15-09-2020, 05:40 PM
(Modification du message : 15-09-2020, 06:17 PM par emmanolife.)
Après une intense réflexion, je me dis que Koen étudie la pénisologie comme certains font de l'ornithologie : ils observent, ils décrivent, ils classent. Si c'est une branche de la médecine, est-ce simplement une branche descriptive ?
En fait, la médecine s'occupe surtout de soigner ce qui ne va pas. Alors dans le cadre du pénis, cela peut concerner :
- les troubles de l'érection (évidemment)
- les troubles de l'éjaculation ou de la miction
- les interventions réparatrices (pénis endommagé suite à un accident par exemple).
Quoi d'autre ? L'agrandissement d'un pénis trop petit (le plus fréquent) ou la réduction de taille d'un pénis trop grand (plus rare) font-ils partie de la pénisologie ? On pourrait aussi avoir la chirurgie esthétique pour les gens qui ont la bite de travers (même si au plan fonctionnel ça ne semble pas trop gênant en pratique).
Pour un examen complet, il faut probablement observer à la fois le pénis au repos et en érection, même si, d'un point de vue strictement esthétique, la forme excitée est la plus plaisante à voir. Mais cela limite un peu les options si le pénisologue est mâle, car les hétérosexuels pourrait émettre des objections à une étude trop poussée de leur organe. A contrario, une pénisologue, plus précisément une femme qui étudierait la pénisologie, aurait probablement un champ d'études beaucoup plus vaste. J'en conclus que la pratique de la pénisologie serait mieux exercée par une équipe mixte... mais ce n'est peut-être pas ce qui intéresse Koen, qui préfère peut-être restreindre le champ d'études aux homosexuels masculins.
J'arrête là mes spéculations oiseuses... Merci, L'ange.
En fait, la médecine s'occupe surtout de soigner ce qui ne va pas. Alors dans le cadre du pénis, cela peut concerner :
- les troubles de l'érection (évidemment)
- les troubles de l'éjaculation ou de la miction
- les interventions réparatrices (pénis endommagé suite à un accident par exemple).
Quoi d'autre ? L'agrandissement d'un pénis trop petit (le plus fréquent) ou la réduction de taille d'un pénis trop grand (plus rare) font-ils partie de la pénisologie ? On pourrait aussi avoir la chirurgie esthétique pour les gens qui ont la bite de travers (même si au plan fonctionnel ça ne semble pas trop gênant en pratique).
Pour un examen complet, il faut probablement observer à la fois le pénis au repos et en érection, même si, d'un point de vue strictement esthétique, la forme excitée est la plus plaisante à voir. Mais cela limite un peu les options si le pénisologue est mâle, car les hétérosexuels pourrait émettre des objections à une étude trop poussée de leur organe. A contrario, une pénisologue, plus précisément une femme qui étudierait la pénisologie, aurait probablement un champ d'études beaucoup plus vaste. J'en conclus que la pratique de la pénisologie serait mieux exercée par une équipe mixte... mais ce n'est peut-être pas ce qui intéresse Koen, qui préfère peut-être restreindre le champ d'études aux homosexuels masculins.
J'arrête là mes spéculations oiseuses... Merci, L'ange.