant de se poser sur mon sexe au repos. Elle s’étend délicieusement, son dos sur mon ventre. Sa tête vient se caler tout contre ma tête, ses cheveux en bataille dans la baignoire flottent autour de nous. Je passe un bras autour de sa tête, un autre sur son sein. Elle me donne un tout petit baiser d’amour sur ma joue, un bisou merveilleux de douceur et elle ferme les yeux.
- Waouh, qu’est-ce qu’on est bien.
Alice ne bouge plus. Je saisi un verre en plastique à portée de main que je remplis et que je vide délicatement à la racine de ses cheveux en évitant d’en faire couler sur son visage. Les yeux fermés, elle sourit et je suis sous le charme. Je recommence sur l’un de ses seins, puis sur l’autre. Je lui offre pleins de papouilles, des papouilles d’amour, de tendresse, de délicatesse. On plane tous les deux, dans un état second. Parfois on ajoute un peu d’eau chaude juste pour faire durer le plaisir. Je savoure ce moment de béatitude sans autre forme de procès.
La fraîcheur de l’eau nous sort de notre torpeur. Ma chérie, les yeux mi-éveillés, m’embrasse tendrement.
- J’étais bien dans tes bras. Je me serais presque endormie.
- Moi aussi ma puce. Une quiétude gigantesque. Le bonheur qui tournait autour de nous comme un papillon silencieux qui n’avait de cesse de venir se poser tantôt sur toi, tantôt sur moi.
- Des moments comme cela, ça n’a pas de prix. C’est trop bon mon chéri. Si un jour on a une maison, j’aimerais bien avoir un spa.
On sort de la baignoire. Je sèche la peau d’Alice avec délectation, tant et si bien que mon sexe a un bref sursaut d’énergie aussitôt résorbé, faute de conviction.
- Il va falloir que je te retire les poils que tu as entre les fesses et sur ton sexe.
- Comment ça des poils ? Je me suis rasée il n’y a pas si longtemps que ça !
- Peut-être mais ils sont de retour.
- On verra ça une autre fois. On va se préparer pour le repas.
-°°-