CHAPITRE XVII (Fin)
- Bonjour mon amour. Tu rentres tard ? Je me faisais une joie de te retrouver ici en fin d’après-midi et pas de chance, personne.
- Bonjour ma puce. J’avais quelques affaires à régler et maintenant que c’est fait, je vais être un peu plus tranquille. J’en ai profité aussi pour acheter du café. Tu vas bien ma chérie ?
- Je suis allé m’entraîner cette après-midi. J’étais avec Johanna. On s’est amusées comme des folles. Ça me fait du bien plutôt que de ressasser ici toute seule. En plus, Julie était en forme. Elle a changé sa coupe de cheveux. Tu verras, elle est encore plus mignonne. Et interdiction de tourner autour, ce week-end et encore moins les autres jours.
- Même pas drôle ma chérie. C’est la seule personne que je connais alors j'en profiterai pour bavarder un peu. Je t’aime.
- Ouais, ouais ! je vois bien quand on se promène et qu’un petit jupon passe dans ton radar, tu n’as pas les yeux dans la poche. Tiens Johanna, tu la connais aussi elle ? Elle m’a parlé d’un mec cool, mignon, ça fait deux fois qu’il passe au magasin lui acheter des sous-vêtements pour sa chérie. Elle trouve ça très drôle. Je ne savais plus où me mettre lorsqu’elle m’a décrit les petites culottes. Ça va jaser dans les écuries quand elle va savoir tu es mon petit ami.
- Ah effectivement. Mais je ne pouvais pas savoir et puis, c’est la rançon de la gloire ma puce. Il ne faudra plus t’étonner si dorénavant ton p’tit cul fera l’objet de toutes les convoitises et comme lorsque tu mets une culotte classique, on discerne le contour à travers ton pantalon, je te conseille de mettre un des strings que je t’ai offerts. Avec un peu de chance, ça coupera court à tous les fantasmes.
- Ou ça va en alimenter d'autres... Et ça ne te gêne pas qu’on mate mes fesses ?
- Ben non. Pourquoi ? J'en profite aussi et tant que c’est avec les yeux, moi ça ne me pose pas de problème voire même que je suis plutôt fier que ma petite chérie ait un si joli petit cul.
- Ah les hommes ... incorrigibles.
- Je prends une douche et j’arrive m’occuper de ton cas.
- Dépêche-toi et reviens vite te faire pardonner pour me mettre dans l’embarras. Tu as cinq minutes chrono, pas une seconde de plus. Je t'aime.
De retour de la douche, Alice est assise sur le canapé. Elle s’est changée. Elle porte maintenant une robe blanche, courte qui rebondit sur ses fesses. Elle est délicieuse avec une sensualité évidente. Je ne me pose même pas la question. Je la regarde. Je la désire, voire même que je suis capable de la désirer sans même avoir besoin de la regarder.
- Mais tu n’es même pas habillé ?
- Avec cinq minutes chrono mon cœur, j’ai juste eu le temps de mettre mon slip.
- Mince, j’ai été trop généreuse. J’aurais dû te donner quatre minutes cinquante-huit.
- Bonjour mon amour. Tu rentres tard ? Je me faisais une joie de te retrouver ici en fin d’après-midi et pas de chance, personne.
- Bonjour ma puce. J’avais quelques affaires à régler et maintenant que c’est fait, je vais être un peu plus tranquille. J’en ai profité aussi pour acheter du café. Tu vas bien ma chérie ?
- Je suis allé m’entraîner cette après-midi. J’étais avec Johanna. On s’est amusées comme des folles. Ça me fait du bien plutôt que de ressasser ici toute seule. En plus, Julie était en forme. Elle a changé sa coupe de cheveux. Tu verras, elle est encore plus mignonne. Et interdiction de tourner autour, ce week-end et encore moins les autres jours.
- Même pas drôle ma chérie. C’est la seule personne que je connais alors j'en profiterai pour bavarder un peu. Je t’aime.
- Ouais, ouais ! je vois bien quand on se promène et qu’un petit jupon passe dans ton radar, tu n’as pas les yeux dans la poche. Tiens Johanna, tu la connais aussi elle ? Elle m’a parlé d’un mec cool, mignon, ça fait deux fois qu’il passe au magasin lui acheter des sous-vêtements pour sa chérie. Elle trouve ça très drôle. Je ne savais plus où me mettre lorsqu’elle m’a décrit les petites culottes. Ça va jaser dans les écuries quand elle va savoir tu es mon petit ami.
- Ah effectivement. Mais je ne pouvais pas savoir et puis, c’est la rançon de la gloire ma puce. Il ne faudra plus t’étonner si dorénavant ton p’tit cul fera l’objet de toutes les convoitises et comme lorsque tu mets une culotte classique, on discerne le contour à travers ton pantalon, je te conseille de mettre un des strings que je t’ai offerts. Avec un peu de chance, ça coupera court à tous les fantasmes.
- Ou ça va en alimenter d'autres... Et ça ne te gêne pas qu’on mate mes fesses ?
- Ben non. Pourquoi ? J'en profite aussi et tant que c’est avec les yeux, moi ça ne me pose pas de problème voire même que je suis plutôt fier que ma petite chérie ait un si joli petit cul.
- Ah les hommes ... incorrigibles.
- Je prends une douche et j’arrive m’occuper de ton cas.
- Dépêche-toi et reviens vite te faire pardonner pour me mettre dans l’embarras. Tu as cinq minutes chrono, pas une seconde de plus. Je t'aime.
De retour de la douche, Alice est assise sur le canapé. Elle s’est changée. Elle porte maintenant une robe blanche, courte qui rebondit sur ses fesses. Elle est délicieuse avec une sensualité évidente. Je ne me pose même pas la question. Je la regarde. Je la désire, voire même que je suis capable de la désirer sans même avoir besoin de la regarder.
- Mais tu n’es même pas habillé ?
- Avec cinq minutes chrono mon cœur, j’ai juste eu le temps de mettre mon slip.
- Mince, j’ai été trop généreuse. J’aurais dû te donner quatre minutes cinquante-huit.
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