13-09-2020, 03:10 PM
Nouvelle suite
- Benjamin : fait la même chose avec ta queue, je veux te voir jouir…
- (Florentin fond alors en larme, et me dit) Je peux pas Benjamin, tu te rends pas compte l'effort, la violence que j'ai dû me faire pour oser ouvrir mon pantalon, que tu voies mon slip, que j'aie montré ma protubérance mais je ne peux pas aller plus loin, vraiment pas, peut-être une autre fois.
Cet aveux, innocent et touchant de sincérité me fait mal au cœur, je le prends dans mes bras, le serre contre moi, lui caresse les cheveux et le visage, oubliant que j'ai la main pleine de mon sperme, je lui dit des mots réconfortants, que ce n'est pas grave, qu'une fois il aura envie, comme moi j'ai eu envie et qu'un jour il se lâchera comme je l'ai fait. Il se blottit dans mon cou, contre ma poitrine, je sens son sexe contre mon ventre. Nous restons immobile un bon moment puis il reprend la parole d'une toute petite voix que je commence à bien connaître, il est angoissé
Florentin : Dit, Benjamin, tu ne veux pas rester cette nuit avec moi, je ne veux pas être seul, je crois que j'aurais peur, c'est idiot et je ne sais pas pourquoi ! Tu n'as pas encore vu ma chambre mais j'ai un grand lit et nous ne nous gênerons pas
Benjamin : Tu as de la chance, j'avais laissé entendre à ma mère qu'éventuellement je resterais la nuit chez toi. Oui mon petit homme de la montagne, je resterai pour te rassurer
Pour le nul que je suis en mathématique, les choses vont trop vites, je m'embrouille, je rougis, j'espère, je suis heureux de cette demande mais la responsabilité m'effraie un peu, il est si pur, si naïf. Mais quel bonheur également, je vais dormir dans le même lit que ce garçon que j'ai aimé dès le premier jour, je dois le respecter mais également ne pas le décevoir, je laisserai parler mon cœur et tâcherai de contrôler mes pulsions mais surtout de comprendre ce qu'il est, ce qu'il souhaite car je ne veux vraiment pas le perdre en le brusquant ou lui faire faire des choses qu'il ne souhaite pas ou qu'il pourrait regretter, où même dont il n'a aucune idée !
Il me donne un linge et un gant de toilette, une brosse à dent neuve et un boxer ample, à carreaux bleus et blancs. Je passe le premier à la salle de bain avec une vaste douche italienne, je n'en avais encore jamais vu, c'est très agréable, on doit facilement y tenir à 3-4 personnes au moins ! Je mets le boxer en pensant que Florentin l'a porté avant moi, même s'il l'a lavé entre temps, et cette idée m'excite. Je retourne dans la vaste pièce en attendant qu'il soit prêt, je ne veux pas prendre d'initiative dans sa chambre que je n'ai pas encore vue.
Il sort en mini-boxer avec des motifs qui conviendraient plus à un enfant de dix ans, je me sens de nouveau attendri, pourtant il a passé seize ans, c'est vrai, bien deux ans de moins que moi-même et la plupart de mes amis. Le moment arrive, on entre dans cette chambre qu'il a qualifiée de petite mais qui doit bien faire vingt mètres carrés. Il est vrai que le grand lit, j'apprendrai qu'il fait 220 x 200, occupe un grand partie de la pièce. La garniture du lit est très fraîche, très claire et très attirante, on doit y être bien, il y a toute la place désirable pour être plusieurs si on en a envie ! Bêtement, j'allais lui demander si c'était le lit de ses parents, heureusement, je me suis retenu à temps, mais le garçon n'est pas bête, il a tout de suite déclaré
- Non ! je n'aurais jamais pu dormir dans leur lit, surtout après ce qui est arrivé, cela aurait été impossible. Pendant une semaine j'ai dormi au salon avant qu'on me livre ce lit, c'est le vendeur qui m'a conseillé, qu'à mon âge on avait besoin de beaucoup de place. Je n'ai pas vraiment compris pour quoi et je n'ai pas osé lui demander la raison, mais j'ai suivi son conseil. Entre temps, je me félicite de ne pas avoir approfondi la nécessité de ces dimensions, mais je pense, avoir une petite idée !
Nous sommes au lit, moi sur un des bords, Florentin se plaçant au milieu. Nous discutons encore un bon moment, l'obscurité est favorable aux confidences, il se confie
- Florentin : c'est la première fois que quelqu'un dort dans le même lit que moi, je suis content d'avoir suivi le conseil du vendeur sinon cela n'aurait pas été possible
- Benjamin : et quelle impression cela te fait-il d'avoir quelqu'un, en plus un garçon, à tes côtés ? Tu aurais probablement préféré une fille, non ?
- Florentin : un peu étrange mais ce soir je suis content que tu sois là
- Benjamin : A quoi penses-tu en ce moment ?
- Florentin : C'est un peu confus dans ma tête, je pense que c'est un moment important que d'oser cette proximité des corps, mais je ne sais pas si c'est bien ou si c'est mal
- Benjamin : C'est confus seulement dans ta tête ?
- Florentin : Où voudrais-tu que cela soit confus sinon dans ma tête ?
Cette réponse me montre à quel point il est innocent, de ce côté-là, mais je pense que les choses vont rapidement évoluer car je le sens s'ouvrir et curieux de découvrir ce qu'intuitivement il sait qu'il devrait savoir.
Nous nous souhaitons bonne nuit et, à ma surprise, il me fait un bisou, sur la joue évidemment. Je l'entends soupirer, presque gémir, puis il pleure très doucement. Il me confie que cela fait deux ans aujourd'hui que ses parents l'ont quitté. Je comprends son chagrin et sa peine, je me rapproche de lui, nous sommes tous les deux au centre du lit. Je me colle contre lui, ma poitrine contre son dos, mon ventre contre ses fesses, je passe mon bras par-dessus son corps et pose ma main sur son thorax. D'un doigt, je fais des ronds autour de son petit téton, je l'entends ronronner, il se calme, se recule un peu contre moi, comme pour mieux sentir mon corps. Je pense qu'il doit sentir ma queue contre sa raie, mais je ne suis pas certain qu'il réalise ce que c'est ! Moi, je sais et cela m'excite. Ma main est descendue plus bas et un de mes doigts titille son nombril, il ronronne de nouveau, très doucement, comme un petit chaton. L'aventure continue, je tombe sur un tapis soyeux que je devine très fin, presqu'invisible de par sa blondeur. Je le sens qui commence à paniquer aussi je m'arrête. Je ne bouge plus et j'entends sa petite voix qui me dit de rester comme nous sommes, de ne pas aller plus loin ce soir, que cela suffit à son bonheur, qu'il s'excuse pour moi. Je le remercie, il a raison et je suis parfaitement heureux. Mon boxer est trempé et j'hésite à l'enlever mais j'y renonce, finalement j'aime cette moiteur.
Dans la nuit, nous sommes toujours dans la même position, mon sexe contre, presque dans sa raie, ma main sur sa poitrine ; ce qui me réveille partiellement, c'est que je sens les spasmes avant-coureurs de sa jouissance, pourtant je n'ai rien fait consciemment et cependant ses spasmes sont de plus en plus fréquents, sa queue grossit encore, son boxer est également trempé ; soudain, ces fesses se soulèvent, son corps est arqué et brusquement un flot envahit ma main, son vêtement et il pousse un véritablement rugissement alors que cela déclenche chez moi un processus semblable, plusieurs jets sortent avec fougue de mon corps, c'est un vrai marécage dans mon boxer, comme dans le sien je pense. J'ai juste le temps de l'entendre dire
- Benjamin, c'était bon, vraiment bon
- Oui, c'était très bon mon Florentin, dors bien
et nous repartons dans le pays des rêves.
Nous nous réveillons vers dix heures, ma main cette fois dans son boxer toujours gluant de sperme, mais ce qui est nouveau, la main de Florentin caresse doucement mes deux boules très proches de mon sexe, de temps à autre, un doigt avance vers mon intimité que personne n'a encore violé, puis va trouver ma petite rondelle, vierge également, qu'il caresse avec volupté, je le sens à sa respiration, je le sens au plaisir que je prends et je me dis qu'il apprend très vite. Et cela dure, cela dure, j'ai sa queue en pleine main que je malaxe dans tous les sens, un de ses doigts à force de caresser ma pastille pénètre dans mon anus, j'ai un sursaut, je deviens fou, je me penche sur lui, j'avale son gland puis le reste, il hurle de jouissance, ma langue tourne autour de sa couronne, elle appuie sur son frein, son doigt est maintenant franchement dans mon anus, touche ma prostate. Nos deux corps se cabrent ensemble, ça va être l'apothéose, il se couche sur moi, prend nos deux sexes ensemble et les excite, nous sommes ventre contre ventre, bouche contre bouche et c'est sexe contre sexe que nos spermes expulsent en de nombreux et puissants jets leur précieuse semence, nos ventres sont comme collés ensemble, nos liquides qui ne font plus qu'un se fraient un chemin sur nos peaux avant de descendre lentement dans mon entre-jambe. Je suis heureux, je le sens heureux et c'est avec ce sentiment que nous retombons dans un sommeil récupérateur.
Il est près de quatorze heures quand nous nous réveillons, et c'est ensemble que nous nous précipitons au toilette, c'est ensemble que nous regardons nos urines se rejoindre dans la cuvette, c'est ensemble que nous envisageons l'avenir, sans avoir même besoin de le formuler, c'est une évidence.
- Benjamin : fait la même chose avec ta queue, je veux te voir jouir…
- (Florentin fond alors en larme, et me dit) Je peux pas Benjamin, tu te rends pas compte l'effort, la violence que j'ai dû me faire pour oser ouvrir mon pantalon, que tu voies mon slip, que j'aie montré ma protubérance mais je ne peux pas aller plus loin, vraiment pas, peut-être une autre fois.
Cet aveux, innocent et touchant de sincérité me fait mal au cœur, je le prends dans mes bras, le serre contre moi, lui caresse les cheveux et le visage, oubliant que j'ai la main pleine de mon sperme, je lui dit des mots réconfortants, que ce n'est pas grave, qu'une fois il aura envie, comme moi j'ai eu envie et qu'un jour il se lâchera comme je l'ai fait. Il se blottit dans mon cou, contre ma poitrine, je sens son sexe contre mon ventre. Nous restons immobile un bon moment puis il reprend la parole d'une toute petite voix que je commence à bien connaître, il est angoissé
Florentin : Dit, Benjamin, tu ne veux pas rester cette nuit avec moi, je ne veux pas être seul, je crois que j'aurais peur, c'est idiot et je ne sais pas pourquoi ! Tu n'as pas encore vu ma chambre mais j'ai un grand lit et nous ne nous gênerons pas
Benjamin : Tu as de la chance, j'avais laissé entendre à ma mère qu'éventuellement je resterais la nuit chez toi. Oui mon petit homme de la montagne, je resterai pour te rassurer
Pour le nul que je suis en mathématique, les choses vont trop vites, je m'embrouille, je rougis, j'espère, je suis heureux de cette demande mais la responsabilité m'effraie un peu, il est si pur, si naïf. Mais quel bonheur également, je vais dormir dans le même lit que ce garçon que j'ai aimé dès le premier jour, je dois le respecter mais également ne pas le décevoir, je laisserai parler mon cœur et tâcherai de contrôler mes pulsions mais surtout de comprendre ce qu'il est, ce qu'il souhaite car je ne veux vraiment pas le perdre en le brusquant ou lui faire faire des choses qu'il ne souhaite pas ou qu'il pourrait regretter, où même dont il n'a aucune idée !
Il me donne un linge et un gant de toilette, une brosse à dent neuve et un boxer ample, à carreaux bleus et blancs. Je passe le premier à la salle de bain avec une vaste douche italienne, je n'en avais encore jamais vu, c'est très agréable, on doit facilement y tenir à 3-4 personnes au moins ! Je mets le boxer en pensant que Florentin l'a porté avant moi, même s'il l'a lavé entre temps, et cette idée m'excite. Je retourne dans la vaste pièce en attendant qu'il soit prêt, je ne veux pas prendre d'initiative dans sa chambre que je n'ai pas encore vue.
Il sort en mini-boxer avec des motifs qui conviendraient plus à un enfant de dix ans, je me sens de nouveau attendri, pourtant il a passé seize ans, c'est vrai, bien deux ans de moins que moi-même et la plupart de mes amis. Le moment arrive, on entre dans cette chambre qu'il a qualifiée de petite mais qui doit bien faire vingt mètres carrés. Il est vrai que le grand lit, j'apprendrai qu'il fait 220 x 200, occupe un grand partie de la pièce. La garniture du lit est très fraîche, très claire et très attirante, on doit y être bien, il y a toute la place désirable pour être plusieurs si on en a envie ! Bêtement, j'allais lui demander si c'était le lit de ses parents, heureusement, je me suis retenu à temps, mais le garçon n'est pas bête, il a tout de suite déclaré
- Non ! je n'aurais jamais pu dormir dans leur lit, surtout après ce qui est arrivé, cela aurait été impossible. Pendant une semaine j'ai dormi au salon avant qu'on me livre ce lit, c'est le vendeur qui m'a conseillé, qu'à mon âge on avait besoin de beaucoup de place. Je n'ai pas vraiment compris pour quoi et je n'ai pas osé lui demander la raison, mais j'ai suivi son conseil. Entre temps, je me félicite de ne pas avoir approfondi la nécessité de ces dimensions, mais je pense, avoir une petite idée !
Nous sommes au lit, moi sur un des bords, Florentin se plaçant au milieu. Nous discutons encore un bon moment, l'obscurité est favorable aux confidences, il se confie
- Florentin : c'est la première fois que quelqu'un dort dans le même lit que moi, je suis content d'avoir suivi le conseil du vendeur sinon cela n'aurait pas été possible
- Benjamin : et quelle impression cela te fait-il d'avoir quelqu'un, en plus un garçon, à tes côtés ? Tu aurais probablement préféré une fille, non ?
- Florentin : un peu étrange mais ce soir je suis content que tu sois là
- Benjamin : A quoi penses-tu en ce moment ?
- Florentin : C'est un peu confus dans ma tête, je pense que c'est un moment important que d'oser cette proximité des corps, mais je ne sais pas si c'est bien ou si c'est mal
- Benjamin : C'est confus seulement dans ta tête ?
- Florentin : Où voudrais-tu que cela soit confus sinon dans ma tête ?
Cette réponse me montre à quel point il est innocent, de ce côté-là, mais je pense que les choses vont rapidement évoluer car je le sens s'ouvrir et curieux de découvrir ce qu'intuitivement il sait qu'il devrait savoir.
Nous nous souhaitons bonne nuit et, à ma surprise, il me fait un bisou, sur la joue évidemment. Je l'entends soupirer, presque gémir, puis il pleure très doucement. Il me confie que cela fait deux ans aujourd'hui que ses parents l'ont quitté. Je comprends son chagrin et sa peine, je me rapproche de lui, nous sommes tous les deux au centre du lit. Je me colle contre lui, ma poitrine contre son dos, mon ventre contre ses fesses, je passe mon bras par-dessus son corps et pose ma main sur son thorax. D'un doigt, je fais des ronds autour de son petit téton, je l'entends ronronner, il se calme, se recule un peu contre moi, comme pour mieux sentir mon corps. Je pense qu'il doit sentir ma queue contre sa raie, mais je ne suis pas certain qu'il réalise ce que c'est ! Moi, je sais et cela m'excite. Ma main est descendue plus bas et un de mes doigts titille son nombril, il ronronne de nouveau, très doucement, comme un petit chaton. L'aventure continue, je tombe sur un tapis soyeux que je devine très fin, presqu'invisible de par sa blondeur. Je le sens qui commence à paniquer aussi je m'arrête. Je ne bouge plus et j'entends sa petite voix qui me dit de rester comme nous sommes, de ne pas aller plus loin ce soir, que cela suffit à son bonheur, qu'il s'excuse pour moi. Je le remercie, il a raison et je suis parfaitement heureux. Mon boxer est trempé et j'hésite à l'enlever mais j'y renonce, finalement j'aime cette moiteur.
Dans la nuit, nous sommes toujours dans la même position, mon sexe contre, presque dans sa raie, ma main sur sa poitrine ; ce qui me réveille partiellement, c'est que je sens les spasmes avant-coureurs de sa jouissance, pourtant je n'ai rien fait consciemment et cependant ses spasmes sont de plus en plus fréquents, sa queue grossit encore, son boxer est également trempé ; soudain, ces fesses se soulèvent, son corps est arqué et brusquement un flot envahit ma main, son vêtement et il pousse un véritablement rugissement alors que cela déclenche chez moi un processus semblable, plusieurs jets sortent avec fougue de mon corps, c'est un vrai marécage dans mon boxer, comme dans le sien je pense. J'ai juste le temps de l'entendre dire
- Benjamin, c'était bon, vraiment bon
- Oui, c'était très bon mon Florentin, dors bien
et nous repartons dans le pays des rêves.
Nous nous réveillons vers dix heures, ma main cette fois dans son boxer toujours gluant de sperme, mais ce qui est nouveau, la main de Florentin caresse doucement mes deux boules très proches de mon sexe, de temps à autre, un doigt avance vers mon intimité que personne n'a encore violé, puis va trouver ma petite rondelle, vierge également, qu'il caresse avec volupté, je le sens à sa respiration, je le sens au plaisir que je prends et je me dis qu'il apprend très vite. Et cela dure, cela dure, j'ai sa queue en pleine main que je malaxe dans tous les sens, un de ses doigts à force de caresser ma pastille pénètre dans mon anus, j'ai un sursaut, je deviens fou, je me penche sur lui, j'avale son gland puis le reste, il hurle de jouissance, ma langue tourne autour de sa couronne, elle appuie sur son frein, son doigt est maintenant franchement dans mon anus, touche ma prostate. Nos deux corps se cabrent ensemble, ça va être l'apothéose, il se couche sur moi, prend nos deux sexes ensemble et les excite, nous sommes ventre contre ventre, bouche contre bouche et c'est sexe contre sexe que nos spermes expulsent en de nombreux et puissants jets leur précieuse semence, nos ventres sont comme collés ensemble, nos liquides qui ne font plus qu'un se fraient un chemin sur nos peaux avant de descendre lentement dans mon entre-jambe. Je suis heureux, je le sens heureux et c'est avec ce sentiment que nous retombons dans un sommeil récupérateur.
Il est près de quatorze heures quand nous nous réveillons, et c'est ensemble que nous nous précipitons au toilette, c'est ensemble que nous regardons nos urines se rejoindre dans la cuvette, c'est ensemble que nous envisageons l'avenir, sans avoir même besoin de le formuler, c'est une évidence.